Les Académiciens ont peur de passer pour de vieux cons, en avant pour la féminisation des noms de métier

Il ne manquait plus que cela. Les Académiciens, censés être les garants de la langue, de l’histoire, qui se mettent à suivre les Bel Kacem et autres Schiappa… Pff!

Ou comment céder à l’attrait du modernisme aux dépens de l’euphonie, de la tradition et… du bon sens.

Quelques féministes hystéro-dingues comme Dominique Bona, auteur, ont mis tant de pression, aidées par la société civile, que les immortels ont fini par céder à la pression de la rue. Pas malin quand on est censés, justement, planer au-dessus des contingences !

Ils sont déjà tellement nombreux, ceux qui se demandent à quoi servent les Académiciens, trop souvent accusés de sentir la naphtaline qu’il n’est pas bien intelligent d’apporter de l’eau à leurs moulins.

Comment justifient-ils ce retournement de situation, eux qui, jusqu’alors, avaient refusé, scandalisés, un tel sacrilège ? 

Par des petitesses et des mensonges, d’abord.  Ils se rappellent, brutalement que, déjà, au Moyen Âge, certains métiers étaient différents au masculin et au féminin.

Les Jean-Foutre ! Au Moyen âge il n’y avait pas d’orthographe figée, et les masculins et féminins évoluaient, changeaient de forme, de sens… c’est ainsi que l’on se retrouve avec garce, censé être le féminin de gars...

Sans parler du petit nombre de métiers d’alors comparé à notre temps, sorti du commerce, du monde des bâtisseurs, de la médecine et des intellectuels, c’était un peu court pour pouvoir faire une comparaison linguistique des noms de métier !

Le plus drôle ?  « Nous voulions rouvrir ce dossier, pour montrer que l’Académie est sensible au fait que des femmes s’interrogent sur la définition de leur métier ». Bigre (bis!). Depuis quand faudrait-il dire “professeure” au lieu de professeur pour trouver la définition du métier correspondant?  Ils sont trop forts pour moi, ces académiciens, j’avoue que je donne ma langue au chat.  J’ai une circonstance atténuante, c’est la Bona  (qui est peut-être auteur, mais à coup sûr elle n’est pas un écrivain) qui a affirmé cette vérité digne d’Ubu.

Et comme elle se prend pour le chef des académiciens, ( désolée mais cheffe, cheftaine... ça manque de sérieux)  elle creuse le sujet. L’Académie se voudrait gardien du bon usage ( non, pas gardienne, la gardienne de l’immeuble, la gardienne d’enfants n’a rien à voir avec le gardien du bon usage, Bona. On ne s’entend plus. et on s’entendra de moins en moins avec les pseudo réformes à la gomme auxquelles participe l’Académie (je signale à l’attention de la Bona et de la Sallenave que, dans le sens où je l’exprime, “entendre” signifie “comprendre”. ).

Je prends des précautions, forcément. Que voulez-vous, l’intelligence et la culture sont si rares, à présent, même au sein de l’Académie, remplacées par le désir d’avoir l’air “dans le vent”….

Et voici que nos académiciennes de pacotille ont gagné. Il y a les académiciens, hommes et femmes, et il y a les usurpateurs, les académiciens ou académiciennes de pacotille. C’est aussi à cela que sert le féminin de nombre de métiers. A dévaloriser celle qui l’exerce, parce que la langue est en nous, elle porte une forte dose d’inconscient, et elle dit une histoire., elle dit des traditions.

On ne change pas une langue à coups de lois, de décrets, de volonté politique.  On la laisse évoluer, toute seule, tranquillement, à son rythme. Si on la violente, on perd même ce lien si fort entre Français, ce partage, cette connivence, qui est tout simplement l’histoire du peuple. Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Camus avait mille fois raison, et il hurlerait son désarroi devant ce que nous vivons depuis quelques années. “Ils” veulent faire faire à la langue ( et donc à tous ses locuteurs) en 5 ans un bond de 50 ou 100 ans et plus. C’est ainsi que la Bona prétend décider du bon ou du mauvaise usage… pour des habitudes qui n’existent que depuis quelques mois, quelques années. C’est un viol qui nous est imposé.

