La dernière trouvaille des bobos pour sauver la France : le poulailler, rebaptisé « Cocotarium »

Photo : Paris 18ème, tourmente médiatique autour d’une invention majeure : le poulailler.

Monique, c’est le nom de la poule. C’est beau.

 

Oubliez tout le reste : la priorité du moment en France est l’agriculture urbaine.

 

Le bobo, découvrant cette chose extraordinaire qu’est la poule, devient Monsieur Jourdain qui s’exclamait, apprenant que le son A, se forme en ouvrant fort la bouche :

“Ah que cela est beau !  Ah que n’ai-je étudié plus tôt, pour savoir tout cela !”

 

Les bobos viennent d’inventer le poulailler.

Vous ne le saviez pas ? Les poules pondent des œufs et font “cot-cot”.   Bienvenue dans l’Ile aux enfants.

Ouf, tous les problèmes de la France sont résolus d’un coup de baguette magique.

 

Dans cette grande maison de fous qu’est devenue la France, les résidents peuvent même câliner les poules pour tout oublier :

En ce début d’année 2020, on se demandait bien à quoi pouvaient s’occuper les bobos crétins qui cherchent un sens dans ce monde de fous qu’ils contribuent à perpétuer: France Inter nous donne la réponse.

 

France Inter

Le sommet ChangeNOW s’ouvre ce jeudi au Grand Palais à Paris. L’événement réunira divers acteurs afin de trouver des solutions pour un monde et des villes plus durables. Parmi les intervenants, il y aura l’entreprise Cocotarium, qui veut multiplier les poulaillers dans les espaces urbains.

Chaque salarié est invité à nourrir les poules avec ses épluchures ou restes de nourriture. Les plus chanceux sont parfois récompensés… d’un œuf.

L’installation est au cœur des discussions des salariés. “Il y a eu beaucoup de questions sur l’hygiène au départ, puis les craintes se sont dissipées“.

 

Paris 18ème : Salima, une salariée qui pose à côté de la découverte.

 

Merci Radio France. 

 

Des poulaillers à adapter au milieu urbain

Pourquoi ces questions sur l’hygiène ? Parce qu’en ville, et en particulier à Paris, les rats pullulent : “Il a donc fallu s’adapter au milieu urbain” selon Aurélie Deroo, le fondateur des “Cocotariums”. Les poules vivent ainsi sur des tapis de chanvre, une matière hautement absorbante. Ce dispositif permet de remédier au problème des déjections de volailles qui pourraient attirer les rats.

Il existe aujourd’hui une dizaine de ces poulaillers urbains en France. Après les “Cocotariums” en entreprise, Aurélie Deroo démarche désormais les collectivités territoriales.

Ramener du vivant dans les villes c’est le cheval de bataille de la jeune entrepreneuse : “Dans 30 ans, 80% de la population habitera en ville, il faut que dans ce monde du futur nous continuions à avoir des relations avec le vivant. Ça peut passer par des poulaillers”. 

Des personnalités telles que Nicolas Hulot ou encore Bertrand Piccard (l’inventeur de l’avion solaire) sont attendues au sommet ChangeNOW. Une occasion pour Aurélie Deroo de faire valoir sa vision d’une ville avec un petit bout de campagne. 

Textes et images émouvants piochés sur le site de  l’agglo de Cergy-Pontoise :

https://natureenvilleacergypontoise.wordpress.com/

 

 

Un cercle vertueux merveilleux, le Cocotarium a même le pouvoir de recycler le « personnel en insertion» . Texte officiel :

Le projet a été pensé dans les moindres détails. Les habitants pourront déposer leurs déchets alimentaires dans un collecteur pour nourrir les occupantes. Du personnel en insertion ou bénévole assurera l’entretien du poulailler et la collecte des œufs. Les crottes des poules seront valorisées comme engrais et proposées aux agriculteurs locaux. Les enfants de l’école seront associés au projet et des animations pédagogiques leur seront proposées autour de l’univers de la poule.

