Si c’est ainsi qu’elle compte rassurer parents, enseignants et élèves, elle se met le doigt dans l’oeil jusqu’au tréfonds.
Et elle est toute fière d’elle, la gourdasse !
Il faut dire qu’entre gourdasses, la compétition est dure. Hidalgo, Schiappa, Pécresse… Et ces deux dernières font, en plus assaut de « brigades » ( ou de milices mais avec elles c’est pareil ).
Les lycées d’IDF et notamment ceux de Seine-Saint-Denis sont au bord de l’explosion, incendies, attaques au marteau., bagarres, règlements de compte…
Bref, parents inquiets, ados stressés, niveau qui baisse… Les lycées d’IDF c’est la jungle, mais, oyez bonnes gens la Pécresse envoie une brigade de 15 personnes pour remettre de l’ordre…
5 personnes par secteur…
Que va faire cette brigade, dites-moi ?
Discuter ? Rassurer ? Expliquer aux petites frappes que harceler un camarade ce n’est pas bien ?
Qu’est-ce que cela va changer pour les gosses harcelés ? Qui va les remarquer parmi ces 5 personnes qui vont traverser la cour, affairés, appelés pour causer ?
Comment vont-ils empêcher les règlements de compte entre bandes ?
Bref, un cautère sur une jambe de bois… qui va coûter cher au contribuable parisien, pour changer.
Il ne faut pas compter sur la dhimmie Pécresse pour mettre les pieds dans le plat et dénoncer et islam et immigration… Alors, beaucoup de bruit pour rien !
Ile-de-France : des brigades régionales de sécurité pour apaiser les lycées
La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse présente ce nouveau dispositif ce lundi à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). 15 agents seront chargés d’assurer la sécurité des lycéens. Une réponse aux incidents survenus dans de nombreux établissements ces derniers mois.
Elles sont entrées en fonction le 8 avril. Ce lundi, Valérie Pécresse, la présidente (LR) d’Ile-de-France, présentera au lycée Frédéric-Bartholdi de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ses nouvelles brigades régionales de sécurité.
Une équipe de 15 agents a été recrutée pour renforcer la sûreté au sein des lycées (NDLR, établissements dont la région a la charge). Ceux-ci travaillaient auparavant dans les domaines de la médiation ou des métiers de la sécurité.
L’effectif sera divisé en trois groupes, chacun constitué d’un coordinateur et de quatre agents, basés dans trois établissements. Le lycée Bartholdi à Saint-Denis – qui a connu plusieurs épisodes de violences -, Samuel-de-Champlain à Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne) et Jean-Jaurès à Argenteuil (Val-d’Oise).
Un lycée référent par secteur
« Les brigades auront leurs bureaux dans ces établissements, mais elles n’y travailleront pas forcément plus qu’ailleurs. Ce sont juste des lieux de rattachement qui vont leur permettre de rayonner sur tout un territoire », souligne Marie-Carole Ciuntu, vice-présidente (LR) de la région en charge des lycées.
Aubervilliers, le 15 janvier 2019. Valérie Pécresse au lycée professionnel Jean-Pierre-Timbaud, théâtre de violences en marge des manifestations lycéennes de décembre 2018. LP/A.L.
La brigade de Saint-Denis s’occupera ainsi de la Seine-Saint-Denis et de Paris. Celle de Chennevières du Val-de-Marne, de l’Essonne et de la Seine-et-Marne. Et celle d’Argenteuil du Val-d’Oise, des Hauts-de-Seine et des Yvelines. « Elles interviendront seulement dans les établissements dont les proviseurs en auront fait la demande », précise l’élue.
De nombreux lycées d’Ile-de-France ont connu des épisodes de violences ces derniers mois, notamment lors des mouvements lycéens en décembre dernier, dont les dégâts ont été chiffrés à 1,52 M€ par la région.
Multiplication d’incidents graves
Mais d’autres incidents ont également eu lieu plus récemment, comme à Joliot-Curie à Nanterre (Hauts-de-Seine) frappé par une série d’incendies volontaires au début du mois. Ou encore l’intrusion d’une quinzaine de jeunes armés de marteaux mi-mars à Paul-Eluard à Saint-Denis.
« Nous avons eu une multiplication d’événements très graves au sein de nos établissements qui nous ont conduits à mettre en place ces brigades. Aussi bien pour apaiser nos élèves que nos agents, qui ne peuvent pas aller en cours ou travailler la boule au ventre », insiste Marie-Carole Ciuntu.
Un renfort à l’Education nationale
Ces brigades seront amenées à œuvrer avec les équipes mobiles de sécurité (EMS) déjà déployées par l’Education nationale dans tous les rectorats depuis 2009. « Ces équipes ne peuvent pas toujours rester longtemps dans un établissement, nos brigades seront donc complémentaires », décrit la vice-présidente. Les agents de la région ont d’ailleurs suivi des formations semblables à celles des EMS.
