L’autonomie de la Corse, c’est le dépeçage de la nation programmé.
Il aura suffi d’une poignée d’étudiants et de quelques nationalistes déterminés, pour qu’Emmanuel Macron, le grand chef de guerre anti-Poutine, se couche misérablement et offre l’autonomie aux nationalistes corses, par peur d’une insurrection à la veille des élections. Soumission, soumission…
Il est vrai que selon le Canard enchaîné, Macron négociait déjà en coulisses l’autonomie de la Corse et le transfert des détenus du commando Erignac sur l’île, contre un soutien électoral des nationalistes ! Jolie tambouille. Du Macron pur jus.
Rappelons que c’est un préfet qui a été lâchement abattu par trois balles dans le dos en 1998 à Ajaccio, un crime politique qui n’a rien à voir avec un crime crapuleux.
Preuve que c’est bien un régime mafieux qui s’est installé à l’Elysée, comme on avait pu le constater avec la scandaleuse affaire Benalla, dont les deux enquêtes parlementaires ont été totalement sabotées par l’exécutif.
Ce pouvoir crapuleux qui négocie le retour sur l’île des assassins du préfet Erignac, alors que promesse avait été faite à sa veuve qu’aucun transfert n’aurait lieu de son vivant, capitule une fois de plus dans la plus pure tradition élyséenne.
Macron, président qui a toujours détesté la France en tant que nation, mais la rêve en tant que province d’une grande Europe fédérale, va pouvoir commencer le dépeçage de notre France millénaire, qu’il traîne dans la boue depuis ses débuts en politique, voulant même la priver de sa force nucléaire et de son siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU.
Président sans convictions, il est incapable de restaurer l’ordre républicain et ne sait que céder à la violence. Bel exemple pour les cités islamisées qui savent qu’elles pourront elles aussi tout obtenir à coups de cocktails Molotov et d’engins explosifs.
Les postures guerrières affichées par Macron dans le dossier ukrainien, ne sont que mascarade. Il n’a aucunement l’étoffe d’un chef, mais plutôt l’âme d’un capitulard. Il négocie avec les nationalistes sa réélection au détriment de l’Etat nation.
Mais ce ne sont pas des saints qui embrasent l’île.
Cocktails Molotov, jets d’acide, projectiles hérissés de clous, bombes « agricoles » garnies de billes d’acier ou de grains de chevrotine, pour blesser dans un périmètre le plus large possible.
Ces casseurs veulent tuer, c’est clair. Il a fallu envoyer 3 compagnies de CRS et 6 escadrons de gendarmes mobiles en renfort pour éteindre la poudrière corse. ( Figaro )
Il est inconcevable que Darmanin aille négocier sous la violence. Rien ne peut justifier les scènes de guérilla urbaine et les tentatives de meurtre contre les forces de l’ordre.
L’autonomie, c’est un tremplin pour l’indépendance.
Mais ce que veulent les natios dans l’immédiat, ce n’est pas le divorce sans pension alimentaire, c’est au contraire la séparation aux frais du contribuable, puisque ce département est éminemment subventionné. L’indépendance viendra plus tard.
Le nationalisme corse ne s’accommodera pas bien longtemps d’une simple autonomie.
Si Paris gardera les pouvoirs régaliens, armée, police, justice, la Corse aura la maîtrise dans tous les autres domaines, y compris le droit de lever l’impôt.
Une telle démarche aura des conséquences néfastes à long terme, car si la majorité des Corses est favorable à l’autonomie mais pas à l’indépendance, c’est pourtant bien cette ultime étape que visent les indépendantistes sous couvert d’autonomie.
La reconnaissance du peuple corse, l’officialisation de la langue corse, le statut de résident, autant d’exigences qui vont se heurter aux règles constitutionnelles et faire de la Corse une collectivité aux singularités telles, qu’elles aboutiront irrémédiablement au divorce d’avec la République.
Est-ce bien ce que veulent vraiment les Corses ?
Chez les candidats à l’élection présidentielle, seuls Zemmour et Marine sont opposés à cette autonomie annonciatrice d’indépendance. Le camp patriote sait très bien que cette semi-liberté accordée à la Corse signera le début de la dislocation de la nation. D’autres régions suivront et la désintégration du pays deviendra vite incontrôlable.
Jacques Guillemain
https://ripostelaique.com/lautonomie-de-la-corse-cest-le-depecage-programme-de-la-nation.html
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25 ans ont passé.
Tant de mansuétude vis-à-vis des racailles , et inflexibilité pour ces trois là.
On punit tous les membres de leur famille, qui depuis 25 ans, ne peuvent pas voir leur père sans partir sur le continent.
Ils ont largement payé leur crime, et c’est uniquement parce qu’il s’agit d’un préfet , et que le crime est politique, qu’ils n’ont pas été réintégrés en Corse.
La revanche du Pouvoir qui n’aime pas qu’on lui mette le nez dans son kk.
Et si son intention serait de nous ramener à une féodalité ?
Cela pourrait une idée intéressante pour la crapule élyséenne afin de détruire la nation? et ainsi, la noyer dans une UE sans identité !
Ne pas perdre de vue qu’il se rêve en futur président de l’UE en lieu de la Van Der Hyène qui va mal finir!
Détruire la France, c’est ma mission ! Aussi, faut-il arrêter ce démoniaque définitivement !
traître un jour traître toujours, devise actuelle de ce gouvernement d’incapables