Illustration : Greta, la fille de Soros… Une catastrophe de plus pour l’humanité.
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C’est parce qu’on n’étudie plus Molière et Racine qu’un Aymeric Caron veut épargner les moustiques…
C’est parce qu’on n’étudie plus Corneille et Racine que Greta, la fille de Soros, sévit….
C’est parce qu’on n’étudie plus Racine, ni Montaigne… que le monde va cul par-dessus tête.
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Certes, on étudie encore Molière dans les petites classes, les farces, les « petites comédies », Scapin, le Malade imaginaire... ou les comédies qui ne mangent pas de pain, surtout quand on peut, à travers elles, railler la science, la connaissance, comme celle des Femmes Savantes. Même s’il faut trahir Molière pour cela.
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C’est parce qu’on n’étudie plus Molière et Racine qu’un Aymeric Caron veut épargner les moustiques…
C’est parce qu’on n’étudie plus Corneille et Racine que Greta, la fille de Soros, sévit….
C’est parce qu’on n’étudie plus Racine, ni Montaigne… que le monde va cul par-dessus tête.
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Certes, on étudie encore Molière dans les petites classes, les farces, les « petites comédies », Scapin, le Malade imaginaire... ou les comédies qui ne mangent pas de pain, surtout quand on peut, à travers elles, railler la science, la connaissance, comme celle des Femmes Savantes. Même s’il faut trahir Molière pour cela.
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Mais on étudie de moins en moins ce qui demande réflexion et connaissances et historiques et des mentalités. Et, surtout, ce qui pourrait amener nos chères têtes blondes à penser, comme c’était le cas à la Renaissance, au XVII° et au XVIII° siècle, que l’homme est le centre de l’univers, que l’homme est une espèce au-dessus des autres, que la culture est supérieure à la nature.
Que reste-t-il duCid ?Dans l’immense majorité de nos collèges, des extraits dans le meilleur des cas. Corneille, c’est trop difficile, n’est-ce pas… Il fut un temps où je faisais passer, sans aucun problème, l‘Andromaquede Racine, qui faisait pleurer mes élèves déshérités de banlieue en classe de 4ème. C’était il y a plus de 40 ans. Quant au Tartuffe,à part les extraits « cachez ce sein que je ne saurais voir« … combien de lycéens l’ont lu, l’ont étudié in extenso ?
Que reste-t-il duCid ?Dans l’immense majorité de nos collèges, des extraits dans le meilleur des cas. Corneille, c’est trop difficile, n’est-ce pas… Il fut un temps où je faisais passer, sans aucun problème, l‘Andromaquede Racine, qui faisait pleurer mes élèves déshérités de banlieue en classe de 4ème. C’était il y a plus de 40 ans. Quant au Tartuffe,à part les extraits « cachez ce sein que je ne saurais voir« … combien de lycéens l’ont lu, l’ont étudié in extenso ?
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Quand Rousseau n’était pas encore né, quand des romantiques pleurant au bord des lacs ne faisaient pas encore l’apologie du suicide (je ne mets pas Hugo parmi eux, bien qu’il soit estampillé « romantique », il n’était pas mièvre, lui, il était de la veine des Shakespeare, avec sa démesure et son intérêt absolu pour l’Homme), quand on considérait la vache et la poule comme des amis de l’homme permettant sa survie et non des victimes du même…
Quand nos lointains ancêtres ouvriers auxquels leurs parents refusaient l’école au nom de la rentabilité s’usaient les yeux, la nuit, à la lumière des chandelles, pour apprendre, pour l’amour du savoir…
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C’était avant qu’une planète en délire ne transforme une gamine malade mentale faisant la grève de l’école en icône.
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Je ne suis ni réactionnaire ni passéiste, au contraire.Je l’ai déjà écrit moult fois sur nos colonnes. Je ne fais pas partie des nostalgiques du temps où les femmes lavaient le linge au lavoir, de celui où elles étaient interdites d’études parce que femmes, de celui où les parents avaient le droit de faire travailler dans les champs ou dans les mines des gosses de 5 ans pour faire manger la famille . Bref, le hasard m’a fait naître au milieu du XXème siècle, en France, avec la machine à laver, la voiture, l’égalité hommes-femmes, l’école pour tous, les allocations familiales, l’ascenseur social permettant au fils d’ouvrier de devenir agrégé… Certes, cela se gâte depuis quelques lustres, islam et écolos tarés aidant, mais c’est quand même mieux qu’avant, au moins pour la vie quotidienne.
Ne cherchez donc pas, amis lecteurs, dans mon article, des signes qui pourraient montrer que je n’aimerais pas mon temps.
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Quand nos lointains ancêtres ouvriers auxquels leurs parents refusaient l’école au nom de la rentabilité s’usaient les yeux, la nuit, à la lumière des chandelles, pour apprendre, pour l’amour du savoir…
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C’était avant qu’une planète en délire ne transforme une gamine malade mentale faisant la grève de l’école en icône.
