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« …En Bretagne, c’est le Breton qui devrait avoir la priorité sur toute autre langue, y compris le Français… »
http://resistancerepublicaine.com/2019/09/21/guerre-en-bretagne-un-maire-donne-des-noms-francais-doiseaux-aux-rues/
En voilà une connerie qu’elle est bonne !
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C’est ainsi que le petit qui naît en Bretagne apprendra en breton à l’école puisque
« …En Bretagne, c’est le Breton qui devrait avoir la priorité sur toute autre langue, y compris le Français… »
Mais, à la maison, les parents étant Français, on parle forcément en Français.
Puis, le père étant muté au Pays Basque, le petit va devoir reprendre tout depuis le début en basque puisque « …au Pays Basque, c’est le basque qui devrait avoir la priorité sur toute autre langue, y compris le Français… »
Et au bout de 3 nouvelles années de basque, papa, militaire se retrouve muté à Strasbourg où le gamin va recommencer son calvaire en alsacien puisqu’en Alsace, c’est l’alsacien…
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Jusqu’au jour où une intelligence supérieure, genre François 1er de passage à Villers-Cotterêts, se dira que pour se comprendre tous, il est préférable de parler tous la même langue et nous fera faire un grand bond en avant vers …1539 !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordonnance_de_Villers-Cotterêts
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Mais il est vrai que le titulaire d’une licence de commerce internationale en breton pourra commercer plus facilement lors d’échange avec l’île de Sein ou Ouessant ou même acheter un chargement d’artichauts et de choux fleurs à St Pol de Léon.
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Si les parents sont bretonnant set veulent que leurs enfants parlent breton, qu’ils l’apprennent à leurs enfants.
Ce n’est pas à l’Éducation NATIONALE d’enseigner les jargons régionaux : elle n’arrive déjà pas à enseigner correctement la langue NATIONALE, le Français.
Même pour récupérer les voix de 5,5 des gens qui peuplent la Bretagne.
Lisez ce passionnant article relatif au BZH, au Gwen ha du et Roparz Hemon au cours des » heures les plus sombres de notre histoire » pour avoir une petite idée de ce que sont ces régionalistes purs et durs :
https://www.regionalismes.info/infos/etudes/bzh/bzh.htm
Note d’Antiislam
Pour l’esprit qui voudrait s’initier à la mécanique quantique, à l’assyrien ancien ou à l’entomologie agricole : vive le breton, vive le basque, vive le picard, vive l’alsacien etc, etc
Mona Ouzouf, anti-jacobine et promoteur de la langue bretonne, explique elle-même dans ses livres que sa grand-mère bretonne ne comprendrait rien du breton reconstitué actuel.
C’est ce qu’explique en détail le denier lien de l’article ci-dessus.
Elle explique aussi, en illustration encore du dernier lien, que tous les amis de son père instituteur, militants d’extrême-gauche de la cause bretonne, ont sombré dans la pire Collaboration…
Note de Christine Tasin
Voir notre dossier sur les langues régionales et la catastrophe que serait la ratification de la Charte des Langues régionales que Hollande a cherché par tous les moyens à faire ratifier :
http://resistancerepublicaine.com/search/langues%20régionales
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Sur ce point, je suis tout à fait d’accord avec vous, et c’est bien là le problème.
Même si, certes, il n’est pas souhaitable que ce débat s’éternise, permettez moi, quand même (en toute amitié pour RR) d’apporter quelques commentaires supplémentaires:
Pour ce qui est de l’Alsace, on estime que seulement 5% des jeunes d’aujourd’hui parlent l’Alsacien – c’est évidemment insuffisant pour assurer la survie de cette langue. La survie de toute langue minoritaire ou régionale ne peut s’effectuer que si il y a une reconnaissance officielle de cette langue, notamment à l’école ou dans les administrations – tout le reste n’est qu’ angélisme, politique de l’autruche ou au pire, une volonté effective de faire disparaître la langue en question, en fait de la « momifier », la transformer en langue morte comme le Latin!
