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Ils sont très forts. Et c’est d’une perversité sans nom.
Ils ont réduit à quia et trop souvent même au suicide nos petits agriculteurs et éleveurs crevant de faim, travaillant comme des brutes 7 jours sur 7 toute leur vie, désespérés par la concurrence qu’ils osent appeler libre et non faussées, par les quotas, obligés d’utiliser les produits de Monsanto pour ne pas crever et supporter la concurrence, asséchant leurs terres… et en plus traités d’assassins par les gauchos et les vegans.
Résultat des courses : les jeunes ne veulent plus reprendre la ferme, ils laissent tomber. Plus personne ne veut apprendre le métier qui mène à la misère ou au suicide.
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Mais pendant ce temps, ils font la promotion du bio, dans un monde qui nous inonde de maïs transgénique et de boeuf élevé aux hormones et aux antibiotiques… ajoutant aux inégalités de naissance et d’éducation celles de la malbouffe et donc des maladies qui vont avec.
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Et là, patatras, quel hasard, ils se rendent compte que, pour le bio, il faut de multiples exploitations et plein de gros bras pas trop regardants, prêts à tout pour obtenir le visa, le statut de réfugiés et, pourquoi pas, la nationalité française.
Bingo ! Les clandestins tombent à pic !
L’intégration de réfugiés en France avec les fermes agro-écologiques grosses demandeuses de main-d’œuvre
Face à la croissance du marché des produits issus de l’agriculture biologique, le secteur est en demande de main-d’œuvre pour pouvoir répondre à la demande dans les années à venir. Une opportunité d’insertion pour des réfugiés, saisie par deux associations solidaires… Extrait du magazine « 13h15 le samedi » du 6 juillet 2019.
L’idée est née de la collaboration de deux associations : le Groupe SOS Solidarités, spécialisé dans l’entrepreneuriat social, et le réseau des Fermes d’avenir, qui promeut la transition agro-écologique. Ensemble, elles ont dressé un double constat : d’un côté, la demande de produits bio augmente de 20% chaque année ; de l’autre, l’agriculture industrielle est à bout de souffle alors qu’un nouveau modèle émerge, basé notamment sur l’agro-écologie et la permaculture. Mais la production ne suit pas, avec comme principal obstacle le manque de main-d’œuvre qualifiée.
Le magazine « 13h15 le samedi » (replay) s’est rendu à la ferme de la Croix Saint-Claude, une petite exploitation de deux hectares dans le département de l’Aisne, où Mogos Abraham, 38 ans, poursuit sa formation agricole. Ce réfugié érythréen a fui le régime militaire de son pays en passant par le Soudan, la Libye, l’Italie pour arriver en France il y a deux ans, où il a obtenu son statut de réfugié. Il est encadré par Jean-Michel Leducq, 61 ans, qui a rejoint le réseau des Fermes d’avenir pour tout repenser et produire bio : « Avant, j’étais dans la culture industrielle que j’ai abandonnée après la réforme de la PAC en 1992… Et je suis revenu vingt après. Comme quoi, c’est une maladie qui ne passe pas… »
« Et nous, on a besoin d’eux, donc, tout va bien »
L’unique champ de la ferme est cerné de cultures conventionnelles, mais le paysan veut jouer son rôle dans la transition agricole dont le marché est demandeur. D’où l’accueil de « compagnons », comme Isabelle, en reconversion professionnelle, ou Mogos, engagé dans une démarche d’insertion. « Pour tout ce qui est agro-écologique, qui demande beaucoup de main-d’œuvre, même sur mon petit morceau de terre dans une zone où il y a beaucoup de chômage, j’ai vécu le problème de ne pas avoir de main-d’œuvre », explique-t-il.
