Article datant de juillet 2020… à l’époque, « ils » ne parlaient pas officiellement de passeport vaccinal ! Mais la commission européenne, elle, en parlait sérieusement, dès 2019 ! Avant que ne commence l’épidémie de Covid….
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Horizon 2022, un passeport de vaccination… l’UE rase les murs au sujet de documents bien suspects
par Daniele Pozzati.
Surprise, surprise, la Commission Européenne (CE) avait un « projet cartographié de vaccination » prêt des mois avant que ne se déclenche la « pandémie » du CoV19 (NdT : en fait le SRAS-COV-2 « Caroline du Nord »…). Ce projet devrait mener à une « proposition de commission pour une carte / passeport de vaccination commune pour les citoyens de l’UE dès 2022 ».
Dernièrement mis à jour dans le 3ème quart de l’année 2019, le document de 10 pages (10-page document) le 12 septembre par un « sommet de la vaccination globale » conjointement organisé par la CE et l’OMS.
Sous le titre « Dix actions vers la vaccination pour tous, tout le monde devrait être capable de bénéficier du pouvoir de la vaccination », le manifeste du sommet se plaint que :
« Malgré la disponibilité de vaccins efficaces et sans danger, le manque d’accès, la pénurie, la désinformation, le laxisme envers les risques de maladie, diminuant la confiance publique en la valeur des vaccins et augmentant la perte d’intérêt à leur encontre, mine le taux de vaccination dans le monde entier ».
Et avec ça, les bénéfices des compagnies pharmaceutiques sans aucun doute.
En juillet 2017 par exemple, l’Italie a rendu 12 vaccins obligatoires pour les enfants. Il s’ensuivit une augmentation du prix des vaccins de 62%, passant de l’ordre de 14 euros à 23 euros la dose.
Le marché mondial de la vaccination pèse aujourd’hui environ 27 milliards de dollars par an. D’après les estimations de l’OMS, il devrait passer la barre des 100 milliards de dollars en 2025.
Comme le sommet mondial sur la vaccination de la CE-OMS a aussi discuté un agenda d’immunisation rénové pour 2030, les actionnaires de Big Pharma ne doivent pas s’inquiéter de la performance de leurs avoirs sur le long terme.
On ne doit vraiment pas « toucher au taux de vaccination mondial ».
Le manifeste de ce sommet de la vaccination mondiale liste « 10 leçons et actions nécessaires pour la vaccination de tous ».
Chaque « leçon » est un bijou de ce que le philosophe néo-marxiste italien Diego Fusaro appelle « le capitalisme thérapeutique ».
Le phrasé est péremptoire et ne laisse aucune marge pour la nuance ou le débat. Des adjectifs comme « tous », « tout le monde », « indiscutable », abondent. Les déclarations au mode conditionnel sont absentes.
Plus qu’un plan d’action prudent, inspiré scientifiquement et ouvert au doute et au scepticisme, le ton donné de « protéger tout le monde, partout », de « ne laisser personne derrière », est messianique de manière tout à fait inappropriée.
Qu’en est-il de ceux et celles qui ne voudraient pas être « protéger » de cette façon ? Simplement en Allemagne, au moins 10% de la population est strictement contre une vaccination contre le coronavirus, ce qui représente au moins 8 millions de personnes
Mais voyons ce que nous pouvons apprendre si on veut, de ces « leçons ».
La leçon #1 commence par : « Promouvoir le leadership politique mondial et l’implication dans la vaccination », il semble que c’est ce dont nous sommes témoins maintenant, avec les gouvernements dans le monde suggérant que les masques et la distanciation sociale resteront en place jusqu’à ce qu’on ait trouvé un vaccin contre le SRAS-COV-2.
Quid des politiciens qui sont contre la vaccination ?
Dira-t-on aux gens qui votent pour eux, comme le fit tristement le commissaire au budget de la CE Gunther Oettinger avec les électeurs de la Liga italienne en 2018, en leur disant que « les marchés leur enseigneront de voter pour les bonnes choses » ?
Y aura-t-il une nouvelle « pandémie » pour apprendre aux gens à voter pour la bonne chose ?
Leçon 4, « Frapper à la racine de l’hésitation vaccinale, augmenter la confiance dans la vaccination », ceci a tout l’air d’un modèle pour une campagne de propagande, une qui prévoit, d’après la lecture du programme de vaccination de l’UE, le « développement de modules de formation électronique ciblant les médecins généralistes et les fournisseurs de soin de santé, focalisant sur l’amélioration des techniques pour gérer les populations hésitantes et promouvoir un changement de comportement ».
Leçon 5, « Rassembler le pouvoir des technologies numériques afin de renforcer le contrôle de la performance des programmes de vaccination », ceci soulève en cette période d’ap de traçage et de bracelets électroniques, des préoccupations légitimes sur la main mise toujours plus avant de la technologie sur nos vies et sur nos corps.