La Bona qui se prend pour Grévisse. Si ce n’était pas si tragique, ça serait à mourir de rire. Au fait, on dit “elle est mourue” ou “elle est morte” ? Ma grand-mère disait “elle est mourue”, peut-être bien que c’est elle qui avait raison et qu’une Bona va imposer cette forme à tous un beau jour, histoire de valoriser un écrivain régionaliste ?

 Moi je ne sais plus, tout se vaut, tout se mélange… Il suffit que quelques grognasses obsédées par l’égalité pleurnichent et vous vous retrouvez avec un “e” insultant au bout du nom de votre métier. Moi, professeur avec un “e” ? Quelle horreur ! Plutôt crever ? J’ai trop aimé ce métier pour le dévaloriser en le féminisant. Ce qui est, en sus, une énorme faute grammaticale. La Bona apparemment ne connaît pas non plus la grammaire, professeur, auteur… sont des noms, pas des adjectifs, il n’y a aucune raison de les accorder, et il n’y a aucune raison de les changer. Cela apporte quoi et à qui de savoir que le professeur de latin ou de sciences est un homme ou une femme ? Rien. Cela ne change rien. On s’en bat les couilles. Je peux, naturellement, Bona, puisque d’après vous c’est l’usage qui détermine la langue. Je peux même  me présenter comme kouffar, je vous assure que le nom est très utilisé dans certains milieux. Cela lui donne un gage d’existence, de nécessité d’existence, sans doute. Reconnue par l’Académie française, naturellement.

Ignorantus, ignoranta, ignorantum…

O Tempora, O mores ! …

Tiens, si vous voulez lire l’article dégoulinant de bons sentiments, de leçons faites aux Français, d’enculages de mouche… voici le lien de l’article du Monde ( l’auteur ne se sent plus de joie et laisse dégouliner sa prose ) et la photo de la Bona, l’auteur ( bisque bisque rage, lalalère !) du rapport qui a fini par convaincre les endormis du Quai  Conti :

L’institution a tranché un sujet longtemps tabou, estimant qu’il n’existait « aucun obstacle de principe » à la féminisation des métiers.

L’auteure Dominique Bona, membre de la commission d’étude sur la féminisation des noms de métiers dont le rapport a été adopté, dans son habit d’académicienne à Paris, en octobre 2014.
 Dominique Bona, membre de la commission d’étude sur la féminisation des noms de métiers dont le rapport a été adopté, dans son habit d’académicienne à Paris, en octobre 2014. KENZO TRIBOUILLARD / AFP

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29 Commentaires

  1. Avez-vous le “clip” de Catherine Arditi où elle se ridiculise pour le peu qui lui reste à vivre ?
    https://www.youtube.com/watch?v=mRgF5UC_fhU
    Prétendant dénoncer le machisme de la langue française, elle montre par là même que la féminisation des fonctions n’est pas souhaitable (exemple : entraîneur).
    Y’a pas à dire, un certain gauchisme nuit gravement à la bonne santé des neurones…

  2. 1) Le féminin de ” sage-femme ” est ” prud’homme ” ou ” maïeuticien ” ;
    2) J’en informerai Madame la Rédactrice en Cheftaine .

  3. Il n’échappe à personne que sous l’apparent accord destiné à calmer les ardeurs féministes de la Bona, les académiciens ont refusé d’etablir une liste des métiers à « féminiser ». Ce qui rend nul et non avenu le rapport. RIEN N’EST CHANGÉ.

