Image : plateau de haute technologie pour la transplantation d’organes en Turquie, spécialiste mondial dans ce domaine.
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Sur le trafic d’organes, on ne peut que recouper des informations qui arrivent toujours indirectement (car le pouvoir turc couvre ces activités), et qui, bribes après bribes, finissent par donner une idée de la réalité : la Turquie effectue bien des transplantations avec des organes de « donneurs » vulnérables.
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Le pays, qui historiquement ne s’est jamais trop embarrassé de scrupules, a procédé à une transformation de son image vers 2008 pour donner une image officielle d’expert mondial dans les transplantations d’organes.
Problème : il y a une pénurie de matériau.
Le marché noir se charge alors de recruter des « donneurs », en particulier parmi les Syriens (recrutés directement en Syrie ou sur le territoire turc) pour faire tourner le matériel et les équipes.
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Une récente affaire, rapportée par LCI ces jours-ci, faisant état de Bulgares, donne une idée des tarifs en vigueur pour des organes, les plus demandés étant le rein et le foie.
Un réseau de trafic de reins démantelé :
des transplantations réalisées dans un hôpital en Turquie avec des organes de Bulgarie.
Quatre personnes qui dirigeaient un réseau de trafic d’organes ont été condamnées par la justice bulgare. Elles recrutaient des « donneurs » vulnérables et monnayaient une transplantation de reins auprès de receveurs potentiels.
A noter que ce ne sont jamais les autorités turques, le pays étant toujours au centre de trafics d’organes depuis des décennies, qui démarrent des enquêtes et procèdent aux arrestations : ici encore, on voit que c’est la police bulgare a démantelé le réseau.
Sur ce sujet délicat, silence-radio des médias sur la Turquie et son dictateur islamiste, qui continue tranquillement son commerce.
On se doute bien que ce type d’affaire n’est que le haut de l’iceberg quand on voit le peu de scrupule des hôpitaux turcs et qu’elle s’inscrit dans le cadre très lucratif d’un vaste marché noir de type mafieux.
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Les autorités bulgares ont démantelé un réseau criminel dont quatre membres ont été inculpés pour avoir recruté des personnes pauvres pour vendre leurs reins à des malades devant subir une greffe, a annoncé vendredi le parquet. Trois hommes et une femme ont été inculpés vendredi pour avoir recruté des donneurs de reins qu’ils ont mis en contact avec des personnes ayant besoin d’une transplantation rénale, a indiqué à la presse le procureur Dimitar Petrov.
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Les transplantations étaient réalisées dans un hôpital en Turquie grâce à des faux papiers faisant croire que le donneur et le receveur étaient parents, a-t-il ajouté.
Au moins cinq personnes ont bénéficié d’une greffe de rein grâce à ce trafic depuis février 2019, deux autres patients et trois donneurs potentiels étant en attente d’une intervention chirurgicale.
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Entre 50.000 et 100.000 euros pour une transplantation
Les patients payaient entre 50.000 et 100.000 euros pour une transplantation, a ajouté le procureur Siyka Mileva, citée par l’AFP.
Les donneurs, principalement des sans-emplois pauvres et endettés, recevaient entre 5.000 et 7.000 euros après l’intervention chirurgicale.
Seules 22 greffes de reins ont été réalisées en Bulgarie cette année, alors que 1.028 personnes sont inscrites sur la liste d’attente des greffes, selon les chiffres du ministère bulgare de la Santé.
Organes de Syriens : reportage d’Arte, 2017.
Reportage d’Arte 2017.
La communauté syrienne s’est installée dans les grandes villes du Sud comme Adana, Gaziantep ou Hatay mais aussi à Istanbul. Petit à petit, après plus de 6 ans loin de leur pays, leurs conditions de vie se dégradent : leurs ressources financières diminuent, tout comme la sympathie des Turcs à leur égard.
