Photo : Honorable Cheikhou Oumar Sy (député de l’Assemblée nationale du Sénégal)
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Voici en quelques paragraphes un petit résumé du contexte de la construction de la mosquée Massalikoul Djinane de Dakar, qui sera inaugurée en septembre, qui montre toute l’énergie qui est consacrée à l’islam dans un pays de grande pauvreté qui a du mal à nourrir sa population et qui reçoit des aides de l’étranger.
C’est surtout la deuxième partie d’article qui vaut son pesant de cacahouètes sénégalaises ! Il s’agit de la reproduction d’une diatribe contre l’Occident d’un fielleux député sénégalais, révélatrice de la profonde haine des musulmans africains envers l’Occident et du symbole que constitue pour eux chaque construction de mosquée. En filigrane également : la compétition entre musulmans ; c’est à qui aura la plus grande…
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La construction.
Le chantier est immense : la confrérie musulmane des mourides – la deuxième plus importante du Sénégal après celle des tidjanes – a entrepris de construire « la plus grande mosquée d’Afrique de l’Ouest », sur un terrain sablonneux de 6 hectares. Il a été donné par l’Etat du Sénégal, officiellement laïque. À ceux qui y verraient un paradoxe, un porte-parole mouride a résumé la situation en 2012, lorsque les travaux ont débuté : « Le mouridisme et l’Etat sénégalais sont comme les deux cornes d’un bœuf : elles ne se rencontrent pas mais sont inséparables. »
L’ambition mouride se mesure au nombre de minarets : ils sont cinq, soit deux de moins seulement que ceux de la mosquée sacrée de La Mecque. Le plus haut culmine à 78 mètres (11 mètres de plus que le seul et unique minaret de la grande mosquée de la médina de Dakar), les autres à 45 mètres.
Les minarets ont été réalisés par…une femme occidentale !
« Ces minarets ont été réalisés par une entreprise suisse spécialisée en coffrage glissant, une technique utilisée pour la première fois au Sénégal. Il a fallu trois semaines de travail, nuit et jour, pour les terminer », indique l’ingénieur en génie civil Marianne Tall, l’une des trois seules femmes du chantier, où s’activent 250 ouvriers, quasiment tous sénégalais. « Auparavant, ajoute à ses côtés le chef de chantier Abdou Khadre Fall, il a fallu stabiliser les fondations à 22 mètres de profondeur et enlever des tonnes de sable. »
Les chemins du paradis !
Dans cette mosquée baptisée Massalikoul Djinane (Les chemins du paradis), quelque 10 000 fidèles pourront venir prier en même temps : 7 000 hommes dans la grande salle et 3 000 femmes dans l’espace voisin plus réduit, assure Abdou Khadre Fall. Sans compter les 20 000 autres fidèles que pourra accueillir l’esplanade lors des grandes fêtes religieuses.
« Plus qu’une mosquée, ce sera un complexe », rectifie Babacar Mbaye, l’un des responsables des mourides de Dakar. Il comprendra à terme un institut d’études islamiques équipé notamment d’une salle de conférence de 2 200 places ainsi qu’une vaste résidence, où le calife général des mourides, Serigne Sidy Mokhtar Mbacké, pourra recevoir ses invités.
Basé à Touba, la « capitale » des mourides située à près de 200 kilomètres à l’est de Dakar, le calife s’était plaint, en 2013, de la lenteur des travaux, lors d’une visite du chantier. Tout le monde avait alors mis les bouchées doubles. . Les marbres ont été confiés à des Italiens et les éclairages à des Allemands.
Le complexe est estimé à au moins 22 milliards de francs CFA, soit 30 millions d’euros, dont un tiers versé par le calife général.
« Le fondateur du mouridisme, l’érudit sénégalais Ahmadou Bamba Mbacké [ou Cheikh Amadou Bamba], mort en 1927, avait dit que quiconque contribue à la construction d’une mosquée dans ce pays ira au paradis », explique le sociologue Kaly Niang.
« La mosquée… emblème contre l’Occident » : déclaration d’un député sénégalais
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Massalikoul Djinane (Les chemins du paradis) ou l’emblème d’une résistance contre l’impérialisme culturel occidental.
Au moment où le débat fait rage sur les antis valeurs culturelles (sic) que les occidentaux essayent de nous imposer à travers une approche stratégique étudiée et multiforme (…), nous devons nous féliciter de la construction d’un bijou aussi majestueux et symbolique que la Mosquée de Maasalikoul Djinane.
Cette mosquée qui va accueillir plus de 10.000 fidèles sur une superficie de 5 hectares symbolisent plus que tout le refus de l’acculturation non pas seulement de la confrérie mouride mais de toute la communauté sénégalaise y compris nos frères et sœurs chrétiens [note : au Sénégal, la population est à 95% musulmane !].
