15 Comments

  1. Dans mon enfance je savais lire et écrire a 7 ans,
    Je savais mes tables de multiplication jusque a 12.
    On avait un instituteur qui nous mettait des coups de canne dans les jambes.
    Il existait le bonnet d âne encore.
    Résultat moi et mes copains on a eu de bonnes situation.
    Les temps ont changes. Triste.

  2. Le secteur public actuel n’est plus celui d’antan garant d’un sérieux,d’une compétence certaine et au service d’autrui.
    Aujourd’hui force est de constater qu’il constitue un refuge pour paresseux et incompétents qui au fil du temps progressent quant même et sont très vite de dignes représentants du Principe de Peter qui consiste à hisser au delà de leur niveau de compétence des personnels..
    Pauvre service public auquel désormais chacun essaie d’échapper en payant lorsqu’il peut.
    En l’occurrence et dans le cas qui nous occupe selon que tu es puissant ou misérable tu peux ou non te soigner efficacement.
    Il est encore heureux et opportun que des CHU puissent encore échapper à ce raisonnement d’ordre général.
    A titre d’exemple un service de cardio de pointe à Rennes.

  3. Oui mais, je vais encore radoter,  » ils ne sont forts que de nos faiblesses  »… Aucune mesure ne semble être prise à l’accueil des urgences pour effectuer même un semblant de tri. Du vécu : une attente de 30 mn derrière deux jeunes femmes, véritables autochtones avec leurs gamins qui avaient  » mal à la gorge  ». Pourquoi les urgences ? Parce qu’elles n’aimaient pas les médecins de leur petite ville voisine disaient-elles à la personne à l’accueil qui a tranquillement enregistré tout ce petit monde sans l’ombre d’un commentaire….

    • Le personnel médical, au nom du politiquement correct, fait souvent son propre tort.

  4. Ne tirons pas des généralités de cas particuliers ! Ayant eu affaire avec le privé et le public, j’en déduis qu’il s’agit essentiellement d’un problème d’homme : on a le meilleur et le pire dans les 2 secteurs ! C’est une question de chance…
    Pour les urgences de l’hôpital, j’ai pu remarquer, à plusieurs reprises, qu’il s’agit essentiellement d’un problème d’organisation.
    Exemple : en 2002, pour ma mère au CHU régional, des patients sur les brancards dans tous les espaces possibles, avec les alarmes des tensiomètres qui se déclenchaient régulièrement. Mon fils, « grande gueule », s’est mis à hurler, a exigé de rencontrer le responsable…et nous avons été reçu par je ne sais qui…toujours est-il que, une demi-heure plus tard…les couloirs étaient vides, tout le monde réparti dans les services ad hoc…

  5. Le manque de lits , de médecins ….de moyens ..etc …ben oui ! mais il faut bien payer les homards et les grands crus que s’envoie de rugy ainsi que les dressings a 18000 euros ……bref prenez bien soin de votre santé dans ce pays ou il faut que rien ne vous arrive !
    Rendez vous ophtalmo = 3 mois d’attente !!

  6. Pour y être passé, on n’a pas toujours le choix.
    Je suis resté 22 heures sur un brancard des urgences d’un CHU pour une affection qu’il était seul à soigner dans une ville moyenne pourtant bien pourvue en clinique. J’avais été dirigé par un médecin très compétent, de SOS Médecins à la réactivité exceptionnelle.
    Un des gros problème de ce CHU est le manque de lits dans certains services qui complique bien évidemment le parcours de soins et l’encombrement dans les services d’urgences.

  7. Bonjour,
    Je me fais exactement les mêmes réfléxions sur l’école.
    Je détestais l’école privée, mais vu ce que nos gouvernants ont fait de l’école publique …

    • Moi c’est le contraire, j’ai détesté l’école publique dans mon enfance, au cours de mon activité professionnelle et je l’ai encore plus détestée pour mes enfants. Je connais donc bien les deux écoles et mon choix, bien expérimenté et pensé du coup, est fait.

  8. Bonjour mr Cassen vous avez entièrement raison en effet les hôpitaux publics n’ont plus la capacité pour gérer convenablement les urgences , ceci principalement du au manque de personnel et bien entendu non pas a leur compétence . Moi même ayant du faire appel a des soins urgences…je me suis rendu dans un hôpital est a mon arrivée ces urgences étaient débordées certains attendaient des soins depuis plus de 4 h ,nombreux étaient survolté ,je me suis rendu dans une clinique privée ,ou j’ai été pris en charge de suite…et tous les examens ont suivit…pour une entorse du genoux…le tout pour 134€ , dont 125 m’ont été remboursé quant même par la sécu et mutuelle…il serait temps que le service public prenne exemple de cette compétence exemplaire du privé ,désormais mon choix sera exclusivement pour le privé même si je doit avancé les frais de soins. Merci pour vos articles source exemplaire qui nous donne le moral dans ces temps sombres.

    • « manque de personnel », je veux bien l’admettre mais sur 40 ou 50 personnes, combien d’urgences réelles ?
      Le problème ne vient-il pas majoritairement de là ?
      J’ai vu des gens aux urgences de chez moi juste pour faire changer un pansement. C’est du foutage de gueule, non ?
      Entre l’accidenté de la route ou du travail amené par les pompiers et celui qui vient faire soigner un bouton d’acné, y a quand même un sacré tri à faire.
      Mettez ces gens au tarif spécialiste si urgence non avérée, vous verrez que ça va se désengorger tout seul.

  9. Etat des hostos publics, pénurie de médecins, pénurie de médicaments …..
    En revanche, pas de pénurie de coups de couteau ….
    France, 2019 ……

    • On ferme les hostos, on ferme les écoles, les trésoreries, etc.
      Aucun politique n’a réalisé ou tenu compte qu’en 30 ans il y avait 11 millions de personnes en plus.
      Et tout le reste à l’avenant.

  10. tout a fait d’accord avec vous . je suis également un défenseur du service public , mais comme vous le dite ceux qu’ils ont faits de l’hôpital publique est un vrai cauchemar . dans ma ville des gitans viennent a l’hôpital pour rien , une grippe , un mal de gorge … tout les soirs la salle d’attente des urgences est obstrué par des roms,gitans , beurs .. parfois ils règlent leurs comptes au sein même de l’hôpital !
    le problème est toujours le même nous avons des gens en France qui profitent du système français aux dépend des français .
    y’a bon la soupe en France , mais c’est le Français qui en pâti .
    pour sauver nos services publics , commençons par renvoyer les immigrés chez eux !

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