Grâce à Résistance républicaine, la daube "Soumaya" interdite de projection au "Grand Rex" ! Champagne !

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Nous, on n’est pas des dégénérés hargneux de gauchistes ennemis de la liberté d’expression, on n’a pas appelé à mener de campagne agressive contre le film, on a fait ce que l’on fait toujours, on a informé les lecteurs de ce qu’était le fameux  “Soumaya”, gigantesque manipulation montée avec la complicité active du CCIF dans 2 articles… qui auraient attiré l’attention du Grand Rex qui aurait décommandé.

Les pleureuses ne pensent pas une seule seconde que tout le monde en a ras-le-bol de leurs manipulations, de leur volonté de faire passer l’islamophobie pour du racisme… Tout le monde en a plus qu’assez du CCIF, de ses manipulations, de ses menaces, de ses procès, de ses liens avec les Frères musulmans…Tout le monde en a tout simplement marre de l’islam. Et oui, tout arrive. Et ce n’est pas la condamnation de Zemmour qui va faire changer d’avis les Français, au contraire.

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NOS DEUX ARTICLES SUR LE SUJET 

-L’un d’Antiislam qui, en introduction d’un article de racolage pro Soumaya de précisait la situation avec sa verve habituelle :
[…]

Non seulement les musulmans d’Oumma.com, comme l’entièreté de leurs « frères » , refusent tout « examen de conscience » ( ce terme a-t-il seulement un sens pour le suprémacisme coranique ?) sur les horreurs  passées et actuelles de l’Islam  mais ils chouinent encore et toujours.

Pensez, ces criminels de mécréants ont osé écarter une voilée des pistes de Roissy après les attentats du 15 novembre 2015 !

Mais c’est une honte, selon Oumma.com, comment cibler les paisibles musulmans après ces attentats qui-n’ont-rien-à-voir-avec-l’islam ?

Non, sans doute aurait-il mieux valu  surveiller les associations amicales de boulistes ou celles  des  mangeurs d’andouillette dont on sait qu’ « Allah Ouakbar » est la devise.

Bref, les salopards islamistes  d’Oumma.com se payent notre tête à jet continu  et cela ne peut plus durer …

[…]
http://resistancerepublicaine.com/2019/08/14/avec-le-film-soumaya-ca-chouine-de-plus-belle-sur-oumma-com/
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-L’autre de Paco, qui avait également dénoncé les dessous du film.
http://resistancerepublicaine.com/2019/02/07/les-dessous-de-soumaya-film-du-ccif/
 
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Hé, bien, ça pleure à gros bouillons chez les islamo-gauchos de Street Press, et que je me victimise, et que je parle d’islamophobie, et que je demande à être représenté comme musulman… Pouah ! A dégueuler.

 

Soumaya devait être projeté en avant-première au Grand Rex. Après une campagne de dénigrement menée par la fachosphère, le ciné s’est dégonflé. Depuis le film galère pour trouver des salles.

« Moi j’appelle ça de la censure silencieuse. » Au téléphone, le cinéaste Ubaydah Abu-Usayd revient sur la genèse, et les galères, de son premier film, Soumaya, co-réalisé avec Waheed Khan. Le pitch : Soumaya est cadre depuis 14 ans dans une entreprise de transport ; du jour au lendemain, au moment des attentats de Paris, elle est perquisitionnée et perd son emploi. Dérives de l’état d’urgence, ambiance post-attentat, islamophobie, Soumaya – tiré d’une histoire vraie – aborde un certain nombre de sujets brûlants. Avec l’idée de les démystifier. « On nous dit toujours que ce sont des thématiques importantes. Mais certaines personnes ne veulent pas diffuser le film, sans jamais donner de réelles raisons. » 

Le Grand Rex déprogramme

En mars dernier, c’est le Grand Rex qui annule leur avant-première, pourtant prévue depuis décembre 2018. « On avait payé l’acompte. Il nous manquait une dernière confirmation. » Mais sur les réseaux sociaux, la fachosphère – dont notamment Résistance républicaine et FdeSouche – s’empare du sujet. « Un coup de pression », selon les réalisateurs. Ils reçoivent dans la foulée un appel de la salle de ciné parisienne, qui leur annonce leur déprogrammation. « Nous ne passons pas ce genre de film », leur explique le Grand Rex. Par « genre », l’institution entendrait « film indépendant ». Mais après quelques recherches, les réals trouvent des précédents de diffusions de productions indé. 

