Ça va pas, non ?
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Ce qui se passe à l’école Julien Lacroix (Paris, 10°) est une faute lourde. De l’intervenant, Nora Duprat ; de l’enseignant Pénélope Gaillard-Siboni ; de l’école ; du Ministre de l’Education nationale.
«Les pauvres faut les aider !», «Sans les plantes on meurt !», «Pollution démission !». Ils sont 250 à scander leurs slogans ce vendredi matin, à Paris dans le parc de Belleville. Pancartes, mégaphone, tambours improvisés, les manifestants font du bruit. Pas de CRS à l’horizon, ni de gilet jaune. Les redoutables activistes portent des parkas de toutes les couleurs, taille 10 ans maximum. Ce sont les élèves de l’école Julien Lacroix, dans le XXe arrondissement.
Cette manifestation est l’aboutissement d’un projet qui a été porté par une classe, les CM1-CM2D de Pénélope Gaillard-Siboni, avec une designer graphique, Nora Duprat, dans le cadre du programme Artiste intervenant en milieu scolaire des Beaux-Arts de Paris. Pendant toute l’année scolaire, Nora Duprat était en résidence dans leur école, pour monter un projet ayant pour objectif de «questionner la place de la parole et des revendications des enfants dans l’espace public»,explique-t-elle. Chaque semaine elle a organisé des ateliers avec la classe pour qu’ils interrogent leur sentiment de révolte, en vue de créer des messages clairs à transmettre lors de la manifestation de vendredi, à laquelle toute l’école a été conviée.
«Ils ont retenu un thème qui englobe toutes leurs revendications : tous dans le même bateau»,raconte la designer, en finissant de scotcher les derniers seaux-tambourins avant la manifestation. Et c’est peu dire qu’ils ont été inspirés. Dans la salle attenante à la classe, des dizaines de pancartes sont entreposées, et les messages sont plutôt radicaux. «Morts des animaux, mort des hommes», «Le racisme peut tuer une vie», «Arrête de nous différencier», «La terre dégradée = plus de conflits».
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Au départ, un programme « Artiste intervenant en milieu scolaire des Beaux-Arts de Paris ».
Voici le projet… écriture inclusive compris, bien entendu.
Ce programme bénéficie du soutien des Fondations Edmond de Rothschild, de PSL et le Ministère de la culture. Il est réalisé en partenariat avec l’Inspection de l’Éducation nationale et des villes de l’Ile de France où les résidences d’artistes s’inscrivent dans des écoles ( classées REP ) ou des collèges.
La formation AIMS s’adresse à de jeunes artistes récemment diplômés de ces cinq écoles supérieures d’art. Elle a pour objectif de leur apporter des compétences complémentaires nécessaires à l’intervention artistique et à la conduite de projets dans un cadre scolaire, tout en leur permettant de développer leur pratique artistique. Elle est fondée à la fois sur l’expérience d’un projet artistique réalisé avec une classe, et sur un travail de recherche devant aboutir à un mémoire. Ce mémoire a pour sujet l’analyse de la spécificité du rôle de l’artiste dans une démarche d’éducation, de transmission et de création à partir de l’expérience menée pendant l’année. Ce programme conduit à la délivrance un Post-diplôme .
[…]
L’admission définitive à ce programme se fait après une présélection sur dossier, comprenant notamment un dossier artistique , un projet pédagogique et artistique à mener avec une classe. Cette présélection est suivie d’un entretien avec le jury d’admission, composé de personnalités du monde artistique et des représentants des différents partenaires institutionnels.
[…]
Chaque établissement scolaire d’accueil désigne un.e enseignant.e référent.e, responsable de la classe avec laquelle se déroule le projet artistique pendant toute l’année scolaire. L’artiste s’engage à intervenir au minimum deux heures chaque semaine avec les élèves de la classe. Il/elle s’engage également à une présence hebdomadaire de vingt heures dans l’atelier mis à disposition dans l’école ou le collège où il est en résidence.
Chaque artiste du programme AIMS bénéficie d’une bourse dont l’attribution et le montant sont conditionnés au soutien financier des partenaires. En 2018-2019, le montant de la bourse s’élève à 15 000 € pour chaque artiste, pour l’année scolaire.
Pour l’obtention du diplôme d’artiste intervenant en milieu scolaire, le jury apprécie la réalisation du projet artistique avec la classe, l’engagement de l’artiste auprès de la communauté éducative, le mémoire de recherche et le développement de la pratique artistique personnelle de l’artiste.
[…]
Le diplôme d’artiste intervenant en milieu scolaire des Beaux-Arts de Paris est un diplôme d’enseignement supérieur. Il est délivré par le directeur Beaux-Arts de Paris, au nom de l’État.
https://www.beauxartsparis.fr/fr/formation/organisation-des-etudes/1460-programme-de-formation-aims
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On peut déjà s’interroger sur la place de ce projet en école primaire... a-t-on besoin d’un artiste pour faire des projets avec des gosses de 8 ou 10 ans ? Un professeur d’art plastique, ou bien juste un instituteur formé, ça ne suffit pas pour éveiller les enfants à la découverte de l’art ?
