Municipales à Paris : Obono dénonce des migrants de la Goutte d’Or pour protéger les Noirs africains…

Photo : capture d’écran. Obono « cul et chemise » avec la LDNA
.

Incroyable Obono : un jour elle prêche pour l’accueil inconditionnel des migrants, le lendemain elle  plaint les Parisiens qui vivent l’enfer…

Allez comprendre !

Mais à quoi joue-t-elle ?

.

 

.Alors à la lecture du Figaro, on se pince pour vérifier si tout cela est bien réel : est-ce la même Obono dont on parle ici, qui défend les Parisiens contre les nuisances des migrants ?

[Le Figaro]

Nuit et jour, ce quartier du XVIIIe arrondissement de Paris subit une situation anarchique sur fond de drogue et de violence. Les habitants ont le sentiment d’être abandonnés par les pouvoirs publics.

C’est un adolescent, torse nu, qui s’apprête à frapper un jeune homme, à terre, avec un morceau de miroir brisé. Tandis que d’autres, autour, semblent prêts à s’en mêler.

«Jeudi soir, angle Jessaint – Goutte-d’Or, précise Catherine, qui diffuse la photo. L’autre soir une gamine complètement shootée à la colle s’écroule devant moi, rue Affre.»

Cette habitante du XVIIIe arrondissement, désemparée, «ne sait pas quoi faire de plus que d’envoyer ces témoignages» sur une mailing list de voisins et responsables politiques.

«Sous mes fenêtres, rue Perdonnet, (près du métro La Chapelle, NDLR) 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, ça fume, ça boit et surtout ça gueule fort !», renchérit sur Twitter une autre riveraine, publiant une photo de mobilier urbain où sèchent des vêtements. «Tous les matins, c’est un festival de bouteilles vides, de mégots et de déchets !»

Quant au collectif SOS Pajol Girard, il raille: «Le dortoir du jardin Rosa-Luxemburg s’agrandit», déplorant «de plus en plus de matelas sur la passerelle jour et nuit». À la mairie du XVIIIe, on concède que «les problématiques du quartier commencent à durer, et que l’impatience des riverains et commerçants augmente».

«Un climat invivable»

À l’approche des élections municipales, le député de Paris (La France insoumise) Danièle Obono, a interpellé vendredi le maire du XVIIIe, Éric Lejoindre, ainsi que la Ville, la région Ile-de-France et le ministère de la Cohésion des territoires.

«J’ai été alertée par les habitant·es, commerçant·es (sic) du quartier sud Goutte d’Or, entre les métros Barbès et La Chapelle, de l’état extrêmement critique et volatile de ce secteur,

leur écrit-elle.

Jeunes mineur·es abandonné·es (sic) à la rue, personnes sans-abri en errance, prolifération des trafics et de la petite délinquance, encombrement de la circulation, amplification de la pollution et nuisances sonores…

L’accumulation et l’accentuation de ces différents phénomènes créent aujourd’hui un climat invivable pour toutes et tous.»

Et de rappeler «la détérioration de la qualité de l’environnement urbain qui oblige à développer des stratégies d’évitement, les mises en péril, voire fermetures de commerces comme ce fut le cas aux cours des derniers mois du kiosquier de Barbès et du restaurant À la Goutte d’Or…»
http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/la-goutte-d-or-minee-par-la-delinquance-20190929

.

On a fait des recherches : oui, oui, Obono, député du 18ème arrondissement, c’est bien la même !

La même qui est contre tout contrôle de l’immigration.


Vidéo :  OBONO CONTRE LA LOI ASILE IMMIGRATION 
 

Bien tentée, la danse d’Obono pour faire croire qu’elle serait du côté des habitants excédés.

Tout cela sent la fine opération communication-récupération à plein nez, dans la stratégie des municipales.

Etape 1 : trouver le sujet du moment à récupérer, pour surfer sur le mécontentement

Etape 2 : communiquer en se présentant comme porte-parole des habitants excédés (on est immigrationiste mais qu’importe, on tape sur des Afghans et des Maghrébins, pas sur les copains d’Afrique noire).

Etape 3 : espérer récupérer les fruits de la communication en bonnes voix

O-bon-o = « Au bon opportunisme »

 
Toutefois, l’article est incompréhensible sans les clés que les journalistes se gardent bien de donner.
 

On retrouve -encore une fois- derrière cette opération l’idéologie des Africains de la Ligue de défense noire africaine (LDNA).

Car le lecteur se demandera qui peuvent bien être ces « Parisiens » prêts à suivre Obono pour se faire entendre sur les questions de mineurs délinquants.

En fait, il s’agit de membres d’associations africaines et leurs collabos ou manipulés ramassés en chemin,  qui défendent les leurs et sont derrière Obono. Rien à voir donc avec les associations de riverains lambda.

.

Vocabulaire.

Obono déclarait en 2017 pendant les élections législatives :

« On veut construire un mouvement de masse qui mobilise dans les quartiers populaires » :

Bien noter que ce que les gauchistes désignent par « quartiers populaires » sont en fait les  trous à rats où se déverse le  torrent africain (Afrique du nord et subsaharienne).

