6 Commentaires

  1. Réforme des retraites : LES FEMMES PENALISEES : une tribune de Valérie Boyer : https://www.causeur.fr/valerie-boyer-reforme-retraite-handicap-femmes-169929
    Valérie Boyer dénonce la pénalisation des femmes qui travaillent ; Selon elle, les mères et les veuves seront les grandes sacrifiées de la reforme des retraites .
    Se heurtant au silence radio du gouvernement, elle lance une pétition .
    Je signale que lors de la réforme Balladur , instaurant le calcul de la retraite du service privé, aux 25 meilleures années ( pour les derniers 6 mois dans le service public ) , ce sont les femmes qui ont été pénalisées !
    Pour Valérie Boyer, les femmes sont la variable d’ajustement, le bénéfice réalisé, pourrait payer la réforme !!!

  2. En effet, chaque matin je me dis « mais quel bordel »… Avant ça m’énervait, je commençais ma journée fâchée par les « nouvelles » … Maintenant j’en reste bouche bée, sans paroles, on ne sait plus quoi penser, ni quoi dire sinon que c’est un très immense bordel… qui ne fait qu’augmenter . Alors je me demande « jusqu’où et jusqu’à quand ça peut continuer à empirer ? » Et le comble c’est que ça continue quand même !

  3. Bravo Pierre ! Quel régal de pouvoir, encore, rire de ce monde de fous !
    Compliments pour l’exercice permanent de style 2è degré, si décrié bien qu’imposé par les nouveaux coupeurs de langue.
    Au train où vont les événements et leurs promoteurs, tu ne risques pas d’être à court d’inspiration.
    Autre style mais non moins percutant, voir le blog de Maxime Tandonnet.

  4. ha la la! ces Français sont incroyables! tout va à vau-l’eau, c’est devenu un pays qui donne l’impression qu’il ne peut plus réagir à la vertigineuse descente qui s’est amorcée il y a bien des années, et qui est bien incapable de redresser la barre. Pourtant, ils vont encore dans la rue, font grève pour ne pas perdre quelques miettes, comme si cette belle France que j’avais tant aimée étant gamin allait continuer comme ça, alors qu’un certain ministre de l’intérieur parti à la retraite avait fait de drôles de prévisions sur un certain face à face qui s’annonçait.

  5. D’accord pour tout !!!! juste une petite remarque : lorsque j’étais étudiant infirmier (idem pour mon épouse ) il y a trente ans j’ai été exploité par le systéme hospitalier pendant 3 ans puisque nous étions au travail dans les services et comptabilisés sur les effectifs mais bien sur sans le moindre sous de compensation;il en est de méme encore aujourd’hui pour tout les collégues aides soignants,infirmiers,internes des urgences ect…TOUS comptés dans les effectifs et au travail réel alors que encore étudiants…sans eux le systéme hospitalier serait dejà mort depuis longtemps !!! Mais quel pays de MERDE !!!

    • @DOM/FLO
      Si vous avez été exploité c’est que vous l’avez accepté durant 3 ans, rien ne vous empêchait de ne pas vous laisser croquer. Quand j’étais étudiant en médecine, je n’avais pas besoin de stages élèves infirmiers pour apprendre à réaliser les soins infirmiers. Dès la troisième année de médecine, j’avais compris que je devais apprendre par moi-même car les infirmières de l’époque ne savaient-pas faire grand-chose. Par contre je reconnais qu’interne en chirurgie, après avoir préparé des concours très lourds durant des années, j’étais moins rémunéré que le balayeur de l’hôpital pour 70 à 80 heures de travail par semaine, le matin le bloc opératoire, l’après-midi la consultation et la nuit les urgences. Là encore, j’ai dû apprendre mon métier tout seul car dans ces facultés de merdeux corrompus, c’était la Loi du chacun pour soi et Dieu pour tous, et aucun « professeur » de médicaillerie ne m’aurait donné des indications de livres à étudier, ni orienté vers la préparation de l’Internat:: ils n’allaient-pas m’apprendre à prendre leur place, d’autant qu’en ayant passé les concours tels Paris ou Marseille, je dépassais largement cette merde. J’avais accepté de me laisser exploiter le temps d’apprendre mon métier et c’est quand les médicaillons ont vu que je me débrouillais sans eux et qu’ils n’étaient que de la merde de parasites sociaux, qu’ils sont devenus haineux et méchants. A l’époque, les infirmières, aide-soignantes, manipulateurs de radio, laborantines, etc.. jalousaient les étudiants en médecine qui « se construisaient une situation réelle ». Sachez qu’à l’époque, les internes devaient soigner gratuitement les gens durant une année de service militaire obligatoire et il fallait voir comment là-encore ils étaient jalousés par les militaires d’active parce qu’ils avaient d’emblée un statut d’officier.Il y avait à l’époque une mentalité d’exploitation des pigeons, et pour ne pas se faire croquer, il valait mieux préparer les examens américains ou israéliens que les concours d’internat français. Dans tous les cas, les politicaillons merdeux n’ont pas compris que toute action a des conséquences et qu’écraser et exploiter de jeunes étudiants, souvent issus des classes populaires finit toujours par être négatif ultérieurement.

Les commentaires sont fermés.