En lançant ce vaste projet d’une dimension mondiale, la communauté mouride ne pouvait s’imaginer qu’elle écrivait en même temps une nouvelle page décisive de l’histoire culturelle et contemporaine de notre pays. Massalikou Djinane n’est ni une simple mosquée, encore moins un complexe mais à l’image de la mosquée Hassane II ou la mosquée Istiqlal à Jakarta en Indonésie et celle du Roi Faisal, à Islamabad, Pakistan, elle symbolisera la résistance à l’acculturation sous le label de « l’universalité de la Culture ».
Cet édifice somptueux avec ses minarets imposants transmet un message vibrant au monde entier : « Nous sommes fiers de notre modèle socio-économique ». En effet, au-delà d’avoir jalousement préservé et répandu la vie et l’œuvre de Cheikh Ahmadou Bamba, la communauté mouride a compris très tôt que toute acculturation à pour soubassement un manque de sécurité économique qui peut menacer l’héritage de leur guide.
Aujourd’hui, au moment où la jeunesse fait face à des maux multiformes dont la déviation des mœurs, les confréries restent un rempart solide contre la banalisation des vices et des interdits prescrits par Dieu (SWT) dans le Coran et dont le Prophète Mohamed (PSL) a porté le combat durant toute sa vie.
L’architecture est une forme d’expression culturelle qui peut servir de référence aux jeunes et les pousser à un sursaut patriotique pour préserver l’intérêt général de la Nation. Les perses, dans le passé, se sont servis de l’architecture pour repousser l’invasion des arabes et continuent à en faire une arme contre les Occidentaux.
En se donnant les moyens d’exprimer leur fierté et leur reconnaissance à leur guide spirituel Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké (RTA), la communauté mouride a ouvert la voie de l’expression de l’islam noir à travers des édifices culturels de dimension internationale.
Le vénéré El Hadj Oumar Foutiyou Tall avait très tôt compris que le combat contre les occidentaux étaient avant tout culturel avant d’être religieux. Durant ces nombreux voyages et conquêtes, il n’a cessé de construire des mosquées à l’architecture soudano-sahélienne pour réaffirmer la négritude de notre foi en Dieu. Les mosquées de Dinguiraye (Guinée Conakry) en passant par celle de Nioro du Sahel (Mali) restent typiquement ancrées dans l’histoire traditionnelle de nos contrées à l’époque où les royaumes étaient à la tête de la gestion de l’Etat.
Aujourd’hui nous devons réaffirmer notre ancrage à notre culture sénégalaise et préserver ce qu’elle a de plus beau et de plus humain. Nous ne pourrons construire le Sénégal de demain sans préserver notre identité socio-culturelle et religieuse.
C’est le sens qu’il faut donner à l’édification de ce joyau qui va déteindre pendant des siècles sur les populations de Dakar ainsi que sur toute la communauté musulmane sénégalaise et africaine.
Honorable Cheikhou Oumar Sy (député de l’Assemblée nationale)
https://www.dakaractu.com/Massalikoul-Djinane-Les-chemins-du-paradis-ou-l-embleme-d-une-resistance-contre-l-imperialisme-culturel-occiedental_a173747.html
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Merci bm 77
j’ ai fréquenté le Senegal dans ma vie……le populo, j’ entends!
j’ ai été invité pour Tabaski chez eux (ramadan africain) et j’ ai pu constater l’ emprise superstitieuse des Marabouts comme des bouts de ficelle sur le senegalais moyen
ils craignent terriblement les « mauvais esprits » , leurs mauvais Djinns a eux!
les Djins juifs (Lévis 501), les Djins eco… -empêchent la femelle de faire beaucoup de petits, y a même un Docteur Gynéco qui les forme en France…………et avec cette nouvelle mosquée voilà l’ apparition des « djins ânes » -mosquée Massalikoul Djinane,- j’ en frémis de trouille!
les Djin Gordon’s……….. meilleur et pas cher.pour se bourrer la gueule
Tout â fait Machin Chose avec votre ironie habituelle réjouissante et visant juste , les Sénégalais n’évolueront que lorsqu’ils s’émanciperont de tout çà , avec des types comme ce député , ce n’est pas demain la veille qu’ils auront envie de rester au pays .Les Sénégalais ne sont pas si cons que cela , ils croient plus à la CAF Française qu’à allah et les prédications de ce genre de charlatan. Comme quoi la colonisation leur a permis au moins d ‘acquérir une part du bon sens légendaire du Français. Français qui par ailleurs perd complètement le sien .
Il faut bien que les aides de l’Agence Française de Développement et de l’UE servent à quelque chose dans ce pays membre de l’OCI.
UNE MOSQUEE A DAKAR? EN MEME TEMPS ILS SONT CHEZ EUX ELLE EST MIEUX LA QU’EN FRANCE!
pauvres fous qui croient défendre leur identité en singeant celle de leurs maîtres et conquérants, les arabes musulmans,
leur véritable identité , avant leur colonisation , par les arabes, c’est l’animisme, qu’ils y retournent !!
Un prophète qui avait des esclaves noirs, des arabo-musulmans qui opéraient des razzias pour les réduiré en esclavage (cf Le génocide masqué de Tidiane N’Diaye)et cela bien avant et bien après la période de traite des occidentaux, occidentaux et français en particuliers qui interdire cette perpétuation de la traite.
