Paris : les socialos s’étonnent devant leur "agriculture urbaine" saccagée par leurs migrants chéris

.

Dans la série des inénarrables chroniques parisiennes et de l’insondable puits de cynisme et d’aveuglement des élus…voici la promenade urbaine de Barbès.

« Vivre-ensemble », entre personnes respectueuses de leur environnement, pourquoi pas ? Faire des jardins à Paris aussi.

Mais avec des arrivants qui cassent tout et sont aux antipodes de nos valeurs, c’est un doux rêve.

Hidalgo  et ses élus « font mumuse » avec les sous des Parisiens : pour faire oublier les migrants et leur cortège de nuisances; ils repeignent la capitale en vert et les Parisiens payent la note.

.

Le scénario est bien rôdé :

On lance des projets « campagnards » qui en mettent plein la vue, avec des noms ronflants. En fait quelques conteneurs de terreau et de la peinture font l’affaire.

Tout est dans la communication : concours d’artistes, maquettes, cocktails, « confs de presse »…

.

Et quand les sous sont dépensés et les projets livrés, on fait mine de découvrir le vandalisme sans remettre en question les causes : « ah ben mince, les migrants « hommes marginaux » qui dorment là ont tout saccagé, qui l’eût cru ? »

Pas grave : on envoie à la populace un  appel vibrant  au « vivre-ensemble » pour que tout soit vite oublié. Et on recommence : appel d’offres, communication, on s’extasie sur les trouvailles saugrenues, on  finance des copains, on s’auto congratule et le cercle reprend de plus belle.

.

Les Parisiens ont la triple peine : ils payent des projets fumeux + ils subissent les migrants (tout est vandalisé, faut repasser à la caisse) + ils ont droit au cynisme des élus (« Vivez ensemble » et tout ira bien).

.
Mais comment peuvent-ils avaler de telles couleuvres et revoter pour cette « Dingo » ?
.

Le démarrage du projet d’ « agriculture urbaine » (mars 2019)

[au coeur du cyclone, en pleine zone de stationnement de migrants, toxicos et délinquants…à quoi les élus s’attendaient-ils ?]

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-jardin-va-pousser-sous-le-metro-25-03-2019-8039319.php

L’agriculture urbaine a déjà envahi les toits de Paris. Les Fermiers généreux, eux, font maintenant faire fleurir le bitume, sous le métro aérien.

C’est ce projet, porté par l’association Vergers urbains, en partenariat avec Pépins Proproduction, Boco Loco et Urbanescence, qui a remporté ce lundi l’appel d’offres lancé par la Ville : l’équipe cultivera donc une parcelle sur la promenade Barbès-Chapelle Stalingrad (XVIII e, X e et XIX e ), sous la ligne 2 du métro.

Sur 700 m2, à hauteur du viaduc, la promenade urbaine accueillera, dès la fin du mois de juin, des surfaces cultivables : des légumes, une pépinière sous serre, un jardin aromatique, mais aussi un espace pédagogique. Les piétons pourront emprunter un chemin qui serpentera entre les cultures et, au passage, profiter de conseils de jardinage.

Le projet des Fermiers généreux

[note : merci surtout aux électeurs d’être les  « généreux » contributeurs de toutes ces dingueries !]

A proximité de ce parterre potager, deux conteneurs maritimes recyclés de 29 m2 chacun proposeront un prêt d’outils de jardinage et des graines à planter, mais aussi une cuisine où sera dégustée la production locale et une salle d’exposition.

« L’idée est vraiment de créer un espace ressource pour les habitants, détaille Sébastien Goelzer, cofondateur des Vergers urbains. Ils pourront venir chercher des graines, des outils, des conseils, puis créer leur propre jardin partagé en pied d’immeuble, par exemple. Ou faire pousser leurs fruits et légumes sur la promenade, dans le jardin participatif. Tous les espaces jardins seront ouverts, chaque jour aux heures de présence de l’équipe, et les passants pourront les traverser ».

« Le projet Fermiers généreux va créer un lieu de partage et de découverte, pour le quartier et les Parisiens, s’enthousiasme Pénélope Komitès, adjointe à la maire chargée des espaces verts. Il illustre bien comment l’agriculture urbaine peut être un outil au service du lien social. »

LES TRAVAUX DE LA PROMENADE SONT LANCES

Les habitants l’attendaient depuis… 2014. Mais aujourd’hui, ce qui a longtemps revêtu des allures de serpent de mer devient réalité.
Les travaux de la promenade située sous le métro aérien de la ligne 2 ont d’ores et déjà commencé : élargissement du terre-plein central et des trottoirs, passages piétons surélevés.
Deux jardinières, destinées à accueillir quatre arbres chacune, seront installées. La Ville a également lancé un appel à projets pour l’ouverture de trois boutiques écoresponsables ou liées à la pratique du vélo. Ces kiosques devraient fleurir en juillet entre Barbès et Stalingrad (…).
Embellir Paris, c’est un appel à projets ouvert aux artistes, collectifs, étudiants des écoles d’art, association, designers et architectes…

20 lieux à embellir avec une participation de la Ville de Paris à hauteur de 50.000 euros maximum par site.

Le bilan du projet…septembre 2019

Photo : La promenade urbaine (Xe/XVIIIe/XIXe) n’est pas encore terminée, mais déjà souillée. Les bacs à plantes servent de réceptacles aux déchets, et les lieux sont squattés la nuit par des hommes qui y dorment.

Le Parisien s’étonne !
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-deja-des-degradations-sur-la-promenade-urbaine-a-barbes-04-09-2019-8145432.php

Paris : déjà des dégradations sur la promenade urbaine à Barbès

Malgré les patrouilles quotidiennes, la promenade urbaine, qui n’est pas encore achevée, essuie déjà incivilités et dégradations.