  4. Tout bien considéré je préfèrerai encore parler argot histoire de leur secouer les puces, tout en sachant qu’ils n’entraveraient queue dal à ce que césig jaspine.
    Vu comme ça on pourrait bien remettre les choses à leur place avec des dialogues à la Audiard. Ce serait donnant donnant. autrement dit “Tu parles bien ou je te balance mon argot et si tu n’as pas compris je te le résume en anglais”

  5. désolant

    pendant que chez nous des assemblées de vieillards encombrent les institutions créées pour eux et leur confort de vie, telle cette Académie, ou pire les conseils (constitutionel, des tas de juristes, et autres Sénateries) en Israel on cherche, on découvre, on innove
    ce qui permet a ce “””petit pays merdeux””” -selon l’ ex ambassadeur de France trés arabaisé a Londres, de se positionner a la quatrième place mondiale des “Lunatiques” aprés Etats Unis, Russie et Chine

    excusez du peu

    https://www.lemondejuif.info/2019/03/magnifique-am-israel-hai-la-sonde-lunaire-israelienne-livre-son-premier-selfie/

    mais il est tellement plus prisé de lécher les babouches et honorer les voiles que de se compromettre avec un Israel si bien diabolisé, par un Macron et son trou du quai d’ Orsay

    • J’adore le sapeuse-pompière, de quoi dissuader toute femme normalement constituée de devenir pompier.
      Quant à l’article du NYT il est parfaitement dans l’air du temps, sorosien et macronien à souhait. Trop de mâles blancs, pas assez de femmes, pas assez de gens de couleur…
      Que le NYT s’occupe de ses gauchistes qui veulent se débarrasser de Trump au lieu de parler de notre Académie qui ne les regarde pas

  6. – Madame le ministre, je voudrais vous poser une question
    – Monsieur, vous pourriez avoir la correction de dire Madame LA ministre
    – Alors selon vous je fais LE forte-tête, en résistant à la bêtise ? Ce sont les mots qui ont un genre en Français, Madame, pas les fonctions qu’ils désignent.

  7. Christine, je me permets de ne pas être tout à fait d’accord avec vous car, quand cela sonne bien, certains noms de métier ont toujours été féminisés : infirmier/ère, boulanger/ère, technicien/cienne. Je remarque aussi qu’on ne se bouscule pas beaucoup pour féminiser certains noms de métier : maçon, plombier, serrurier dévolus aux hommes. Et personne pour trouver un masculin à sage-femme.
    Jusqu’alors, L’académie française avait la position suivante : les noms des TITRES (Ingénieur, docteur), GRADES (Colonel), et FONCTIONS (Maire, ministre) ne se féminisaient pas. La raison en est que la fonction par ex. existe indépendamment de celui ou celle qui l’occupe (Maire de Nice par exemple). On soulignera l’exception de Roi-Reine, due à l’exceptionnelle notoriété de la personne. “Professeur” entre donc dans la catégorie des titres. Auteur et écrivain ne sont pas des métiers.
    En Français, le genre des noms est arbitraire et le neutre n’existe pas : Une table et un fauteuil.
    Aussi, un homme peut être qualifié par un nom féminin : il a été LA victime d’une agression, il est une sentinelle, une recrue, une vigie ou une estafette, Louis XIV sa Majesté, son Excellence l’ambassadeur, son Altesse royale Charles, Yassine Bellatar est une pourriture, JM Le Pen est une personne exceptionnelle etc…
    Mais pour les femmes, cela devient impossible : depuis 3 ans on a du T. May “LA Première ministre” absolument affreux, mais cela empire : j’ai lu “qu’UNE membre du gouvernement avait fait une visite …”.
    L’époque sombre dans le ridicule qui hélas ne tue pas. Et même l’Académie française nous trahit….