Les Syriens voient leur patrie s’embourber dans la guerre et beaucoup d’entre eux n’ont aucune perspective en Turquie. Certains sombrent alors dans le désespoir le plus total. Vendre un organe semble la seule option possible pour s’en sortir. Quand ils ne prennent eux-mêmes la décision de sacrifier un de leurs organes, ce sont des trafiquants qui voient dans cette misère humaine une opportunité rentable : les plus faibles d’entre eux sont approchés par des entremetteurs qui leur proposent la transaction…
De Constance de Bonnaventure, Ahmed Deeb et Sylvie Millet – ARTE GEIE / Agence Capa – France 2017
La carte ci-dessus a été fournie à l’appui de la demande de Mme Bénédicte Taurin, députée de l’Ariège, qui attire l’attention de M. le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sur les éléments concordant montrant l’existence de prélèvements forcés d’organes sur des prisonniers de conscience en… Chine !
La Turquie fournit pourtant des organes dans le cadre de la mondialisation du trafic d’organes.
Mais on ne demande jamais de comptes à la Turquie.
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Une autre carte, également parlante, du marché mondial du trafic de reins :
la Turquie est « fournisseur » !
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Autre article sur le sujet, plus problématique quant à ses sources (traduction d’un journal libanais…). Difficile d’y voir clair, mais l’article a le mérite de donner des pistes.
La vidéo que notre rédaction a mis à disposition des lecteurs a été supprimée de YouTube au motif que le contenu est violent. Radio Capitole peut vous assurer que ce trafic d’organe existe réellement.
Les faits remontent en 2015 mais selon certaines informations qui nous sont transmises des éléments laissent penser que ce trafic existe toujours.
Traduction –
Le journal libanais ad-Diyar a annoncé que les autorités turques transportaient encore en 2018, de jeunes enfants et des Syriens blessés qui entraient en Turquie dans des hôpitaux d’Antalya et d’Iskenderun dans des voitures contrôlées par la police et des services spéciaux turcs.
Chez les Syriens blessés, après l’anesthésie, les organes du corps sont prélevés, puis ils sont tués et laissés pour être enterrés à la frontière turque ou ailleurs.
Comme le montre le journal, ce commerce est connu depuis longtemps mais passe encore en 2019 dans le silence le plus total. En effet, des médecins syriens sont venus d’Allemagne, de France et de Belgique pour soigner les blessés pendant la guerre.
C’est ainsi qu’ils ont découvert ce qui se passait dans 2 hôpitaux turcs, mais se sont heurtés à des obstacles pour rassembler des informations supplémentaires.
Le journal ad-Diyar souligne que les forces de sécurité syriennes (AAS), font détruire les hôpitaux syriens, détruisant du matériel médical et des fournitures médicales. Par conséquent, les Syriens de la région d’Alep se retrouvent dans des hôpitaux turcs, ignorant le danger.
Ce que nous ignorons, c’est comment l’Armée Syrienne, en partenariat avec certaines ambulances en Syrie, transporte les blessés vers des hôpitaux en Turquie, où des organes sont prélevés et échangés. Notre correspondant sur place sera même en lien avec un médecin ayant prélevé l’année dernière des organes tels que les yeux, les reins.
H ad-Diyar, indique que certains médecins turcs ont participé activement à ce trafic d’organes.
La vidéo démontre que le trafic d’organes débutant dans les années 80, est juste une horreur absolue.
Pourtant aujourd’hui en 2019, et confirmation de nos confrères sur place, ce trafic existe toujours. Rien de pire que de faire cela sur des petits enfants déjà victimes d’une guerre aussi destructrice.
ALEP
La libération d’Alep a permis de confirmer l’existence d’un important réseau de trafic d’organes monté par les rebelles terroristes qui les faisaient passer à travers la frontière turque.
Selon l’agence russe Sputnik, sur la foi des habitants de la ville, les ambulances des miliciens takfiristes circulaient en ville à la recherche de blessés et donc de donateurs potentiels.