Pas encore terminée… Déjà souillée (…)

Une allure de squat géant

Mais les installations des Fermiers généreux, lauréats de l’appel d’offres lancé par la Ville pour la création d’une parcelle de 700 m 2 de surface cultivable ont déjà essuyé de multiples dégradations. Le projet définitif ne verra le jour qu’à la fin du mois d’octobre, mais l’espace d’exposition temporaire et les plantations installées à proximité du métro La Chapelle ont des allures de squat : bouteilles d’alcool par dizaines et déchets jetés dans les bacs, poubelles éventrées, urine et salissures ont défiguré les lieux. « Il y a même parfois des matelas au sol entre les installations, jette un riverain. Pas un jour ne passe sans que de nouveaux déchets apparaissent… ».

« Dans une phase de reconquête »

Pourtant, pas moins de 35 agents de la DPSP ont été affectés dans le secteur, et les patrouilles sont quotidiennes. « La situation est extrêmement dégradée depuis des décennies. Nous sommes dans une phase de reconquête, et cela va prendre du temps, estime, pour sa part Alexandra Cordebard, la maire (PS) du Xe. Dans cet environnement, très masculin, livré aux activités illicites, il va falloir créer de nouveaux usages, refaire de la place à tout le monde. Notamment aux femmes qui doivent à nouveau se sentir à l’aise, et aux enfants. Les choses vont se redessiner progressivement »

[« Nous sommes en phase de reconquête »…en accueillant encore et encore plus de migrants ?

Mais ils croient vraiment à ce qu’ils disent ou ils nous prennent pour des C… ?]

  • Nous sommes plutôt en phase de Grand-remplacement que de « reconquête »…
  • Tant que la France accueillera toujours plus de migrants qui ne sont pas gérés…les causes du vandalisme ne seront pas traitées.

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » Bossuet

 Bonus
Versailles…

Paris…

 544 total views,  1 views today

image_pdf

13 Commentaires

  1. Ce serait une bonne idée si les gens étaient éduqués et civilisés, mais ….

  2. Ou comment le « vivre-ensemble » écolo joyeusement participatif rêvé des bobos se heurte au véritable « vivre-ensemble », ou plutôt apartheid communautariste, avec les racailles « issues de l’immigration » qui n’en ont rien à foutre et pour qui l’activité la plus distrayante, festive et « jubilatoire » consiste à détruire et vandaliser tout ce qui ne leur appartient pas, à commencer par les biens collectifs et le mobilier urbain, et tout projet collectif constructif.
    On le voit aussi avec les vélib et autolib, qui perdent des fortunes à cause des dégradations (beaucoup plus élevées en France qu’ailleurs).
    En bonne logique, nos bobos écolos devraient être violemment anti-immigration et racistes…

  3. Je propose un pré avec des vaches sur le toit des immeubles pour que les parigots bobos se fassent chier sur le toit ensuite ils iront récupérer les bouses etc bref tout le petit équipement de l’ecolo …

  4. DES VRAIES POULES ????
    avec des plumes? parce que le quartier heberge depuis quelques années des poules noires a poils frisés …………..pondeuses remarquables !!

  5. Les « migrants » ne sont pas capables de retrousser leurs manches pour rendre productif leurs champs dans leur propre pays, maintenant qu’ils ont juste qu’à se – légèrement – baisser pour produire quelques tomates et autres produits bio et qu’ils abandonnent en saccageant alors que tout leur est servi, devrait faire réfléchir les bobos-écolos gauchistes bon teint sur le bien-fondé de leur « migration ».
    Eh ben, non ! ils s’étonnent !
    Désespérant de sottise.

    • @ vieux bidasse
      Eh, non ! Ce qui explique mon « Désespérant de sottise »..
      😉

  6. Quand on connait l’incommensurable connerie des LREMPS ,il n’y a pas de quoi s’étonner tant que les grandes majorité de connards de parisiens continueront à veauter pour l’hystérique bobo socialope hidalgo la débile ,qu’ils ne viennent pas se plaindre !

    • Ce soir je suis passé entre la colline du crack et le campement de migrants d’en face porte de la Chapelle. J’ai été choqué de ce que j’ai vu. On se croirait dans une favela au Brésil. Honte à Hidalgo ! Honte à Macron ! Ça me donne envie de quitter la France.

  7. Si par malheur, la France devient la ville de Paris et surtout se met à voter comme les habitants de la capitale, nous sommes définitivement perdus… Parce que ces « parigots », on peut tout leur faire, ils ne changeront pas leur vote à 90 % pour le système ! Demain, on leur prend la moitié de leurs salaires pour tout filer aux migrants, on leur enlève toutes les voitures, on les taxe encore à propos de tout et de rien, ils ne changeront pas d’un iota leur façon de voter ! Paris, une ville déjà remplacée et plongée dans l’enfer de tous les concentrés des graves dangers auxquels nous sommes confrontés… Et qui ne réagit plus, contente de son sort.

  8. Ils ont qu’à mettre le jus autour des bacs pour les parasites qui s’y installent, le 380 volts devrait faire l’affaire.
    Je n’ai jamais vu autant d’imbéciles heureux qui ne savent pas que les migrants sont des profiteurs du système mis en place par cette gauche bisounours. dans Vu à la télé que dans un endroit de Paris ils avaient même mis des poules, surement pour nourrir les parasites.

    • Surtout qu’ils ne doivent pas se priver de pisser dans les bacs. Ça devrait les chatouiller un peu, le triphasé.

Les commentaires sont fermés.