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Des « antifas » ont tagué et vandalisé une stèle érigée en hommage aux maquisards du Bataillon Berthier, en haut du col de l’Échelle sur la commune de Névache (Hautes-Alpes), le 7 juin dernier.
Les murs de la petite chapelle Notre-Dame-de-Bon-Rencontre ont aussi été recouverts par les tags.
Les tags anarchistes injurieux sont rédigés en anglais fautif – WELLCOME au lieu de WELCOME… – et en italien – IL CONFINE UCCIDE ! (la frontière tue !) –, accompagnés de croix peintes à l’envers.
Les messages anti-français réclament l’ouverture des frontières.
Sources : Le Dauphiné, 9 juin 2019 ; page Facebook d’Arnaud Murgia (photos), 7 juin 2019
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Mettons-nous un instant dans la tête du passant
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Version 1 (Dans la tête d’une personne respectueuse des libérateurs de la France)
« Je suis ému par ce lieu qui me relie au passé, qui me rappelle que d’autres générations m’ont précédé. Je suis lié en pensée à ceux à qui je dois ma liberté. Je pense sincèrement que nous leur sommes redevables et que nous leur devons le respect. Je reconnais la valeur de ce qui m’a été transmis. Je suis attaché à la France que d’autres avant moi ont libérée de l’ennemi, en payant avec leur courage et leur sang ».
Version 2 (Dans la tête d’un antifa, sa bombe de peinture à la main)
« Par mes inscriptions, « fuck France » « ouvrez les frontières », j’indique explicitement que je n’ai aucune considération pour le passé. Le passé n’a aucune espèce d’importance et peut bien disparaître. Je suis seul au monde à être important. Seuls comptent le présent et mes désirs immédiats, que je compte bien satisfaire sans effort. Je fais ce que je veux de cet endroit, et par extension de ce pays avec lequel, somme toute, je n’ai pas spécialement de lien affectif. Et pour autrui, mort ou vivant, je n’ai que mépris. Je marque clairement ma différence d’avec les patriotes, que j’accuse d’être égoïstes, en clamant que je suis prêt à faire entrer tous les étrangers qui le demandent, sans considération aucune, car si je n’ai pas de passé, je ne m’intéresse pas non plus à l’avenir et ne suis responsable de rien ni de personne ».
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Pourquoi enseigner l’histoire ?
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L’histoire est une « instruction civique en action », selon l’auteur de manuels Gustave Ducoudray (1838-1906)
Ernest Lavisse (1842-1922) :
« Il y a donc une œuvre française, continue et collective : chaque génération y a sa part et, dans cette génération, tout individu a la sienne ». 1890
« L’on ajoute à l’énergie nationale quand on donne à un peuple la conscience de sa valeur et l’orgueil de son histoire, quand les hommes éclairés ont une notion nette du génie du pays et du rôle qu’il a joué dans le monde et qu’un sentiment de piété envers la patrie descend des régions élevées de la recherche historique jusque dans les couches profondes du peuple » (Discours de rentrée en Sorbonne, 1883)
Souvenons-nous ici du sort de ceux qui nous ont précédés
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« Dans la neige » « Les guetteurs passaient des veilles atroces, par des froids de -25 »
« La vie devenait pour eux un martyre »
« Nos malheureux soldats eurent jusqu’à seize heures par jour de guet ou de service ».
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Extraits d’un témoignage [avec nombreuses coupures : ici in extenso]
Une partie de la France restait encore occupée par l’ennemi. Il fallait d’abord l’en chasser, puis le vaincre. L’armée française débarquée et les alliés ne lui laissaient plus de répit. Les renforts et les convois de ravitaillement passaient jour et nuit, montant vers le Nord pour alimenter la bataille. Artisans de la libération, les FFI désiraient ardemment faire partie des artisans de la victoire. Aussi les plus pressés s’engagèrent-ils aussitôt que possible dans les régiments prestigieux de la 1ère Armée française ou de la DFL. D’autres qui ne voulaient pas rompre les liens si solidement noues au sein du maquis, et cette camaraderie du combat qui facilite les taches les plus ardues, formèrent des unités de marche FFI.
Constitution du 1er bataillon de marche FFI du Rhône (…)
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La vie était rude. Sans préparation à la vie en montagne, mal habillés, mal équipés –on ne piétine pas impudemment dans la neige en petit souliers mal armés, sans accessoires pour entretenir les armes disparates, sans graisse de nettoyage, sans huile de fonctionnement, portant leurs cartouches dans leurs poches, les chargeurs de F.M. et les bandes de mitrailleuses sous le bras ou dans les sacs à terre, il fallut bien pourtant tenir, se défendre, attaquer même à l’occasion.
(…) Dans les points d’appui, la vie était très pénible. En haute montagne, la première condition d’existence est l’habitat. Il faut un toit, il faut des murs, il faut du feu. Bien équipé, on peut quitter ces refuges pour faire un raid, mais il faut pouvoir revenir s’y reposer, s’y refaire, s’y soigner.
[Aux] postes avancés (…) il fallait pourtant vivre et tenir. Les guetteurs y passaient des veilles atroces, par des froids de -25, et lorsque le vent ou la tempête de neige se levait, la vie devenait pour eux un martyre.