« C’était pour d’autres raisons. J’étais extrêmement choquée que l’affaire ne fasse pas plus de bruit », se souvient, amer, Soraya Hachoumi, l’actrice principale. Les réalisateurs décident d’aller jusqu’aux tribunaux. Les avocats de la salle finissent par lâcher le morceau : 

« Le Grand Rex est un cinéma commercial et familial. Il n’a pas pour vocation de diffuser des films politiques ou confessionnels. » 

« Le blocage est toujours le même : la religion. ( Note de C. Tasin : un peu, mon colon, on ne veut pas en entendre parler, de votre religion, on est en France ici, la religion c’est privé !). Et c’est pareil pour les médias mainstream, que notre film n’a jamais intéressé », clarifie Ubaydah Abu-Usayd. Même s’il souffre de quelques défauts liés au manque de moyens, ce n’est pas, selon le réalisateur, le souci : « Ils ne l’ont pas vu… »

Les liens qu’auraient des réalisateurs avec le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) reviennent, aussi, régulièrement sur les réseaux sociaux. Ubaydah Abu-Usayd n’y voit aucun problème : « C’est un organisme qui a aidé beaucoup de familles musulmanes pendant l’état d’urgence. » Le CCIF leur a mis à disposition les dossiers des différentes personnes qu’ils suivent dans leurs démarches juridiques. C’est par l’intermédiaire du collectif que le réalisateur rencontre la maman voilée qui se cache derrière le personnage de Soumaya. 

Film artisanal

« Le but n’est pas de parler de l’Islam, mais de donner le point de vue de la communauté musulmane », ( Note de C. Tasin  ben justement, la communauté musulmane on s’en tape le coquillart, la Républicque ne reconnaît que des citoyens, indépendaamment de leur sexe, couleur de peau, origine, religion…) explique le réal. Soraya Hachoumi embraye : « On a beaucoup parlé des musulmans dans les médias, sans leur donner la parole. C’est terrible. Sans prosélytisme, le film leur donne la parole ». 

Pour cette mission, l’équipe du film commence par organiser un crowdfunding, qui se révèle insuffisant. C’est un mécène qui, croyant à la nécessité d’un tel projet, leur confie un gros chèque : 27.000 euros. C’est seulement le budget nécessaire pour un court-métrage. Waheed Khan et Ubaydah Abu-Usayd en ont fait un long. « Quand un film français tourne autour de 4 millions », renseigne ce dernier. « Je l’ai subi ce film », confie l’actrice principale qui, comme tous les acteurs, a été bénévole. « C’était beaucoup de temps, d’investissement, et c’était exceptionnel comme mode de fonctionnement. Les vêtements par exemple, ce sont tous les miens dans le film. » Les réals défendent eux leur cinéma indé et « artisanal », comme ils l’appellent. 

La diffusion est tout aussi artisanale. N’étant pas dans un circuit classique, l’équipe a entamé une petite tournée. Elle demande aussi, chaque soir, de partager le hashtag #Soumayadansmaville, pour les aider à répandre le plus possible le long-métrage. « Comme on a peu de relais, les réseaux sociaux nous servent de médias », assure le réalisateur. Lors de la première date, porte des Lilas à Paris, le 30 août dernier, une des spectatrices a pris la parole : « Il y a des centaines de films avec des musulmans. Mais je crois que c’est la première fois que je me retrouve. Pour une fois, je suis représentée. Merci. »

