Il n’en loupe pas une, le minable prétendant à la Mairie de Paris.
D’abord, il affirme que la France n’en peut plus des Gilets jaunes, sans imaginer une seconde que la France n’en peut plus, non plus, de Macron. Parce que s’il y a eu crise des GJ, si elle perdure, c’est bien que Macron n’a pas répondu aux demandes, et si elle tourne vinaigre c’est bien parce que Macron et Castaner ont délibérément laissé gauchos et black Blocks participer au mouvement et aux manifestations.
Mais il faut, en sus, qu’il dégueule sur les GJ et qu’il attribue aux GJ ses propres sentiments à l’égard de la France !
L’ultra violence et la haine de la France s’expriment de nouveau dans nos rues. Ni excuse, ni faiblesse pour ces casseurs qui saccagent #Paris et salissent le #GrandDébat. Total soutien à nos commerçants et aux Parisiens qui n’en peuvent plus. Le gouvernement sera à leurs côtés.
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) 16 mars 2019
Oui, l’ultra violence s’est exprimée dans les rues de Paris. Là-dessus, il a raison.
Mais il l’associe avec « la haine de la France ». C’est une des âmes damnées de Macron qui ose tenir un tel discours.
Griveaux qui hait la France et les Français, comme Macron.
Griveaux, complètement obnubilé par la nouvelle priorité de Macron, l’écologie, se permet des remarques de ce genre : Wauquiez est le candidat des gens qui fument des clopes et qui roulent au diesel. Apparemment, il préfère ceux qui se roulent des joints à ceux qui se roulent des clopes…
Sus aux Français qui ne sont pas macroniens, qui n’obéissent pas aux mots d’ordre macroniens, au soi-disant programme de Macron, à ce qu’il veut imposer comme « la seule solution ».
Il avait déjà traité les Gilets jaunes de racistes, d’antisémites, de putschistes…
Donc, «on» lynche des policiers, «on» chante la quenelle de Dieudonné à Montmartre, «on» reprend les codes des années 30 pour renverser la République, «on» décapite l’effigie du président…
Derrière ces «on », un seul visage, lâche, raciste, antisémite, putschiste.
Stop.
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) 22 décembre 2018
Griveaux prêt à vendre père et mère pour être dans les petits papiers de Macron, c’est qu’il a de l’ambition, le bougre… malgré son inculture crasse :
Il aime les grands mots, Griveaux ceux qu’il ne connaît pas, ceux qu’il ne respecte pas…
Liberté d’expression et démocratie, par exemple.
Depuis des semaines des journalistes sont agressés. Il y a 2 jours des extrémistes empêchaient la distribution de @OuestFrance. Aujourd’hui, ils s’en prennent @BFMTV @radiofrance @CNEWS.
S’attaquer à la presse, c’est s’en prendre à l’un des piliers de notre démocratie.STOP !
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) 29 décembre 2018
C’est ce Griveaux fort justement habillé pour l’hiver par Collard :
« Un petit pétant qui passe par la porte de service »
C’est de ce Griveaux-là que la France entière a rigolé en l’imaginant courant fou de terreur se mettre à l’abri chez Edouard Philippe quand des GJ ont fait irruption dans son Ministère.
Tout le monde déteste Griveaux. Il le sait, il le sent. Alors il essaie de parler de ce qu’il ignore, de l’amour pour la France en parlant de ce qu’il connaît si bien, la haine pour la France… qui est la sienne.
Pendant que j’écris cet article, se tient à l’Elysée une cellule de crise… le pire va nous tomber dessus, et nul doute que Griveaux va se frotter les mains.
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Encore un gauchiste qui parle en expert ! C’en est devenu lassant, toutes ces rengaines en choeur, on dirait un disque vynil rayé !
Ouiap, que dire…si ce n’est que cet assemblage de gouapes et de mignons à la tête de la France, c’est–à ma connaissance– du jamais vu !!!…Qu’ils conduisent vers un désastre irréversible…
Quand donc les français le comprendront-ils ?
Griveaux tête de veau, cela ne veut rien dire mais sur cette merde je n’ai rien à dire, cela serait lui faire trop d’honneur à ce tocard.
Acte XVIII : Pour Alliance Police, la bijouterie de luxe Bulgari n’a pas été pillée par des Gilets Jaunes ou casseurs mais par des braqueurs professionnels
:::: http://www.fdesouche.com/1176767-acte-xviii-pour-alliance-police-la-bijouterie-de-luxe-bulgari-na-pas-ete-pillee-par-des-gilets-jaunes-ou-casseurs-mais-par-des-braqueurs-professionnels
17/03/2019
Lors de l’Acte XVIII des Gilets Jaunes, la bijouterie de luxe Bulgari aux Champs-Elysées a été totalement pillée après que 5 ou 6 casseurs aient fait céder les barricades. Il ne reste plus rien, tout a été pillé : bagues, colliers, bracelets, un butin selon le reporter de BFM TV de plusieurs centaines de milliers d’euros. Pour Loïc Lecouplier, Secrétaire National Alliance Police, la bijouterie n’a pas été pillée par des Gilets Jaunes ni des Blackblocs mais par des braqueurs professionnels en raison de la rapidité d’exécution.