« Il faut accueillir inconditionnellement les migrants »…
Obono dans l’interview ci-dessus  :

Nous on insiste sur l’accueil inconditionnel des migrants et des migrantes (sic) qui doivent avoir des droits à égalité avec les citoyens et les citoyennes (sic)

Nous sommes, pays France, responsables des causes du malheur des Africains  (Franc CFA, la France empêche la création de services publics en Afrique etc…)

C’est qu’il faut se replacer dans le contexte et avoir à l’esprit l’idéologie de la Ligue de défense noire africaine, très active dans le quartier.

Actuellement, la Ligue de défense noire africaine (LDNA) est  occupée à souffler sur les braises à l’Hôpital Lariboisière, situé à deux pas de la Goutte d’Or, dans le registre :

« la France n’en fait pas assez pour les  pondeuses Africaines »

et
« les Blancs sont des salauds » (un Noir ne vote pas pour un Blanc écrivent-ils).

Voici une capture d’écran de leur page Facebook :

Sur cet événement (clandestines africaines qui squattent puis exigent la nationalité française voir l’article de Riposte ici)
.
Et maintenant l’image de l’article du Figaro sur les migrants :

De jeunes mineurs isolés, square Saint-Bernard-Saïd-Bouziri, le 20 septembre, dans le XVIIIe
Tiens, on ne voit pas de Soudanais ! 
 

On comprend mieux  l’article si on connaît la toile de fond : sur place,  les Africains, pleins de ressentiment,  qui attendent tout de la France et n’en auront jamais assez (Soudanais, Nigérians, Erythréens, Tchadiens etc…)  ne peuvent pas sentir les Afghans avec lesquels ils sont en concurrence directe depuis des années, depuis les premiers campements où ils étaient côté à côte…

En 2017 : « Au cours des derniers mois, les pouvoirs publics ont été témoins de tensions entre Afghans et Soudanais dues aux rivalités pour entrer au centre d’accueil ». L’Express

Egalement dans le Parisien.

 C’est un fait facile à constater sur place : il faut savoir que les bandes de migrants africains, les Soudanais en particulier, se montrent ultra-racistes envers les autres communautés de migrants : ils ne peuvent pas se voir avec les Afghans qui sont leur cible récurrente (bagarres au couteau etc). Ce sont des mentalités complètement différentes.

A la Goutte d’or et dans le secteur de la Place de la Chapelle, les Soudanais, qui sont désœuvrés et traînent toute la journée, sont mal fagotés, sales, et se montrent agressifs et jaloux envers d’autres communautés de migrants qui eux essaient de s’en sortir, et  sont mieux  habillés, soigneux et propres et s’activent à divers trafics (cigarettes etc), illicites mais qui demandent des efforts.

Il y a une vraie rivalité et ce n’est pas un hasard si Obono s’en prend  justement aux  Afghans (ou même aux mineurs maghrébins, catégories inférieures aux yeux de la Ligue de défense noire africaine).

La « journaliste » du Figaro [« Stéphane » au féminin] qui s’est contentée pour faire son article de  relayer un communiqué de presse d’Obono aurait pu pour une fois sortir de son bureau et aller sur le terrain pour essayer de  décrypter un peu ce jeu des 7 familles, tant la partie de cartes est improbable avec une Obono en meneuse de combat contre les nuisances des migrants !

Sur les rivalités Afghans-Soudanais


Illustration de la rivalité, ici à Calais : 40 blessés dans la rixe entre migrants soudanais et afghans de Calais

Article de Ouest-France  évoquant les amabilités entre Afghans et Soudanais.

 Les journalistes sont très prévisibles : les rixes ont lieu pour des « motifs inconnus ».
En fait deux mentalités complètement opposées, deux groupes prêts à s’entre-tuer et qui ne pourront jamais « vivre ensemble », tant  ils sont différents.

Une rixe opposant 200 migrants afghans et soudanais à la « jungle » de Calais a fait neuf blessés légers dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris de sources concordantes.
« Vers 22 heures, il y a eu une rixe entre migrants soudanais et afghans à l’entrée de la lande Jules Ferry [il est partout !]», où se trouve le centre d’accueil de jours pour les migrants, a indiqué la préfecture du Pas-de-Calais.
« Il s’agissait d’une bagarre entre 200 migrants. Le bilan fait état de neuf blessés légers, six Soudanais et trois Afghans, tous transportés au centre hospitalier de Calais », a ajouté cette source, précisant que le calme était revenu vers minuit.
Motif inconnu
Selon Gilles Debove, policier et représentant syndical Unité SGP-Police Force ouvrière, la rixe « a éclaté pour un motif inconnu ».
« Ils se sont battus à coups de barres de fer, de marteaux, de pelles et de frondes », a-t-il fait savoir.
« Il y avait une quarantaine de CRS et des effectifs de la sécurité publique. Des collègues de Boulogne-sur-Mer ont dû arriver en renfort », a-t-il poursuivi.