Abu Mohammed, âgé de 60 ans a vécu cette expérience qu’il a racontée à l’agence Sputnik:
« Nous avons essuyé des tirs au lance-grenade. L’ambulance des takfiristes est arrivée tout de suite après. Résultat : on m’a volé un rein et une partie de ma rate. D’habitude, cela se passait de la façon suivante : si une détonation se faisait entendre dans la ville, une équipe de terroristes est immédiatement dépêchée dans la région afin de récupérer les morts et les blessés. Au bout d’un certain temps, plusieurs blessés étaient autorisés à rentrer chez eux », a indiqué l’interlocuteur de l’agence.
Selon une autre habitante d’Alep, Alya, un vaste marché a été organisé près de la frontière turque.
« Dans ce marché on peut acheter pratiquement tout, dont des femmes et des enfants. Un mort y coûte 25 000 livres syriennes (48 euros), alors qu’un blessé est vendu trois fois plus cher, à 150 000 livres (278 euros).
Chaque jour, les hôpitaux se remplissent de blessés qui sont considérés comme une source d’organes », a confié Alya à l’agence Sputnik.
Un groupe d’experts médico-légaux a déclaré à l’agence qu’il était très facile de se procurer des organes humains en ville.
Des étrangers venus en ville sous couvert d’aide humanitaire étaient en réalité des membres de la mafia qui, d’un commun accord avec des médecins étrangers, volaient des organes humains et les faisaient passer par la frontière turque.
Environ 18000 transplantations illégales d’organes auraient été recensées dans le nord syrien (Alep), indiquent des chiffres non officiels.
source: http://french.almanar.com.lb/170355
et https://reseauinternational.net/decouverte-a-alep-dun-trafic-dorganes-passant-par-la-turquie/
Scheper-Hughes, la femme anthropologue pionnière en guerre contre le trafic d’organes.
Dans ses enquêtes, elle se faisait parfois passer pour une patiente en attente d’une greffe ou pour quelqu’un cherchant à acheter un rein pour un proche malade
Voici ce qu’elle raconte sur la Turquie dans un article paru en 2006 dans les Annals of Transplantation.
Lors d’une visite en Turquie, elle s’était fait passer pour une femme cherchant à acheter un rein pour son mari malade sur un marché aux puces, près d’une station de minibus à Aksaray, un quartier d’Istanbul marqué par la pauvreté et l’immigration.
Très facilement, elle trouva un boulanger au chômage, qui lui dit sans problème accepter de vendre un de ses reins, et elle alla jusqu’à discuter avec lui dans un café du coin pour négocier le prix.
https://www.ulyces.co/ethan-watters/nancy-scheper-hughes-en-guerre-contre-trafic-organes/
2008 : quand la Turquie se refaisait une virginité.
A un moment donné, la Turquie a tenté de redorer son image, à grand renforts de propagande dont elle a l’habitude (on ne touche pas à la Turquie, n’est-ce pas ?). C’est la fameuse mascarade de la « déclaration d’Istambul » de 2008 ! Ha ! ha !
La Déclaration d’Istanbul a été créée lors du Sommet d’Istanbul sur le trafic d’organes et le tourisme de transplantation, qui a eu lieu du 30 avril au 1er mai 2008 à Istanbul, en Turquie.
La Déclaration met en lumière les questions relatives au tourisme de transplantation, à la vente et au trafic d’organes. Elle fournit des directives éthiques encadrant le don et la transplantation d’organes. Depuis la création de la déclaration, plus de 100 pays ont renforcé leurs lois luttant contre le commerce illégal d’organes, comme Israël, les Philippines et le Pakistan.
2018 : dix ans après, la Turquie se pose en modèle !
La Turquie figure parmi les trois premiers pays du monde en ce qui concerne les greffes de rein et de foie provenant de donneurs vivants, a déclaré Yavuz Selim Çınar, chef de l’Association turque des coordinateurs de greffes, le 4 juillet 2018.