– BFM TV, 16 mars 2019, 21h03
VIDEO : Acte XVIII : La bijouterie de luxe Bulgari aurait été pillée par des braqueurs pros (BFMTV,16/03/19)
:::: https://www.youtube.com/watch?v=7IYdCn7Tgt8
ARTICLE : Emmanuel Macron, le pion du futur
URL : https://blogs.mediapart.fr/hakima/blog/290516/emmanuel-macron-le-pion-du-futur
AUTEUR : Hakima
29 mai 2016
Mais parce qu’ils travaillent tous les deux pour le même objectif : préserver le pouvoir de l’élite économique mondiale, qui prétend gouverner le monde en dehors des circuits démocratiques.
Devant le cafouillage avéré de la gauche succédant à une droite moribonde, il leur faut emprunter d’urgence « le petit chemin du milieu », pour rallier les peuples mécontents.
Macron, substitut de soupe populaire, servira éventuellement de remonte-pente à Hollande, le moment venu, et en tout état de cause, sera premier ministre, qu’il y ait un président de gauche ou de droite. Et certainement président de la France un jour.
Car le plus grand danger qui guette l’élite économique est que les extrêmes prennent le pouvoir en France ; cette hypothèse est leur cauchemar, car ils perdraient l’accès aux manettes de la France puis de l’Europe.
Une élite qui s’est organisée depuis longtemps
Toute organisation dispose d’instance de gouvernance et organise des réunions.
Le groupe Bilderberg réunit chaque année pendant deux jours les principaux dirigeants économiques et politiques – ainsi que quelques journalistes – pour discuter des « affaires du monde ». Et ce, dans le mutisme habituel des médias français.[i]
De nombreux articles existent sur le « groupe Bilderberg » mais il en faudra encore beaucoup plus sans doute, pour sauver ce qui reste de la souveraineté des peuples. Cela s’avère même crucial, lorsque l’on lit ou relit ces propos de David Rockefeller, co-fondateur du Bilderberg (Newsweek International, 1er février 1999) :
« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire »
Le Bilderberg a été fondé en 1954 par ce dernier et le prince Bernhard des Pays-Bas, né allemand, ancien nazi et David Rockefeller. A l’origine, c’est une sorte de club privé, afin de discuter des grands enjeux économiques et stratégiques, et visant à terme une gouvernance mondiale avec l’OTAN comme commandement. Il réunit chaque année entre 100 et 150 participants, membres ou invités, qui débattent à huis clos d’un ordre du jour hautement stratégique.
Coulisses des G8 et G20 : « Ou comment sont grillés les circuits démocratiques »
Coulisses et instances de « débrief » des G8 et G20 ?
Aux réunions annuelles du Bilderberg, qui durent trois ou quatre jours, on retrouve le gratin politique national et international occidental des multinationales, et des journalistes de tendance libérale (jamais des reporters, uniquement les dirigeants)
Pas de conférence de presse, pas de journalistes (sauf des Patrons de medias..), et les invités ne peuvent pas prendre de notes.
Une à deux semaines après leurs réunions, c’est le G8 ou le G20 qui s’ouvrent un peu plus loin, attirant cette fois la plupart des médias de la planète. Exemples :
En 2003, la réunion du groupe Bilderberg s’est tenue à Versailles (le château a par ailleurs été fermé au public pendant une semaine) en même temps que le G8 qui se déroulait à Paris. C’est au G8 que sont concrétisées une partie des décisions prises par les Bilderbergers, dont certains sont présents également au G8.
« Le lieu où seraient choisis les futurs présidents, premiers ministres »[ii { https://frama.link/eJAsMJsv }]
Ce que confirmerait la participation à la conférence de Bill Clinton en 1991 et celle de Tony Blair en 1993. En 2004, le magazine Time a révélé que John Kerry a choisi John Edwards pour être son colistier juste après que ce dernier avait fait une forte impression sur les participants de la session Bilderberg en Italie. »
Bilderberg : silence médias sur les réunions de l’élite mondiale [iii]
Dans cet article de Slate publié en 2008, Jack Shafer évoque le silence des medias sur le Bilderberg. Et pour cause, la plupart des patrons de presse en sont membres..Mais c’est surtout en Europe que les medias sont silencieux. Aux états-unis, le New York Times a mentionné Bilderberg une vingtaine de fois depuis 1981, dont un article de 2004 intitulé « une conférence secrète pour dominer le monde ». D’autres articles dans le Washington Post, le Chicago Tribune et le Boston Globe mentionnent le groupe.
Macron est membre du Bilderberg
Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie a participé à la réunion du groupe Bilderberg[iv], qui a eu lieu à Copenhague les 31 mai et 1 juin 2014. M. Macron y assistait en tant que conseiller de François Hollande à la présidence de la République.
Les medias, à coup de sondages favorables finiront pas l’installer dans la conscience collective comme un bon politique, qui oeuvrera pour leurs intérêts. On a assisté au même phénomène avec DSK: de sondages en sondages, on a fabriqué un présidentiable. De là à affirmer que le Bilderberg contrôle les instituts de sondage, en plus de certains medias français , il n’y a plus qu’un petit pas. Car DSK aussi avait été convié au Bilderberg en son temps.
Manuel Valls avait lui aussi participé à une réunion du groupe Bilderberg.
Ce qui expliquerait, que bien qu’il n’ait recueilli que 5,63% des voix à la primaire socialiste de 2011, il pilote la politique de la France. Illustration du déni voire de l’usurpation de démocratie.