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Je ne suis ni réactionnaire ni passéiste, au contraire.Je l’ai déjà écrit moult fois sur nos colonnes. Je ne fais pas partie des nostalgiques du temps où les femmes lavaient le linge au lavoir, de celui où elles étaient interdites d’études parce que femmes, de celui où les parents avaient le droit de faire travailler dans les champs ou dans les mines des gosses de 5 ans pour faire manger la famille . Bref, le hasard m’a fait naître au milieu du XXème siècle, en France, avec la machine à laver, la voiture, l’égalité hommes-femmes, l’école pour tous, les allocations familiales, l’ascenseur social permettant au fils d’ouvrier de devenir agrégé… Certes, cela se gâte depuis quelques lustres, islam et écolos tarés aidant, mais c’est quand même mieux qu’avant, au moins pour la vie quotidienne.
Ne cherchez donc pas, amis lecteurs, dans mon article, des signes qui pourraient montrer que je n’aimerais pas mon temps.
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Je veux simplement montrer qu’il y a, dans les programmes scolaires, dans la suprématie des « pédagogistes » et autres « sociologues » à la gomme, dans le poids énorme des syndicats et autres politiques dans les commissions des programmes une volonté délibérée et faire disparaître de nos écoles tout ce qui pourrait/pouvait donner à nos chères têtes blondes l’idée que l’homme est grand et supérieur à l’animal qui tue pour se nourrir, sans avoir conscience du bien ou du mal, sans conscience même de son existence, de l’univers, de la planète.
Parce que, forcément, cette ancienne vision du monde est celle de l’homme occidental, du Blanc, insulté, dénigré… bientôt chassé armes à la main partout.
Parce que, forcément, cette ancienne vision du monde marche avec la grandeur de la civilisation occidentale, du temps où elle pouvait légitimement s’enorgueillir d’avoir fait naître Copernic, Galilée, Hippocrate, Vinci, Mozart, David, Bach, le Bernin, Socrate, Lucrèce, Masacio et Masolino… et où il ne serait venu à l’idée de personne de cracher sur la dite civilisation qui avait su tirer l’homme du statut d’animal soumis aux terribles lois de la nature.
Parce que, forcément, cette ancienne vision du monde est celle de l’homme occidental, du Blanc, insulté, dénigré… bientôt chassé armes à la main partout.
Parce que, forcément, cette ancienne vision du monde marche avec la grandeur de la civilisation occidentale, du temps où elle pouvait légitimement s’enorgueillir d’avoir fait naître Copernic, Galilée, Hippocrate, Vinci, Mozart, David, Bach, le Bernin, Socrate, Lucrèce, Masacio et Masolino… et où il ne serait venu à l’idée de personne de cracher sur la dite civilisation qui avait su tirer l’homme du statut d’animal soumis aux terribles lois de la nature.
Pour ces Hommes, il était évident que la planète était au service de l’homme, là pour qu’il en tire sa subsistance et plus si affinités, puisque la conception du monde était que l’homme était le centre du monde. Normal puisque pensée, sophistication de celle-ci, abstraction, souvenirs, anticipation, inventions destinées à toute l’humanité étaient – et sont toujours- réservés aux seuls hommes. Je dis toujours, en manière de provocation, aux écolos à la con qui viennent me chercher noise que, si un jour il n’y a plus d’homme sur terre, je me moque que la planète disparaisse corps et bien, parce qu’elle n’existe que grâce à notre pensée, à notre ressenti, à notre vision. A quoi sert une planète si personne n’est là pour la penser, l’aimer, la détester ? Cela a le pouvoir de les rendre chèvres, les amoureux transis de la nature qui détestent tant les hommes, et cela crée des engueulades homériques et des rires tout aussi homériques.
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Souvenirs, souvenirs…
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J’ai 14 ans. Je découvre (seule, grande lectrice dès mes 6 ans, je dévorais tout ce qui me tombait sous la main) le Cyrano de Bergerac d‘Edmond Rostand. Un coup de foudre, une passion, des larmes… et de la fierté. Fierté de faire partie de ce peuple qui a fait naître un Cyrano (fût-il imaginé en partie par Rostand, peu importe). Fierté d’être Homme. Fierté de savoir que l’on peut se faire hara-kiri par amour, par grandeur, par amitié. Fierté que l’on peut, parce que homme, mourir debout, l’épée à la main, fustigeant sottise et préjugés.
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J’étais prête à rencontrer la beauté, Ronsard, du Bellay et son petit Liré…
J’étais prête à rencontrer l’humour, la dérision, l’énorme éclat de rire, l’énorme vision d’un monde sans limites, d’une intelligence sans limites avec Rabelais…
J’étais prête à rencontrer Montaigne pensant le monde et l’Homme dans sa Librairie.
J’étais prête à rencontrer Pascal et Bossuet, ayant consacré leur génie, leur langue pure, un joyau, à faire de la société humaine la Cité de Dieu, d’un Dieu bon et juste. Que Dieu existe ou pas, peu importe. C’est la même recherche de la beauté et de la perfection qui compte, comme pour Phidias qui conçut la splendeur du Parthénon, à Athènes.