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Ensuite on s’interrogera sur le projet porté par les différents intervenants, et sa validation. C’est ce projet qui reçu le feu vert de l’enseignant-tuteur, de l’Education Nationale, des beaux-arts et des payeurs ( fondation Rotschild, groupement des universités parisiennes, Ministère de la culture, Villes d’IDF dont Paris…). Et qui a donc reçu l’argent du contribuable, soit dit en passant).
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Le but ? Apprendre aux gamins à dire non. Apprendre aux enfants à contester, à tout contester.
Au primaire…
Et donc avant l’adolescence, âge normal où l’on remet en cause, où l’on conteste, où l’on se cherche, où l’on se trouve parfois.
Ce qui signifie qu’on enseigne à l’enfant que l’adulte n’a pas raison, qu’il soit parent ou professeur, ce qui signifie pour l’enfant la disparition de ses repères, de ses certitudes. C’est à l’enfant, quand il grandit, de prendre de la distance, de se trouver… pas à d’autres adultes, dégénérés, de tout casser. C’est comme cela que l’on fait des pauvres gosses, sans repères, sans certitudes, sans respect pour quoi que ce soit… bref de la chair à cannabis et plus si affinités.
Ce qui signifie que l’on fait vieillir nos enfants bien plus vite que la normale et que, cerise sur le gâteau, on les prend à l’âge tendre, où ils sont tendance à prendre comme parole d’évangile tout ce qui vient des adultes.. Adultes autorisés, puisqu’ intervenants dans le cadre scolaire.
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Mais ce n’est pas tout. Il faut, sous prétexte de leur apprendre à contester, à manifester… Les influencer, les mettre en garde contre le non politiquement correct que pourraient véhiculer leurs parents, grands-parents, voisins… Il faut en faire des petits perroquets qui, sous prétexte de contester la parole individuelle répètent en choeur la doxa gauchiste à la mode : oui à l’immigration, oui à l’imposture écologique : «Pollution démission», «Le racisme peut tuer une vie»
A gerber.
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Où est la déontologie qui interdit à tout enseignant de parler de ses choix politiques ou religieux, Blanquer ?
Où est l’éthique, Blanquer ?
On a beau savoir depuis longtemps que les gauchistes, en vrais staliniens, n’ont ni déontologique, ni éthique, ni respect des enfants qui leur sont confiés, on ne peut ni s’y habituer ni se taire.
On a beau avoir l’exemple même du Président de la République qui, au plus haut niveau de l’Etat, crache sa haine et son venin sur ceux qui ne pensent pas comme lui, on ne peut pas l’accepter.
Au nom de la protection due à l’enfance, au droit de grandir, évoluer, choisir, apprendre à penser de nos enfants.
Au nom de la liberté d’expression.
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Amis lecteurs, qui avez une haute/autre idée de l’école, de la déontologie et de l’éthique, soyez très très nombreux à protester, haut et fort.
En écrivant à l’école : 16, rue Julien Lacroix, 75020 PARIS, 01 46 36 76 26
En écrivant à l’inspection académique et au Ministère de l’Education nationale :Inspection academique Paris 75000 ; 94, avenue Gambetta ; 75984 Paris Cedex 20 ; 01 44 62 40 40 ; ce.rectorat@ac-paris.fr – https://www.education.gouv.fr/pid33441/nous-contacter.html?ancre=ministre
Et faites savoir ce qui se passe dans l’école de Macron en imprimant cet article et en le mettant dans les boîtes à lettres, les parents doivent savoir.
Mode d’emploi pour imprimer l’article ici :
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En ce moment, je suis en plein dedans avec mon fils. Je m’arrache les cheveux, je suis une vilaine islamophobe !!! Paraît-il les attentats islamistes sont des fakes news !!! Et cette connerie transmise par des profs scélérats. Forcément, je ne suis pas dans le moule, le politiquement correct. Résultat, des grosses disputes avec le fiston qui avale ce que dit celui qui est censé détenir le savoir et qui donc transmet.
Je ne le lâche pas pour autant mais à quel prix, dés endoctrinement forcené qui m’use à la longue.
Je suis en pétard contre l’éducation nationale !!!
Bonjour,
Samia, il serait plein d’intérêt, que vous développiez dans un article ce qui concerne justement ce sujet : votre sentiment de parent face à l’Eucation Nationale actuelle.
(Le modérateur).
Bonsoir Antiislam, j’avais l’intention de faire un article sur le sujet car il s’en raconte de belles à nos enfants. Tout bonnement incroyable !
Je m’y mets ce week-end. Avant les vacances, les journées de travail sont très denses…
Bonjour,
Merci Samia !