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LISTE des PARTICIPANTS à la réunion annuelle (2018) du Bilderberg
:::: https://www.bilderbergmeetings.org/participants.html
PRÉSIDENT DU COMITÉ DIRECTEUR
Castries, Henri de (FRA), président de l’Institut Montaigne
PARTICIPANTS pour la FRANCE (2018)
– Barbizet, Patricia (FRA), President, Temaris & Associés
– Blanquer, Jean-Michel (FRA), Minister of National Education, Youth and Community Life
– Bouverot, Anne (FRA), Board Member; Former CEO, Morpho
– Castries, Henri de (FRA), Chairman, Institut Montaigne; Chairman, Steering Committee Bilderberg Meetings
– Cazeneuve, Bernard (FRA), Partner, August Debouzy; Former Prime Minister
– Champagne, François-Philippe (CAN), Minister of International Trade
– Émié, Bernard (FRA), Director General, Ministry of the Armed Forces
– Patino, Bruno (FRA), Chief Content Officer, Arte France TV
– Pouyanné, Patrick (FRA), Chairman and CEO, Total S.A.
ARTICLE : Ce que Macron a dit au groupe Bilderberg en 2014
URL : https://www.lejdd.fr/Politique/ce-que-macron-a-dit-au-groupe-bilderberg-en-2014-3509507
AUTEUR : Laurent Valdiguié
DATE : 2 décembre 2017
EXCLUSIF.- Le Bilderberg réunit chaque année des personnalités occidentales de la politique ou des affaires. Emmanuel Macron a participé en 2014 au club le plus fermé du monde.
A peine Edouard Philippe nommé à Matignon, en mai 2017, la « complosphère » s’est déchaînée : la France était tombée sous le contrôle de la « maçonnerie mondialiste ». Motif ? Le nouveau Premier ministre avait participé au Bilderberg 2016, en Allemagne. L’information figure d’ailleurs sur la notice Wikipédia de l’ancien maire du Havre. Le Bilderberg? Le club le plus fermé au monde. Le plus secret aussi. Le lieu où des présidents américains et européens sont conviés avant leur élection. Un terrain de débats confidentiels entre politiques, dirigeants de multinationale et agents secrets… Chaque printemps, la centaine d’invités converge vers un hôtel de luxe privatisé. Chefs d’Etat, ministres, patrons de banque, PDG de multinationale, militaires, universitaires ont été priés de venir seuls, sans conjoints, sans assistants ni gardes du corps. L’hôtel est sous haute protection et les échanges se déroulent sous la règle de Chatham House, un vieux code éthique de la diplomatie britannique qui interdit de rendre publiques les identités et les propos des autres invités. Durant ces trois jours, ils vivront en vase clos. Objectif? Discuter entre spécialistes sur la marche du monde. Rien que ça…
« Dès notre arrivée, on insiste sur la confidentialité absolue », raconte Bruno Tertrais, expert en géopolitique, ravi d’avoir été « choisi » pour assister à la réunion de juin en Virginie, aux Etats-Unis, mais mutique sur le contenu des débats. Tout juste sait-on qu’il a été question de « la Russie dans l’ordre international », de la Chine, du Proche-Orient, de la mondialisation, de « la guerre de l’information » et « de la progression des populismes ». Depuis juin, aucun des 129 invités n’a parlé. « Pour résumer ces trois jours en une phrase, je dirais que les Européens présents ont découvert, assez médusés, le nouveau visage de l’administration Trump », confie un participant.
Pour résumer ces trois jours en une phrase, je dirais que les Européens présents ont découvert, assez médusés, le nouveau visage de l’administration Trump
Premier constat, ce mini-Davos en eau profonde mixe trois univers. Un premier tiers d’invités sont des politiques du bloc atlantique, européens et américains. Sept futurs ou anciens Premiers ministres français s’y sont rendus : Laurent Fabius, Alain Juppé, Michel Rocard, Dominique de Villepin, François Fillon, Manuel Valls et Edouard Philippe. Le deuxième tiers vient du monde de l’économie : des dirigeants d’organisations financières comme le FMI ou la Banque mondiale (DSK et Christine Lagarde y sont allés à plusieurs reprises), mais aussi des banquiers, des capitaines de la vieille industrie et des patrons de la nouvelle économie. Bill Gates (même s’il ne l’a jamais confirmé) a participé à la réunion du printemps 2010 à Sitges, en Espagne. Le dernier tiers d’invités est un cocktail dit d' »intellectuels », mêlant des universitaires, des militaires, des espions et des journalistes capés de médias « amis ». Ces derniers, plus encore que les autres, sont priés de garder le silence. Nathalie Nougayrède, quand elle dirigeait Le Monde, a été invitée, comme son prédécesseur Erik Izraelewicz. Etienne Gernelle, l’actuel directeur du Point, a été convié en même temps que Patricia Barbizet, bras droit de François Pinault, le propriétaire de l’hebdomadaire. En juin, François Lenglet, le Monsieur Economie de RTL et de France 2, a fait le voyage en Virginie. « C’était intéressant », admet-il, très soucieux, lui aussi, de ne pas trahir le code de Chatham…
Autre coquetterie, pendant ces trois jours, tous les invités, quelle que soit leur fonction ou leur fortune, seront installés par ordre alphabétique. Sans aucun protocole particulier. La première réunion a eu lieu au printemps 1954, dans un hôtel isolé d’Oosterbeek (Pays-Bas), le Bilderberg, qui va donner son nom au club. L’histoire officielle attribue l’idée à un diplomate polonais en exil, Joseph Retinger, qui rallie le prince Bernhard des Pays-Bas, puis deux Français, le patron de la SFIO Guy Mollet et le ministre des Finances Antoine Pinay, au projet de monter un « forum » dans le but de « raviver » les relations avec les Etats-Unis. Une initiative uniquement « diplomatique »? Pas vraiment.
