Ce sont les musulmans qui ont inventé l’étoile jaune pour signaler les Juifs

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Information sur l’origine réelle de l’étoile jaune, à diffuser et faire connaître autour de vous

Car ce sont les musulmans qui sont en effet les inventeurs d’une marque jaune pour signaler les juifs.

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Dispositifs de marquage des Juifs au cours de l’histoire

L’étoile jaune renoue avec la tradition des marques d’infâmie imposées aux Juifs au cours des siècles.

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La première semble avoir été conçue par le calife omeyyade ʿUmar II pour honorer les sujets non-musulmans qui s’acquittent des taxes qui leur sont imposées en vertu de la dhimma mais elles sont bientôt imposées à l’ensemble des dhimmis avec d’autres signes de disgrâce.

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Au IXe siècle, le calife abbasside Jafar al-Mutawakkil (847—861) oblige les non-musulmans à peindre sur leurs demeures des singes (pour les juifs) et des porcs (pour les chrétiens).

 

Vers la même époque au Maghreb, le cadi Ahmed ben Tâlib oblige les dhimmis de Kairouan à porter sur l’épaule un morceau d’étoffe de couleur blanche portant l’image d’un singe pour les juifs et celle d’un porc pour les chrétiens4 ; ils sont tenus d’accrocher les mêmes images sur leurs portes.

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Selon un document du XIIe siècle conservé dans une gueniza, obligation était faite aux Juifs de Bagdad de porter« deux insignes, l’un sur le turban et l’autre sur le col. De plus, chaque Juif doit accrocher autour du cou une pièce de plomb comportant le mot Dhimmi. Il doit aussi porter une ceinture autour de sa taille. Les femmes doivent porter une chaussure rouge et une chaussure noire, ainsi qu’une clochette à leurs cols ou chaussures ».

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Apparemment importée en Europe occidentale par les Croisés, la marque d’infâmie est imposée aux Juifs et Sarrasins par le concile du Latran de 1215, officiellement afin de limiter les rapports sexuels « accidentels » entre chrétiens et femmes juives ou sarrasines.

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_jaune

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19 Comments

  1. L’historien Max Gallo critiquait le choix de la main jaune comme logo : « Il y a eu Vichy et l’étoile jaune ? On créa de toutes pièces, d’en haut, parmi les idéologues qui savaient ce qu’ils faisaient, la petite main jaune de SOS Racisme,pour faire comprendre que les citoyens de souche récente étaient en somme les Juifs d’aujourd’hui. De l’étoile jaune à la petite main jaune de SOS Racisme, on créait la première de ces confusions historiques qui allaient empoisonner les débats français.
    Source: wikipédia

      • Complètement logique, puisqu’on est face à une logique « macronienne », « en même temps » victimisation outrancière et provocation délibérée parfaitement calculée.

        C’est le principe du « double bind », double lien paradoxal (deux contraintes ou affirmations contradictoires) La provocation ne peut ainsi être dénoncées puisqu’il s’agit de pauvres « victimes » (appel aux sentiments,pitié, compassion, empathie, bienveillance, secours, etc.) qu’il ne faut pas « blesser » encore plus.

        Une vulgaire manipulation bien grossière pour qui en a étudié les stratagèmes. Mais malheureusement, ça marche auprès du plus grand nombre, surtout les niais, gauchistes, droitdelhommistes, etc.

        Parallèlement, les activistes envoient un double message, l’un à usage externe pour les « caves », les idiots utiles à l’extérieur de l’organisation, l’autre interne pour les initiés, les membres qui le reçoivent 5 sur 5.

  2. Merci pour cet article très intéressant.

    Hier je me demandais le pourquoi du jaune pour caractériser les Juifs (moi qui adore le jaune justement qui est lumineux), voilà, j’ai la réponse.

    • Si le coeur vous en dit, vous pouvez lire « Jaune, histoire d’une couleur » de Michel Pastoureau, qui vient de sortir.

