La « Nouvelle Librairie » n’appartient pas à Ferrand… Les antifas pourront continuer à l’attaquer !

La « Nouvelle Librairie » continue d’être la cible d’attaques des gauchos…. qui ne connaissent qu’un mot d’ordre : la mort pour ceux qui ne pensent pas comme nous.

Hier donc, les antifas ont profité de la manifestation pour essayer de détruire la Librairie… La porte est inutilisable, des livres détruits, des tags et des impacts sur la vitrine…

Ah ! Si le propriétaire des lieux s’appelait Ferrand, tout le monde en parlerait, Castaner aurait déjà lancé ses fins limiers sur la trace des salopards.

http://resistancerepublicaine.com/2019/02/09/un-carreau-casse-chez-ferrand-et-ils-en-font-un-fromage-quand-les-notres-crevent-litteralement/

Mais le propriétaire ne s’appelle pas Ferrand, le gérant est François Bousquet, il n’est pas macronien, il se revendique  » de droite » il reçoit pour des dédicaces des gens comme Zemmour.  Autant dire que Castaner, Belloubete et toute la clique ont même intérêt à ce que les antifas fassent le sale boulot.

La Nouvelle Librairie est naturellement qualifiée d’extrême-droite, et l’Express (qui défend les terroristes italiens d’extrême-gauche) avait même carrément appelé  l’émeute contre elle lors de son ouverture.

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Certains articles de presses ont salué (ou condamné) votre initiative, quelles ont été les réactions des différents médias ?

Très vite nous avons été l’objet d’une fatwa, d’une mise à l’index sous la plume de Jérôme Dupuis dans L’Express sous le titre « Une libraire d’extrême droite à l’assaut du Quartier latin ». Suivi d’une incitation directe à l’ouverture de la chasse à l’homme, je le cite : « La proximité immédiate du Sénat avec ses policiers et ses caméras, dissuadera-t-elle des activistes de vandaliser la librairie de la rue de Médicis ? ». C’est un travail d’indicateur de la police de la pensée. J’ai reçu longuement ce monsieur qui se fait ensuite exécuteur de justice. En raison pratique, il convoque des « activistes » (admirez l’euphémisme pour ne pas dire casseurs ou terroristes) qui pourraient/devraient « vandaliser », autrement dire la mettre à sac. De tels procédés déshonorent un peu plus les médias de grand chemin. Bien sûr Médiapart a repris l’article dix jours plus tard : entre policiers de la pensée, on se comprend.

Vous avez été victimes de gesticulations pour vous impressionner, voire vous interdire, de quelle manière ?

L’appel au vandalisme de Jérôme Dupuis a été prestement entendu. La façade a été dégradée dans la nuit même qui a suivi sa parution, et le lendemain une bande dite d’« antifas » a essayé de nous intimider physiquement en pénétrant dans la librairie.

Quelques jours plus tard à l’occasion de la venue d’Éric Zemmour venu signer son livre Un destin français un pseudo « Comité autonome » de la Sorbonne avait appelé à manifester et à interdire la signature qui a du se faire sous protection policière. Le 9 octobre, un groupe de 150 à 200 de ces « activistes » chers à L’Express ont débarqué avec l’intention de « faire cramer » la librairie, ses employés et les clients. Ces derniers ont été exfiltrés par la police une heure plus tard. Une journaliste de l’AFP qui se trouvait sur place n’a pas trouvé bon de publier une dépêche, la censure par le silence.

[…]

Vous êtes également le rédacteur en chef de la revue Éléments, allez-vous vous limiter aux auteurs et aux revues gravitant autour de votre journal et des idées de la Nouvelle Droite ?

L’essence de notre projet c’est réunir, fédérer, agréger. Nous voulons être un pivot, une plaque tournante du renouvellement des idées sous le parrainage entre autres d’Éléments, mais en faisant bon accueil à tous les dissidents du Système. La Nouvelle Librairie a déjà noué quantité de partenariats, avec les éditions Pierre-Guillaume de Roux, l’Institut Iliade… Il faut s’ouvrir, débattre, sortir des disputes de cours de récréation, refuser l’entre soi et susciter des fécondations croisées. Globalement, nos idées semblent dominer le débat, mais c’est en partie une illusion d’optique, nous sommes cruellement privés de moyens de diffusion. Nous devons être à la fois Les Cahiers de la Quinzaine de Péguy, les non-conformistes d’avant-guerre, les éditions de la Table Ronde et Le Figaro Magazine quand il portait un débat intellectuel. De l’air, de l’air, ouvrons portes et fenêtres en grand aux auteurs, artistes, créateurs et bien entendu aux lecteurs.

Vous êtes maintenant ouverts depuis quelques mois, quelle est la réaction du public et quels sont vos projets ?

Notre cible, ce sont les nouvelles générations. Et ce sont elles qui fréquentent majoritairement la Nouvelle Librairie. Nous voulons les réinscrire dans une chaîne de savoir et de transmission, leur dire qu’elles ne sont pas seules dans un océan de conformisme universitaire, que le Quartier latin leur appartient de nouveau, qu’elles ont une ancestralité à faire valoir et à dépoussiérer. Et les clients sont là, parfois venus spécialement de province, trouvant chez nous une nourriture intellectuelle et spirituelle consistante.

Le projet en cours c’est la refonte complète de notre site Internet, un site vitrine sympathique, mais insuffisant. Nous avons un fond de livres d’occasion unique qui est difficilement accessible, nous sommes en train de le numériser. Nous multiplions les signatures comme celles de Bernard Lugan le 11 décembre, de Slobodan Despot qui viendra présenter son Antipresse le 20 décembre et Pierre Jovanovic le samedi 22 décembre. Toutes les signatures ont lieu de 18h à 20h, sauf la dernière qui démarrera à 15h, Noël oblige. De bonnes occasions pour vos cadeaux.

La Nouvelle Librairie, 11 rue de Médicis, 75006 Paris
Ouverture du mardi au samedi 13h/20h
www.lanouvellelibrairie.com
Tél. : 01 42 01 83 73
Mail : contact@lanouvellelibrairie.fr

Accès par Métro Ligne 10 : arrêt Odéon
Accès par RER B : arrêt Luxembourg

https://www.ojim.fr/une-nouvelle-librairie-de-droite-au-quartier-latin-appel-a-lemeute-de-lexpress/

La Librairie est sise au 11 rue de Médicis, au coeur du quartier latin. Amis parisiens, réservez-lui  donc vos achats….

 

Pendant ce temps, la commission parlementaire sur l’extrême-droite, constituée sur la demande de Mélenchon, bat son plein au Sénat…

 

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