https://www.streetpress.com/sujet/1568728693-soumaya-film-censure-islamophobie

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16 Commentaires

  1. C’est toujours distrayant et “jubilatoire” (je préfère jouissif, mais les pisseurs de copie gauchos se gargarisent de ce terme qui pensent-ils leur donne l’air cultivé et intello, alors autant le leur renvoyer) de voir les gauchos chouiner quand ils subissent pour une fois ce qu’ils font subir en permanence à tous ceux qui ont l’heur de leur déplaire (oui, l’heur, car c’est plutôt bon signe de déplaire à ces cons), les campagnes de lynchage, les procès en sorcellerie, les excommunications, les ostracismes… Quand c’est eux qui en décident, la “stigmatisation” est légitime! Mais quand c’est eux qui subissent, c’est le goulag les heures les plus sombres de notre histoire, le camps de concentration, Pinochet, etc.
    ___
    Tiens, ça me fait penser à cette émission hier de l’heure des pros (Pascal Praud sur Cnews), avec deux gauchistes folles à lier déchainées, glapissant en continu pour empêcher toute autre expression que la leur, au point que Praud qui avait visiblement envie de leur mettre le poing dans la figure tellement elles étaient imbuvables s’est mis en colère et a failli les expulser.
    A regarder, c’est ahurissant ce que ces cinglés de gauchistes se permettent. leur certitude d’avoir raison , d’être le camp du bien, leur absence de respect, leur mépris de l’Autre, pardon des autres.
    Du fascisme caractérisé.
    Les deux gauchistes, les malades mentales Caroline Mekary (avocate gauchiste LGBT) et Julie Garnier (membre de LFI, parti intégralement composé de fous furieux*, en particulier paranoïaques et histrioniques). Complètement hystériques, je ne comprends même pas qu’on invite des connasses pareilles, des perverses qui ne sont là que pour pourrir l’émission.
    *Je n’exagère pas, chaque fois que j’en découvre un nouveau ou une nouvelle, il est plus cinglé que le précédent.
    pour regarder c’est ici :
    https://www.cnews.fr/emission/2019-09-20/lheure-des-pros-du-20092019-881156
    Le festival commence aux alentours de la 26ème minute, un premier climax vers la 33ème, et quelques dizaines de minutes plus tard départ fracassant (bon débarras) de la frappadingue LFI (pléonasme, je sais) Julie Garnier.

  2. On veut pu entendre parler des muzzs, on sature. Ils n’ont toujours pas compris.
    On les entend à journée longue dans les faits divers.

  3. Une remarque :
    Quel étrange paradoxe sémantique :
    Ainsi, tout opposant au totalitarisme que représente le “programme” de la secte, qui a prospéré comme une mauvaise herbe envahissante, est qualifié de : “facho”.
    Si on suit ce raisonnement biaisé : quelqu’un qui se défend alors qu’il est agressé physiquement devient aussi un agresseur ?!
    Quelqu’un qui défend sa culture devient un facho (selon certains gauchistes imbibés de vapeurs de cannabis et autres produits récréatifs…) face au déferlement des thuriféraires de la secte qui veulent imposer leurs moeurs, leurs lois…
    Si être un “facho” (selon le cerveau pollué de certains imbéciles heureux) c’est vomir la “religion/idéologie” qui nous chie dessus alors je suis fier d’être
    un “facho” (un doux facho car sans violence : on n’est plus à une contradiction près…)

  4. Le but est de donner la parole aux musulmans ? Mais on la connaît, leur parole : c’est la tagiya à tout bout de champ. Mensonge, mensonge, et mensonge. Inutile, donc, on passe à autre chose. Merci.

  5. “(…) Sans prosélytisme, le film leur donne la parole ».
    Ben, et le voile et la victimisation en filigrane, si ce n’est pas du prosélytisme victimaire, c’était quoi au juste le vrai message ?

  6. Il a raison Messiha ….
    Ceux qui veulent s’habiller comme là bas, s’appeler comme là bas, parler comme là bas, manger comme là bas n’ont qu’à rester là bas !!!….
    Marre de ces enturbannés dont l’objectif est de nous imposer leur mode de vie moyenâgeux !