De quelles technologies numériques parle-t-on ? Peut-être d’une puce électronique sous-cutanée, comme celle qui fut récemment patentée sous le numéro assez satanique de 060606 par la Fondation Bill & Melinda Gates ? (satanic-sounding number 060606 )
Leçon 9, elle est pour le journaliste alternatif et pour la liberté d’expression en général, des plus menaçante :
« Donner le pouvoir aux professionnels de la santé à tous les niveaux aussi bien que les médias, pour donner une information transparente, objective et efficace au public et pour lutter contre la fausse information et la désinformation, incluant la lutte contre des plateformes de médias sociaux et d’entreprises technologiques ».
Nous y sommes : le combat contre les soi-disant fake news est de retour. Plus de boulot pour la horde de « fact checkers » auto-proclamés de Facebook.
Le terme Fake News est bien entendu un terme de novlangue orwellienne pour toute information non alignée [sur la pensée unique], quel que soit son contenu, son origine ou le fait qu’elle soit vérifiable.
En fait, le manifeste pour la vaccination globale ne fournit aucune définition de ce que serait une « information objective » ni du reste de ce que serait une « fausse information ou une désinformation ».
Si les vaccins sont aussi sûrs que l’affirment l’UE et l’OMS sans en apporter l’ombre d’une preuve, pourquoi donc le gouvernement américain a-t-il créé déjà dans les années 1980, un corps appelé le « Programme National de Compensation pour les Dommages dus aux Vaccins » (National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) ) ?
On lit ceci du site internet officiel du VICP : « une alternative sans faille au système légal traditionnel pour résoudre les plaintes résultant des dommages vaccinaux ».
Avec pas mal de succès semble-t-il…
Dans la période entre le 1er octobre 1988 (début du paiement de compensations) et le 1er juin 2020 (dernières données disponibles), le VICP a attribué pour un total de quelques 4,4 milliards de dollars en compensations financières.
Ce chiffre exclut toute compensation résultant de poursuites judiciaires abouties, notamment des attaques en justice collectives contre Big Pharma.
Mais, comme l’explique très bien le réalisateur de documentaires Massimo Mazzucco, les autorités américaines ne se sont pas arrêtées là pour protéger Big Pharma des actions en justice. En 2010, une décision importante de la Cour Suprême des États-Unis a cité le U.S. Code Title 42 ainsi :
« La loi élimine la responsabilité des fabricants concernant les effets secondaires adverses inévitables des vaccins ».
La même décision élabore plus loin :
« Aucun fabricant de vaccin ne peut être tenu pour responsable dans une action légale civile pour des dommages étant survenus de dommages liés aux vaccins ou à un décès associé à l’administration d’un vaccin après la date du 1er octobre 1988… Si la blessure ou la mort a résulté d’effets secondaires qui étaient inévitables alors même que le vaccin a été adéquatement préparé et a été accompagné des directions adéquates et des avertissements d’usage ».
1988 fut évidemment l’année où le VIPC commença à attribuer des compensations aux victimes de dommages par vaccins, économisant de graves et violents maux de tête à Big Pharma dans le processus.
Comme la biologiste de système Dr Shiva Ayyadurai le souligne, l’impossibilité d’attaquer en justice les labos pharmaceutiques au sujet des vaccins, combinée avec la perte de bénéfices sur les ventes de médicaments, a fait que les vaccins sont devenus le nouveau modèle d’affaire de Big Pharma. Et maintenant l’UE et l’OMS financée par la Fondation Bill & Melinda Gates emboîtent le pas.
Karl Marx écrivit ceci dans son « Manifeste du Parti Communiste » (1848) :
« L’exécutif de l’état moderne n’est rien d’autre qu’un comité de gestion des affaires communes de toute la bourgeoisie ».
Si Marx était vivant aujourd’hui, il aurait pu conclure que la gouvernance par une organisation internationale n’est rien d’autre qu’un comité de gestion des affaires communes de l’élite mondialiste.
source : https://www.strategic-culture.org
traduit de l’anglais par Résistance 71
(*) merci à Bernardo pour avoir posté le lien de l’article original anglais, l’article valait la peine d’être traduit.
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Les non-vaccinés vont-ils devenir une race de sous-citoyens, peut-être nous obligera-t-on à arborer un signe distinctif pour signaler que nous ne sommes pas vaccinés? Un logo imitant la forme du covid?
Et si en fait le virus avait été répandu exprès, afin de contrôler la population et vendre des vaccins pour enrichir les labos. Tout ça à été prévu depuis longtemps.
Mais désolé, nous avons le droit de refuser leur vaccin satanique comme le précise le code de nuremberg.
https://resistancerepublicaine.com/2020/12/09/sils-essaient-de-nous-vacciner-sortons-le-code-de-nuremberg/