J’étais prête à rencontrer Molière, le modèle du classicisme, renvoyant au tout premier modèle que j’explorerai un peu plus tard, le modèle grec antique qui refuse l’hubris, ὕϐρις, la démesure, mauvaise pour l’homme. Et là, c’est un festival, entre Molière, Racine et Corneille,j’apprends l’équilibre, le refus des passions (que l’on pourrait dire animales – et donc « naturelles »), de la satisfaction brutale de ses envies, sans prendre en considération le bien de la Cité, le bien de la famille, le bien de l’autre. Il y a tout dans Molière, dans Racine, dans Corneille, qui font revivre à la fois la notion du beau et du bien chers aux Grecs anciens mais également la res publica romaine, cette idée très forte d’intérêt commun à laquelle chacun doit obéir au lieu d’obéir à ses instincts « naturels, égoïstes, de prédateurs ».
J’étais prête à rencontrer Voltaire et Diderot,l’Encyclopédie, l’hymne à la grandeur de l’homme, hymne à la science. J’admirais Voltaire traduisant Newton avec Madame du Châteletet faisant jouer des pièces de théâtre dans son domaine … Je m’identifiais à Voltaire qui narguait Rousseau en l’invitant « à venir boire le lait de nos chèvres », Rousseau qui voulait interdire le théâtre et tout ce qui fonde l’homme, notamment la propriété privée. Le contrat social,quelle imposture, quelle négation de l’être humain ! Rousseau si aimé des écolos liberticides et anti-civilisation…
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Je vous raconte tout cela, et je revois les fameux Lagarde et Michard, conspués et chassés de nos lycées… ils faisaient des têtes bien faites, qui voyaient clairement l’évolution de la littérature et des idées ; personne ne sortait du lycée sans avoir rencontré Marot ou Paul Valéry.
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Tout cela a été remplacé par l’étude de thèmes (racisme et esclavage de préférence), d’auteurs mineurs étudiés par des profs snobs se la jouant spécialistes du littérateur inconnu… Quand on voit le niveau de connaissances des étudiants en lettres, on a envie de pendre les responsables de ce gâchis !
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Mais le pire est que ce gâchis a été orchestré de main de maître depuis des lustres, depuis plus de 40 ans par les différents Ministres de l’Education nationale aux ordres de leurs partis, de leur Premier Ministre, de leur Président de la République. Jamais aux ordres de leur peuple.
Peu à peu les programmes ont été ampoulés, trafiqués, on en a expurgé la substantifique moëlle qui nourrissait si bien nos jeunes et leur donnaient envie d’apprendre, envie de grandir, envie de vivre, envie de servir leur pays, leurs concitoyens… Tout cela sous le prétexte de simplifier les programmes pour les demeurés arrivant d’ailleurs (quel mépris ! Pourquoi leurs enfants seraient si stupides qu’ils ne pourraient pas suivre nos cours ? Tous les politiques qui ont pris le pouvoir en Algérie après 1962 avaient fait des études universitaires en France… et ils suivaient, à l’époque ! )
Il ne reste même plus de vrais programmes, seules demeurent des injonctions pédagogiques et des manoeuvres pour que tout le monde ait son bacet surtout la tête vide.
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Nul besoin de chuchoter dans des sites complotistes et de chercher le grand Satan, tout va dans le même sens, ouvertement, clairement, depuis près de 50 ans. Pour faire disparaître les Etats-nation, il faut faire baisser le niveau des citoyens, il faut faire disparaître l’attachement à la patrie, il faut faire disparaître l’amour du pays, de la connaissance, de l’être humain, de la civilisation, il faut donc faire venir par millions des immigrés complètement opposés à notre modèle, à notre valeur, afin qu’ils le pourrissent de l’intérieur, il faut transformer tout ce petit monde en consommateur docile votant de moins en moins… Et de signer des traités avec les pays arabes pour promettre que oui les musulmans ne seront pas obligés de renoncer à leur secte mortifère, que oui on changera nos programmes scolaires pour eux…
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Tout ce qui se passe actuellement est né avec les prémices de l’Union Européenne qui suivent la vie et la carrière de Jean Monnet l’américanophiledès 1940. Lire et relire le livre de Bruno Riondel,cet étrange monsieur Monnet, qui se demande si Macron est un bébé Monnet.
Que Monnet ait été un traître, on peut le concevoir, mais comment accepter et pardonner que tous ceux, TOUS ceux qui ont pris ou eu le pouvoir en France après De Gaulle aient été des traîtres mettant en oeuvre, avec efficacité et talent, il faut le reconnaître, UNANIMEMENT, le plan américain pour la France, pour l’Europe ?
Et ce plan touche à son apogée avec l’imposture climatique, avec l’hystérie pro-planète qui marche avec la haine de l’homme Blanc et de la civilisation.
En 50 ans, en touchant à toutes les manettes, ils ont réussi à construire une société cohérente, horrible et invivable, sans avenir. Mais ils y sont parvenus.
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Tout ça c’est la faute à Molière, c’est la faute à Corneille qui nous ont abandonnés… la mort dans l’âme.