Sur le fond, reprenons le déroulement de l’histoire… imaginons que des rois conquérants envoient leurs armées dans votre pays (maintenant dans votre région) et qu’ils décident que vous devez abandonner votre langue ancestrale pour parler la leur. Pour parvenir à leur fin, ils utiliseront tous les moyens: la corruption des élites (ou maintenant des élus) , la violence physique ou plus subtilement, l’intimidation, la guerre psychologique: ils voudront vous persuader que votre langue maternelle n’est pas une langue, mais un « jargon » ou au mieux un « patois » ou un « dialecte »… que c’est être « inculte » que de vouloir ainsi rester fidèle à sa propre culture. Qu’est-ce que vous diriez si cela vous arrivait? Peut-on vraiment parler de liberté, d’égalité et de fraternité dans une telle configuration, que par exemple l’Alsace a eu à subir? Et pour terminer, pour faire écho à la remarque d’Antiislam sur la mécanique quantique (j’ai déjà eu l’occasion d’échanger avec lui à propos du grand alsacien Alfred Kastler), j’ai eu la curiosité de lire sur Wikipédia l’article sur ce sujet (la mécanique quantique) qui propose une version en langue alémanique (l’aslacien est une variante de cette langue) et que j’ai compris sans difficulté
Ceci dit, je trouve affligeant qu’un jeune de 20 ans me dise : » Mes parents parlaient breton entre eux et avec mes grands-parents mais moi, je n’en comprends pas un traître mot. «
La France et sa République n’ont pas supprimé les langues mais les ont relégués au cadre familial ou local comme les religions d’ailleurs. Elle n’a pas tué les patois .Au contraire je pense même que cela a créé une émulation qui a permis de conserver au contraire cette richesse des dialectes et langues des provinces C’est le mondialisme et ses représentants qui veulent dans un premier temps les marginaliser pour ensuite imposer une novlangue bourrée d’anglicisme ,ce que j’appelle le charabia pour les affaires et destiné uniquement à un usage pratique dans une notion utilisatrice . J’écoutais dans les années 80 et début 90 radio Nova et ce qu’elle appelait déjà la « world music » ,petit â petit les animateurs de la station ont employé un language tellement inaudible rempli d’anglicisme qu’il devenait incompréhensible pour le non initié ,si bien que cela a fait l!’effet d’un repoussoir pour moi .
j’ai donc capitulé et cessé assez rapidement d’écouter cette radio qui pourtant était vouée a la diffusion musicale.
Ce qui est étrange c’est que des mondialistes en France veuillent favoriser l’émergence des langues régionales alors que leur crédo c’est l’indifférenciation des particularismes où l’individu est relégué à n’être qu’un consommateur là ou avant il était citoyen. Est-ce une façon de diviser encore plus la société Française
, rendre caduque la République en flattant les communautaristes et les éternels ennemis de la République que sont les indépendantistes? Creer des problęmes qui démontreraient son incompatibilité avec la pluralité des populations, alors que la République s’imposait d’elle même jusque là avec ses notions rassembleuses et ainsi â la fin mettre tout le monde d.’accord sur les bases d’une société à vocation uniquement marchande où l’anglais commercial s’imposera en définitive.
Pour construire la France et empêcher toutes velléités d’indépendance il fallait une langue commune pour un pays unifié à remettre dans son contexte historique .
Il était interdit de cracher par terre et de parler Breton à l’école .
Maintenant ils apprennent l’arabe à l’école !
où est la logique ?
Décidemment, à part les articles sur l’islam…
Auparavant je n’avais aucun avis sur la question mais depuis que je lis RR, j’ai une aversion profonde pour les jacobins.
Tout le monde est d’accord sur le fait qu’il faille une langue commune, mais le mépris est-il obligatoire ? » Jargon breton « , licence internationale en Breton, études quantiques en langues régionales etc..
Quand il s’agira de correspondre clandestinement les » jargonisants » auront un coup d’avance sur les monofrancisants et les arabisants.
Je ne suis pas alsacien, ni breton, ni provençal,j’habite le Pas de Calais, mais malgré tout toutes ces langues régionales font partie de mon patrimoine et de mon histoire en tant que Français. et j’y tiens énormément, toucher ces langues régionales, on détruit les racines historiques de notre pays.
Bravo! Je suis tout à fait d’accord.
Je ne suis ni Corse, ni Basque, ni Occitan, ni même Breton, mais je tiens aussi à toutes ces langues de nos régions…
La France ne doit pas en ce XXIème siècle laisser disparaître ses langues régionales qui sont parvenues jusqu’à nous et que c’est notre devoir de transmettre aux générations futures. De plus, elles ne peuvent qu’aider à lutter contre l’uniformisation de la mondialisation et de l’islamisation.
