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Samedi, sur la feuille hebdomadaire de ma paroisse, était annoncée une messe spéciale pour la fête du Rosaire (7 octobre).
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Cette feuille retraçait l’historique de la fête du Rosaire, mais depuis son institution (1573) en s’abstenant soigneusement de remonter à sa réelle origine : la victoire, deux ans plus tôt (1571), à Lépante, de la flotte chrétienne sur la flotte des envahisseurs musulmans turcs.
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Toutes nos élites se liguent pour nous faire oublier 1400 ans de résistance opiniâtre et tragique contre l’impérialisme musulman qui s’est toujours fixé comme objectif de prendre Constantinople (c’est fait : 1453) puis Rome (c’est en cours : mais la Résistance victorieuse refoulera ces barbares, une fois de plus).
Toute nos élites jusqu’au curé de ma paroisse …
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Les musulmans ont une longue mémoire : ils n’ont pas oublié, eux, les défaites cuisantes qu’ils ont subies à Poitiers (732), Las Navas de Tolosa (1212), Vienne (1529, 1683), Navarin (1820) et à … Lépante (1571) et tant d’autres fois …
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Alors, nous, les adversaires du colonialisme, de l’impérialisme musulman, ressassons, OUI RESSASSONS, rappelons sans cesse que, malgré la décérébration que nos élites, de Macron, aux enseignants de nos enfants, à notre curé, veulent nous faire subir, nous N’OUBLIONS RIEN, NOUS AUSSI,
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Voici une évocation de la bataille de Lépante :
C’ÉTAIT UN 7 OCTOBRE – Comment la flotte de la Sainte Ligue mit, en 1571, un coup d’arrêt à l’expansion de l’Empire ottoman en Méditerranée.
Le 7 octobre 1571, la mer se couvre de feu et de sang, tandis que des cadavres et des débris de galères sont emportés par la houle, à l’entrée du golfe de Patras, près de la ville grecque de Lépante, l’actuelle Naupacte.
Sous l’étendard du Christ en croix, celui de la Sainte Ligue, l’Occident chrétien affronte l’Orient musulman, qui arbore le drapeau du prophète.
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Lépante est considérée comme l’une des batailles navales les plus importantes depuis Actium.
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Si celle-ci, en mettant fin aux guerres civiles romaines, avait signé l’acte de naissance d’un empire, celle qui se déroule à Lépante stoppe au contraire l’essor d’un autre empire en portant un coup d’arrêt à l’expansion ottomane.
Affrontement religieux, elle est également une lutte politique, en particulier pour la préservation des intérêts espagnols et vénitiens.
Depuis le début du XVIe siècle, les Turcs cherchent en effet à contrôler la Méditerranée occidentale et multiplient les razzias sur les côtes espagnoles et italiennes: pillages, rançons, esclavage deviennent le pain quotidien des populations.
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En juillet 1570, la sanglante prise de Nicosie, à Chypre -alors possession de la République de Venise- entraîne le massacre de 20000 de ses habitants par les Turcs et allume la mèche.
NDLR : Ah, les doux apôtres de la religion d’amour, de tolérance et de paix !
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Fruit de nombreuses tractations diplomatiques amorcées dès mars 1570, la Sainte Ligue voit le jour le 25 mai 1571 sous l’égide du pape Pie V.
Destinée à lutter contre les Ottomans, cette alliance réunit la République de Venise, les Etats pontificaux et ceux des Habsbourg d’Espagne, auxquels se rallient plusieurs Etats italiens. Grande absente de l’alliance, la France s’est refusée à combattre, par souci de conserver ses relations commerciales avec la «Sublime Porte».
Désigné par le pape, Don Juan d’Autriche, jeune demi-frère du roi d’Espagne âgé de seulement vingt-quatre ans, commande cette coalition navale formée de 202 galères et 6 galéasses, des navires de commerce transformés pour l’occasion en redoutables machines de guerre par les Vénitiens au moyen de nombreuses pièces d’artillerie.
C’est donc le 7 octobre à l’aube que les navires chrétiens rencontrent au large de Lépante la flotte ottomane du sultan Sélim II «l’Ivrogne», qui rassemble près de 300 galères sous le commandement d’Ali Pacha.
Encouragés par leurs précédents succès maritimes, les Ottomans déchantent rapidement: leurs navires se retrouvent enfermés dans le golfe sous le feu des canons chrétiens.
S’ensuit une demi-journée d’affrontements féroces où l’infanterie espagnole se lance à l’abordage des galères turques.
Durant la bataille, le navire de Juan II aborde celui d’Ali Pacha. Le commandant turc est tué et sa tête fixée au sommet du mât de la galère espagnole, ce qui contribue à saper le courage des Turcs, dont de nombreux vaisseaux prennent la fuite.
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La victoire de la flotte chrétienne est éclatante et son retentissement considérable.
Pour la première fois, la flotte ottomane réputée invincible est défaite.
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L’affrontement frappe en outre par son aspect sanguinaire: le tribut humain est lourd, avec 7500 morts et près de 20000 blessés pour les chrétiens, et plus de 30000 morts ou blessés chez les Turcs.
Il permet cependant la libération de 15000 chrétiens réduits en esclavage.
Cette croisade navale contre ainsi l’expansion musulmane en Méditerranée occidentale, qui cesse dès lors d’être l’une des cibles principales des Turcs.
Si ses conséquences sont à relativiser -les Turcs parviennent à reconstituer leur flotte et à récupérer Chypre deux ans plus tard-, elle démontre à l’Occident que l’Empire ottoman n’est pas sans faille et consacre l’efficacité des navires armés de canons.
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Mais la renommée de Lépante est surtout liée à la forte charge symbolique de la victoire, célébrée comme celle de la chrétienté contre l’islam et attribuée à la Vierge Marie.
Un rosaire avait en effet été récité avant la bataille à la demande du pape, qui fit dès l’année suivante du 7 octobre la fête du Saint Rosaire.
De cet affrontement date aussi l’émergence d’une certaine conscience commune de pays européens liés par une même foi.
L’expansion du commerce avec les Amériques déplacera les affrontements maritimes sur l’océan Atlantique, faisant de Lépante la dernière grande bataille en Méditerranée.
Pour Cervantès, qui y perdit sa main gauche, comme pour d’autres, elle restera «la plus mémorable rencontre qu’aient vue les siècles passés et qu’espèrent voir les siècles à venir».
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C’est là que la chrétienté a commis une erreur tactique ; ne pas reconquérir Constantinople et écraser définitivement le serpent turco-musulman,
car deux ans après, celui-ci repartait en conquête
en effet, Constantinople était quelque chose de majeur !
en ce temps là on avait la FOI, et l’ESPERANCE maintenant on n’a plus qye la charité envers ceux qui arrivent pour nous égorger AMEN …..
Hello Antiislam. C’est AUSSI la victoire d’une Europe qui se détache déjà techniquement du monde musulman : les vaisseaux de la Sainte Ligue sont tout simplement plus performants. Richard Antislam (la version à une seule voyelle i n’est pas déposée hé-hé…)