    • Ma foi, Marc je ne vois pas où seraient nos désaccords. Nous parlons des “réformes” en cours, pas de ce que l’usage et le bon sens ont sacralisé depuis toujours comme infirmière et boulangère pour une raisons très simple c’est que les infirmières ont existé avant qu’on ait des infirmiers et que la boulangère étant la femme du boulanger tient la boulangerie, ce sont deux fonctions différentes…

    • C’est dommage pour les grades, surtout dans la Marine Nationale à savoir : Matelote (au vin rouge) Quartière maîtresse, Seconde maîtresse, Maîtresse, Première Maîtresse, Maîtresse Principale et tout en haut des Officières Marinières, la Majorette. Sympa, non ? Le plombier qui devient une plombière, une crème quoi ! Et pour se délasser, la chauffeuse. Quand à Sapeuse-Pompière, certains prétendent que le féminin de pompier, c’est ” pipe “. Je ne prend pas ” partie “. Il aurait fallu que je le susse….

  8. Ce féminisme là est idiot et inutile.

    Par contre il sabote notre langue et fait tourner les esprits. Ridicule.

    On préfèrerait un engagement contre tout ce que la politique actuelle représente un danger pour les femmes ; mais ça ; apparemment c’est moins important que de malmener les mots.

    Quand je pense que les anciens se sont escrimés à nous peaufiner notre si belle langue pour qu’aujourd’hui elle soit si mal menée pour servir un excès idéologique.

    Vraiment la majorité des françaises se sont senties discriminées parce que le nom de sa profession n’exprime pas leur genre ?

    Toutes ces guéguères ne sont que pour détourner les esprits des batailles contre les dangers réels ; ces dames en ont elles conscience ? Les priorités sont ailleurs ne le voient-elles pas ?

  9. Comme vous Christine, et comme beaucoup d’entre nous, en témoignent les commentaires, je suis absolument opposée à cette manie de féminiser tout et n’importe quoi. Et j’ai été passablement étonnée que l’Académie décide de se pencher sur la question.
    Auteur et auteure mais amateur et amatrice (mot horrible à prononcer).
    Sapeur-pompier et sapeuse-pompière ou sapeure-pompière ? Moche.
    Docteur et docteure mais… il y a déjà un joli féminin c’est doctoresse.
    Sans compter les mots impossibles à féminiser style « militaire » ou « journaliste ». Les féministes vont faire un caca nerveux !
    Et j’ai même vu la bêtise poussée à l’extrême quand j’ai lu un article parlant d’une « pédégère », oui, vous avez bien lu, c’est le féminin de l’abréviation « P.D.G. » Grand moment de stupeur pour moi, je l’avoue.

  10. Quant à pompier – pompière….

    Ces adeptes du tout féminisme seront prises à leurs propres pièges – elles – nous seront – ridiculisées et ce sera de leur faute !

  11. Les vieux aussi sont devenus dingues.

    Autrefois, on pouvait en attendre quelque chose : l’expérience et la raison. Comme ça avait été souvent le cas.

    Maintenant, pour être dans l’air du temps, ils ont décidé de devenir des jeunes ! ….. cons !
    La perdition !

    Tiens, je leur propose un truc :
    Ma fille a été étudiante en médecine …
    Les étudiants en médecine, on les appelait des carabins.

    Maintenant, je regrette fort de ne pas avoir appelé, à l’époque,ma fille :
    une carabine .

    Vive les carabines !

    ( si tu vois ce que je veux dire )

  12. Sénateur sénatrice bien
    Electeur Electrice bien

    mais alors:
    Mineur ministre moins bien

  13. “On ne change pas une langue à coups de lois, de décrets, de volonté politique. On la laisse évoluer, toute seule, tranquillement, à son rythme. Si on la violente, on perd même ce lien si fort entre Français, ce partage, cette connivence, qui est tout simplement l’histoire du peuple.”

    C’est tellement vrai, et c’est de là que nait la sémantique qui évolue, et changer les mots eux-mêmes, pris dans cette folie à la la lettre (encore un reflet de notre Société superficielle et consumériste), n’y changera rien.

    J’ai toujours dit que les gens cultivés n’étaient pas forcément intelligents.