@exocet
Aucun Français de souche ne veut les détruire ce n’est pas du tout le problème si vous lisez les commentaires précédents.
Et en reconnaissant que ce sont nos racines historiques donc de la France, il est normal que la langue officielle soit la France.
Maintenant, ceux qui veulent le parler et l’apprendre dans leur région personne ne les en empêche. En Bretagne il y a les écoles Diwan avec des professeurs payés par l’Etat comme dans toute école privée reconnue :
« Une école Diwan fait partie d’un réseau français d’écoles associatives, gratuites et laïques où l’enseignement est dispensé en langue bretonne. La majeure partie des écoles et collèges est sous contrat d’association avec l’État, sauf les établissements créés depuis moins de cinq ans. L’État prend donc en charge les salaires de ses enseignants, comme il le fait avec tout établissement scolaire sous contrat. Les enseignants suivent les programmes officiels français et sont inspectés comme leurs homologues de l’enseignement public. Diwan est un mot breton signifiant « germer, sortir de terre ». La première a été créée en 1977 en Bretagne. En 2018, les écoles Diwan scolarisent 4 337 élèves de la maternelle jusqu’au baccalauréat dans les cinq départements de Bretagne historique »
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_Diwan
C’est donc actuellement possible d’apprendre une langue régionale.
Les régionalistes sont tous des indépendantistes qui travaillent à la désintégration de la France et doivent, à ce titre, être mis dans le même panier que les immigrés islamistes.
Pas de pitié envers ces salopards qu’il faudra éradiquer sans pitié.
@Jonathan
Certes il y a des imbéciles qui utilisent leur appartenance régionale pour casser la cohésion nationale (il y a des cons partout), mais voyez vous, je fais partie de ces gens qui aiment leur région, leurs racines et leur culture régionale sans pour cela dédaigner la France et vouloir la désintégrer, bien au contraire, aimer et être attaché à sa région n’empêche pas d’aimer la France et d’y être attaché, et j’ai beaucoup de mal à accepter qu’un contributeur de RR puisse m’assimiler à un immigré islamiste et à un salopard à éradiquer sans pitié
@ Jonathan,
sauf que c’est l’état français qui nous envois les immigrées , les islamistes , qui gentryfie et qui vend notre territoire comme c’est le cas en Ariège a l’Espagne , avec l’aide des notables du coin bien sur !
n’oubliez pas que la France c’est faite avec les régions et non le contraire !
je préfère largement entendre parler breton, auvergnat ou alsacien qu’arabe, turc ou autre langues exotique, mais que ces langues régionales soirent enseignée en dehors des cours scolaire et que le Français, le vrais, soit enseigné et rabâché dans nos établissement scolaires….
« .. mais que ces langues régionales soient enseignées en dehors des cours scolaire.. »
L’enseignement de langues régionales, à mon sens, a tout a fait sa place dans l’enseignement scolaire comme une seconde ou troisième langue, à condition bien sûr que le français soit enseigné comme la première langue. Pourquoi devrait on bannir des programmes scolaires les langues régionales qui font partie intégrale de nos racines alors que l’on y inclut maintenant de l’arabe qui n’a rien à voir avec notre passé et qui contribue à l’islamisation de la France?
@ charle martel,
je suis d’accord , nos langues se transmettent de génération a génération , ou de façon ludique , hors du cadre scolaire !
Bien sûr il est totalement débile et rétrograde de vouloir en revenir à des langues régionales et je pense que le bordel qu’engendrerait un tel retour en arrière est bien décrit dans l’article ci-dessus. Cependant rien n’empêche d’apprendre la langue de sa région et de la parler entre gens du coin. Je suis un provençal et fier de l’être, ce qui n’est pas en contradiction avec le fait que je sois français et tout aussi fier de l’être (enfin vu comment la France évolue cette fierté en prend un sacré coup chaque jour), et j’ai appris le provençal en entendant parler mes grands parents, les anciens du village avec qui ensuite je pouvais dialoguer sans aucune difficulté, ça crée un lien entre les gens d’une région, mais jamais je n’ai entendu, alors, remettre en question le principe de la langue nationale chez moi.
