C’est son heure de gloire, à Lydia Frentzel ! Obscure élue écolo de Marseille, parfaitement inconnue jusqu’à ce jour, elle a voulu se farcir Stéphane Ravier ! En tout bien tout honneur, bien évidemment, puisqu’elle lui a promis d’aller se frotter à lui (toujours en tout bien tout honneur) sur son terrain, lors de la prochaine campagne municipale.
Ce à quoi le sénateur-maire de Marseille, dans un humour autant gaulois que méridional, a osé répondre « Même heure, même hôtel !« . Et c’est là que tout est parti en vrille, et que Lydia Frentzel est devenue la nouvelle égérie des féministes, mais aussi de tous les constipés du sexe LR ou PS, qui ont tous vu dans les propos de Stéphane Ravier une agression sexiste d’une violence insupportable, et exigé des excuses publiques. Rien que cela. Gonflés, les mecs, quand on sait les pratiques au PS ou à LR… Des tocards, des minables, et une copine à moi aurait même ajouté : des mal-baisés ! Même s’il est bien élevé, et qu’il n’a pas dit de gros mots, l’élu RN les a envoyés se faire sauter, et il ne s’est pas couché devant l’hystéro-dingue écolo, ni devant les culs-serrés inquisiteurs.
C’est vrai que quand on entend l’écolo hurler ainsi, on ne peut que donner raison à Karim Zeribi, qui qualifiait les Verts de « secte de fous ».
À noter que Gaudin se marrait comme un petit fou, quand Ravier a précisé que le rendez-vous aurait lieu à l’Hôtel… de ville. Le maire, goguenard, a simplement précisé que cela ne serait pas dans son bureau, faisant rire une bonne partie de l’assemblée. Mais les commissaires politiques du sexe veillaient !
Il est intéressant donc, de noter que dans la vision du monde de la puritaine Lydia Frentzel, une femme qui va à l’hôtel avec un homme qui n’est pas son mari ou son compagnon est une pute ! Elle doit mal connaître la réalité de la France, la bougresse ! Même au temps de sa splendeur, je n’ai pas le souvenir que Christine Boutin, considérée comme catholique traditionaliste, donc forcément coincée du slip selon les repères habituels, ait osé de tels propos, bien au contraire. Il me semble l’avoir entendu dire, un jour, qu’elle aimait le sexe.
Si cette constipée du slip aux discours de vierge effarouchée avait eu un peu d’humour, elle aurait pu renvoyer Ravier dans ses buts, en mettant les rieurs de son côté. Par exemple, en Italie, alors que le fondateur de la Ligue du Nord, Umberto Bossi, disait souvent « Je l’ai bien dure« , Alessandra Mussolini, la nièce du « Duce », avait mis les rieurs de son côté en répondant : « Il n’a de dur que la tête !« . Si la nonne écolo avait eu le sens de la réplique, elle aurait pu sortir une vanne comme cela à Ravier, ou bien parler de « débandade« , cela aurait fait rire tout le monde, et je suis certain que l’élu RN l’aurait applaudie pour sa répartie.
Et au lieu de cela, la voilà qui dépose plainte, minablement, après avoir insulté grossièrement le sénateur, ce qui lui vaudra, à elle aussi, un procès !
Que tout cela est minable, triste, rabougri, indigne de la France où, avec une certaine finesse, on sait rire sur le sexe, et sur les rapports de séduction hommes-femmes. Cela pue le puritanisme à l’Américaine. Osons le dire, les écolos ont vraiment des problèmes sexuels, comme l’a confirmé l’affaire Baupin, dont le procès vient de se dérouler.
Il était pourtant au sommet de sa carrière, le Baupin. Époux d’Emmanuel Cosse (bon courage…), vice-président de l’Assemblée nationale, il mettait même du rouge à lèvre le 8 mars, pour montrer sa solidarité avec les femmes.
Ce qui ne l’a pas empêché, par ailleurs, de tenter sa chance avec Cécile Duflot. Colossale astuce, la méthode de drague. Au Brésil, en 2008, à un congrès international sur l’écologie (défense de rigoler), il demande à Duflot le numéro de sa chambre d’hôtel, tard le soir, car il a quelque chose à lui dire de très important. Et l’autre cucul-la-praline le lui donne ! Résultat, Baupin arrive coude aux corps, convaincu que c’est dans la poche, comme disait mon ami le Kangourou. Et il tente de passer en force, avant de comprendre qu’il s’était pris un râteau maison !
Finalement, les écolos sont coincés entre leur idéologie plutôt libertine et transgressive, qui fait que, comme dans les grandes années 1968, tout le monde couche avec tout le monde, et le féminisme castrateur qui considère que tous les hommes sont des violeurs. D’où des malentendus comme l’épisode Baupin-Duflot, qui, faut-il le rappeler, fut tout de même la maîtresse de Vincent Placé, soigné depuis pour problèmes d’alcoolisme…
Et, lors du procès de Baupin, Duflot, qui a appelé sa dernière fille Térébentine, a pleurniché à la barre, en rappelant, pour les regretter, ces propos qu’elle tenait à des écolos femmes : « Si t’es choquée parce qu’un mec te demande de le sucer, franchement, ça nous arrive tous les jours. C’est le genre de mec avec qui il est plus facile de coucher que de résister« .
Et apparemment, chez les écolos, ces pratiques étaient connues de toutes et de tous…
Alors, qu’est-ce qu’elle vient jouer la mère la Pudeur, la Frentzel, dont le nom rime avec sexuel ? Mais peut-être les écolos marseillais sont-ils plus prudes que les écolos parisiens, d’où la réaction digne d’une nonne de la désormais célèbre écolo de Marseille, défendue par Marlène Schiappa…
La même Schiappa, qui a décidé que le prochain G7 devrait avoir une urgence : la lutte contre les discours de haine…
Au fait, quand la dame Lydia Frentzel perd son contrôle et devient grossière, suite à une blague, pas méchante, sur le sexe qui devient une blague sexiste, n’est-ce pas la preuve qu’elle a, elle aussi, un problème de haine… contre les hommes qui, comme Stéphane Ravier, ont le tort, à ses yeux, d’aimer leur pays… et les femmes ?
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Elle par contre, l’insulte de merde assorti de divers autres qualificatifs, mais ça c’est normal, elle a pas besoin de s’excuser elle, c’est de la légitime défense. Pendant que des noirs violent impunément des blanches en france, il me parait tout à fait logique de condamner un blanc pour avoir dit si peu de choses… Si ça se trouve elle a réagi comme pensant qu’on l’avait découverte…