Zemmour a commis un crime capital: le mot-clé le plus utilisé dans ses livres est “France” !

Ça y est ! France Info sort enfin de son boycott de Zemmour !

Non pas pour lui donner la parole, évidemment, mais pour déverser des torrents de contrevérités sur lui.


Magnifique exemple de désinformation, illustrée par deux articles :


Premier article :

Nous y apprenons que :


Complément d’enquête” a fait appel à une spécialiste de l’analyse des discours politiques : Cécile Alduy, chercheur à Stanford (Californie) et au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof). A l’aide de logiciels, elle a passé au crible les 2 395 pages de ces sept ouvrages. Ses résultats sont matérialisés dans un nuage de mots.

Cette chercheuse, grande pourfendeuse de l’extrême droite, nous livre le résultat de son analyse. Entre nous, ce n’est pas un travail très compliqué : il suffit d’entrer les textes dans un ordinateur qui vous calcule le nombre de fois où un mot y a été utilisé. N’importe qui peut se déclarer « sémiologue », ou presque.


Alors le verdict :
Les trois mots les plus utilisés par Eric Zemmour sont les suivants : sans surprise, on trouve “France” à la première place, avec 2 768 occurrences. En deuxième position, le mot “homme”, utilisé à 1 363 reprises. A la troisième place, le mot “guerre”. Mais pour le chercheur, c’est un mot répété 130 fois qui marque la singularité d’Eric Zemmour : le mot “race”.


Gravissime !


Pire,  les mots qui ne sont pas utilisés :
Dans les mots d’Eric Zemmour, il y a ce qui est répété, ressassé… mais aussi, en creux, ce qui est à peine évoqué, voire pas du tout. “C’est tout ce qui a trait à la vie des Français. Le pouvoir d’achat : aucune mention en quinze ans ; les retraites ; le chômage, il en parle dans certains livres, mais aucune mention dans le dernier ; l’endettement, le budget, les finances, les salaires, même les impôts, sauf quand c’est dans le contexte de l’immigration, détaille Cécile Alduy. De façon peut-être plus attendue, Eric Zemmour ne porte aucune attention aux questions climatiques.”
“Donc il y a une sorte d’imperméabilité à tout ce qui n’entre pas dans le cadre de pensée, conclut la sémiologue. Ce qui pose tout de même la question de la crédibilité de quelqu’un qui voudrait gouverner, c’est-à-dire s’atteler à régler les problèmes qui existent objectivement, et pas ceux qu’on choisit simplement par idéologie.”
Extrait de “Zemmour : Veni, Vidi, Vichy”, un document de “Complément d’enquête” à voir le 4 novembre 2021.

Encore plus grave !
Vous rendez-vous compte ?

Notre sémiologue de service a démontré que Zemmour est un affreux raciste franchouillard qui n’en a rien à foutre du peuple qui souffre. Il est totalement incapable de gouverner puisqu’il ignore les problèmes qui se posent « objectivement ( ! )».

Cette superbe analyse n’est en fait qu’une supercherie grotesque, monument de malhonnêteté intellectuelle.
Déjà, le titre de l’émission sur Zemmour « Veni, Vidi, Vichy » est un indice fort qui doit nous mettre la puce à l’oreille. Il faut franchement être un gauchiste indécrottable pour taxer de pétainisme sans la moindre preuve Zemmour le gaulliste.

 


Ensuite, venons-en au fond.
Zemmour a commis le crime capital de citer en premier le mot “France”.


C’est évidemment scandaleux ! Aimer son pays, pour les islamo-gauchistes, c’est être fasciste.

Ensuite il parle de « l’homme ». Grave erreur ! Les autres politiciens ne parlent que de réchauffement climatique, de mondialisation heureuse, d’Europe, de migrations bénéfiques à notre pays. Parler de l’homme est une faute goût sans nom. Mettre les valeurs humaines avant les idéaux est une idéologie repoussante, vous en conviendrez ?

Il continue en parlant de guerre. Horreur absolue ! Il ne faut pas parler de la guerre. Comme Daladier en 1938, on sait qu’elle va arriver, mais c’est indécent de l’évoquer. Il faut l’ignorer, ne surtout pas la préparer.

Enfin il a osé utiliser le mot « race ». Quel culot !
On l’a enlevé de la Constitution, on aurait aussi dû l’enlever du dictionnaire.
Et pas moins de 130 fois en 2.395 pages ! Soit une fois toutes les 18 pages !
Comment peut-il oser ? La loi devrait prévoir des quotas. Pas plus d’une fois toutes les cent pages par exemple.

Vous voyez donc comment les réalités sont déformées, inversées et torturées.

Partant de la même analyse de fréquence des mots, j’en tire une conclusion radicalement opposée. Je vais à mon tour faire le sémiologue de service en m’appuyant sur le même constat.

Voici mon diagnostic:

Un homme qui aime profondément son pays tant il en parle a l’audace d’identifier les vrais problèmes. Si l’on ne réagit pas, une guerre civile est inévitable, raison pour laquelle il faut avoir le courage d’évoquer la guerre pour ouvrir les yeux à nos concitoyens.
Cet homme, parle des sujets essentiels : notre pays va-t-il survivre. Car tel est l’enjeu.
À la différence de tous les autres, il ne donne pas dans la démagogie avec les formules creuses « pouvoir d’achat, fracture sociale » dont tous ses prédécesseurs nous ont rebattu les oreilles pour mieux nous trouducuter.
Il n’est pour le moment qu’un penseur faisant la promotion de son livre.
Lorsqu’il sera candidat on est en droit d’attendre qu’il sache évoquer  tous les sujets, notamment le pouvoir d’achat.
Conclusion :si nous ne saisissons pas la chance qui nous est offerte par la Providence, nos enfants n’auront d’autre choix que de s’exiler ou de se convertir”.

J’aime bien la sémiologie…

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