      Présentation de l’éditeur (Seuil) :

      « Aujourd’hui, en Europe, le jaune est une couleur discrète, peu présente dans la vie quotidienne et guère sollicitée dans le monde des symboles. Il n’en a pas toujours été ainsi. Les peuples de l’Antiquité voyaient en lui une couleur presque sacrée, celle de la lumière, de la chaleur, de la richesse et de la prospérité. Les Grecs et les Romains lui accordaient une place importante dans les rituels religieux, tandis que les Celtes et les Germains l’associaient à l’or et à l’immortalité. Le déclin du jaune date du Moyen Âge qui en a fait une couleur ambivalente. D’un côté le mauvais jaune, celui de la bile amère et du soufre démoniaque (signe de mensonge, d’avarice, de félonie, parfois de maladie ou de folie). C’est la couleur des hypocrites, des chevaliers félons, de Judas et de la Synagogue. L’étoile jaune de sinistre mémoire trouve ici ses lointaines racines. Mais de l’autre côté il y a le bon jaune, celui de l’or, du miel et des blés mûrs (signe de pouvoir, de joie, d’abondance). À partir du XVIe siècle, la place du jaune dans la culture matérielle ne cesse de reculer. La Réforme protestante puis la Contre-Réforme catholique et enfin les « valeurs bourgeoises » du XIXe siècle le tiennent en peu d’estime. Même si la science le range au nombre des couleurs primaires, il ne se revalorise guère et sa symbolique reste équivoque. De nos jours encore, le jaune verdâtre est ressenti comme désagréable ou dangereux ; il porte en lui quelque chose de maladif ou de toxique. Inversement, le jaune qui se rapproche de l’orangé est joyeux, sain, tonique, bienfaisant, à l’image des fruits de cette couleur et des vitamines qu’ils sont censés contenir.

      Abondamment illustré, Jaune est le cinquième ouvrage d’une série commencée en 2000 et consacrée à l’histoire des couleurs en Europe, de l’Antiquité à nos jours. Il fait suite à Bleu. Histoire d’une couleur (2000), Noir. Histoire d’une couleur (2008), Vert. Histoire d’une couleur (2013) et Rouge. Histoire d’une couleur (2016). « 

    • Merci, c’était donc bien nécessaire.

      Je l’ai en effet fait pour porter cette information à la connaissance générale (sur différents sites), en réaction aux débats qui ont suivi la manif islamiste, car j’ai constaté avec consternation que pour la plupart des intervenants (en réalité tous), l’étoile jaune renvoyait uniquement aux Nazis et à Vichy, comme si ceux-ci l’avaient inventée de toute pièce, ex nihilo.

      Aucun n’ayant fait le rappel que cela renouait tristement avec la tradition islamique des origines (Omar, 2ème calife), j’en ai conclu qu’ils l’ignoraient. C’est bien dommage, car c’est un argument massue qui aurait plus qu’embarrassé le camp ennemi interloqué, les Benbassa et autres gauchistes ignorants prisonniers de lieux communs et de clichés, sans parler des musulmans mis en face de leurs turpitudes et de leur antisémitisme congénital et atavique

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      Il suffit maintenant à ceux qui l’ont appris ici de le répéter autour d’eux encore et encore. C’est très facile, dès que le sujet est abordé, il suffit de glisser incidemment et sans insister, en se donnant juste l’air de jouer les cuistres qui veut faire son intéressant et son érudit (pour éviter les accusations d’islamophobie), en prenant un ton docte « savez-vous que c’est une invention musulmane? ».

      Dans quelques semaines, ça ressortira dans les médias, car une idée, une info, un concept en phase avec l’air du temps se diffuse très très vite, je l’ai expérimenté à de nombreuses reprises.

  3. L’article est intéressant… mais il manque les sources précises. Vos affirmations semblent ne reposer sur rien de tangible. C’est dommage car cela les rend peu utilisables.