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Souvenirs, souvenirs…
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J’ai 14 ans. Je découvre (seule, grande lectrice dès mes 6 ans, je dévorais tout ce qui me tombait sous la main) le Cyrano de Bergerac d‘Edmond Rostand. Un coup de foudre, une passion, des larmes… et de la fierté. Fierté de faire partie de ce peuple qui a fait naître un Cyrano (fût-il imaginé en partie par Rostand, peu importe). Fierté d’être Homme. Fierté de savoir que l’on peut se faire hara-kiri par amour, par grandeur, par amitié. Fierté que l’on peut, parce que homme, mourir debout, l’épée à la main, fustigeant sottise et préjugés.
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J’étais prête à rencontrer la beauté, Ronsard, du Bellay et son petit Liré…
J’étais prête à rencontrer l’humour, la dérision, l’énorme éclat de rire, l’énorme vision d’un monde sans limites, d’une intelligence sans limites avec Rabelais…
J’étais prête à rencontrer Montaigne pensant le monde et l’Homme dans sa Librairie.
J’étais prête à rencontrer Pascal et Bossuet, ayant consacré leur génie, leur langue pure, un joyau, à faire de la société humaine la Cité de Dieu, d’un Dieu bon et juste. Que Dieu existe ou pas, peu importe. C’est la même recherche de la beauté et de la perfection qui compte, comme pour Phidias qui conçut la splendeur du Parthénon, à Athènes.
J’étais prête à rencontrer Molière, le modèle du classicisme, renvoyant au tout premier modèle que j’explorerai un peu plus tard, le modèle grec antique qui refuse l’hubris, ὕϐρις, la démesure, mauvaise pour l’homme. Et là, c’est un festival, entre Molière, Racine et Corneille,j’apprends l’équilibre, le refus des passions (que l’on pourrait dire animales – et donc « naturelles »), de la satisfaction brutale de ses envies, sans prendre en considération le bien de la Cité, le bien de la famille, le bien de l’autre. Il y a tout dans Molière, dans Racine, dans Corneille, qui font revivre à la fois la notion du beau et du bien chers aux Grecs anciens mais également la res publica romaine, cette idée très forte d’intérêt commun à laquelle chacun doit obéir au lieu d’obéir à ses instincts « naturels, égoïstes, de prédateurs ».
J’étais prête à rencontrer Voltaire et Diderot,l’Encyclopédie, l’hymne à la grandeur de l’homme, hymne à la science. J’admirais Voltaire traduisant Newton avec Madame du Châteletet faisant jouer des pièces de théâtre dans son domaine … Je m’identifiais à Voltaire qui narguait Rousseau en l’invitant « à venir boire le lait de nos chèvres », Rousseau qui voulait interdire le théâtre et tout ce qui fonde l’homme, notamment la propriété privée. Le contrat social,quelle imposture, quelle négation de l’être humain ! Rousseau si aimé des écolos liberticides et anti-civilisation…
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Je vous raconte tout cela, et je revois les fameux Lagarde et Michard, conspués et chassés de nos lycées… ils faisaient des têtes bien faites, qui voyaient clairement l’évolution de la littérature et des idées ; personne ne sortait du lycée sans avoir rencontré Marot ou Paul Valéry.
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Tout cela a été remplacé par l’étude de thèmes (racisme et esclavage de préférence), d’auteurs mineurs étudiés par des profs snobs se la jouant spécialistes du littérateur inconnu… Quand on voit le niveau de connaissances des étudiants en lettres, on a envie de pendre les responsables de ce gâchis !
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Mais le pire est que ce gâchis a été orchestré de main de maître depuis des lustres, depuis plus de 40 ans par les différents Ministres de l’Education nationale aux ordres de leurs partis, de leur Premier Ministre, de leur Président de la République. Jamais aux ordres de leur peuple.
Peu à peu les programmes ont été ampoulés, trafiqués, on en a expurgé la substantifique moëlle qui nourrissait si bien nos jeunes et leur donnaient envie d’apprendre, envie de grandir, envie de vivre, envie de servir leur pays, leurs concitoyens… Tout cela sous le prétexte de simplifier les programmes pour les demeurés arrivant d’ailleurs (quel mépris ! Pourquoi leurs enfants seraient si stupides qu’ils ne pourraient pas suivre nos cours ? Tous les politiques qui ont pris le pouvoir en Algérie après 1962 avaient fait des études universitaires en France… et ils suivaient, à l’époque ! )
Il ne reste même plus de vrais programmes, seules demeurent des injonctions pédagogiques et des manoeuvres pour que tout le monde ait son bacet surtout la tête vide.