La CIA pour marraine
Joseph Retinger, selon des archives américaines déclassifiées, était en fait un des poissons-pilotes de la CIA en Europe. Le Bilderberg a donc eu comme marraine la puissante agence américaine. « Il faut se remettre en tête le contexte des débuts. C’était la guerre froide. Nous faisions la guerre aux Soviétiques et nous vivions avec des scénarios de guerre nucléaire mondiale. » Chevalière au doigt, Thierry de Montbrial, commandeur de la Légion d’honneur, dirige l’Ifri (Institut français des relations internationales) et a été pendant quarante ans un des « papes » du Bilderberg. « J’ai été nommé au steering committee [comité directeur] en 1974, à l’âge de 31 ans, en remplacement de Wilfrid Baumgartner, ancien gouverneur de la Banque de France, qui y siégeait avec le baron Edmond de Rothschild, raconte cet ancien professeur d’économie à Polytechnique passé par le Quai d’Orsay. A part Kissinger ou Rockefeller, je crois que je suis un de ceux qui ont participé au plus grand nombre de réunions. »
Le comité sélectionne chaque année deux participants français. Apparemment, le futur président Pompidou avait été invité, mais rien n’indique en quelle année. « En tout cas avant mon arrivée, probablement à l’invitation d’Edmond de Rothschild, qui avait été son employeur », glisse Montbrial. L’existence même des réunions est restée secrète jusqu’à la fin des années 1960, et la liste des invités, jusqu’en 2012. « Forcément, le KGB devait s’intéresser à leurs échanges, confie Raymond Nart, un des anciens patrons français du contre-espionnage du temps de la guerre froide. Mais nous, à la DST, on ne les surveillait pas particulièrement. »
Avant d’être élu, Mitterrand n’avait qu’un goût limité pour la politique étrangère. Et puis les Américains le prenaient pour le diable…
A la fin des années 1970, le club a failli mettre la clé sous la porte, quand le comte Bernhard a été accusé d’avoir perçu des pots-de-vin de l’américain Lockheed pour favoriser un marché avec l’armée néerlandaise. « L’année qui a suivi le scandale, il n’y a pas eu de réunion Bilderberg, puis les choses sont rentrées dans l’ordre », raconte Montbrial, qui de 1974 à 2014 a pris place à la lettre M, juste à côté du N pour Nederland, c’est-à-dire de la reine des Pays-Bas. En 1975, à Izmir, en Turquie, une autre dame fait son apparition : Margaret Thatcher, qui prendra les rênes du Royaume-Uni en 1979. Au Bilderberg, il n’est pas rare que les invités politiques soient de futurs chefs d’Etat ou de gouvernement. Bill Clinton se rend à la réunion d’Aix-la-Chapelle, au printemps 1991. « Nous avons aussi eu Helmut Kohl, qui ne parlait ni français ni anglais, se souvient Montbrial. Avant lui, Helmut Schmidt était venu également. Quelqu’un de très simple, très direct. Il nous avait prévenus qu’en cas de bombe nucléaire russe sur Hambourg, c’était la capitulation immédiate. » Exactement le genre de propos qui, s’ils avaient été rapportés, auraient fait le tour du monde et provoqué un tollé. Angela Merkel et Tony Blair ont été conviés eux aussi.
Coté français, la liste des politiques réserve des surprises. Giscard, par exemple, n’a jamais été invité. Mitterrand non plus. « Avant d’être élu, il n’avait qu’un goût limité pour la politique étrangère. Et puis les Américains le prenaient pour le diable… » Montbrial avance une autre explication : son très mauvais anglais. De même, ni Chirac ni Sarkozy n’ont été cooptés. « On ne les imagine pas assis pendant trois jours, justifie Montbrial. Nous avons toujours choisi des personnalités qui avaient un intérêt pour une réflexion approfondie, capables d’écoute et d’empathie pour les raisonnements des autres. » Bref, outre les questions de langue, les profils de ces quatre présidents ne convenaient pas au « club ». A gauche, Thierry de Montbrial n’a pas hésité à inviter des personnalités qu’il jugeait plus « compatibles », comme Fabius et Rocard, sans que ceux-ci soient pourtant des « champions d’anglais ». « Rocard, on avait effectivement du mal à le comprendre », admet Montbrial, qui reconnaît que le choix de ses invités français répondait à « une certaine proximité d’idées » : « Il faut un public homogène, que nous ayons tous des codes en commun. » Longtemps, le milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière a, lui aussi, fait partie du comité de sélection. « Il s’occupait également de trouver des fonds pour financer les réunions », glisse Montbrial.
Echanges musclés
Avec la fin de la guerre froide, le Bilderberg est entré dans une nouvelle ère. Même eux, les experts convaincus que le système économique soviétique était en voie d’effondrement, sont tombés des nues en 1989 à la chute du Mur. « J’avoue, dit Montbrial, qui a l’air de s’en vouloir un peu. Dans les années qui ont suivi, on a essayé d’inviter au Bilderberg des gens venus de l’Est, mais cela n’a pas pris. » Le club est resté atlantiste. Même si, entre alliés, l’amitié n’exclut pas les échanges musclés.
