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SE CACHER AFIN D’ETRE VUES
Si je trouvais les règles vestimentaires de l’islam tout à fait appropriées, à l’instar de Xavier Dupond de Ligonès (^) je dirais que bonne nécessité fait loi, et que mauvaise foi sait servir bon prétexte.
La subtilité de l’islam ne se limite pas aux mille et une façons de mentir afin de cacher ses intentions quand cela est indispensable, de tendre des pièges aux kouffars, de faire avancer leur parti religieux, bref, de procéder directement ou indirectement à la conquête de l’Occident.
En ce qui concerne l’habillement des dames et par voie directe de conséquence celui des supposées telles, Il y a trois heureuses manières de se voiler c’est-à-dire se cacher avec ostentation. « Ah quel bel oxymore!» comme se serait exclamé Jack Lang.
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HIJAB
Etymologiquement, j’adore aussi l’étymologie arabe, ce substantif comporte la même racine que ‘dissimuler’, ‘soustraire à la vue’ c’est-à-dire oblitérer voire bâcher, planquer donc mentir, encore et toujours.
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Las, les obligations religieuses sont ce qu’elles sont !
Le hijab couvre les cheveux et le cou mais le visage non point. Cette tenue est particulièrement conseillée à celles qui souffrant d’acné doivent laisser leur peau à l’air et éviter le contact d’un tissu trop rapidement chargé de cutibacterium ; ce qui aurait pour effet de régénérer perpétuellement l’infection.
Si vous avez la peau du visage aussi grasse que le reste de votre anatomie, si le sébum que vous excrétez chargé de triglycérides accumulés enflamme la base des follicules si gracieux qui pigment aussi votre visage, le hijab s’impose.
Malheureusement l’acné peut continuer de couvrir vos bras, vos épaules, le dos, les fesses, les oreilles, les seins, et maints replis cutanés qui causent bien des démangeaisons. Si cela devient insupportable vous devriez demander à votre époux de vous épiler.
Heureusement le hijab couvre toute cette misère et les musulmanes savent rester stoïques même quand cela les rend intérieurement acrimonieuses.
La raison de ce mal-être ne tiendrait-elle pas aussi au fait que le blanc européen devinant vos désagréments intimes passe son chemin, l’air absent ou absorbé ; son désintérêt relève pour vous du fiasco permanent.
Vous voilà invisibles des koufars et il n’y a plus que les muslims pour vous gratifier de leurs élégances coutumières. Ce qui paraît –il contribue à l’apogée de votre bonheur mais je vous le concède au prix des grands remèdes que sont le vinaigre de cidre et l’arnica.
Socialement, n’importe quelle femme au visage avenant se transforme instantanément en laideron boudiné sous le joug du hijab, solution rêvée par des maris jaloux. Las, les autres muslims connaissant cette supercherie elle se trouve anéantie, et la laideur trop artificiellement affichée ressuscite l’intérêt contraire.
Privé du portrait, le fin connaisseur de l’islam se plaira à détailler le restant : silhouette, port altier du buste, ampleur callipyge surtout quand elle est ré- haussée par une paire de talons crépitant sous la bâche. Tout compte, le son comme l’image et plus selon les compatibilités.
En résumé, l’effet hijab est suffisamment moche, sauf qu’il est devenu gravement contre-productif pour le plus grand bonheur des musulmanes.
Mais, très chères soyez prudentes, un mari, jaloux maladif, indique aussi et très clairement un homme foncièrement infidèle; et votre hijab bien ajusté va cracher à la figure de vos voisines qu’elles peuvent compter sur un chaud lapin de proximité dès que vous aurez le dos tourné.
D’un autre côté, ça peut vous reposer évidemment.
BURQA
Couvre toute la tête, le visage et dissimule les yeux derrière une trémie grillagée.
Le vêtement masque l’intégralité du corps ; cependant et selon l’origine des intéressées la burqa peut laisser apparaître tout ou partie du visage et les yeux des dames ou présumées telles.
L’été, les mains des plus chanceuses peuvent être chaussées de gants assortis, puisque paraîtrait-il c’est le mauvais temps qui interdit aux femmes de sortir le reste de l’année.
Mais exceptionnellement pour un week-end ou une fête de famille, elles pourraient arborer de magnifiques moufles de cuisine multicolores, parfaitement isolantes que le mari aurait eu à cœur d’offrir autant qu’il espérât la réalisation d’économies d’allocations substantielles au moyen de cadeaux utiles et valorisants pour toutes ses ménagères.
Chez ces gens-là, comme disait Brel, monsieur gère les aides sociales en père de familles.
Socialement la burqa est aussi très bénéfique. Toutes les femmes étant intégralement recouvertes, plus personne ne peut discriminer les bimbos des mochetées quelque peu bancales. Le principe égalitaire serait parfaitement respecté si on ne pouvait plus du tout séparer les grandes perches empruntées des demi-naines assorties d’une tare.
Quoique ces dernières avec les petites filles pourraient faire l’effort de recourir à des échasses ou se jucher sur un tabouret de bar. Qu’un tiers dans le besoin l’exigeât fraternellement, rien n’interdit de supposer que ces solutions puissent avoir cours.
Nombreux les occidentaux qui connaissant ces assortiments vestimentaires doivent admettre que l’islam est génial pour cacher la misère du genre humain et en épargner la vue aux bienportants et autres esthètes.
NIQAB
Couvre l’ensemble du corps ; les mains sont apparentes mais doivent être recouvertes de gants un peu comme ceux des coureurs. Par souci de sécurité la tenue interdit cependant la pratique du cyclisme, mais aussi par défaut d’assurance attachée à une licence hypothétique.