S’adressant à l’agence Anadolu lors du Congrès international des greffes d’organes à Madrid, capitale espagnole, Çınar a déclaré que la Turquie avait formé trois mille personnes dans 76 pays en trois ans dans le cadre d’un projet de réseau international de transplantation (ITN).
Çınar a déclaré qu’environ 2 millions de personnes dans le monde, dont plus de 25 000 personnes en Turquie, sont sur les listes d’attente pour les transplantations d’organes.
Malheureusement, environ 10% de ces patients meurent chaque année avant d’avoir accès à un organe approprié.
Certes, le facteur le plus important limitant les transplantations d’organes en Turquie – comme c’est le cas dans le monde – est l’approvisionnement en organes, un problème majeur, a-t-il ajouté.
[Tiens, tiens…mais avec les millions de réfugiés syriens sur son sol, cela devrait s’arranger…]
Çınar a déclaré que la Turquie se classait parmi les trois premiers pays en termes de greffes d’organes à partir de donneurs vivants parce que c’est un pays technologiquement avancé comparé à beaucoup de pays en termes d’expérience dans le domaine.
Il a également dit qu’ils travaillaient pour avancer à des niveaux similaires dans les transplantations de cadavres, alors qu’ils se concentrent sur la formation des agents de santé, le renforcement des infrastructures techniques et la conduite d’activités de sensibilisation pour stimuler les dons d’organes dans la société turque.
[Comme c’est bien dit !]
Selon le ministère de la Santé, le nombre de greffes de foie en Turquie à ce jour est de 1 087 provenant de donneurs vivants et de 359 provenant de cadavres. Le nombre de greffes de rein provenant de donneurs vivants s’élève à 2.647 et à 693 à partir de cadavres, a dit Çınar.
Toujours en Juillet 2018, la Turquie avait droit aux honneurs internationaux dans le domaine des greffes d’organes :
La Turquie va accueillir près de 1500 scientifiques dans le cadre du premier congrès mondial du réseau de greffes d’organes (International Transplant Network Congress)
La Fondation turque de Greffes d’organes (TONV) a participé à Madrid au Congrès international de transplantation d’organes organisé par Transplantation Society, plus grande organisation du monde dans ce domaine.
La fondation TONV a saisi l’occasion pour présenter le programme du futur « 1er Congrès Mondial du réseau de greffes d’organes », qui se déroulera du 17 au 21 octobre 2018 à Kemer, dans la province d’Antalya, dans le sud de la Turquie.
Près de 1500 scientifiques travaillant dans ce domaine, originaires de 76 pays, dont l’Allemagne, la France, l’Italie et d’autres pays européens, mais aussi le Sénégal, le Nigéria, le Kenya, l’Inde, le Maroc, la Tunisie, l’Algérie, la Malaisie ou encore le Pakistan, participeront au congrès en Turquie.
Le congrès prévoit 144 manifestations, notamment des sessions de travail avec les plus imminents spécialistes de la greffe d’organes.
Eyup Kahveci, le président de la fondation TONV, a déclaré à l’Agence Anadolu (AA) que l’organisation de ce premier congrès mondial en Turquie est un événement très important pour son pays.
Dans la même lignée, on a aujourd’hui les vidéos propagandistes sur le savoir-faire turc, sous couvert de promotion du don d’organes. On y voit des journalistes africains déambuler, « babas » devant tant de modernité, au cours d’une visite d’un hôpital modèle qui transpire l’argent.
Tourisme médical de la transplantation d’organes : l’hypocrisie de la Turquie qui se vante de son savoir-faire.
Le Réseau international de transplantation d’organes a organisé du 17 au 19 août 2016 à Istanbul, un atelier sur la transplantation et don d’organes au profit des journalistes africains. Des centres spécialisés en tourisme médical, visités, possèdent de la haute technologie et offrent des transplantations du cœur, du foie, du rein, de pancréas prélevés sur des vivants ou des cadavres humains.