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Nul besoin de chuchoter dans des sites complotistes et de chercher le grand Satan, tout va dans le même sens, ouvertement, clairement, depuis près de 50 ans. Pour faire disparaître les Etats-nation, il faut faire baisser le niveau des citoyens, il faut faire disparaître l’attachement à la patrie, il faut faire disparaître l’amour du pays, de la connaissance, de l’être humain, de la civilisation, il faut donc faire venir par millions des immigrés complètement opposés à notre modèle, à notre valeur, afin qu’ils le pourrissent de l’intérieur, il faut transformer tout ce petit monde en consommateur docile votant de moins en moins… Et de signer des traités avec les pays arabes pour promettre que oui les musulmans ne seront pas obligés de renoncer à leur secte mortifère, que oui on changera nos programmes scolaires pour eux…
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Tout ce qui se passe actuellement est né avec les prémices de l’Union Européenne qui suivent la vie et la carrière de Jean Monnet l’américanophiledès 1940. Lire et relire le livre de Bruno Riondel,cet étrange monsieur Monnet, qui se demande si Macron est un bébé Monnet.
Que Monnet ait été un traître, on peut le concevoir, mais comment accepter et pardonner que tous ceux, TOUS ceux qui ont pris ou eu le pouvoir en France après De Gaulle aient été des traîtres mettant en oeuvre, avec efficacité et talent, il faut le reconnaître, UNANIMEMENT, le plan américain pour la France, pour l’Europe ?
Et ce plan touche à son apogée avec l’imposture climatique, avec l’hystérie pro-planète qui marche avec la haine de l’homme Blanc et de la civilisation.
En 50 ans, en touchant à toutes les manettes, ils ont réussi à construire une société cohérente, horrible et invivable, sans avenir. Mais ils y sont parvenus.
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Tout ça c’est la faute à Molière, c’est la faute à Corneille qui nous ont abandonnés… la mort dans l’âme.
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Cela dit, a tout centrer sur l’Homme, on n’est pas loin des droits de l’homme érigés en principe supérieur, et on sait ou ca mene. Enlever le sommet de la pyramide, dieu ou le roi, conduit au bout du compte a la transformer en tas de sable… avec quelques bon moments un peu avant la fin
Merci Christine pour ce magnifique argumentaire contre la misanthropie inhérente à l’écologie, je cherchais quoi dire à des proches happés par la folie végétarienne et votre retour aux fondamentaux : que l’homme est le centre de la création est le bon argumentaire. Le monde a éte créé pour l’homme.
Dans la suite de votre propos j’ai beaucoup apprécié cette phrase :
« A quoi sert une planète si personne n’est là pour la penser, l’aimer, la détester ? »
On jurerait que ce n’est pas vous qui parlez mais le Petit Prince !!!
Pour la fin, je ne vous suis pas sur la condamnation des Etats-Unis, et sur l’éloge de De Gaulle, tous les pédagogues sont très à gauche, me semble-t-il et certainement pas en phase avec le capitalisme américain. La raison du massacre programmé de l’Education Nationale est à chercher ailleurs.
Encore une fois, merci pour ce rappel de la grandeur de l’Homme : c’est seulement convaincu de sa supériorité qu’il peut concevoir qu’il est responsable de ce monde dont il est le gardien. L’épisode biblique de l’Arche de Noë le rappelle bien.
Au modérateur, une petite information pourtant très intéressante.
https://www.ouest-france.fr/meteo/meteo-il-gele-cette-nuit-en-france-en-plein-mois-d-aout-6480030
Il a donc gelé cette nuit, en France…
Greta va pas être contente, Macron non plus !
Bonjour,
Merci pour ce lien, Pikachu.
(Le modérateur).
« » » » » » » » » » » » » » » » je revois les fameux Lagarde et Michard, conspués et chassés de nos lycées… » » » » » » » » » » »
j’ ai toujours les quatre miens !! qui ont un peu plus de 60 ans ………. 😆
@ Sarisse
excellent a propos d’ Ariane !! 😆
Vous touchez là à ce qui faisait la substance de notre culture ,je parle au passé parce que ces référence littéraires et philosophiques ont quasi disparu des programmes et je me pose la question même ,qu’elles disparaissent parce qu’il commence à ne plus y avoir de personnes suffisamment cultivées parmi les enseignants pour transmettre ces formidables outils de réflexions . Eux aussi,lorsqu’ils ont été élèves,ont subi le resultat de la destruction de nos bases culturel par les pol pot de l’EN,qu’ils soient syndicats d’enseignants ,de parents d’élèves ou pédagogues de « gôche ». Cela a commencé dans les années 80, je me rappelle que certains profs faisaient etudier sur des ouvrages sociologiques portant sur des faits de société, comme les problèmes liés à la drogue ou à la pauvreté dans le monde , alors que les élèves concernés n’ avaient pas encore acquis au préalable une base de réflexion suffisante fournie par les grands auteurs que vous citez . Ceci était assez pervers comme situation ,parce que cela donnait d’un côté une importance à l’enfant qui se voyait discuter de sujet qui le dépassait en flattant son petit ego,tout en sachant que les ouvrages sociologiques ne sont pas vraiment objectifs . On fait passer un message et forcément celui ci était de gauche pour déjà formater le cerveaux des jeunes en les habituant à mode de pensée bien précis. Tout le contraire d’un enseignement qui par la diversité des sujets et auteurs abordés permet de ne pas se faire abuser par tous les donneurs de leçons religieux et politiques qui sont légion aujourd’hui. J’assume de dire que je suis nostalgique de l’école que vous défendez parce que si je ne trouve pas que tout était mieux avant , je ne comprend toujours pas pourquoi on a sabordé cette école qui était la fierté de la France dans le monde .