    • « La Rose et le Réséda » : pour une lecture de contrebande.
      AUTEUR : Marianne Delranc-Gaudric

      […]

      – page 2/3 ; §.2
      :::: http://www.louisaragon-elsatriolet.org/IMG/pdf/La_rose_et_le_reseda_Marianne_Delranc-Gaudric.pdf

      Or, si la rose est la fleur symbolique de la Beauté et de l’Amour en France depuis le Moyen-Âge–du Roman de la Rose, des poèmes de Ronsard, de d’Aubigné, jusqu’à Marceline Desborde-Valmore(« Les Roses de Saadi ») tant appréciée d’Aragon, le réséda, lui, est une fleur liée au racisme et à l’ostracisme ; son autre nom est la gaude, plante tinctoriale, dont on extrayait, depuis le Moyen-Âge, la couleur jaune. Michel Garcia, dans son livre De la Garance au Pastel4,évoque l’utilisation stigmatisante de cette couleur, relevée par Victor Hugo en 1829 lors de sa visite au bagne de Toulon (elle servait à repérer de loin les bagnards):« À peine trente-huit ans plus tôt5,écrit-il, était abolie une des mesures d’ostracisme les plus ahurissantes de l’histoire de la Provence. Gabriel,en 1715, écrit que la gaude est appelée Herbo dei Jusions, car “elle donne la couleur jaune que les juifs étaient obligés de porter autrefois dans ce pays, comme ils le sont encore dans le comtat Venaissin d’en teindre leurs chapeaux”6.L’histoire est ancienne. Voici quelques précisions tirées du livre de René Molinas7.En 1215, le quatrièmeconcile de Latran rend obligatoire pour les Juifs le port d’une marque distinctive : elledoit avoir la forme d’une roue et doit être bien visible à l’emplacement du cœur, précisent les statuts d’Avignon, en 1248. La rouelle infâmante sefera, dans les siècles suivants, de plus en plus discrète, jusqu’à ce que Clément VI, en 1524, y ajoute l’obligation de porter un chapeau jaune safran. C’est dramatique pour les pauvresJuifs qui sont, quelques années plus tard, en pleine guerre de religion, le signe voyant de l’ennemi de la foi et la cible de tous.Le port du chapeau jaune prendra fin à la Révolution avec la Déclaration des droits de l’Homme…jusqu’au triste retour de l’étoile jaune durant le régime de Vichy »8.

      « Réséda des teinturiers ou herbe-aux-juifs » mentionne encore le Petit Robert en 1967 à l’article « Réséda »9.

      Il est fort probable qu’Aragon, fin connaisseur de la langue françaiseetde l’histoire provençale, confronté en 1942 aux ravages de l’antisémitisme dont sa compagne risquait aussi d’être victime, ait inscrit en contrebande dans le titre et le dernier vers du poème un sens antiraciste et fraternel qui complète le refrain (« Celui qui croyait au ciel/Celui qui n’y croyait pas ») et se retrouve dans la dédicace du poème : Juif ou non, croyant ou non, le peuple français, porté par un même amour, résiste au nazisme.
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      D’autres documents vont suivre

        • Bonjour @Antiislam ;

          Merci ! j’en ai d’autres et en plus concernant la première application de la Dhimmitude au tout début du VIIIème siècle, en Languedoc ou Septimanie, lors de la courte domination musulmane.

    • Faites une recherche sur le net, vous trouverez les réponses à votre question, je l’ai fait et ai trouvé quand et par qui il a été obligatoire aux juifs et chrétiens d’afficher sa religion !
      Un indice : Espagne premier millénaire.

      • Certes. Mais un article sérieux devrait indiquer les références de ses affirmations. Et pas se limiter à être un copié collé de quelques lignes d’une page wikipedia

    • De mémoire et je suis sûr de ne pas me tromper, il s’agit d’une ordonnance édictée dans le pacte d’Omar.

    • Mon « article » est un commentaire à un autre qui a été ensuite promu par la rédaction.

      Si j’avais su j’aurais développé plus ; ce n’était dans mon intention qu’à titre d’information des lecteurs de ce fait, charge pour eux de faire plus de recherches.

      Mais en ce concerne les sources, c’est un simple copié-collé de l’article de wikipédia sur le sujet, article mis en lien à la fin, et que vous n’avez visiblement pas pris la peine de consulter. Myopie ou flemme? Ça vous aurait pris moins de temps d’aller le lire que d’écrire votre commentaire, et vous y auriez trouvé des sources.