« J’étais là en mai 2003, à la réunion organisée à Versailles, quand Villepin a fait une tirade magistrale aux Américains contre l’intervention en Irak », se souvient Jean-Louis Gergorin, ancien du Quai d’Orsay. Aucun enregistrement ne peut témoigner des mots échangés entre l’ancien ministre français des Affaires étrangères et le secrétaire adjoint à la Défense de l’équipe Bush, Paul Wolfowitz. Mais Thierry de Montbrial l’assure : « Je n’avais jamais assisté à quelque chose d’aussi tendu. »
Depuis 2012, un autre Français veille sur les invitations : Henri de Castries, ancien patron d’Axa, préside le Bilderberg. « La guerre froide passée, les débats se sont centrés sur le monde des affaires », explique Jean-Louis Gergorin. « Il est aussi beaucoup question de terrorisme, mais sur ce sujet tout le monde est assez d’accord. Ces dernières années, les thèmes tournent autour de la montée en puissance de la Chine, de l’environnement, des nouvelles technologies », souffle François Heisbourg, spécialiste de géopolitique et invité à plusieurs reprises.
Sur les questions de géopolitique, ce n’est rien de plus qu’un colloque de haut niveau
Sur le terrain de la politique française, Henri de Castries estime que le club a « eu du nez pour détecter les talents » : Manuel Valls, simple député-maire, a été invité en 2008, la même année que Jean-Pierre Jouyet, fidèle de François Hollande et actuel ambassadeur de France à Londres, malgré son anglais « déplorable ». François Fillon est venu en 2013, en compagnie de Valérie Pécresse. « Fillon a fait une intervention brillante », se souvient Henri de Castries, sans vouloir en déflorer le sujet. Jean-François Copé, alors porte-parole du gouvernement, avait été invité en 2003 quand lui aussi faisait figure de jeune pousse prometteuse. « Je suis le contre-exemple de l’invité qui devient ensuite Premier ministre », ironise l’intéressé, qui se souvient d' »un colloque intéressant ». Edouard Philippe a reçu non pas un mais deux cartons d’invitation, en 2015 et en 2016, quand il n’était que simple maire du Havre. « C’est moi qui l’ai proposé, confie Henri de Castries. Comme maire, il avait développé des idées intéressantes. »
En 2015, les débats secrets ont eu lieu à Telfs-Buchen, en Autriche, dans un hôtel d’altitude. Edouard Philippe était là avec le président autrichien en exercice, l’ancien président de la Commission européenne José Manuel Barroso, l’Italien Mario Monti, le Premier ministre belge Charles Michel, la reine des Pays-Bas, le secrétaire général de l’Otan… Des patrons de journaux prestigieux, le Washington Post, l’Economist et le Financial Times, profitaient aussi de la vue sur les Alpes, aux côtés d’un ancien patron de la CIA, du chef des services secrets danois et, pour la France, de Patrick Calvar, qui dirige alors la DGSI, la sécurité intérieure. Alain Juppé avait également fait le voyage, ainsi que Laurence Boone, alors conseillère économique de François Hollande à l’Elysée. L’année suivante, dans un lieu un peu plus austère, à Dresde, en Allemagne, le maire du Havre a été invité avec Laurent Fabius, à peine nommé à la tête du Conseil constitutionnel.
De quoi ont-ils parlé? Motus. « C’est un colloque de haut niveau, mais sans secrets d’Etat », assure Jean-François Copé. Sur Internet pullulent pourtant les thèses d’un « gouvernement secret du monde ». Le « club » serait une sorte de conseil d’administration occulte, réunissant l’espace d’un week-end les dirigeants du bloc occidental et libéral. Un « fait » taraude les complotistes, qui raisonnent sur des coïncidences : le Belge Herman Van Rompuy a été nommé à la tête du Conseil européen, fin 2009, cinq jours après son passage devant le comité directeur du Bilderberg. Une audition aux allures d' »examen de passage »? « N’importe quoi », soupire Henri de Castries. « Ces théories sont complétement bidon », assure François Heisbourg. « Cela n’a aucun sens », insiste Montbrial. Même réaction de son successeur : « Il ne se décide absolument rien lors de ce week-end », certifie Castries. « Ce sont des gens qui connaissent bien leur sujet et exposent leur point de vue », constate François Lenglet. « Sur les questions de géopolitique, ce n’est rien de plus qu’un colloque de haut niveau », juge Bruno Tertrais.
Le code de Chatham
Quoi qu’il en soit, le secret qui entoure les discussions fonctionne comme du charbon dans la locomotive à fantasmes, antiaméricains, antimédias et antimondialisation. Henri de Castries défend malgré tout la confidentialité : « C’est la règle du jeu. Tout n’a pas besoin d’être dit sur tout et partout », plaide-t-il, au risque de renforcer la méfiance. « La règle de Chatham permet des interventions sans langue de bois », admet Tertrais.
Sans langue de bois, la prise de parole d’Emmanuel Macron à Copenhague, au Danemark, entre le 29 mai et le 1er juin 2014, l’a été. Avant lui, seul un autre futur chef de l’Etat avait parlé devant le Bilderberg : Georges Pompidou. Ce week-end-là, celui qui était alors secrétaire général adjoint de l’Elysée est invité par Henri de Castries. Deux politiques français participent aussi à ce 62e Bilderberg : la ministre socialiste Fleur Pellerin, chargée des questions numériques, et François Baroin, représentant la droite. Dans la salle, la liste des VIP est impressionnante : les présidents de la Deutsche Bank, de Goldman Sachs, de Lazard, de Johnson Capital ou de CaixaBank, des patrons de multinationales comme BP, Shell et Fiat, un ancien patron de la NSA américaine, un ex-directeur de la CIA, le chef du MI6 britannique, des responsables de Microsoft, des ministres en exercice de plusieurs pays, le chancelier de l’Echiquier britannique (ministre des Finances), la reine consort d’Espagne.