  7. @pickachu le grand rex est encore moins a classer dans la catégorie “arts et essais ” par ailleurs la naissance de ce type d’art ne signifiait ‘il pas le début de la déliquescence de plus qu’aurais même a voir le septième art soit il classieux comme vous dites avec des gens qui interdisent sont existence et son expression

  8. Cette saleté de gia algérien qui egorgeait ces propres congénères dans les années 80 combien ces soit disant réfugiés en fait cette engeance de merde avons nous accueillie par humanité et cette merde de musulmans nous ont imposé leur saleté de voile islamiste peut après

    • La Grande Bretagne accueillait le GIA des égorgeurs pendant cette période et on voit ce que cela donne aujourd’hui . Le refus de désigner les responsables de délits en citant leurs noms et leurs origines pour ne pas stigmatiser . Comme vous le suggérez,beaucoup de ces ex GIA ont du s’expatrier dans notre pays et doivent travailler la société par une propagande farouche !

  9. Le plus extraordinaire, en définitive, c’est qu’ils n’envisagent à aucun moment cette question pourtant fondamentale : “Est-ce un bon film ?”.
    A aucun moment la question ne se pose à eux.
    Ne pouvez-vous pas imaginer un seul instant que votre film est un navet ? Qu’il est un échec commercial programmé ? Qu’il n’intéresse qu les MJC de Trappes ou de Roubaix ? Que les seuls people qui veulent le voir sont Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo ?
    Je suppose qu’ils se victimisent justement pour ne pas se poser la question de la qualité de leur film. Ils peuvent donc ainsi, continuer à se prendre pour de grands réalisateurs, scénaristes, acteurs mais à qui on ne donne pas leur chance.
    Un peu comme Tariq Ramadan qui se veut le nouveau Dreyfus, ces artistes ratés ont besoin du scandale pour se prendre pour des nouveaux Zola, Orson Welles et Marlon Brando.
    Voir à ce sujet, un autre “grand” du cinéma, Charlie Mogier, lui aussi victime d’un système qui fait tout pour l’exclure. Son talent est une trop grande menace pour les autres apparemment : https://www.youtube.com/watch?v=q2YZiWP4T04

  10. Soyons honnête, le Rex est un cinéma “classieux”, il n’a pas vocation à diffuser des navets. Je ne pense pas que le Rex ait jamais programmé des films de René Clair (à qui l’on doit les films cultissimes :
    – Tais-toi quand tu parles
    – Plus beau que moi, tu meurs
    – Par où t’es rentré ? On t’a pas vu sortir
    ). Bref, le Rex est plus qu’une salle de cinoche de quartier, c’est du haut de gamme, presque une institution.
    Donc Soumaya n’a de toutes façons aucun rapport avec le Rex.
    Encore une pleurnicherie.
    Si je faisais demain, un polar avec Maité (la cuisinière) dans le rôle principal (la meurtrière qui assassine par strangulation avec des feuilles de rouleaux de printemps), je ne pense pas que le Rex passe un tel film expérimental sur ses écrans.
    Soit dit en passant, des volontaires pour un casting sur la base de cette ébauche de scénario ?

  11. Rendons grâce à dieu espérons que cette saine réaction systémique d’autodéfense contre ce cancer qu’est l’islam créé une pandémie auprès du monde occidental en revanche le salopard de choupinet et ces sbires la tremblante Merkel allemande et ces ss la saleté de conspirateurs gauchistes et ces immondes capitalistes mondialiste soient emportés avec ad eternam

  12. La première bonne nouvelle de la journée. Ca tombe bien j’avais le moral brisé… Mais, dans des cas comme celui du Rex j’ai toujours peur de revirements… J’espère qu’ils resteront ferme sur leurs positions !
    Petite note pour rire : samedi dernier dans le coin presse ou j’achète mon journal, j’avise Gazelle, la revue des maghrébiennes. Et je lis en gras sur la couverture : “L’islam fait maigrir – Etonnant ?”…. J’ai bien ri intérieurement car il suffit de croiser les moukères dans la rue pour voir à quel point l’islam fait maigrir ! Cornes de gazelles et couscous, au Secours ! (si ce n’était que ça…).

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