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      L’origine musulmane de marques vestimentaires distinctives, et partant d’infamieimposées à un groupe « inférieur » selon l’islam (cf voile des femmes) – l’objectif premier étant manifestement d’établir un apartheid – est parfaitement documenté et établi, il suffit d’ouvrir des livres d’histoire. Il en est de même de l’association du jaune avec cette infamie, en particulier des juifs (parfois aussi imposé indistinctement aux chrétiens, d’autres fois ceux-ci devaient porter une autre couleur, comme le bleu)

      L’usage de la marque jaune est selon ces sources PROUVÉ pour l’époque Abbasside, en particulier pour le « merveilleux » (selon les 1001 Nuits – un tyran merveilleusement cruel et sanguinaire en réalité) Haroun-al-Rachid.

      J’ai trouvé un article assez fourni sur l’antisémitisme en « terre d’islam » (comme disent ses adulateurs – moi je hais cette expression), il y a une longue liste d’ouvrages de référence à la fin, qui viennent combler depuis récemment un manque antérieur d’études et de documentation de la vie des juifs sous l’islam, manque qui explique la focalisation sur l’antisémitisme européen et l’idéalisation (totalement usurpée) de leur situation dans le monde musulman – en réalité bien pire, le dernier pogrom en France a eu lieu en … 1347. L’ignorance de cette histoire était la cause de ce déséquilibre, mais l’ignorance ne signifie pas l’inexistence des faits.

      https://lovskymystereisrael.pressbooks.com/chapter/lislam-et-les-juifs/

        • Bien entendu, mais en-dehors de cette sinistre période 40-44, et même dans les pires vagues d’antisémitisme comme l’affaire Dreyfus, AUCUN juif n’a été massacré en France parce que juif depuis que le roi de France Philippe le Bel et ses successeurs, puis la Révolution et Napoléon les ont mis sous leur protection.

          Il a fallu attendre 1979 et la rue Copernic. Depuis, TOUS les juifs tués en France par antisémitisme, sans exception, l’ont été par des musulmans, c’est un fait.

          L’exception de la guerre a été le produit de circonstances justement exceptionnelles, et sous la pression extrême de l’occupant nazi (je parle de la déportation, pas des lois anti-juives).

          Et il est primordial de noter que si la déportation a été limitée, le gouvernement de Vichy refusant finalement de céder aux demandes allemandes après y avoir dans un premier temps coupablement consenti, c’est sous la pression de la population et et des représentants religieux (protestants et catholiques), c’est-à-dire de l’opinion publique. C’est finalement le peuple de France dans son écrasante majorité qui a défendu et protégé les juifs, malgré les risques, empêchant au maximum de leurs possibilités la déportation vers les camps. Il faut le dire et le répéter!

          Même pendant la honteuse rafle du Vel d’Hiv, des Français, à commencer par les policiers (la moitié au moins) ont sauvé l’honneur en prévenant les juifs la veille, et en les cachant (ou tentant au moins de le faire). Arrêtons de mettre en exergue et de ne regarder que les collabos et les délateurs.

          Les salauds étaient fort peu nombreux, même si leur pouvoir de nuisance était (trop) grand, car malheureusement placés aux postes clés. Il est donc malhonnête de faire porter la culpabilité massivement sur l’ensemble du peuple français comme le font certains par malveillance ou opportunisme (il y a des carrières qui se font dans la « lutte contre le racisme et l’antisémitisme »… et faut bien justifier le job!).

          Et pour compléter, je fais un autre rappel : parmi les salauds antisémites qui ont œuvré à la déportation, la plupart étaient issus de la gauche.

          Je viens encore d’en découvrir un magnifique, mentionné dans un doc sur le procès Papon (lui-même de centre-gauche – il milite dans sa jeunesse aux côtés de Mendès-France) : le maire violemment antisémite de Bordeaux, socialiste pur sucre, Adrien Marquet.

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