Devant ces 130 personnes, le secrétaire général adjoint de l’Elysée a pris la parole pour dire tout le mal qu’il pensait de la politique menée par François Hollande
« Devant ces 130 personnes, le secrétaire général adjoint de l’Elysée a pris la parole pour dire tout le mal qu’il pensait de la politique menée par François Hollande », se souvient l’un des participants, encore médusé de la « charge de ce jeune inconnu ». Fleur Pellerin confirme. « Je n’en ai jamais rien dit à personne… Il est vrai que sur le coup j’en ai été un peu choquée, même si j’avais entendu dire qu’Emmanuel Macron se démarquait déjà de François Hollande », confie l’ancienne ministre aujourd’hui reconvertie dans le privé. Neuf jours après ce Bilderberg, le secrétaire général adjoint quitte l’Elysée. Le 10 juin 2014, il annonce qu’il souhaite « mener des projets personnels dans les domaines de l’enseignement et de la recherche ». Plus exactement, durant cet été 2014, le futur président cherche un poste d’enseignant à Harvard ou à Berlin.
Deux mois plus tard, fin août 2014, c’est le départ brutal d’Arnaud Montebourg du ministère de l’Economie. Voilà Emmanuel Macron remis en selle, ministre de François Hollande qu’il a pourtant étrillé trois mois plus tôt à Copenhague. Mais grâce à la règle de Chatham, personne n’en a fait état. Le secret a du bon. S’il avait eu un compte rendu du Bilderberg, le président socialiste aurait-il nommé à Bercy son futur Brutus ?
TÉLÉCHARGER ce qui peut l’être ou copier.
RECHERCHE : (« Macron+exposé+au+club+Bilderberg+mars+2014 »: « les+démocraties+occidentales+dans+le+piège+des+exigences+des+classes+moyennes »)
:::: https://frama.link/_ZNcsrBX
Ce que Macron a dit au groupe Bilderberg en 2014 – JDD
https://www.lejdd.fr/Politique/ce-que-macron-a-dit-au-groupe-bilderberg-en-2014-3509507
Mode Anonyme
2 déc. 2017 … Le Bilderberg réunit chaque année des personnalités occidentales de … Emmanuel Macron a participé en 2014 au club le plus fermé du monde.
Emmanuel Macron au groupe Bilderberg en 2014 : les révélations …
https://www.youtube.com/watch?v=hO-HLBlXgWg
Mode Anonyme
4 déc. 2017 … Source : https://goo.gl/9RFN2y Emmanuel Macron au groupe Bilderberg en 2014 : les révélations du JDD En 2014, Emmanuel Macron, alors …
Emmanuel Macron, le pion du futur | Le Club de Mediapart
https://blogs.mediapart.fr/hakima/blog/290516/emmanuel-macron-le-pion-du-futur
Mode Anonyme
29 mai 2016 … Macron a lancé son mouvement « en marche » avec déjà 50 000 adhérents … qui prétend gouverner le monde en dehors des circuits démocratiques. … le gratin politique …
Emmanuel Macron on Twitter: « Oui, je suis le candidat des classes …
https://twitter.com/emmanuelmacron/status/837399388574011392
Mode Anonyme
2 mars 2017 … candidat des classe moyennes mais financé par la …. Avec ses bagues aux doigts et sa bave aux lèvres, Macron me répugne! 7 replies 4 …
Emmanuel Macron on Twitter: « Les classes moyennes reussiront si …
https://twitter.com/emmanuelmacron/status/915201918896672768?lang=fr
Mode Anonyme
3 oct. 2017 … Mais comme pour l’instant vous ne produisez pas de richesse, c’est la classe moyenne qui croule sous l’impôt et les riches qui sont épargnés.
Face à l’imposture de la rénovation-Macron, un devoir de droiture et …
blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Face-%C3%A0-l-imposture-de-la-r%C3%A9novation-Macron%2C-un-devoir-de-droiture-et-de-v%C3%A9rit%C3%A9-%21
Mode Anonyme
30 mai 2017 … C’est une honte absolue, un détournement de la démocratie qui aboutit de fait à la grande coalition gauche libérale – droite libérale dont rêvent …
griveaux est une pute qui dit n’aimer ni le sexe ni l’argent tout en tapinant allègrement pour le pire maque que la France ait connu ( pour l »instant)
allez comprendre
Chaque fois qu’il vient faire son petit commentaire perso ça me fout les boules d’être dirigés par des minus pareils .
Macro a dû lui dire « c’est bon,vas-y raconte leur n’importe quoi comme moi ils sont trop cons ils vont adorer »
Donc,la petite grive ,chaque fois , il vient nous expliquer brièvement à quel point on est cons .
C’est le « fou » du roi version macrocosme .
En complément de mon commentaire sur l’UE et la Bosnie
1°).- (Allemagne: « excédents »)
:::: https://frama.link/rLdA2ppo
2°).- (Allemagne: « charbon »)
:::: https://frama.link/kL1wReDS
3°).- L’Allemagne va sortir du charbon en 2038 – Le Monde
https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/01/28/l-allemagne-va-sortir-du-charbon-en-2038_5415627_3234.html
-« 28 janv. 2019 … L’Allemagne va sortir du charbon en 2038. Premier consommateur de minerai noir d’Europe, le pays arrêtera ses sites les plus polluants d’ici à .. »-
4°).- Le plan de sortie du charbon en Allemagne est-il réaliste ?