Le Sénégal certes islamisé d’assez longue date(entre le XII et XIIII ème siècle) est de plus en plus gagné par le wahabisme et un islam de plus en plus rigoriste.
Un Omar Sy ou une Sibeth Ndiaye ont beau faite les guignol pour « amuser » la galerie, c’est un autre Sénégal que celui de son premier président , le premier et le dernier sans doute à ne pas être musulman, Léopold Cédar Senghor(qui était en effet catholique), qui apparaît, de plus en plus gagné par une culture de haine de l’Occident et l’islam de l’Azhar et du Golfe avec les conséquences que l’on sait.
Un occident qui fournit quand-même les architectes et le savoir faire.
S’il veulent tellement vivre comme au temps du prophète de ce culte , qu’ils commencent par cesser d’utiliser toutes ces inventions de mécréants que sont automobiles ordinateurs ou smartphones.
Si le Sénégal veut conserver une identité, il doit combattre l’islam comme la gale. Une identité cela se développe. L’islam tue le développement et l’oriente vers le culte de la mort.
Les journées vont être longues passées à maudire l’Occident… tout en manipulant un smartphone
L’esthétique sera celle de la physionomie haineuse… tout en distribuant des salamalecs
Le formatage s’accomplira dans la concurrence mondiale des califats par le meurtre
La belle culture sénégaleuse que cela sera…
Et notre petit génie de la politique géo-mondialo-stratégique ne leur a encore offert un métro pour Dakar, avec arrêt obligatoire à chaque mosquée de quartier ???!!!!!….ça manque au tableau .. Hé oh, toubab !
« Rempart contre l’occident », mais sans l’occident pas de mosquée, et pas grand chose d’une façon générale, du sable, des chèvres, et une population incapable
de nourrir ses enfants, pauvres fous.
Ils reçoivent des aides de l »étranger, POURQUOI……..!!! Ils nous haïssent, donc qu’ils se démerdent, on verra si le ventre vide ils auront assez d’énergie pour nous combattre. Ces raclures de font de poubelles, sans notre aide, ils crèveraient de fain, incapable de subvenir à leurs besoins.
abrutis d’africains qui ont oublies que l’islam déteste les noirs et les considère comme des sous merdes. Le contraire des européens qui ont du respect pour tout le monde. Viendra bientôt les jours ou les africains regretterons les blancs qui les respectent car ils seront extermines par toutes les pourritures racistes musulmerdes.
Enième preuve de la collusion des GE occidentales, pour qui compte le fric uniquement. Mais enfin on avait déjà l’exemple de la collaboration du grand capital avec les nazis (Renault, Ford, IG Fabenindustires, Siemens…), on ne devrait guère être surpris au bout du compte.
De même la grande mosquée de Casablanca avait été construite par le groupe Bouygues.
Sans nos entreprises occidentales, ces pays seraient totalement incapables de batir de tels édifices. Il en va de même pour les pays du golfe.
« l’emblème d’une résistance contre l’impérialisme culturel occidental » qui a exigé l’ingénieur occidental suisse Marianne Tall, les marbres occidentaux d’Italie et l’éclairage occidental d’Allemagne… Des impérialistes occidentaux qui ont dû ou vont empocher une petite fortune ! Des occidentaux qui s’accocient à la destruction des cultures occidentales, pour de l’argent…
Mais , encore et toujours besoin de ces Blancs insupportables, seuls capables semble-t-il de construire un truc de génie civil dans ces pays;.Trop drôle !
trop beau…….émouvant………..grandiose!! ça m’ a pris aux tripes
enfin une valorisation du cher Omar Sy, qu on a trop longtemps pris pour un clown, alors qu il nous étourdit de sa spiritualité, devant une telle reflexion
« »« Le mouridisme et l’Etat sénégalais sont comme les deux cornes d’un cocu elles ne se rencontrent pas mais sont inséparables. »
un peu comme tous ces franco-sénégalais
les Mourides sont ces hères noirs qui vous vendent du Trocadéro parisien, , en passant par le chateau de Versailles ou a Cannes ces chapeaux de paille en plastique qui vous rotissent le cerveau, ou ces « lunettes » made in china qui sont plus aveugleuses que protectrices
ou ces parapluies qui eclosent par milliers a la première averse estivale
leur « Mecque » étant la ville de TOUBA , ainsi nommée en référence a la sourate 9 du coran ainsi nommée
« » » » » » » »Nous ne pourrons construire le Sénégal de demain sans préserver notre identité socio-culturelle et religieuse.
oh voui! voui! voui!!! commencez par rapatrier vos centaines de milliers d’ emmigrés de chez moi! vous allez avoir besoin de monde ……..vu ce que vous réalisates depuis 60 ans
grands gosses!! et n’ oubliez pas votre « élite » comme la tététubbie N’diaye
et surtout! surtout continuez de tendre la main pour continuer de survivre