Ainsi, ce poulailler géant incarne des valeurs fortes : écologiques, pédagogiques et solidaires. Le Cocott’arium, vecteur de lien social, est aussi un projet urbain qui répond aux besoins des consommateurs désireux d’acheter local et de manger sain.

 

Schiappa et les poules.

Avantage politique : on parle d’autre chose que des problèmes, le pouvoir politique fait son petit  numéro d’autosatisfaction en décernant des premiers prix à des «héroïnes extraordinaires» (Aurélie Deroo, l’inventrice) et les journalistes ont des choses merveilleuses à raconter.

Bref, ce Cocotarium providentiel a toutes les vertus.

 

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La France brûle ? Dormez braves gens, le gouvernement travaille d’arrache-pied. Champagne pour Schiappa.

 

La poule, cet être étrange venu d’ailleurs.

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26 Commentaires

  1. Je me demande si, en caressant des poules, on ne pourrait pas déradicaliser des déséquilibrés.
    Autre grande découverte à communiquer au bobos parisiens : plutôt que d’attendre que l’eau chaude refroidisse, en la mélangeant avec de l’eau froide, on obtient de l’eau tiède ! Si, si !

  2. Et des concontariums c’est pour quand ? ….
    ( quand les poules auront des dents )

  3. ” câliner les poules

    souvenirs ….SOUVENIRS DE MON JEUNE TEMPS

    a cette époque, années soixante la cocoterie , curieusement se disait bordel, boxon,rade, claque, bouzbir ……………

    a mon avis, ce sont surtout ces mal baisées qui ont besoin d’ =etre “calinées…..quelques bonnes secousses les réveilleront et les soigneront

  4. Ce son les rats Parisiens qui vont être contents !

    Quelqu’un de bien informé m’avait dit que les rats étaient attirés par les poules à cause des oeufs (je crois). Je l’ai vérifié dans mon jardin car ma voisine a installé des poulaillers et c’est la première que j’ai eu un rat mort dans mon jardin.

  5. …………..! La connerie n’a plus de limites …. il faudrait inventer une machine pour mesurer cette belle brochette de “Poules” bobo’s !

  6. Momo câline sa poule pondeuse jusqu’au jour ou, plus bonne à rien il lui plante un couteau au fond de la gorge. Ben quoi, à la campagne cela a toujours été comme ça, “la poule au pot tous les dimanches” du vert galant (tiens un bobo communicant du 16e), et en ville, on y arrive. C’est bon signe. Heu, par vraiment me souffle t-on dans l’oreillette.

  7. Momo câline sa poule pondeuse jusqu’au jour ou, plus bonne à rien il lui plante un couteau au fond de la gorge. Ben quoi, à la campagne cela a toujours été comme ça, “la poule au pot tous les dimanches”, et en ville, on y arrive. C’est bon signe. Heu, par vraiment me souffle t-on dans l’oreillette.

  8. ce monde devient de plus en plus débile , et l’autre ahurie d’Aurélie Deroo rien qu’à voir sa tête ,on a l’impression qu’elle vient de découvrir l’eau chaude , n’ont vraiment rien d’autre à branler ces cons et connes de bobos bisounours ? Et combien cela va t’il encore nous coûter ces conneries ,alors que des milliers de français retraités ont du mal à joindre les deux bouts et meurent seuls dans l’indifférence ?

  9. Et ce sont ces mêmes connards de bobos qui vont venir faire chier le fermier voisin de leur maison de campagne parce que son coq chante le matin, ou parce que ses vaches ont une cloche..

  10. ” Elle est où la poulette ? ”

    ” Pour savoir s’il va y avoir du vent, il faut mettre son doigt dans le cul du coq ”
    ” Le caca des poules c’est caca, faut pas manger.”

    Ce sont des phrases de Kadoc, dans Kaamelott.