:::: http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2019/01/28/31002-20190128ARTFIG00178-le-plan-de-sortie-du-charbon-en-allemagne-est-il-realiste.php
Maxence Cordiez Mis à jour le 29/01/2019
5°). Transition énergétique allemande : et si on s’informait vraiment ?
– Allemagne : non, la sortie du nucléaire n’encourage pas le recours au charbon
:::: https://www.sortirdunucleaire.org/Allemagne-non-la-sortie-du-nucleaire-n-encourage
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L’Allemagne face au casse-tête de la sortie du charbon
:::: https://frama.link/tbZHryqj
Ninon Renaud
L’Allemagne face au casse-tête de la sortie du charbon
Ninon Renaud
4-5 minutes
Le sujet a tout du cocktail explosif. Choisir une date d’arrêt du recours au charbon pour produire de l’électricité en Allemagne revient en effet à résoudre une équation complexe alliant des considérations économiques, sociales, environnementales mais aussi politiques. En témoigne la décision d’Angela Merkel de convoquer à un dîner mardi, près de quinze jours avant la remise de leur rapport final le 1er février, les coprésidents de la « commission croissance, changement structurel et emploi » chargés de trancher cette question.
« Je me réjouis que le gouvernement fédéral ait promis une aide financière substantielle à long terme pour les régions concernées »
Conviés aussi, les ministres présidents du Brandenbourg, de la Saxe, de la Saxe – Anhalt et de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie (les quatre länders concernés) ont obtenu des gages auprès de la chancelière. « Les négociations ont été très intenses et je me réjouis que le gouvernement fédéral ait promis une aide financière substantielle à long terme », a dit Reiner Haseloff, ministre président de la Saxe-Anhalt.
Les présidents de régions réclament 60 milliards
Toute la question est de savoir combien l’exécutif devra mettre sur la table. Cet automne, les trois ministres des länder situés dans l’ancienne Allemagne de l’Est avaient réclamé une enveloppe de 60 milliards d’euros d’investissements d’ici à 2030. Un montant jugé « absurde » parmi certains membres de la commission charbon, mais le gouvernement ne pourra s’en tenir au 1,5 milliard qu’il a prévu de débourser d’ici à 2021.
Il s’agit en effet tout à la fois de développer des infrastructures de transports susceptibles de décloisonner ces régions très dépendantes du charbon et de limiter la hausse du prix de l’électricité qu’entraînera l’abandon d’une source d’énergie, certes très polluante, mais aussi bon marché. Le lignite fournissant encore plus d’un tiers de la consommation électrique allemande, la facture pour le secteur industriel pourrait être lourde. Le gouvernement devra aussi indemniser les énergéticiens pour la fermeture prématurée des centrales et limiter le choc social d’une telle décision.
20.000 salariés qui sont autant d’électeurs
Selon le syndicat des mines de la chimie et de l’énergie IG-BCE, 20.000 travailleurs seront directement touchés par les pertes d’emplois, sans compter les emplois indirects qu’occupent plusieurs dizaines de milliers de personnes. Autant d’électeurs que le gouvernement veut assurer de son soutien alors que beaucoup sont déjà tentés de rallier le parti d’extrême droite AfD. L es élections régionales qui se dérouleront en septembre s’annoncent difficiles pour le ministre président social-démocrate du Brandenbourg, et son homologue chrétien-démocrate de Saxe.
Dans ce contexte, Angela Merkel ne saurait être indifférente à la lettre que vient de lui envoyer l’IG-BCE. Le syndicat y demande 5 à 7 milliards d’euros pour financer les préretraites des personnels qui perdront leur emploi. La fourchette dépend de la date d’arrêt des centrales à charbon, les concessions des énergéticiens courant jusqu’en 2040. Plus la date limite de fermeture s’en rapprocherait, moins le coût serait lourd.
Mais cet horizon n’est pas compatible avec les engagements pris par l’Allemagne en signant l’accord de Paris sur le climat : le pays a déjà renoncé à ses objectifs de réduction de CO2 pour 2020 mais espère tenir ceux de 2030. La commission charbon a jusqu’au 25 janvier, date de sa dernière cession, pour trouver le bon dosage.
Grivaux qui déteste la France fustige « la haine de la France ».
Curieux cette manie de l’inversion accusatoire de nos zélites aveugles et sourdes mais pas muettes puis qu’elle « gueulent » leur haine aux français autochtones qui défendent un de leurs bien les plus précieux et vital.
C’est la mentalité apatride, européiste, mondialiste, globaliste.
Oui ! C’est la mentalité inique, brutale, violente européiste , de ceux qui ne pensent qu’à détruire les peuples et les nations, qu’à phagocyter ces peuples et ces nations sans leur consentement et avec les plus grandes violences morales et physiques.
Voilà un autre exemple de l’iniquité et de la violence de la mentalité européiste.