Transplantation d’organes: la Turquie expose son savoir-faire aux journalistes (2016).
« Tourisme médical », est le nouveau terme qui émerge dans le monde de la santé en Turquie. En effet, ce pays à cheval entre l’Europe et l’Asie fait la promotion du tourisme médical dans ces grands centres de santé comme « Memorial », « Acibadem » à Istanbul et « Kent » à Izmir, la 3e grande ville du pays.
Photo : quelques images de la luxueuse chaîne d’hôpitaux « Acibadem », n°1 en Turquie.
Avec un plateau technique très performant, ces centres ont une renommée internationale dans le domaine de la transplantation des organes : le foie, le rein, le cœur, le pancréas, etc.
Ces hôpitaux sont construits comme des hôtels avec des chambres et des restaurants. Le groupe « Memorial » dispose de 1300 lits avec 60 salles d’opérations.
Quant à ACIBADEM, il est un centre hospitalo-universitaire de référence en matière de transplantation d’organe depuis 1988. En Turquie, la plupart des transplantations se font avec « des organes donneurs vivant (70 à 80 %), des donneurs d’organes de cadavre sont faibles », selon le Pr Remzi Emiroglu de Acibadem, l’un des meilleurs transplanteurs d’organes.
Ce professeur depuis 1988 a, à son compte plus de 500 cas de transplantation. « Nous opérons des adultes de 70 ans, mais aussi des bébés. Nous sommes capables de faire la transplantation d’organes au nouveau-né. Le taux de succès de la transplantation du foie est de 99 % », affirme-t-il.
[Tourisme médical…]
Le pays compte 78 centres de transplantation d’organes du rein et 38 autres du foie.
Pour ces deux organes, le donneur donne soit un rein (et vivra avec un seul rein) ou s’il s’agisse du foie 30 à 40 % du volume dudit organe.
En Turquie, les organes turcs ne sont donnés exclusivement qu’aux turcs.
http://news.aouaga.com/h/101825.html
Impunité ?
La Turquie a toujours été championne de la duplicité et du chantage :
dans tous les domaines, on lui a toujours dit « oui » face aux menaces brandies.
Après-guerre, profitant du bouleversement géopolitique, il s’agissait de capter la manne américaine, en faisant du chantage au communisme. On se souvient de la fameuse « Doctrine Truman » de l’époque, qui a conduit à donner des flots de dollars à la Turquie pour s’en faire un allié et endiguer le communisme.
« Je crois que les États-Unis doivent soutenir les peuples libres qui résistent à des tentatives d’asservissement […]. Je crois que nous devons aider les peuples libres à forger leur destin […]. Je crois que notre aide doit consister essentiellement en un soutien économique et financier.[…] de maintenir la liberté des États du monde et à les protéger de l’avancée communiste. »
— Harry S. Truman au Congrès des États-Unis le 12 mars 1947.
On a assisté passivement à la conquête de Chypre. Outre les 4000 morts du conflit et le millier de disparus, l’île va connaître un véritable nettoyage ethnique sur le modèle des échanges de population entre Grèce et Turquie de 1922. 200.000 des 500.000 Chypriotes grecs sont chassés du nord de l’île, 70.000 chypriotes turcs rejoignent le nord.
On n’a pas eu le communisme, mais que fait-on contre l’islamisme ?
Et n’oublions pas le pogrom d’Istanbul de 1955.
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Puis on a eu le chantage de l’adhésion européenne, avec des promesses d’avancée des droits humains ! Qu’attendre de la part de cet arriéré pays islamiste ! Quels buts poursuivaient donc VGE et les autres « naïfs » et pour quels obscurs intérêts ?
