Pour en savoir plus sur la frappadingue Mathilde Szuba qui veut nous imposer des tickets de rationnement…

A propos de l’article de Christine Tasin présentant le projet du pseudo chercheur Mathilde Szuba
http://resistancerepublicaine.com/2019/07/31/retour-aux-annees-40-ils-veulent-a-present-nous-rationner-comme-a-cuba-on-va-se-marrer-les-amis/
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Il faut ajouter que cette  frappadingue a même écrit une thèse sur le sujet :https://www.theses.fr/200642057

On peut la consulter en pdf : https://www.theses.fr/2014PA010540/document . (Voir ci-dessous le sommaire… alléchant, n’est-il pas ?). La thèse a été soutenue en 2014, et on comprend que l’obsession de l’imposture écologiques tombent à pic pour la faire sortir de l’obscurité où elle aurait dû continuer à pourrir…

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(Note de Christine Tasin  : les maîtres mots sont contrainte et rationnement, gageons qu’un psy et/ou un sexologue en feraient des gorges chaudes…  en tout cas la donzelle est docteur en « sociologie de l’environnement »… sic ! Et elle travaille pour l’Institut Momentum, laboratoire d’idées qui brasse du vent, pendant que les vrais labos de recherche, scientifiques, tirent le diable par la queue…).

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Elle a aussi écrit un livre qui s’intitule : « Gouverner la décroissance – Politiques de l’Anthropocène III »
(l’Anthropocène III est censée être une ère géologique pilotée par l’homme !) dont l’un des chapitres est « Le rationnement, outil convivial ».
Présentation du livre sur Amazon :

La décroissance peut-elle devenir un modèle politique alternatif et réaliste ? Face au risque d’effondrement qui pèse sur nos sociétés industrielles, cet ouvrage défend de nouvelles voies fondées sur la tempérance et le ralentissement : instauration d‘un revenu de transition écologique, adossement de la création monétaire aux limites de la planète, rationnement équitable des énergies fossiles, développement de la permaculture, partage du travail, etc. Il présente certaines expérimentations, telle la biorégion de Cascadia, en Californie du Nord. Bien gouverner la décroissance plutôt que la subir : une nouvelle histoire politique peut s’écrire, où les perspectives ouvertes ne sont pas celles de la crise mais de l’inventivité.

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Son obsession vient de loin et pour l’arrêter dans son délire il va sans doute falloir se montrer un poil plus que viril…

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10 Commentaires

  1. Je pense qu’elle anticipe et nous conditionne quant à la submersion à venir quand il faudra faire de la place et des sacrifices pour les nouveaux arrivants sauf pour les docteurs en sociologie de l’ environnement , je pense qu’à ce niveau de cogitations dans ces espèces de comités Théodule que sont ces laboratoires d’idées plus fumeuses les une que les autres, elle ne doit pas se prendre pour le commun des mortels, elle doit planer à 15000 pieds au dessus du sol.

  2. je suis pour la décroissance mais elle doit commencer par une politique de restriction des naissances . Au lieu de donner de plus en plus d’alloc à partir de trois enfants moi je donnerais beaucoup pour le premier enfant et de moins en moins pour les suivants . Parce que pour moi c’est presque un luxe et un égoïsme d’avoir une grande famille à moins d’en confier le coût à la société . Je n’ai eu qu’un enfant mais je l’ai voulu et je l’assume . mais je n’en aurais pas eu beaucoup sachant ce que c’est de travailler pour les deux parents tout en élevant vraiment leur enfant et aussi ne sachant pas le futur que nous lui réservions au niveau individuel comme collectif. Qui favorise les mosento qui privilégie les fermes usines qui fait de l’agriculture intensive ce sont ceux les mêmes qui œuvrent pour la surnatalité en appelant ça le progrès . Et la surnatalité engendre la surconsommation et la surproduction génératrices de cette mal vie et si effectivement tout cela a un impact sur l’environnement , il faut bien que l’on nourrice, chauffe et éclaire sans que les coûts deviennent intolérables pour tous jusqu’à pousser les états à être interdépendants et donc de moins en moins libres libres .
    Parmi les bien pensants productivistes, il y a la gauche mais aussi les écolos qui ne remettent pas fondamentalement en cause le système mais font comme les communistes en leur temps et ne vivent que par rapport au capitalisme . Enlevez le mondialisme capitaliste il n’y a plus d’écolos.
    Ce ne sont pas les écolos qui ont permis que la France et notamment Paris soient moins pollués qu’avant malgré les déclarations alarmistes qui se font de plus en plus entendre. C’est le fait d’avoir confié à la Chine la fabrication de tous nos biens de consommation et d’avoir désindustrialisé en conséquence même si nous pourrions nous en mordre les doigts un jour. Je comprend pourquoi certains n’aiment pas l’histoire parce qu’elle remet en cause toutes leurs certitudes Paris était bien plus pollué sous l’ère industriel et lorsque les Parisiens se chauffaient au bois et au charbon que maintenant . Il suffisait de voir l’état des façades pour s’en rendre compte, que l’on renonçait à blanchir sachant que cela ne servirait à rien . Les monuments ont été nettoyés à partir de L’ère jack Lang , cela a coûté très cher et je ne pense pas que l’on se serait engager dans de telles dépenses si on n’avait pas été sûr que la situation resterait pérenne .

  3. Oh mais quelle gourdasse ! Comment faites vous pour dénicher de tels spécimens ?

  4. Non, je suis nationaliste, mais d’accord avec la décroissance !!!

    • Piero San Giorgio, hmmm, pas trop d’accord, pour une autre croissance plutôt.

  5. Ils sont de plus en plus malade à gauche et à ce niveau c’est incurable.

  6. il fut un temps ou ce genre de jobastre était peinte au goudron et roulée dans les plumes

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