« Ce sont des métiers quand même durs et assez peu rémunérateurs qui n’attirent pas la population française classique, précise l’agriculteur. En plus, c’est une manière de gérer les flux migratoires à venir. C’est une manière d’intégrer des gens qui ne peuvent plus vivre chez eux. Et nous, on a besoin d’eux, donc, tout va bien. » Pour nourrir bio un tiers des Français dans dix ans, contre 5% aujourd’hui, il faudrait 25 000 nouvelles exploitations de petites surfaces d’ici à 2030, et environ 100 000 nouveaux paysans, alors que 50% des agriculteurs prendront leur retraite d’ici-là, selon Fermes d’avenir. Près de 43 000 personnes ont obtenu l’asile en France en 2017.
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Le hasard fait rudement bien les choses, vous ne trouvez pas ?
Tout cela ne tombe pas du ciel, tout cela est voulu, organisé, programmé, depuis des lustres, ourdi dans les bureaux de la Commission européenne depuis au moins les années 2000 (qu’on se rappelle le TCE de 2005 qui contenait exactement ce qui a été ratifié au Traité de Lisbonne) et déjà bien entamé par Maastricht dès 1992. Ce qui suppose que nos têtes pensantes y songeaient déjà il y a fort longtemps. Et en effet, ils y pensaient depuis avant même la seconde guerre mondiale !
Sans doute même depuis les premiers balbutiements de Monnet, ce traître à la patrie soudoyé par les Américains pour construire une Europe politique et économique qui ferait disparaître les souverainetés nationales. L’Europe un immense marché commun, un espace sans nations… Le rêve de Jean Monnet. La Faute de Jean Monnet selon l’excellent petit livre de Chevènement sur le sujet.
Quant à Monnet, il est dépeint ni plus ni moins comme un ennemi de la Nation, par exemple : « (…) l’idée de reconstruire l’Europe sur la base d’un marché commun était moins importante, dans l’esprit de Jean Monnet, que l’éradication des souverainetés nationales ».
Ce même Monnet, qui, dès 1943, écrivait aux Américains à propos de De Gaulle : « Il faut se résoudre à conclure que l’entente est impossible avec lui ; qu’il est un ennemi du peuple français et de ses libertés ; qu’il est un ennemi de la construction européenne, qu’en conséquence, il doit être détruit dans l’intérêt des Français »
C’est Monnet qui négocie avec les Américains un plan de reconstruction de la France très clair : Dès 1943, ses projets pour l’Europe intègrent les exigences américaines concernant les suppressions des droits de douane et des contingentements européens, ainsi que la création d’une « unité économique commune ». Source wikipedia
Monnet, marchand de cognac s’étant considérablement enrichi en vendant ses produits en contrebande pendant la guerre, Monnet banquier de Wall Street…
Dès 1950, des rapports signalent que l’Allemagne se relève beaucoup plus vite que la France, certains craignent que les vaincus soient à nouveau tentés par une revanche. De plus, il faut définitivement intégrer l’Allemagne dans le camp occidental alors que la guerre froide débute et que le centre de l’Europe risque de devenir un espace d’instabilité et de guerre Est-Ouest. La France se doit de prendre l’initiative, de tendre la main à l’ennemi d’hier et de proposer de lier les destins des deux principaux pays de l’Europe continentale.
Jean Monnet travaille en secret sur un projet de mise en commun du charbon et de l’acier, principales sources d’une possible industrie de guerre. Au printemps 1950, il présente son projet à Robert Schuman, qui s’assure de l’accord du chancelier allemand, Konrad Adenauer, et fait le , une déclaration solennelle pour inviter tous les pays intéressés à poser « les premières bases concrètes d’une fédération européenne ».