    Je suis sûr que les bobo-gaucho-dingos prononceront les mêmes ……

  11. La jaridinière de comestibles est aussi saine que l’islam de France. Un gros mensonge dangereux pour les enfants. La vérité c’est “n’y touche jamais”.

  12. Mais ces gens n’ont rien à faire de productif???????????????
    Quand le financement d’état coule à flots , pour quoi travailler? Je croix qu’ils ont raison.

  13. Je proposerai :
    Un crétinarieum pour parquer tous ces imbéciles ?
    Un déséquilibritarium pour enfermer qui vous voulez ?
    Un politicarium pour parquer qui vous voulez, avec comme coq micron ?
    Prévoir quand même de grands espaces clos !

  14. Des cocottes dans le 18e ? Elles vont finir en poulet yassa !

    Avant, les bobos retapaient une bicoque dans le Larzac en élevant chèvres, moutons, volailles, maintenant, ils veulent faire venir le Larzac à Paris. Ou la campagne à la ville.

    Mais qui va s’occuper de ces poulaillers ? Parce que les poules, c’est sympa, mais ça chie et ça pue si c’est confiné et pas nettoyé. Et moineaux et rongeurs adorent récupérer les graines.

    Pour moi nostalgique de mon enfance (ben oui, on avait des “poules de collection” !), la volaille, c’est en plein air à chercher des vers, pas à la ville.

    Dernièrement, la ville nous a imposé ses bacs à compost. Cela n’a pas tardé : les gens déposent n’importe quoi dont des sacs-poubelles… Et la question se pose toujours : qui va vider les bacs ?

    La nouvelle écologie et le “vivre-ensemble” sont, en fait, un prétexte à nous faire revivre le paradis des soviets avec ses utopies, sa vie communautaire, ses salles-de-bains-cuisines partagées etc.

    En attendant, avec la Cgt en grève et les incinérateurs de Paris à l’arrêt, c’est 40 000 tonnes de déchets à enfouir ! “Une catastrophe écologique” !

    https://www.lepoint.fr/societe/40-000-tonnes-de-dechets-enfouies-a-cause-de-la-greve-en-ile-de-france-31-01-2020-2360689_23.php

    Ils en disent quoi les pastèques EELV ?

    • “Des cocottes dans le 18e ? Elles vont finir en poulet yassa !”

      Oui @François, ce serait possible.

      Près de chez moi, la Municipalité très férue du “vivre ensemble” et en bonne gauchisante imagine que c’est l’environnement qui crée l’homme, avait installé des moutons dans des enclos en pleine ville, dans un certain quartier…. et ils ont disparu, ils ont été volés parait-il.

      Bizarre, on en n’entend plus parler… Ils sont où ?

      • Des moutons, disparus, à quelle moment précis de l’année ? Parce que j’ai bien une idée en tête…Pour tout le reste, le post de @JJB, plus bas se suffit à lui-meme…

        • Des moutons disparus ? avant l Aid El Kebir ? Je crois savoir.
          C est un coup des Bouddhistes intégristes d hyper super droite .
          J ai bon la ?
          Pour les idées a la K. sont fort les gauchistes.
          Les poules vont finir en couscous, tajin etc.

        • Je ne m’en souviens plus mais les gens aussi en avaient une petite idée, la plupart n’ayant que faire avec des moutons, en ville ce n’est pas pratique à adopter…

  15. Y-a-t’il des commentaires à faire ?…
    Tout se passe de commentaires.

    “soupirs” (désabusés).

  16. je me marre , ou plutôt ,je devrais pleurer
    et les bobos qui vont résider à la campagne , se plaignent des coqs , des grenouilles , etc
    ça durera ce que ça durera …
    mais pour éliminer les détritus en tous genres , je conseille le goret
    et c ‘est bien mignon le goret dans son pelage rose

  17. Les muzzs sont pétés de rire, pliés en quatre de nous voir si con.

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