Merci madame Tasin pour ce beau texte. Et merci aussi pour la critique de Rousseau qui a fait et fait encore tant de mal à notre société.
Ah, Andromaque de Racine. Mon année de troisième. C’était encore à l’époque où on avait une dictée par semaine, avec des exercices de grammaire, de conjugaison, bref… Quand l’école enseignait encore.
Très beau message d’Olivia Blanche. Je me retrouve dans ce qu’elle dit, partant pour l’écologie mais je combat l’écologisme. Conscient de ce que l’homme et la femme occidentales ont apporté à l’humanité mais je protège les animaux, j’aime la ville et aussi la pleine nature, les gens et aussi les moments de solitude, etc. bien merci à Olivia.
Merci à vous, Berger !
(en me relisant j’ai trouvé des fautes – d’autant plus navrée qu’il n’est question que de Belles Lettres)
Mon Dieu que ce plaidoyer fait du bien.
De
La fille de Minos et de Pasiphaé
A
La fille de Soros et des l’Enfoirés
100% d’accord.
Littérature : j’ai repassé mentalement les auteurs toute la soirée, merci !
Chère Christine, depuis le continent américain et le Mexique où je réside, je vous envoie tous mes hommages et si je pouvais, n’en déplaise à la distance, tous les pétales de roses du Mexique……..
Nous avons, presque tous les patriotes de RR, votre vision sur l’éducation, dite nationale, de notre pays, ou ce qu’il en reste. Comme vous je fus professeur de lettres de l’EN, pas de français mais d’espagnol, et c’est à Mexico, où j’ai vraiment communié avec mes élèves , tous hispanophones , sur les autels des grands textes de cette littérature hispano-américaine qui nous a donné tant de richesses spirituelles: Cervantes, Zorrilla, Cadalso, Valle Inclán, Machado, García Lorca, etc……Et les prix Nobel de la littérature latino-américaine: Gabriela Mistral, Rómulo Gallegos, Pablo Neruda, García Marqués, Vargas Llosa, Mario Benedetti, Carlos Fuentes, Jorge Luis Borges, Isabel Allende, etc…etc…
Et pendant ces cinq années, qui furent, au lycée français de Mexico, les dernières de mon sacerdoce (ancien hussard noir de la république) de 40 ans, je pus » prendre mon pied » en insufflant dans ces « têtes métisses » la substantifique moelle de ces multiples messages.
Merci pour ce bel article qui sort de vos tripes….Christine.
PS: Je me souviens de cette tirade d’Horace que j’avais apprise par coeur pour le bac (1ère partie) et qui m’est restée gravée , comme d’ailleurs les fables de La Fontaine , et qui résume toute l’oeuvre de Corneille :
De mémoire:
» Le sort qui de l’honneur nous ouvre la barrière
Offre à notre constance une illustre matière;
Il épuise sa force à former un malheur
Pour mieux se mesurer avec notre valeur;
Et comme il voit en nous des âmes peu communes,
Hors de l’ordre commun il nous fait des fortunes. »
Un bachelier de 2019 pourrait-il expliquer ces 6 vers ???
Peut-être le meilleur « papier » de Christine… À faire découvrir à tous les
Amoureux de NOTRE France. MERCI Christine, quelle chance nous avons !
Un hors sujet .
Trump recadre Macron, accusé de parler à l’Iran au nom des États-Unis
Le Figaro avec AFP Mis à jour le 09/08/2019 à 07:47 Publié le 08/08/2019 à 20:11
Donald Trump a indiqué sur Twitter que l’Iran recevait des «messages contradictoires» de la part de «tous ceux qui prétendent nous représenter, parmi lesquels le président français Macron».
Donald Trump a accusé jeudi Emmanuel Macron d’adresser des «signaux contradictoires» à l’Iran sur l’ouverture possible d’un dialogue et l’a mis en garde, assurant que «personne», «à part les États-Unis eux-mêmes», n’était autorisé à parler au nom de Washington sur le dossier iranien.
«L’Iran a de graves problèmes financiers. Ils veulent désespérément parler aux États-Unis, mais reçoivent des messages contradictoires de la part de tous ceux qui prétendent nous représenter, parmi lesquels le président français Macron», a estimé Donald Trump.
«Je sais qu’Emmanuel veut bien faire, comme tous les autres, mais personne ne parle pour les États-Unis à part les États-Unis eux-mêmes», a tweeté le président américain alors que les tensions entre Washington et Téhéran sont exacerbées.
Tout en durcissant toujours plus la pression diplomatique, économique et militaire sur Téhéran, le milliardaire républicain a multiplié les appels au dialogue, y compris pendant l’actuelle escalade des tensions dans le Golfe. Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif a confirmé avoir été récemment invité à rencontrer le président Trump à la Maison Blanche, ce qu’il dit avoir refusé.