Alors que l’Allemagne se retourne vers le charbon, qu’elle a renoncé au nucléaire et qu’elle est à fond dans son industrie du charbon voilà que l’UE IMPOSE un deal à la Bosnie : « tu laisses ton charbon, et tu rentres dans notre machine à tout broyer l’UE ; t’as pas le choix ! »
« T’as pas le choix ! » C’est d’autant plus vrai que si d’aventure la Bosnie parvenait à trouver le moyen d’exploiter son charbon avantageusement et envoyait dinguer l’UE et ses chantages ignobles, pour RESTER LIBRE ; malheureusement, comme vous le savez, l’UE c’est : « pile je gagne, face, tu perds « ; et comme c’est au poker que joue l’UE ; il faut toujours raquer.
Donc voilà la Bosnie future bête noire, future victime, future esclave de l’UE pour vouloir mener son économie en se servant de son industrie. Industrie et agriculture, comme nous le savons étant poumons et reins d’un pays.
Et il faudrait vivre et mourir pour notre despote ; vivre et mourir pour défendre notre prison ?
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Charbon ou Union européenne : la Bosnie au pied du mur
:::: https://www.euractiv.fr/section/avenir-de-l-ue/news/bosnian-energy-project-surprises-eu-enlargement-chief/
Sam Morgan | EURACTIV.com | translated by Yasmine Alfihri
15 mars 2019
Selon un haut fonctionnaire européen, le soutien financier et politique de la Bosnie-Herzégovine à un projet de centrale au charbon pourrait porter préjudice à son adhésion à l’UE.
Le commissaire européen à l’élargissement, Johannes Hahn a tweeté qu’il était « étonné de la décision prise à l’écrasante majorité » par le parlement bosnien, qui a décidé le 7 mars de financer l’expansion d’une centrale thermique au charbon.
Les députés de la fédération croato-bosniaque, l’une des deux entités établies dans le pays après la guerre, a approuvé l’octroi d’une garantie de prêt de 614 millions d’euros. Accordée par la banque chinoise Exim, la somme servira à l’ajout d’une nouvelle unité de 450MW à la centrale au charbon de Tuzla, dans le nord est du pays.
La candidature de la Bosnie à l’UE implique que le pays fait actuellement partie de la Communauté de l’énergie, une organisation internationale composée principalement d’États candidats et visant à étendre le marché énergétique européen à l’Europe du sud-est.
Selon le commissaire européen, le soutien de la Bosnie-Herzégovine pour ce projet « soulève de sérieuses questions non seulement quant à son respect des traités internationaux et des réglementations européennes dans le cadre de la Communauté de l’énergie, mais également en matière de choix énergétiques. »
Les membres de la Communauté de l’énergie sont tenus de respecter les règles strictes des aides publiques de l’UE, qui prévoient notamment que les garanties de prêts ne peuvent être supérieures à 80% du montant de la subvention. Or, la garantie bosnienne couvre l’ensemble de la somme et inclut les intérêts et les coûts associés.
En septembre 2018, le secrétariat de la Communauté avait écrit au parlement bosnien et partagé ses inquiétudes, et avait également appelé les législateurs à ne pas approuver cette garantie, au risque d’une procédure d’infraction.
Denis Žiško du Centre bosnien pour l’écologie et l’énergie a déclaré qu’en « soutenant à l’unanimité un document qui ne respecte clairement pas l’acquis de l’aide publique de la Communauté, les députés ont à nouveau fait preuve d’une grande irresponsabilité au regard des obligations internationales de notre pays ».
« C’est sans conteste avec ce genre de comportements et de vision à court terme que nos politiques compliquent le processus d’adhésion à l’UE. Comment l’UE pourrait-elle faire confiance à un pays dont les politiques violent les traités internationaux ? » a-t-il ajouté.
Le commissaire européen a en effet spécifié que l’évaluation de l’impact environnemental, la passation des marchés publics et les aides publiques seront examinées par l’audit en cours de la Commission de la demande d’adhésion de la Bosnie-Herzégovine. Un porte-parole de la Commission a souligné que le commissaire à l’élargissement soulèverait ces problématiques lors de sa visite en Bosnie-Herzégovine à la fin du mois.
Le président de la coalition tripartite bosnienne, Milorad Dodik, a remis en retard ses réponses à un questionnaire détaillé de l’UE que la Commission utilisera pour rédiger un avis sur l’attribution du statut de candidat officiel au pays. Si l’appréciation de l’UE est positive, la Bosnie rejoindra une liste de pays qui inclut déjà l’Albanie, la Macédoine du Nord, le Monténégro, la Serbie et la Turquie.
Bien que la Bosnie n’ait pour l’heure que peu de chances d’adhérer à l’UE, le pays pourrait tout de même devoir restituer toutes les aides publiques illégales perçues avant son adhésion, sans quoi il violerait l’Accord de stabilisation et d’association. La chambre haute du parlement bosnien devra à présent approuver la mesure et voter dans les prochaines semaines.
Moi j’ai vu une France incapable de faire face aux casseurs qui ont pu piller et brûler, et les musulmans aussi l’ont vu. Que va t’il se passer quand ces musulmans déferleront tous dans les rues armés, avec l’intention de faire un maximum de mort. Devant une France désarmé et incapable pour sa propre sécurité, dans l’incapacité de protéger les citoyens Français de souche. Mais tout va bien Madame la Marquise, le momo macron, revient du ski pour nous expliquer que c’est la faute des gilets jaune et qu’il faut encore plus de migrants, qu’i faut rapatrier les djihadistes et leurs progénitures et qu’il faut accueillir tous ces algériens haineux. Elle est pas belle la France sous momo macron…………………….pour les étrangers adepte de l’islam.
La France ne serait pas incapable de faire face aux casseurs si Castaner le voulait. Peut-être obéit-il à Macron ?