Dans un discours de 1950, Jean Monnet dira :
« La prospérité de notre communauté européenne est indissolublement liée au développement des échanges internationaux. Notre Communauté contribuera à régler les problèmes d’échange qui se posent dans le monde…. Nous sommes déterminés à rechercher sans délais dans des conversations directes, les moyens de mettre en œuvre l’intention déclarée du gouvernement britannique d’établir l’association la plus étroite avec la Communauté. Nous sommes convaincus que nous pouvons envisager une collaboration étroite et fructueuse avec les États-Unis, qui depuis la proposition faite par Monsieur Schuman le , nous ont donné des preuves répétées de leur sympathie active…. Mais, nous ne sommes qu’au début de l’effort que l’Europe doit accomplir pour connaître enfin l’unité, la prospérité et la paix. »
— Monnet, 1950a
Le traité de Paris de 1951 entérine la création de la Haute Autorité qui s’inspire des agences fédérales américaines, l’Assemblée des Six, une Cour de Justice qui veille au respect du traité et un Conseil de ministres qui assure l’harmonisation des politiques des États membres. C’est la préfiguration d’une Fédération européenne. La CECA est créée et Jean Monnet devient, de 1952 à 1955, le premier président de la Haute Autorité (Autorité Monnet) de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA), installée à Luxembourg, le . Dès 1953, le charbon et l’acier circulent librement en Europe.
Pour lui, cette « Europe des Six » est le seul moyen de lier l’Allemagne et la France et de désamorcer la renaissance d’une rivalité séculaire, en plaçant les productions de l’acier et du charbon, dans le cadre d’une délégation de souveraineté. Il veut aller plus loin toutefois, et envisage une armée nationale allemande[réf. nécessaire], ce qui semble être un dangereux retour en arrière. Il propose finalement la création d’une armée européenne, présentée par René Pleven dans le cadre d’un Plan de Communauté européenne de défense (CED). Un premier traité sera signé mais sous le gouvernement Mendès France, le Parlement français le rejette néanmoins en 1954.
À la suite de cette première grave crise européenne, Jean Monnet démissionne de la Haute Autorité et fonde le Comité d’action pour les États-Unis d’Europe au 94 boulevard Flandrin (16e arrondissement de Paris), pour poursuivre son activité en faveur de l’unité européenne à travers lui. Ce comité regroupe les forces syndicales et politiques des six pays et représente plus de dix millions de personnes. Il prône une fédération européenne et propose de placer le siège des institutions communautaires dans un « district fédéral »échappant aux souverainetés nationales. Jean Monnet l’anime jusqu’en 1975, et il travaille sur les projets de traité pour le Marché commun et d’Euratom, qui privilégie une filière américaine d’approvisionnement contre l’indépendance nucléaire française8, projets qui aboutissent au traité de Rome, le et sur le projet d’élargissement de la Communauté au Royaume-Uni.
Jean Monnet résume la philosophie de son projet européen dans la formule : « Nous ne coalisons pas les États, nous rassemblons les hommes. »
Lire l’ensemble de la fiche qui est consacrée à Monnet sur wikipedia pour comprendre pourquoi et comment nous en sommes arrivés là et qui sont les différents organisateurs de ce suicide.
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Suicide d’un peuple. Qui commence, forcément, par ce qui est vital pour nous, la nourriture. D’un côté les Chinois achètent à tour de bras nos terres arables, de l’autre, nos dirigeants installent des étrangers, majoritairement musulmans, à la tête des exploitations agricoles… le pouvoir absolu.
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bonjour @ Duranduran ,
je ne sais pas si c’est a moi que vous adressé ce commentaire ou a @France ?
si c’est a moi , vous avez mal lu mon commentaire .
Je ne vois pas où est le problème à ce que les exilés travaillent en France à produire de la nourriture de qualité que nos agriculteurs sont incapable de fournir en quantité à des prix raisonnable. Les « pauvres paysans » comme disait Fernand Raynaud, sont des capitalistes propriétaires terriens, et possesseurs de leur outil de production qui coutent des sommes astronomiques.
Les prolétaires de tous les pays doivent se tenir les coudes et se partager le travail au niveau mondial, en se déplaçant s’il le faut, pour aller gagner dignement leur vie là où les condition sont les meilleurs pour eux. C’est normal et juste. Une Gauche nationale est un non-sens. Quand on est un vrai ouvrier Français, on est solidaire de tous les ouvriers de toutes les Nations de la Terre et près à partager avec ses camarades de quelque contrée qu’ils viennent. C’est tout.