Vidéo, illustration de la différence d’état d’esprit :

L’Afghan, visage ouvert : « Je suis content, j’ai une meilleure vie, un beau lit ».
Le Nigérian, en France depuis sept jours seulement, se plaint de tout, visage impénétrable : on sent que rien ne peut être pire que la France (oubliée du reste,  la terre battue de la case dans son beau pays).

Après un an de gamelles de soupes offertes par les bénévoles, le Nigérian tiendra toujours le même discours, celui d’Obono et la LDNA :
la France n’est pas et ne sera jamais  à la hauteur.

 

Obono : 
http://resistancerepublicaine.com/2017/10/02/le-depute-insoumis-daniele-obono-doit-etre-revoque-pour-connivence-avec-lislamisme/
http://resistancerepublicaine.com/2018/06/13/obono-et-marwan-muhammad-en-meeting-commun-pour-inciter-au-meurtre-des-policiers/
 
 
 

 656 total views,  1 views today

image_pdf

11 Comments

  1. On importe chez nous des êtres qui se battent sauvagement entre eux CHEZ EUX. résultat : ils se battent comme des sauvages entre eux CHEZ NOUS. Le fait de nous ruiner et de nous coloniser de concert ne les réconcilie pas. Bien évidemment, O’bonobo prend parti pour ceux de son ethnie. Et nous avons en plus, comme disait Chirac :  » …le bruit et les odeurs…  » (fin de citation).

  2. Puisqu’on parle de l’Afrique, parlons de ceux qui la pille :
    Des bolides du vice-président de Guinée équatoriale, estimés à 17 millions d’euros, mis aux enchères.
    Sept Ferrari, trois Lamborghini, cinq Bentley, une Maserati et une McLaren sont parmi les véhicules proposés à la vente.
    https://francais.rt.com/economie/66332-bolides-vice-president-guinee-equatoriale-mis-enchere
    Ah, mince ! Ça doit être une erreur judiciaire, il n’est ni blanc ni Français.
    All-obono ?

  3. Ils nous font chier dans notre pays. C’est fou, ça. Qui se soucie des avis d’Afghans et de Nigérians en France ? Et l’avis des Français qui subissent ça ? Qui n’ont droit à aucune aide ? Qui crèvent alors qu’on accueille toute la lie du monde ?

  4. Paris By Night… and Day.
    Il y a de l’ambiance dans l’aire* !
    * Non ce n’est pas une faute de frappe

  5. Même moi étant Noire je donnerais pas un centième pour ceux qui crachent sur la France alors qu ils ont quittés leurs pays de mer.. .Ingrats sont ces gens ,je trouve que les français sont beaucoup trop tolérant .On condamne Zemour mais les musulmans et les Noires peuvent cracher sur la France sans que personne ne les condamne .

  6. Mais de quoi se mêle t-elle la doudou obono ???!!!!……
    Elle vient critiquer les conséquences de la politique insensée de macron et de sa bande, encouragée par les insoumis !!….
    Manque pas de culot !
    Retourne donc dans ton pays lui faire profiter de tes talents d’enfumeuse !

  7. Citation Ouest-France de l’article :
    « En fait deux mentalités complètement opposées, deux groupes prêts à s’entre-tuer et qui ne pourront jamais « vivre ensemble », tant ils sont différents. »
    Ah, je suis contente qu’un journal de gauche comme Ouest-France, généralement très « politiquement correct »… contre les Français de souche (bien sûr), reconnaisse enfin ce problème !
    Eh oui, quand on est « trop » différent on ne peut pas vivre « ensemble »….
    Donc le fantasme du « Vivre Ensemble » n’est bien qu’un fantasme qui ne pourra jamais être réalité en France car nous sommes « trop » différents de ces populations tant par la manière de vivre, de penser, que de l’Histoire.

  8. j ‘ai été surpris au Maroc durant 4 000 km , pas vu d ‘accidents , ni accrochages il y a des gendarmes aux intersections en campagne et souvent aux entrées de villages
    ils ont du recevoir des consignes , quand c ‘est 1 touriste , passez , mais les indigènes sont contrôlés
    A Marrakech & autres cités il y a beaucoup de circulation et les piétons traversent dans tous les sens , mais les bagnoles s ‘arrêtent , évitent , se détournent , tout se passe très bien dans une certaine anarchie et sans agressivité
    Autre chose , je ne me suis jamais sentit en insécurité à marcher dans les kasbahs , souks et en ville je ne peux en dire autant en FRANCE

  9. on en peut rien en tirer de ces gens-là qui vivent chez nous comme des parasites. Occupons-nous des nôtres, des SDF qui vivent dans la rue. macron s’occupe davantage des migrants que des SDF cherchez l’erreur. Tout cela finira mal. J’ai écouté avec bonheur Eric Zemmour qui a mis le doigt sur tous les problèmes liés à l’immigration et à l’islam. Si nous ne faisons rien, nous serons dominés par les islamistes qui imposeront leurs lois d’un autre âge. Mais j’ose espérer que les français n’accepteront jamais de se faire dominer par cette caste de criminels.

  10. La obono n’a rien a foutre en France. Dehors retourne en afrique dans ta case la parasite.

Comments are closed.