Emmanuel Macron, qui défend toujours l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien dont Donald Trump a retiré les États-Unis, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien Hassan Rohani, et ne cache pas son espoir de jouer les médiateurs dans la crise en cours. Mais jusqu’ici l’Iran a répété qu’il ne négocierait pas avec Washington sous la pression des sanctions américaines.
http://www.lefigaro.fr/international/personne-ne-parle-pour-les-etats-unis-trump-met-en-garde-macron-sur-l-iran-20190808
> une volonté délibérée et faire disparaître
une volonté délibérée DE faire disparaître
> on a envie de pendre les responsables de ce gâchis !
Alors on s’entraîne à savoir faire un noeud de pendu, ça peut servir…
https://sitamnesty.wordpress.com/2017/01/17/la-pendaison-mode-demploi/
Un très bel article, Christine.
Merci Pierre, amitiés
Peut-être le plus beau « papier » de Christine… À faire découvrir à tous les Amoureux de NOTRE France. Merci Christine, quelle chance nous avons !
ampoulés ?
ou
amputés…
à part ça ou même avec , très bon article.
Plaidoyer éloquent en faveur des phares de la pensée, qu’il faut rallumer pour que la civilisation reprenne son épanouissement.
Tous ces hommes dont vous parlez sont inspirés par une seule question (en trois volets) :qui suis-je ,où je vais et comment j’y vais ( quelles sont mes valeurs ,mes croyances ) ?
Entre la science et la spiritualité , ces talents extraordinaires -pour ne pas dire des génies – ont cherché vraie place de l’homme dans l’univers .
La place de l’homme est universelle .
Pas ce genre de prison étroite qui réduit l’homme au culte d’une seule idole .
Ces génies littéraires ont apporté une formidable inspiration, sur un sujet incroyablement complexe que sont nos aspirations .
Quand l’homme est privé de tout cela, il est comme privé d’oxygène .
Aujourd’hui ,la dernière étape du nihilisme est en route sous l’influence d’un nihiliste redoutable qu’est le personnage de mahomet .
Quand il n’y a plus de bonheur possible que dans la destruction, c’est comme un monde sans abeilles ,l’homme disparait .
Les écolos considèrent l’homme comme un nuisible mais ils ont oublié que l’homme a évolué pendant des centaines de milliers d’années et que ce n’est pas pour RIEN
.Donc ils nient toute évolution .En cela ils rejoignent les mahhométans .Quel gachis d’étoiles !
Heureusement pour ceux qui ont encore un coeur pur ,il y a toutes ces étoiles qui brillent dans notre ciel : toutes celles citées dans votre magnifique article . Merci .Tous ces génies qui ont assité à notre jeunesse ,nous ont aidés à grandir .
Ces génies que nous admirions en choeur et qui à chaque classe nous faisaient nous rapprocher les uns les autres comme des êtres appartenant à une même humanité .
Et probablement ,nous ne le savions pas encore ,une même Nation .
Les jeunes Français de souche ou de cœur pâtissent de l’inculture et de l’acculturation qui en découle.
Le grand remplacement est en pôle position ?!i
Superbe article .
Merci Christine !
J’aurais presque envie de dire que la décadence des européens et des américains en tant que telle m’inquiète moins que ses conséquences sur le plan militaire et géo-politique. Nos sociétés de lâches vont avoir tendance à se fier pour leur défense aux robots et aux armes nucléaires, armements qui risquent de nous entraîner dans des conflits d’une importance disproportionnée par rapport à leurs enjeux. L’hystérique Hillary à été éliminée par Trump. Mais ce n’est que partie remise. Impérialisme à l’extérieur, décadence à l’intérieur, c’est le cocktail du diable pour les occidentaux.
bravo, je suis en totale harmonie avec cette pensée et cette façon de voir et de penser. hélas le constat est consternant, l’éducation est devenue ruine et désolation un dessert ou l’inculture règne en maîtresse.
il est plus facile de manipuler un troupeau d’abrutis incultes plutôt qu’une assemblée de gens éduqués et cultivés doués de réflexions, on en revient toujours a Orwell, il suffit de voir le nouveau peuple importé plus con que des moules, ramassis de bons a rien incapables d’une pensée constructive ou évolutive pour avoir un aperçu de notre futur…
Exactement, et les dernières réformes de Blanquer vont toutes dans le sens de l’abrutissement total des français
http://resistancerepublicaine.com/2019/08/08/fin-de-notre-ecole-la-reforme-blanquer-devrait-faire-descendre-des-millions-de-francais-dans-la-rue/
Plus on fabrique d’abrutis formatés plus on a le contrôle des foules devenues imbéciles et illusoirement « heureuses »
Bonjour,
Merci pour ce très beau cri du coeur !