Il est constant que des imans des plus rigoristes interdisent toute licence en tout temps et tout lieu, mis à part celles licites à leurs seuls yeux, en matière de pédologie, de violences, de tromperies en tous genres, de réunions amicales du type bacha bazi mais, pas le jeu de dominos qui s’est trouvé exclu, probablement en raison de sa rhétorique étrangère …
Mais enfin, ce n’est pas comme si l’islam appelait aussi au meurtre!
- Eh… si !
- Non ? Vrai-ment!
Avec le niqab, les yeux et le front sont apparents ce qui laisse le libre exercice des regards enamourés, envieux,aguicheurs, complices ou furibards. Le regard étant une fenêtre ouverte sur l’âme, le risque de perdition oculaire de sa pureté serait incommensurable si la perfection religieuse ne mettait pas les dames ainsi équipées à l’abri de tout dérèglement.
Bien sûr il est possible de partir de chez soi en hijab et arriver à l’hôtel en niqab, pour un rendez-vous empreint de la plus grande courtoisie orientale, dispensé du mariage syndical horaire, ici un voile automatique de discrétion se surimpose.
Universellement, en matière de représentation théâtrale on ne discute pas de l’activité des coulisses !
Sur le plan de l’innovation cette fois, des spécialistes de milieux autorisés s’attendraient à l’introduction de mariagemètres électroniques dans toute bonne mosquée, comme de mini-derricks de gestion de la finance islamique. En outre, un prix nobel de la paix conjugale serait en jeu pour récompenser cette avancée technologique.
Le niqab est aussi l’outil favori des coquettes, des provocatrices aux regards ravageurs, mais également et c’est heureux, de celles qui pensent en être pourvues.
Le niqab, option préférée des donzelles dont la splendeur du regard souligné au mascara (le cosmétique pas le pinard) allume le chaland, captive l’esseulé, lesquels découvrent au déballage l’ensemble des charmes dadaïques affligeant les فتاةدولسينامنالنقاب(Dulcinéa Bint Niquab).
MORALES DE L’ISLAM
Ici et maintenant, la pureté doit être occultée, cachée, dissimulée, de crainte …de crainte… … pas de se la faire voler tout de même?
Serait-il possible qu’elle puisse être à ce point si rare qu’il faille sans arrêt la suggérer à défaut de pouvoir la présenter au grand jour?
Leur perfection c’est l’Arlésienne ré-inventée, inlassablement sur-jouée, avec la complaisance des main-streams asservis.
Les trouvailles de l’slam en matière vestimentaire s’inscrivent dans le droit fil du mensonge et de la tromperie docte-ment imposés par la religion.
Reste la nécessité populaire. Plaignons les laides, les bêtes et les méchantes pour qui il n’y a rien de mieux qu’un accoutrement anachronique pour se faire remarquer tout en accaparant le crédit de femmes belles, intelligentes, bienveillantes mais condamnées à l’effacement afin que les premières les singent en concert public.
Pas un seul visage féminin ne doit émerger, rien que des zombies aussi plaisantes que leurs barbus de compagnie!
Et le petit blanc, kouffar abonné au zoo, européen et occidental, ayant subodoré cette supercherie marketing depuis le premier jour laisse à la concupiscence pernicieuse sa manie de détailler à la dérobée les ectoplasmes sans visage que leurs coreligionnaires se sont imposés.
A ceux-ci, il faut bien reconnaître le mérite de leur insistance puisque leur frénésie voyeuriste ostentatoire et estivale, le long des plages, n’a pas réussi à apaiser leurs soucis issus de leurs études comparatives hors saison.
En cachant leurs femelles, ils se préservent eux-mêmes des regards de l’autre sur leurs éternelles femmes-objets, toutes étant trop visibles à leurs yeux !
De là il n’y aurait pas grand chemin à parcourir pour admettre que l’islam aide à développer une singulière acuité à déshabiller la gente féminine du regard.
Pas un seul de ces mâles ombrageux ne s’inquiète des ravages d’une réciprocité taboue : l’islam aux idées tronquées, a encore tranché très court!
Beaucoup d’entre nous ayant reçu en héritage une bonne dose de courtoisie française sont incapables de se résoudre à ce vice, aidés par une éducation religieuse ad hoc, et accessoirement par une carence de ticket RATP (*).
Aux provocatrices musulmanes qui se cachent pour être encore mieux vues :
- De qui vous mosquez-vous ?
Ainsi Calamitas les interrogea.
(^) pour nous changer de Confucius , et puis X Dupond de Ligonès ça écosse les fausses nouvelles officielles.
(*) Religion d’Amour de Tolérance et dePaix équivalente à Régie Autonome des Transports de Parisiens.
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C’est vrai de souligner ce paradoxe de l’islam qui est de couvrir les femmes pour les rendre encore plus visibles. Je ne me revendiquerais pas fervent Chrétien mais notre religion même si elle comprend une certaine part de rituel et donc d’habits sacerdotaux, leurs visibilité se limite à l’enceinte de l’église ou parfois lors de processions pour fêter un saint . C’est le contraire de l’envahissement de l’espace publique dont le but final est de contraindre celle qui ne porte pas de voile d’être soumise et contrainte par le nombre.
L’islam produit chez moi l’effet inverse de celui rechercher par ses adeptes. Plus nous subissons leurs démonstrations publiques et plus moi qui n’ était pas sensible à la chose religieuse je trouve dans la pratique de notre religion une vérité une transcendance par le spirituel qui tranche avec ce déballage un peu indigeste d’une religion de qui veux absolument s’imposer par tous les moyens , même les plus grossiers.
comment accepter de s’ enlaidir à ce point
Je pigeais pas l’article, j’avais compris « 3 façons de se poiler pour être nues ».
Ça va pas franchement avec le coran. lol
Ces tenues vestimentaires n’en sont pas:
Ce sont des bannières.