Allez je vais faire mon quart d’heure de parano-fiction :
Macron, mais aussi ses prédécesseurs, n’ont eu de cesse d’attaquer la France et de tout faire pour la laisser envahir par l’engeance islamo-arabo-africaine. Le but avéré de Macron est de terminer le boulot et de dissoudre la France, les français, leur culture et leurs traditions dans un magma « euro-mondialiste » sans aucun nom, sans aucune mémoire où dominerait la barbarie et la pourriture islamique. Tous ces mahométans refusent l’intégration et ne parlent que leur sabire abominable, j’en veux pour preuve cette cacophonie arabo-africaine que l’on entend chaque jour dans les transports en commun, dans les rues désormais. On se demande si on est encore en France. Eh bien pour finir le boulot quoi de mieux que de faire revenir les français aux langues régionales et éclater le lien de la langue nationale,? Ça va créer un sacré bazar où plus personne ne se comprendra et ça aura aussi pour effet de porter un grand coup au ciment qui est sensé lier le peuple d’un pays. Et je parie qu’un jour, vu l’évolution démographiquen , un bon salopard de bobo islamo-collabo dira que l’arabe devrait être la langue parlée dans l’hexagone pour ramener un peu de cohésion, proposition qui risque d’être applaudie des deux mains par la gaucho-bobosphère, n’oublions pas que dès le plus jeune âge l’arabe, comme par hasard, commence à être enseigné dans de plus en plus d’écoles maternelles et primaires, ça fait partie des « géniaux » programmes de notre putain d’éducation nationale et c’est ainsi que la France se voit de plus en plus engagée sur la voie de sa transformation en califat grâce à nos salopards de politicards vendus à l’islam qui font tout pour réduire notre pays a néant
@Charles Martel 02
« Bien sûr il est totalement débile et rétrograde de vouloir en revenir à des langues régionales et je pense que le bordel qu’engendrerait un tel retour en arrière est bien décrit dans l’article ci-dessus. »
Certes, c’est évidence :
« La Suisse : la répartition des langues »
https://blog.paloo.fr/index.php/posts/la-suisse-la-repartition-des-langues
« Je suis un provençal et fier de l’être, ce qui n’est pas en contradiction avec le fait que je sois français et tout aussi fier de l’être… j’ai appris le provençal en entendant parler mes grands parents, les anciens du village avec qui ensuite je pouvais dialoguer sans aucune difficulté…..mais jamais je n’ai entendu, alors, remettre en question le principe de la langue nationale chez moi. »
Et je suis tellement en accord avec ce que vous dites de votre expérience, tout est dit.
Et en passant : j’adore la Provence avec ses cigales !
Merci Amélie, la Provence a un charme fou , comme chaque région de France dont chacune a sa typicité. Et c’est cette belle mosaïque qui fait notre France, cette France que tous ces cochons à la Macron veulent détruire
Tout à fait Charles ! Mais il n’y arriverons pas. Nos traditions sont trop ancrées dans notre patrimoine culturel séculaire.
C’est une erreur je trouve de toujours vouloir imiter les Etats-Unis car cela n’a rien à voir niveau Histoire.
« Nos traditions sont trop ancrées dans notre patrimoine culturel séculaire. »
C’est précisément ce que je défends pour toutes les régions – Pour ce qui est de l’Alsace, l’Alsace sans sa langue, l’Alsacien, n’est plus l’Alsace séculaire…
Par ailleurs, le modèle suisse fonctionne de façon satisfaisante – même si évidemment les sociétés humaines ne seront jamais parfaites – et la France ferait bien de s’en inspirer. La Suisse est une république fédérale – pourquoi ce qui est bon pour les Suisses ne pourrait pas aussi être bon pour les Français?!
Je parlais bien sûr de la France avec « ses » belles régions.
« Les langues, en Suisse, c’est… comment dire… c’est le bordel… Et honnêtement, je ne sais pas comment ils s’en sortent ! » :
https://blog.paloo.fr/index.php/posts/la-suisse-la-repartition-des-langues
A « Charles Martel 02 »,
Une petite remarque sur ce magnifique mot « typicité » qui de toute évidence n’est ni breton, ni provençal, ni basque… Ni français (Oh, zut alors !…).
Encore une spécificité (propension bien française ?) qui s’applique sans doute, insidieusement, à détruire la langue, avec le reste. C’est plutôt bien vu en ce moment.
Ceci relevé et dit avec humour, bien sûr.
Pourtant…
Alors que nous nous déchirons entre nous nos ennemis font la fête et nous fournissons les lampions !