Merci.Très beau plaidoyer Christine, du point de vue des » littéraires » septuagénaires auxquels j’appartenais.. et pour toutes les générations plus jeunes.En seconde, nous rigolions du Lagourde et mouchard, comme nous nommions ces livres- beaux et attirants- mais dont nous connaissions des passages par coeur. Manuel bien fait, progressif, propre à rendre curieux de toutes les pensées et expressions nous ayant précédé. J’ai failli tomber de ma chaise quand j’ai découvert le manuel de français de classe de 4ème, en faisant du soutien scolaire pour la petite fille d’une amie il y a cinq ans :(oublié l’éditeur) présentation hybride avec des textes tronqués sans queue ni tête, des encadrés bidons, même pas historiques, aucune référence à des contemporains des auteurs.. aucune page suivie. Bref, chaque page était un puzzle pour une gamine de treize ans- en école privée, je précise!-L’ Educ nat. a déclaré forfait il y a trente ans,
Les rapports PISA sont sans appel.Restent les amoureux de la France de sa langue et de son histoire. Mes seuls exemples: un kabyle camarade de classe de mon âge, franco- algérien devenu prof de maths dans les années soixante-dix et un franco -espagnol de soixante cinq ans à présent, fils d’un ouvrier dans l’automobile et d’une mère au foyer, devenu prof de fac à Barcelone au moment où le système scolaire s’effondrait totalement en France.. voilà trente ans.
Et bien, Christine, je comprends votre détresse, que je partage mais vous allez un peu dans tous les sens et taper à tort et à travers.
Tant pis si je fais partie, à vos yeux, d' »une écologiste à la con » mais il me semble qu’une planète, a contrario de ce que vous dîtes, où il n’y aurait plus que toute la littérature que vous citez – et que j’adore – sans Nature, sans biodiversité, n’aurait plus que les yeux pour pleurer… Les poètes et écrivains que vous nommez – et que j’adore aussi – n’ont pas reçu leur inspiration que de l’Homme mais bien de la nature qui les entourait, et bien mieux qu’aujourd’hui : cf. Les Contemplations, Victor Hugo, pour ne citer que lui…
Quant aux animaux, je ne vois pas en quoi le fait de prendre leur défense peut porter atteinte à l’Homme Blanc… Personnellement, croyez-le, je défends les deux et de bon coeur.
Quant à toute la nostalgie que vous exprimez, à juste raison, sur notre Histoire de France, je me permets de vous signaler le Cercle Légitimiste de France où Notre Histoire est à l’HONNEUR tous les jours, avec des citations de nos grands hommes, de nos écrivains, de nos rois.
Je sais à quel point vous êtes républicaine mais vous convenez vous-même que tous les républicains ont été des traîtres et il n’y a aucune raison pour cela change. Je ne crois plus dans aucun d’eux. C’est la raison pour laquelle je pense que Louis XX est l’Homme Providentiel, le seul à pouvoir sauver la France. Quant à l’argument récurrent des patriotes qu’avec une monarchie la descendance nous est imposée et qu’on doit subir l’héritier, je pense qu’il serait toujours temps d’y remédier si nous avions une monarchie plus ou moins constitutionnelle. Mais vous devriez voir la famille de Louis XX. Son épouse est magnifique et les enfants aussi. Et il me suffit de regarder cette famille pour éprouver du réconfort : elle donne l’image d’une vraie famille, traditionnelle pour lesquelles les vraies valeurs comptent ! Louis XX parle lui-même de l’inversion des valeurs. Vous devriez lire ce qu’il dit. Tout en restant républicaine je suis certaine que vous approuveriez mieux ses discours que ceux de tous nos politiciens plus ou moins véreux.
C’est à en pleurer de désespoir tant vous touchez le vrai chère Christine de ce que ce qui fut une excellente Éducation nationale n’est plus qu’un grand vide qui a mené la France, du peloton de tête en la matière en queue de peloton dans les évaluations internationales… Mais où sont les parents d’élèves pour se faire entendre ? Si tant est qu’ils puissent se faire écouter, mais ils pourraient au moins essayer…
J’ai essayé à maintes reprises et on m’a bien fait comprendre que je n’étais qu’une mégère qui devrait la mettre en veilleuse. Du coup, je suis obligée de m’y coller. Je travaille avec mes enfants pratiquement tous les soirs, après de bonnes journées de boulot !
Chères têtes blondes … heu !!!!
il n’y en a plus beaucoup
comparez les photos de classe d ‘y il a 60 ans avec celles de 2019
Il n’y aura bientôt plus que du crèpus très foncé aux yeux sombres,avec pour cible,les jolies petites Françaises restantes,pour finir de saloper tout ce qu’il y a de beau,d’intelligent et de très varié,dans nos origines. Viendra très vite,ce peuple de zombis,ne sachant que danser le rap,et cracher tous les dix mètres,en insultant et détruisant,tout ce qui pourra encore représenter nos belles origines. Voici donc l’oeuvre de macron et de ses petits copains qui l’ont installé au pouvoir. Un homme sous l’influence d’une femme qui a l’âge de sa mère,et des salopards pleins de fric,pour qui l’humanité ne représente quelque chose,que lorsqu’elle est rentable. Comme dirait celui dont je ne sais plus le nom.. »ainsi va le monde ».
Je ne l’aurais pas mieux dit. Comme ouvrages de réflexion, on pourra conseiller « La fabrique du crétin », et « Comment sommes-nous devenus si cons ? ».