Jobs d’été pour les primaires des cités, au choix : chouf, pickpocket, vol à l’arraché, etc.
« La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, propose de ne plus poursuivre les délinquants de moins de 13 ans ».
http://www.fdesouche.com/1221771-la-ministre-de-la-justice-nicole-belloubet-propose-de-ne-plus-poursuivre-les-delinquants-de-moins-de-13-ans
Wesh, zyva, les prochaines vacances, on va se faire un max de thunes.
Des ateliers « manif » à l’EDUCNAT, formidable !
Ils nous préparent les futurs cadres de la CGT.
> soyez très très nombreux à protester, haut et fort.
> En écrivant à (…)
> en imprimant cet article (…)
Faites savoir CONCRÈTEMENT à l’école, à l’inspection académique et au Ministère de l’Education nationale que vous partagez pleinement l’opinion exprimée dans cet article : Imprimer l’article et l’envoyer par la poste aux adresses postales publique que vous trouverez tout à la fin de l’article.
Pour imprimer facilement l’article, c’est pas compliqué :
Cliquer sur la barre verte « Print Friendly » en bas à gauche de l’article.
(ou accès direct : https://www.printfriendly.com/p/g/JtGpz6)
Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 100% et la taille d’image 100%.
Ceci fait, cliquer sur l’icône PDF.
Choisir la taille de page « A4 » (« Letter » est le format américain) puis cliquer sur « Téléchargez votre PDF » et enregistrer le PDF sur votre ordinateur.
Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version « véritable lettre », en imprimant les quatre pleines pages de la version PDF que vous venez de créer en deux feuilles imprimées chacune recto-verso (la première feuille avec les pages 1 et 2, la deuxième feuille avec les pages 3 et 4).
Le PDF fait 5 pages mais la 5ème page ne comporte QUE le paragraphe donnant les adresses postales des destinataires, il ne fait PAS partie de la lettre elle-même, il n’y a donc pas besoin d’imprimer cette 5ème page.
Optionnellement, vous pouvez inclure votre prénom et ville en guise de signature dans le petit espace blanc au bas de la dernière page imprimée (inutile de risquer de potentielles représailles en indiquant naïvement vos coordonnées complètes au cas l’un ou l’autre des destinataires serait déjà profondément noyauté par la 5ème colonne mahométane).
Voilà, s’opposer à la mise en place de futures « Macron Jugend » (Jeunesses Macronistes) ça ne coûte que quelques timbres.
Si je me rappelle bien, Boris Cyrulnik, psychiatre, dit que les enfants de parents rescapés des camps nazis qui ont grandit dans une famille qui ne parlait pas des camps nazis et qui cultivait l’harmonie se portent bien mentalement tandis que les enfants de gauchistes qui lavent quotidiennement le cerveau de leurs enfants avec du négatif contestataire sont très mal dans leur peau. Or ce que je vois ici c’est que le résultat d’une année de réflexion menée par « l’artiste » et le prof n’est qu’un amas de slogans offensivement négatifs pour des enfants. Les enfants affichent des têtes d’enterrement. Depuis quand on élève les enfants ainsi? Est-ce légal? C’est quoi cette instruction par le morbide et ce rôle de tuteurs moralisateurs des grands donné aux petits. Une société devrait mettre des pâquerettes dans les mains des petits enfants et leur remplir la tête d’une vision heureuse.
Classe CM 1, 1960 :
https://www.google.com/search?rlz=1C1CHBD_frFR699FR699&biw=1366&bih=657&tbm=isch&sa=1&ei=5SIBXdigCOiflwTk9bTQAw&q=classe+primaire+1955&oq=classe+primaire+1955&gs_l=img.3…16286.18174..21096…0.0..0.142.684.1j5……0….1..gws-wiz-img.Le4lFPSb4_k#imgdii=dy9kEnyALvlARM:&imgrc=jOQcFHZZLc3KZM:
Tous ceux qui sortaient de l’école primaire à l’époque savaient lire, écrire, compter, connaissaient un minimum d’histoire, de géographie, de sciences naturelles ( ça ne s’appelait pas » sciences de la vie et de la terre « ).
Même les moins bons sortaient de l’école primaire en sachant un peu quelque chose.
Fini tout ça !
O tempora, o mores …….
Les moins bons sortaient pour aller en C.A.P. apprendre un métier. Ça faisait au moins quelques années de cotis pour la sécu. Aujourd’hui on les garde jusqu’à la FAC.
C’est vrai,quand même ,il faut arrêter de différencier les animaux et les hommes .
C’est vrai quand même ce sont des chimpanzés d’abyssinie qui ont inventé la démocratie et la philosophie à Athènes en 600 avant JC;
Faut pas déconner quand même .
Ces enfants se préparent un brillant avenir .
On voit très bien leurs rejetons dans 40 ans défiler dans les rues : robots,humains arrêtez de les différencier .
A l’allure où va la connerie et l’aculturation ,ce sera même avant 40 ans :demain .