Et ce qui est encore mieux, France, c’est que ces « prolétaires » musulmans du monde entier ont une démographie explosive, que certains méchants qualifient d’irresponsable et djihadiste, comme ça ils peuvent encore plus s’expatrier à l’infini comme une averse continue – ils sont un milliard point six – et venir tout spécialement en France produire à la place de nos agriculteurs « incapables ».
@ France ,
vous confondez paysans et exploitant agricoles . mes cousins dans les Hautes Alpes sont des paysans et ils ne roulent pas sur l’or .
l’exploitant agricoles quant a lui n’ait pas paysan , il ne fait que exploiter des ouvriers saisonniers sur ses terre , et en général il peux être aussi banquier ou trader , ou avoir divers entreprises .
vous avez aussi le néo-ruraux bobos , lui non plus ce n’est pas un paysan . il ne fait que vivre de fantasmes , se la joue paysan en sachant très bien que si ça ne marche pas il pourras reprendre ça vie de rentier ou de profs , ou d’informaticien , ou de galeriste …. ou autre bobojobs .
l’exploitant capitaliste et le néo – ruraux bobo , sont deux plaies pour les paysans et pour nos campagne et village en général .
restons dans le vrai !
France, si j’étais toi, j’insisterais pour faire venir en France les Rohingyas envahisseurs polygames – dignes de l’islam – de la Birmanie, ils font encore plus de main d’oeuvre hégémoniste au mètre carré. Un homme avec deux femmes et 14 enfants et deux en route, multiplié par 10 000, la société protectrice des animaux nous aidera à faire le calcul du nombre de descendants comme pour les chats, ça fait rêver le prolétaire solidaire internationaliste. Le ravage agricole « écologiste » de la terre française pour nourrir tout ce monde s’annonce complet. Personnellement je propose quand même des campagnes de stérilisation, elles aussi dirigées par la société protectrice des animaux car ces gens-là sont hermétiques à la civilisation.
PS: »les prolétaires de tout les pays doivent se tenir les coudes » je ne pense pas que vous soyez issu du prolétariat avec ce genres de propos . déjà la classe ouvrière a beaucoup changé et c’est de plus en plus prolétarisé c’est a dire quelle est tombé dans le lumpeen prolétariat .
le prolétariat j’en suis et entre prolos et fils de prolos nous avons toujours étaient de vrais chien entre nous (dog is dog) . chez les anciens prolos il y’avaient une solidarité de classe et un savoir faire français et européens . ce qui a détruit la classe ouvrière et ses luttes c’est l’immigration extra européenne , qui fut organisé par le capitalisme : rassemblement familial ….
puis désormais nous voilà a l’ère de la post industrialisation et ces descendent d’immigrées d’afrique du nord ou subsahariennes qui ne ceux sont jamais assimilaient ont tirés les anciennes villes et faubourg ouvrier vers le bas , faisant vivre un véritable enfer aux populations ouvrière autochtones. je suis plus que sur que vous n’êtes pas issu du monde ouvriers .car , l’anti racisme est un luxe de bourgeois .
Ha vous pensez donc que les ouvriers doivent être solidaire ?C’est sûr avec les syndicats corrompus tirant les couvertures à eux et qui n’ont fait que diviser pour mieux régner . Allez dire ce que vous avez écrit à de « vrais ouvriers » comme vous le dîtes , et vous viendrez nous en dire des nouvelles , je vous paris que vous ne ferez pas long feu et qu’ils vous jetteront dehors avec perte et fracas . et c’est un vrai ouvrier qui vous le dit .
Comme d’hab ils nous prennent pour des cons.
Le principal dans tout ça, c’est que les colonisateurs perçoivent, sans avoir fait autre chose que piller, des salaires de coupeur de têtes supérieurs au double de ceux de nos agriculteurs retraités, qui eux se sont levés toute une jeunesse à 4 heures
Mais Ma crotte est content d’ avoir ses électeurs….