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Ceux qui veulent savoir ce qu’il en est dans ce pays islamiste ont toutes les informations à leur disposition. Sa vision des femmes :
http://resistancerepublicaine.com/2018/11/05/depuis-querdogan-est-au-pouvoir-440-000-mineures-ont-accouche/
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On a en ce moment le chantage aux ressources gazières : la Turquie s’est lancée dans une course de vitesse pour pomper le gaz qui appartient à la Grèce.
http://resistancerepublicaine.com/2019/06/05/les-reserves-gazieres-de-chypre-attisent-les-tensions-entre-leurope-et-la-turquie/
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On a aussi droit au « chantage aux migrants ».
http://resistancerepublicaine.com/2019/08/07/erdogan-menace-de-lacher-4-millions-de-migrants-sur-leurope/
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Sourires par devant, djihad par derrière :
http://resistancerepublicaine.com/2018/09/27/video-choc-israelienne-n-3-erdogan-nenvoie-en-europe-que-les-migrants-capables-de-lislamiser/
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La Turquie, géographiquement tapie à nos portes, mais tellement différente, a toujours affiché une détente de façade, tout en étant impitoyable à la moindre occasion. Avec au pouvoir l’idéologue islamiste Erdogan, doit-on continuer à fermer les yeux ?
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Jusqu’à quel point les pays européens vont-ils dire « oui » à la cynique Turquie, notre ennemie de toujours ?
Des ruines grecques foulées par l’infâme imam roubaisien Abdelmonaim Boussenna en Turquie, durant l’été 2019. Capture d’écran de sa page Facebook.
Grr…
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De la part de ces gens là, rien ne m’étonne. L’admission d’un si beau pays civilisé dans la communauté européenne serait effectivement un enrichissement exceptionnel à condition bien sûr qu’ils déclarent au fisc tous les revenus de leurs saloperies… Quant à aller me faire opérer dans cette boucherie hallal, il n’y a pas de danger !
Chaque fois que des jeunes filles – ou de jeunes garçons – bien de chez nous ont disparu sans être retrouvés : Marion, la petite Estelle Mouzin (la disparue de Guermantes, 9 janvier 2003)… j’ai pensé qu’il pouvait s’agir d’enlèvements pour des prélèvements d’organes…
Car, avec les prédateurs sexuels on retrouve pratiquement toujours le corps. Mais, beaucoup trop de nos jeunes manquent à l’appel…
Amélie poulain,
Ce qui serait bénéfique pour l’humanité serait de flinguer Erdogan !
RODRIGUE, il y en aura toujours d’autres de toute façon, tout seul il ne ferait rien tout comme Hitler n’aurait pu faire tout ce qu’il a fait.
Les cellules souche c’est un énorme espoir.
Asie mineur.
Suite à l’article ci-dessus , rappelez-vous quand l’infâme salopard de kouchner qui fût Représentant spécial du secrétaire général de l’ONU au Kosovo
15 juillet 1999 – 15 janvier 2001,soupçonné d’avoir couvert des trafiques d’organes pratiqués par les kosovars ( si je me souviens bien ) lesquels prélevaient des organes sur des prisonniers Serbes .
Le salopard de kouchner ,il ne faudra pas l’oublier celui-la !
Oui c’est terrible si c’est vrai, j’ai lu des choses là-dessus.
Il y a actuellement un gros travail sur les cellules souches humaines, j’espère que la recherche va évoluer dans le bon sens (reproduire des organes ce qu’elles contiennent en potentialité), ce serait vraiment quelque chose de très bénéfique pour l’humanité.
Tous les muzzs sont au centre de tous les trafics.
Trafic de drogue, d’armes, d’esclaves, de femmes, d’organe, de pieces d’etachees, de voitures, scouters, motos volees et j’en oubli.
Ben moi je suis pas surpris.
Pourquoi pourrait-on être surpris? La seule chose qu’ils aient inventée, c’est Meinkorampf/
J’ai tenté de faire une liste des bénéfices apportés à la planète, et à côté une liste des défauts.
La liste des bonnes choses apportées est demeurée vierge.
Excellente mise au point ! Je partage sur Twitter.