« Abyssus abyssum invocat »…
Pourtant c’est dans le Larousse..
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/typicit%C3%A9/80379
🙂 🙂 🙂
Il y a bien longtemps que le Larousse n’est plus une référence…
Nous savons tous que ses mises à jour se font au ras du sol, ramassant tout ce qui traîne et souvent, pour faire un peu de place aux « énormités », il (le Larousse) éjecte quelques vrais et bons mots bien français ceux-là !
Donc, pour vous, place à « typicité », « kiffer » et tout le reste en terminaison « ité » bien sûr. Tous ces termes à « épines » qui écorchent notre langue, venant de nulle part (quoique), générations spontanées imbéciles reprises par des médias en déficience de Culture. Et il y a, hélas, du monde derrière le cortège.
Néanmoins, je reconnais l’aspect témoin de « décadence » du dit Larousse devenu un produit d’édition purement commercial. En cela il est révélateur.
M. Larousse doit se retourner dans sa tombe, lui qui avait créé en 1856 le bien nommé : « Nouveau Dictionnaire de la langue française »…
En toute amitié, après avoir joué un peu, nous pouvons remettre le ballon au centre…
En effet, le terme « typicité » figure bien au Larousse où il est apparu dans les années 90… Mais sa définition indique qu’il est « l’ensemble des caractéristiques qui font la particularité d’un vin, d’un fromage »…
Et ceux-ci entrent effectivement dans les belles spécificités (qualités) de nos régions.
Mais nous n’en ferons pas un fromage !
vous avez entièrement raison au sujet du dictionnaire larousse, c’est pour cela qu’il ne faut jamais jeter les vieux dictionnaires, moi j’en ai un de 1937 en très très bonne état, et il me rend encore de très grand service pour son grand âge, car il m’arrive de lire de vieux bouquins, et bien souvent d’y rencontrer de très vieux mots, des mots que je ne connaissais absolument pas et qu’ils n’existent même plus dans les dictionnaires d’aujourd’hui mais que je retrouve avec bonheur dans mon vieux dico de 1937.
Absolument incroyable cet acharnement contre les identités et langues régionales. Elles ne sont dirigées contre personne, il s’agit simplement d’avoir le droit d’être ce que l’on est – Mir wann bliwe, was mir sin (nous voulons rester ce que nous sommes) droit fondamental qui devrait aller de soi.
Je suis assez vieux pour avoir connu l’Alsace où l’on parlait Alsacien au quotidien dans l’espace public, ‘s isch unsri Müettersproch (c’est notre langue maternelle) – ce n’est, hélas, plus le cas, et les jeunes d’aujourd’hui ne se rendent pas compte que leur région a changé de langue (une forme de « grand remplacement »).
Par ailleurs, les arguments qui sont opposés sont bien pitoyables: par exemple, la mécanique quantique! On sait que depuis que tout le monde parle français dans l’héxagone, tout le monde est docteur es mécanique quantique, laquelle est indispensable pour faire ses courses ou exprimer ses émotions, bien sur… Plus sérieusement, on peut tout à fait rédiger des ouvrages scientifiques ou philosophiques en langue régionale, mais il est vrai qu’à l’Institut Henri Poincaré de Paris, par exemple, on peut assister à des conférences en Anglais, car la plupart des publications scientifiques le sont dans cette langue (lol).
Ce serait bien de s’inspirer de l’exemple d’un « petit » pays voisin qui reconnait sur son territoire 4 langues nationales, à savoir la Suisse / Schweiz (Schwüz) / Svizzera / Svizra. On peut suivre à la télévision des magazines scientifiques en « dialecte » alémanique. La « petite » Belgique ,aussi, reconnait 3 zones linguistiques (flamand, français et allemand)
Enfin, opposer la « reductio ad hitlerum » aux langues et cultures régionales est tout à fait indigne… Vous parlez un dialecte allemand? Mais les nazis parlaient allemand, alors… Rappelons que les habitants du Tirol du Sud en Italie continuent encore aujourd’hui à défendre leur langue allemande (pourtant combattue par le régime de Mussolini, sans que Hitler y trouvât à redire)
Bonjour,
Je pense que la démonstration, efficace, n’a pas besoin d’user du mépris que contient le terme « jargon », d’autant que c’est erroné. Je ne parlerai que de ce que je connais : le provençal.