En général, les postes étaient relevés tous les quatre jours. Au mois d’Octobre, cela allait très bien, mais après le 15 Novembre cela devint de plus en plus difficile. Les effectifs avaient fondu, les tués, les blessés, les malades, et il y en eut beaucoup parmi nos trop jeunes soldats, sous-alimentés dans leur adolescence, et dont la santé à pareil régime était en perpétuel danger.
En Décembre, une mauvaise épidémie de gale rendit le problème encore plus angoissant. La désinfection des postes n’était pas très facile sous l’œil vigilant de l’ennemi.
(…) Aussi fallut-il bientôt abandonner le procédé normal des relèves collectives, et nos malheureux soldats eurent jusqu’à seize heures par jour de guet ou de service.
Les villages de Névache, Plampinet et Sallé, ou la 3ème était venue s’installer, n’étaient d’ailleurs pas des cantonnements de repos mais d’alerte. Les infiltrations et les raids ennemis étaient possibles chacun se souvenait du raid sur Termignon en Maurienne.
(…) La nourriture fut très longtemps insuffisante, surtout pour vivre sous un tel climat. Le ravitaillement en vivres américains apporta une grande amélioration, mais qui déçut très vite. Les « Meat and Vegetables Stew », au bout de peu de temps furent pris en horreur, et bientôt ces aliments dévitaminisés occasionnèrent de la gingivite.
L’armement et les munitions donnèrent également beaucoup de soucis. La graisse et l’huile manquantes furent bien remplacées par du gas oil, mais ce n’était qu’un pis-aller. Aux basses températures, les armes gelées ou givrées ne fonctionnaient plus, les percuteurs se brisaient, les rendant inutilisables.
L’équipement défensif des points d’appui fut une cause de grands soucis. Il nous aurait fallu des sacs à terre et du barbelé en grande quantité. Il nous en fut livré trop tardivement et de façon insuffisante, car la saison était déjà trop avancée. Il fallut donc se contenter des moyens du bord, comme toujours dans notre pauvre et cher pays (…).
Images du Maquis. C. Freinet. Fusains originaux de Mme E. Lagier-Bruno.
Gap, Éditions Ophrys, [1945]
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Les antifas (anti-Fra, pour anti-France plutôt) sont les mêmes que les djihadistes que l’on veut nous rapatrier, des terroristes.
D’ailleurs ceux qui sont partis en Irak ou en Syrie en étaient probablement, mais ça on ne nous le dira pas.
Ils n’ont pas encore trouvé la frontière de la débilité.
Ce sont des anarchistes pitoyables et ce ne sont pas les seuls .Ces gens qui ont perdu la boussole -c’est à dire la mémoire- il y en a plein .
Et les plus dangereux ne sont pas ceux qui salissent nos monuments et qui méritent une bonne raclée (certainement pas reçu assez de raclée petits ) .
Non,les plus dangereux ce sont les politiques et les magistrats qui ont perdu la mémoire ,le discernement ,la morale de l’ Histoire .
Car l’histoire est un éternel recommencement .
La Démocratie est à surveiller comme le lait sur le feu
,cela les enfants gâtés infantiles de notre civilisation ne veulent pas le savoir .
Ils veulent détruire la société comme un enfant détruit ses jouets quand ça ne l’amuse plus .
Quelle bande de débiles tarés élevés au cocacola et aux steaks hallal .
Le 1/1000 de ça, sur une mosquée, on n’aurait pas fini d’en entendre parler …..
Je n’avais jamais entendu parler des Stentors. Voici leur interprétation du Chant des partisans.
https://youtu.be/7oFUlFLYndE
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne?
Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme.
Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes. etc…
Ils se parent du titre d' »antifas », ce qui ne veut pas dire grand-chose. Ils sont surtout incultes, rustres, frustes et frustrés, envieux,bornés, violents, atteints de ce que Pauwels a appelé « le sida mental ». Des sales types doublés de pauvres types. A envoyer travailler aux champs, cela leur ferait le plus grand bien.
bande d’ordures de fils de bourges gauchistes qui salopent notre patrimoine et nos monuments aux morts . incultes gauchistes qui taguent le slogan ACAB qui signifie en anglais »a cops a bastard » inutile de vous traduire . ces abrutis de gauchistes devraient savoir que ceux qui sont à l’origine de ce slogan , sont des patriotes anglais . en effet à l’origine A.C.A.B est le titre d’une chanson du groupe oi! anglais THE 4SKINS qui était un groupe de oi! (musique skin) composé de patriotes anglais dont deux des membres étaient membres du National Front Anglais .
PS: les 4SKINS étaient patriotes mais pas nazis ou rouges ,ils étaient clairs là-dessus , l’un de leurs membres se nommait John Jacob .
C’est à pleurer…
Il faudra s’occuper d’eux à la libération !
Ces ordure d’antifas méritent le peloton d’exécution, pas étonnant que des bordilles pareilles adorent les migrants et toute cette merde qui assaille notre pays, ils sont faits du même bois, mais de plus eux ce sont des traitres immondes!!
On les butera à la libération !
Que l’on s’attaque aux vivants soit , mais aux morts ? C’est la pire lâcheté !
Que l’on s’attaque aux vivants soit , mais aux morts ? C’est la pire lâcheté !