    Pour ma part, je ne changerai rien à ma façon de parler et les décisions de cette instance ne sont pas obligatoires.

    Cela arrivera à se résoudre et disparaitre tout seul quand les illuminés multi complexés ne seront plus au Pouvoir. Il faut simplement que les moutons de Français n’y souscrivent pas et refusent d’appliquer leurs “directives”.

    Parfois, c’est un devoir de ne pas suivre les règles quand elles sont irréfléchies donc aliénantes voire folles.

  14. Très sincèrement, quand je lis ça, je me sens complètement dévalorisée… Pourquoi? parce que Avant, avec les mots au masculin, on pouvait créer la surprise d’une part, mais d’autre part, ces nouveaux mots soi-disant féminisés, sonnent mal, sonnent faux, comme tout ce qu’ils sont en train, au final de dénaturer…
    Il faudrait mettre tous ces andouilles, qui???, ceux qui se font appeler académiciens, un grand nom pour au final… pour rien…
    Ce pays est décidément peuplé par de plus en plus de riens, dont les pires étant ceux qui nous gouvernent qui ne savent rien faire, et par conséquent font n’importe quoi pour prouver qu’ils EXISTENT…!!!
    Que Dieu nous protège, parce que nous en avons besoin et nous allons en avoir encore bien plus besoin avec tout ce qui va arriver…!

    • Ne pas oublier: Aide-toi et le Ciel t’aidera. C’est à nous de commencer à chercher à sortir de notre mauvaise situation.

  15. Très bon article qui résume bien la situation d’aujourd’hui. Académie française ou pas, personnellement j’ai décidé depuis quelques années déjà, n’en déplaise à mes interlocuteurs de tous bords de rester fidèle à ce que m’ont inculqué mes maîtres depuis l’enfance. Que ce soit en public ou en famille je ne féminise pas, je n’inclus pas, ni en paroles ni en écriture. Sur la moindre remarque je rétorque “Je parle français, ne vous en déplaise” Nous n’avons pas de leçon de respect à recevoir de ces idiots qui sont loin de ceux qui ont fait la France et la langue française. Espérons qu’un jour des hommes sages nous rétabliront tout ça. Autrement au train où vont les choses nous retournerons à Cro-Magnon.

    • “Académie française ou pas, personnellement j’ai décidé depuis quelques années déjà, n’en déplaise à mes interlocuteurs de tous bords de rester fidèle à ce que m’ont inculqué mes maîtres depuis l’enfance.”

      Tout à fait comme vous.

      Il faut garder plus que jamais une ligne directrice dans cette tempête, nous n’avons pas à subir les élucubrations diverses et idiotes dont on nous abreuve.

      J’espère que les Français ne se plieront pas à ces désidératas aussi intempestifs que ridicules, mais, je crois que c’est déjà le cas pour beaucoup et cela va se confirmer avec le temps.

  16. Merci et bravo, Christine, cette mascarade démagogique qui insulte à toutes les déclinaisons régulières comme à la simple orthographe m’a mis hors de moi, et ça fait du bien de te lire (même si ça n’empêche pas de trouver ces cacadémiciens décidément bien indignes de leur fonction).

  17. Toutes ces féministes à la gomme dévalorisent les femmes. Comme vous le dites, on se fout si le professeur est un homme ou une femme. Seule compte la compétence. Le fait de dire “Mme la professeure” n’ajoutera rien à ses capacités d’être ou non un bon professeur. C’est comme la parité en politique et maintenant en entreprise. On devrait s’en battre l’oeil de savoir ce qu’il y a sous le capot. Encore une fois, seuls la compétence, le mérite, la bonne volonté, l’amour du travail bien fait, devraient compter.

    • J’ai lu sur un twitt, de la part de quelque rigolard qui disait que “féminisme” est l’opposé de “féminité”. Je trouve qu’il n’a pas tort.

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