Les clandestins-réfugiés-migrants-exilés qui échouent chez nous ne sont pas tous médecins ou ingénieurs, loin s’en faut. Il y a quantité de musulmans avec juste leurs bras à louer pour nous produire une nourriture saine, pas chère et payer nos retraites. Sans la dynamique démographique afro-islamique qui débordent de ses terres naturelles, où en seraient les – déjà et futurs – vieux Européens de souche?
Quand on a plus que des teubs et des teuchs uniquement pour la jouissance sexuelle, on ne met plus au monde suffisamment de ses propres « bâtons de vieillesse » et alors il faut bien compter sur ces fameux Autres, certes brut de décoffrage et aux valeurs exotiques et parfois barbares, mais qui pondent des bras pour torcher et sustenter tout le monde.
L’avenir de la France, de l’Europe et des colonies Occidentales d’Amériques et d’Australie appartient aux communautés qui font des enfants. C’est la dure loi de la démographie.
pauvre France . avec vous c’est la cas de le dire, vous portez mal votre prénom ma petite !
très bon article (cela dit j’en parle dans mes commentaires depuis 2ans ) . en ce qui concerne l’ordure jean monnet , en effet j’ai eu lus des textes consacrés a cet individus ,en effet c’était une belle pourriture . Xénophon disait déjà dans l’antiquité: » ont ne peux pas faire confiance au marchands et a ceux qui font commerce , ils ne peuvent être citoyens de la citée , car ceux qui font commerce trahirons tôt ou tard la citée » (les citées grecques) .
désormais la vrais progression serait de revenir a une vie plus enraciné ,locale et plus lente . j’en parlais dans un commentaire hier .
comme nous le voyons dans votre article c’est le capital qui ait une fois de plus a l’origine du mal , et ces bobos gauchos qui font des association pro migrants au service des intérêt du cac 40 et du capitalisme global . n’oubliez jamais que pour le capitalisme un peuple enraciné c’est un peuple dangereux pour ses intérêts , voilà pourquoi ce système met toute en œuvre pour déraciner les autochtones , en gentrifiant d’un côté et en organisant l’invasion migratoire de l’autre . le peuple déraciné ce retrouvent ainsi sans repère dans un monde qui lui est complétement étranger .
monnet banquier international ce salopard et traître , comploter déjà contre la France et les états européens , De Gaulle le gêner d’ou les événements de 68 , ce qui amènera le président De Gaulle en 1969 d’ engager son mandat sur un référendum (sur la réforme du Sénat et la régionalisation) et démissionne après la victoire du « non ». Il se retire dans sa propriété de Colombey-les-Deux-Églises, où il décède dix-huit mois plus tard.
La destruction de la France était déjà programmer depuis de longue date !
Rien de nouveau! C’est juste le tour des agriculteur. Ca c’est fait à RATP, dans l’enseignement, dans les hôpitaux, maintenant c’est le tour de remplacer les agriculteurs. Ce n’est pas difficile. Comme nos ministères ont fait des médecins pendant la nuit, ( et ils peuple à un très grand pour centrage les hôpitaux de l’Ile de France et en province) ils peuvent faire des agriculteur pendant la nuit aussi.
« Ce sont des métiers quand même durs et assez peu rémunérateurs […] c’est une manière de gérer les flux migratoires à venir, […] d’intégrer des gens qui ne peuvent plus vivre chez eux. Et nous, on a besoin d’eux. »
Ou la traite négrière organisée par ceux-là même qui deviendront esclaves. Pas beau, ça ?
Je n’ai pas bien compris pourquoi les agriculteurs n’ont pas rejoint les GJ.
Ils n’ont pourtant plus grand-chose à perdre si ce n’est les subventions de Bruxelles qui les tient ainsi par les c….s. Mais même avec ça, ils ne s’en sortent pas.
c’est vous qui vous occupez de leur exploitation pendant ce temps? Ben non bien sûr….
Vous avez très bien compris le sens de mon propos.