Usman Khan à l’œuvre : du démarchage juridique façon indigent de feu rouge
Usman Khan, c’est le coutelier musulman radical en semi-liberté qui le 29 novembre a privé de totale liberté de vivre deux malheureux activistes de la resocialisation, le diplômé Jack Merritt et l’étudiante en criminologie Saskia Jones. En addendum, petit clin d’œil à BoJo.
Jack Merritt et Saskia Jones : leur élève fut leur bourreau
En 2010 déjà, Usman Khan – 19 ans à l’époque – avait pris 16 ans de bastille pour préparation d’attentats sur le Parlement, la Bourse de Londres, l’Église anglicane et… la résidence du maire de Londres Boris Johnson ! Sauf erreur arithmétique de ma part, le gars ne devait pas sortir du mitard avant 2026 et Jack & Saskia seraient toujours parmi nous.
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Comme tant d’autres terroristes (une cinquantaine serait actuellement en liberté selon Scotland Yard), Usman avait ensuite passé « avec succès » les « tests de resocialisation » et suivi le programme Learning Together. En réalité, ces terroristes connaissent toutes les combines oratoires pour piéger l’audit de déradicalisation.
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Depuis plus d’une décennie, le véritable mentor de la charia anglaise est le chariatan Anjem Choudary, connu pour son Islam4UK avorté. L’assassin du 29 novembre n’est qu’un affidé de seconde zone.
La tête Anjem Choudary et les jambes Usman Khan, 2009
Résultat connu dix ans plus tard
Anjem Choudary, un pedigree à l’image d’un Occident couard et irresponsable
Né en 1967 à Welling, 25 km à l’est de Londres, Anjem Choudary est d’origine pakistanaise. Il boucle ses études de droit mais le poste tant convoité à la City lui est refusé. Il reconnaît lui-même avoir consommé alcool et marihuana durant cette époque.
Ensuite, c’est le toboggan vers la radicalisation : seuls les principes du Coran pourront sauver l’Occident. Il se spécialise donc dans le droit islamique et émet des jugements en matière de divorce à Leytonstone, nord-est de Londres, sentences respectés par la communauté musulmane locale. Il dit : « La femme est un champ, l’homme est un laboureur qui récoltera ce qu’il a semé »
Interrogé en 2013 sur les raisons de sa présence en Grande-Bretagne et non au Pakistan, il répond : « C’est du racisme ! Je suis né ici et dispose des mêmes prérogatives que les citoyens anglais visant à améliorer la situation du pays », sortez vos Kleenex. Mais il ajoute après cette belle envolée citoyenne qu’il ne considère pas l’Angleterre comme sa réelle patrie mais uniquement comme « une institution lui délivrant son passeport »
Questionné sur le livre coranique et surtout sur les 25.000 livres annuels d’aide sociale octroyés à sa famille (5 enfants tout de même), il répond que c’est Allah qui distribue les richesses et non l’État anglais. Ses enfants sont inscrits dans une école coranique anglaise, ainsi la boucle du suicide de l’Occident est bouclée.
Juillet 2016 : le MI5 intercepte une conversation téléphonique entre un extrémiste indonésien et Choudary. Ce dernier confirme prêter serment à l’État islamique et ses leaders. Anjem Choudary est condamné à 5 ans et demi de privation de liberté, logiquement jusqu’à fin 2021. Le Chou Dary sort de cabane sous caution (du contribuable anglais ?) début novembre 2018…
Décidément, les juges anglais ont de sérieux problèmes en arithmétique carcérale, le temps s’accélérant mystérieusement au profit de la charogne islamique.
Anjem Choudary à sa sortie de prison, novembre 2018
À Varsovie, un tel duo ne fait pas 100 mètres en rue…
McDo halal après la sortie du mitard… on ne se refuse rien !
Niqab en Belgique ? 50 euros d’amende, bye-bye hamburger !
Tous mes compliments à la société britannique qui, par esprit cosmopolite irréfléchi et remords postcolonial, permet à de telles métastases de végéter tranquillement.
Boris Johnson
BoJo avait déjà martelé à de nombreuses reprises son indignation vis-à-vis du phénoménal laxisme des tribunaux anglais. S’il parvient à inverser la vapeur, il entrera dans l’Histoire du Royaume-Uni (avec ou sans l’Écosse) par la grande porte car une société muselant Tommy Robinson et débridant Anjem Choudary est tout sauf estimable.
Richard Mil
Boris Johnson, une enfance uccloise • Uccle, commune du sud de Bruxelles
Avril 1973, sud de Bruxelles. Boris à l’extrême gauche (de la photo…)
Le père Stanley Johnson, 17 juin 2016 : « Bruxelles était un endroit idéal pour élever une famille. Nous avons acheté une maison dans la banlieue verdoyante d’Uccle et je me rendais la plupart du temps au travail à vélo. Ma première femme Charlotte peignait dans son atelier et nos quatre jeunes enfants – Boris, Rachel, Leo et Jo – fréquentaient l’Ecole Européenne. Nous étions de « bons Européens » et nous en sommes fiers. Nous avions aussi une masse d’amis belges »
Uccle est aujourd’hui la commune la plus prisée des expat’ français de Belgique.
Brasserie à Uccle. Le charme discret de la bourgeoisie
Bilinguisme F-NL oblige…
Autre chose que la banlieuserie bidingue F-AR !
…
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Bojo est petit-fils d’un turc musulman Osman Ali Kemal Bey, qui deviendra Osman Ali Kemal Wilfred Johnson , un dignitaire ottoman anti-Attatürk(!), ce formidable bonhomme qui va réussir le Brexit et espérons-le , entrer dans l’histoire a de quoi énerver les musulmans anglais qui ne l’ignorent pas.
J’espère qu’il desserera l’étau judiciaire scandaleux et injuste sur Tomly Robinson.
Et, surtout qu’il fera cesser, les concessions à l’islam.
(La culture gréco-latine de Boris Johnson est prodigieuse et, visiblement son opinion de l’islam, croisons les doigts, ne doit pas être, trop différente de celle de son grand devancier Winston Churchill).
Bonjour,
Merci pour cet article.