« Le déploiement de ces nouvelles brigades est plutôt bienvenu comme tout ce qui peut pacifier nos établissements, juge Radouane M’Hamdi, le secrétaire départemental de la SNPDEN 93, le syndicat des chefs d’établissements. Mais il faut maintenant voir comment elles vont travailler sur le terrain et surtout sous quelle autorité. On manque encore d’informations. Tout cela doit être expliqué au plus vite à l’ensemble de la communauté éducative et aux parents d’élèves. »
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« œuvrer avec les équipes mobiles de sécurité ».
Ben oui, ils vont faire des rondes. quand ça merdera dans un lycée, ils seront dans un autre à l’opposé de la région. #pasdevague. MDR
RN – RASSEMBLEMENT NATIONAL
– PROJET – ÉLECTIONS EUROPÉENNES 2019
***POUR UNE EUROPE DES NATIONS ET DES PEUPLES
:::: https://rn-europeennes.fr/wp-content/uploads/2019/04/europeennes-projet.pdf
Ceux qui foutent le bordel n’ont rien à faire en lycée, premier point.
Et bien sûr, il y a le problème de fond à traiter ce n’est pas en mettant des mesurettes qui rassurent que cela va changer.
Je trouve que les professeurs devraient refuser de travailler dans ces lycées. J’en connais de jeunes sortis de l’IUFM à l’époque qui ont donné leur démission illico presto après avoir reçu un poignard planté sur le tableau lors d’un premier cours.
C’est sûr que c’est avec 15 « médiateurs » qu’on va endiguer l’enrichissement multiculturel apporté par des centaines de milliers d’ immigrés chances pour la France qui « changent la vie » dans les territoires perdus, en nous apportant la joie de vivre et les mœurs de paix et d’amour de leurs pays d’origine
Que ces politicards qui ont mis le pays dans cet état arrêtent leur guignol, nous avons atteint un point de non-retour, la situation est devenue irrattrapable depuis bien longtemps.
On ne va pas rééduquer et apaiser toute la masse de musulpithèques immigrés délinquants avec de la parlote et en dégoulinant de bons sentiments, alors que eux manient la kalach, la machette et le marteau (rien à voir pourtant avec le communisme)!
J’imagine tous nos politicards au cerveau infesté par ce gauchisme niais (même à droite, presque tous les LR sont atteints) en 1940, envoyant des »médiateurs » parlant d’amour de l’Autre et de vivre-ensemble pour arrêter les panzers et les stukas des nazis….
Ils sont tout simplement grotesques. Car dépassés par les événements et incompétents, incapables de réagir.
musulpithèques
joli! felicitations !!
BIEN PARLé !
C’est 4 ou 5 Légionnaires armés par lycée qu’il faudrait mettre avec ordre de mettre une tête au carré voire plus à ces petites frappes de CPF qui viennent foutre le bordel et comme ce sont tous des lâches on ne le verrais plus..
J’avais pensé aux militaires de sentinelle qui seraient sûrement plus utiles là que faire le pot de fleurs devant les mosquées.
Seul problème, dans un cas comme dans l’autre, la plupart des enseignants sont allergiques à toute forme d’ordre ou d’autorité dans les établissements scolaires.
Pas nouveau ces équipes de sécurité…
Bidon total !
On « traite » ainsi les plaies par des invocations à une déesse pédagogiste qui aurait toutes les vertus, mais surtout il s’agit de ne pas traiter les causes !
non mais! regardez moi ces tronches désolées de la Bougresse et des deux gagas prés d’ elle devant une « incivilité »
le seul traitement de ces « djeunes » c’est leur appliquer la peine des coups de baguette ( d’ olivier de préference, bien souple et sifflante, celle dont le premier coup asséné sur la plante des pieds nus, te fait sentir la différence entre du 36 volt continu et du 380 tri, tout le long de ta colonne vertévrale
punition connue des maghrébiques sous le nom de Tahmila, ou encore Falaqa
et qui au bout des premier vingt coups, oblige ta mère a te faire un cataplasme d’ oignons pilés aux pieds horriblement douloureux
un jeune « normal » doit pouvoir en prende 50, c’est juste une journée sans marcher, le lendemain ça va mieux
voilà comment on guerit rééllement les « incivilités »
et bien sur les frais de remise en etat du bien détruit ou saboté est a la charge des parents dont aucun Cadi ou juge n’ hésitera a faire vendre la demeure pour se payer le tort fait a l’ état!
rassurez vous, je ne sais pas si ça existe dans nos Codes , civil ou pénal, mais je peux vous affirmer que ça existe dans la Chariya
comme quoi……y peut y avoir du bon , même dans le PIR 😆