Il s’agit d’une vraie langue qui a connu ses heures de gloire. Dès la fin du XIe siècle puis dans tout le XIIe, les troubadours avec le concept de la fin’amor (amour courtois, en français) hissent indéniablement le provençal au rang de langue. Plus près de nous, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, les poètes du Félibrige et leur chef de file Mistral, prix Nobel de littérature, lui confèrent aussi ses lettres de noblesse.
Tout à fait d’accord avec vous, le provençal est même encore de nos jours une langue vivante car il existe toute une littérature provençale et il y a encore de nos jour des écrivains et poètes provençaux qui produisent de la littérature en provençal. Le terme « jargon » ne sied pas au provençal et très probablement pas à d’autres langues régionales.
Qu’il y ait une langue nationale, le français, est tout à fait normal car il faut bien se comprendre où que l’on soit dans le pays, mais de grâce, nos langues régionales, et je dis bien « langues », méritent d’être traitées avec un peu de respect car ces gens qui parlaient ce que certains appellent dédaigneusement des « patois » ce sont nos ancêtres, ceux qui ont fait de la France ce qu’elle est (ou a été devrais je dire). Ceux qui s’acharnent sur les langues régionales seraient mieux inspirés de s’acharner sur d’autres langues en passe de prendre le dessus en France comme le turc ou l’arabe.
@ charles martel 02,
le provençal c’est de l’Occitan ! c’est mistral qui a foutu sa merde et qui a diviser avec ses félibrige et autres conneries folklorique pour parisiens .
le provençal est un occitan , tout comme le finisterien est un breton !
@ jim,
bonjour , le provençal c’est de l’occitan ne l’oubliez pas ! quant a mistral il n’a fait que diviser dans l’Occitanie !
la fine amor est né dans l’ouest de l’Occitanie créée par les troubadours cathares (bon chrétiens de leurs vrai nom) , pour faire passer message sans se faire chopper par les inquisiteurs a la solde du vatican . en effet lorsque ils parlaient de la Dame dans leurs proses il été question de l’église invisible ( celle des bons chrétiens occitans ) . le terme cathare été péjoratif c’été une insulte de vatican , le vrai terme été bons chrétiens .
les troubadours il y’en a eu bien plus tard dans Occitanie de l’est comme la provence .
l’amour courtois , terme utilisé par chrétien de trois est une falsification catholique du fine amour occitan .
cordialement
Tout cela serait bel et bon si des langues sans aucun lien avec le passé de la France, et bien plus pernicieuses que le breton, le basque, l’occitan ou le catalan, etc… pour la cohésion du pays, n’étaient pas promues » en même temps « .
– L’arabe et le turc par exemple.
– Les mots d’anglais ( souvent de pseudo anglais ), aussi, que l’on lit ou entend partout, à la place de mots français qui disent, mieux, la même chose. Macron ne parlant d’ailleurs que ce langage.
Sans compter que » l’ éducation nationale » s’acharne elle aussi, dès le primaire, à détruire notre langue.
La pauvreté de vocabulaire, d’orthographe et de grammaire, y compris celle de jeunes qui entrent en faculté, en est la preuve.
Lorsque l’on voit les fautes sorties des élucubrations de nos journalopes…
Soyons rassurés, très prochainement les bretons causeront en spaghettis, et le chef des tas fera sa propagande télé dans ce machin.
Par contre, la nouvelle écriture des noms de villes sera comprise par les collabos pour de l’art.
Exact, le danger essentiel c’est le monolinguisme anglais , tendant à marginaliser la langue française dont le nombre d’heures de cours dans l’enseignement scolaire est en réduction constante. L’anglais s’impose de plus en plus dans l’espace public (publicités, événements sportifs ou culturels , dans les médias mais aussi dans les entreprises et dans l’éducation nationale, où des expériences sont conduites pour étendre l’enseignement de l’anglais dès la maternelle et enseigner certaines disciplines fondamentales en anglais comme l’histoire ou les maths dans le primaire ou au collège. Malheureusement les Français sont résignés quand ils ne sont pas favorables à cette évolution par snobisme et peur de passer pour ringard, s’ils marquent leur attachement à leur langue et parce qu’on fait croire aux familles que l’anglo-américain est indispensable pour que leurs enfants trouvent dans le futur un emploi. Tout cela concourt à la marginalisation de notre langue.