COÛT de l’IMMIGRATION ETUDIANTE
Tribune d’Eléonore Bez, Conseillère Régionale PACA
Eléonore Bez | Tribunes libres – 1 février 2019
Le nombre d’étudiants étrangers ne cesse d’augmenter en France : le nombre de visas étudiants délivrés est passé de 78 419 en 2013 à 101 746 en 2018.
Qu’est-ce qui explique une telle augmentation ?
Des universités attractives ?
Pour une partie de ces étudiants oui, mais beaucoup sont surtout attirés par la délivrance d’un visa. S’inscrire comme étudiant, c’est l’assurance d’obtenir un titre de séjour et de rester sur le territoire français… avec tous les avantages sociaux qui vont avec.
Face à ce qui est devenu une filière de la submersion migratoire que subit la France, le gouvernement Macron a fait mine de sévérité en annonçant cette année une hausse des frais de scolarité pour les étudiants extra-européens.
Tant mieux, il n’est après tout que justice que les étudiants étrangers, dont les parents ne payent pas l’impôt en France, s’acquittent de droits d’inscription plus élevés que les étudiants nationaux.
Précisons d’ailleurs que cette hausse (2 770 euros l’année de licence, 3 770 euros l’année de master ou de doctorat) ne couvre pas le coût d’une année d’étude, celle-ci étant de 13 873 euros en moyenne.
Les étudiants étrangers coûtent donc 10 000 euros par an à la collectivité.
Même avec cette hausse, la France reste incroyablement généreuse.
Or, nous voyons certains de ces étudiants étrangers, qui ne sont que les invités de la France, manifester leur mécontentement.
On croit rêver !
Depuis quand un étranger est-il légitime à participer au débat public national ?
Si un étranger n’est pas content de la façon dont on le traite, il n’a qu’à partir : ce n’est pas son pays.
Ces étudiants étrangers qui manifestent sont appuyés par tout ce que le show-business compte de bobos immigrationnistes, mais aussi par les recteurs de certaines universités.
Ceux-ci annoncent qu’ils dérogeront à cette hausse, en ne l’appliquant pas à leurs étudiants étrangers.
Pendant ce temps-là, des milliers d’étudiants français peinent à se loger.
Des milliers d’étudiants français doivent mener un petit job en parallèle de leurs études pour joindre les deux bouts, ce qui se fait au détriment de leur travail universitaire.
Pire, des milliers, voire des dizaines de milliers de jeunes Français, abandonnent toute idée d’études supérieures alors qu’ils en ont l’envie et le talent.
Ce sont ces jeunes de la France enracinée, cette France des oubliés, cette France des gilets jaunes en fait.
Parce qu’ils sont trop loin des métropoles universitaires, parce que leurs parents ne peuvent pas payer de loyer dans une grande ville, parce qu’ils ont le sentiment que ce n’est pas pour eux.
Ceux-là, personne ne les aide. Aucune association ni pouvoir public ne met à leur disposition les moyens nécessaires à ce que leurs talents puissent se développer.
Les jeunes Français qui se lancent dans des études supérieures découvrent des universités paupérisées, des amphis surchargés, des filières bouchées.
Comme quoi, il semble bien qu’on ne puisse pas accueillir tous les étudiants du monde et en même temps garantir à chacun des conditions d’études dignes de ce nom…
Pour de nombreux étudiants français, souvent les plus brillants, la seule perspective est de partir à l’étranger. Combien reviendront ?
Combien, après avoir payé des frais d’inscription extrêmement élevés, y trouveront un emploi convenable et y fonderont leur famille ?
Combien seront perdus pour la France ?
Pendant que nos jeunes cerveaux partent ou restent sans les diplômes qu’ils mériteraient, des dizaines de milliers d’étrangers s’inscrivent de façon quasi gratuite dans les universités françaises, bénéficient des aides de l’État et du soutien d’associations subventionnées.
Notre jeunesse est oubliée et les immigrationnistes préfèrent manifestement la remplacer par des étrangers.
Cette idéologie, cette politique à deux vitesses sont d’autant plus insupportables que la jeunesse est l’avenir de notre pays.
L’université aussi doit être réservée aux étudiants français d’abord. Si des étrangers veulent étudier en France, ils sont évidemment les bienvenus : mais à condition de payer la réalité de ce qu’ils coûtent à notre pays et de rentrer chez eux à la fin de leurs études.
https://rassemblementnational.fr/tribunes-libres/tribune-deleonore-bez-conseillere-regionale-paca/
Note d’Antiislam
C’est un problème central que ces abus massifs de l’immigration étudiante.
Immigration pour suivre une licence d’Arabe ou de Droit coranique en France : de qui se moque-t-on ?
Mais même les filières d’excellence sont victimes de ce régime d’abus.
J’ai le cas, qui m’a beaucoup frappé, d’un de mes neveux qui était élève à l’ENS-Lyon : il partageait sa chambre avec un BOURSIER sénégalais de l’ENS-Lyon, étudiant en mathématiques.
Le gars faisait la fête toutes les nuits.
Le gars dormait toute la journée.
Le gars ne faisait jamais la vaisselle commune, laissant la cuisine en b**l.
Le gars n’est jamais allé en cours de l’année.
La gars a pourri la vie de mon neveu, pourtant de bonne composition, pendant un an.
Je ne parle même pas des filières de fac bidons (style Paris VIII-Saint-Denis) qui sont maintenues en vie artificiellement « grâce » à l’immigration.
Il n’y a que l’abominable et le pervers Pierre Henry (France Terre d’Asile) pour nous faire pleurer sur la nécessite d’ une immigration étudiante massive…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Henry_(France_terre_d%27asile)
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des sources ? un article à nous faire pour détailler tout cela ? contact@resistancerepublicaine.com
Et ça continue de plu belle! Maintenant ces ne sont pas que les universités qui amène « des étudiants » mais n’importe quelle entreprise ou hôpital.
Tout ces gens savent profiter de nos faiblesses et surtout celles de ne pas avoir depuis trente ans des responsables a la hauteur pour diriger ce pays , et tant que les sans dents les laisseront faire rien ne changera et ce n’est pas pour demain . Macron est encore bien parti pour noyer le poisson avec les fameux débats et aussi brouiller les cartes avec le referendum le jour des européennes, les français devront avoir beaucoup de lucidité pour ne pas tomber dans le piège tendu par ce type .
» Le piège tendu par ce type » , ce type est extrêmement rusé, à défaut d’être intelligent, et surtout , il a toutes les multinationales derrière lui avec les aides financières, psy , com et autres de toutes sortes,
il ne va en faire qu’une bouchée de nos GJ , qui se font pour beaucoup embarquer dans la FI ou le NPA qui leur promet monts et merveilles, comme d’habitude
avec une partie déjà accaparée par la REM de Levavasseur,
il ne reste qu’une issue pour nous : les partis patriotes partout, ou les partis frexit, il faut contrer les européistes
Je suis tout à fait en accord avec ce qui est dit dans l’article et c’est un scandale de plus !
Sans compter aussi les redoublements multiples qui prolongent les études ainsi que les trafics de diplômes (article explicite du Monde de l’Education qui date de quelques années du temps où on pouvait dire le vérité).
Pendant le temps qu’on en est à la resquille et les marchands de tapis dans les univ ,la chine et les usa sont les leaders mondiaux de la recherche sur l’intelligence artificielle .
Au lieu de payer des études aux resquilleurs professionnels ,inquiétons-nous de ce monopole entre une puissance non-démocratique et autres ambitieux personnages incontrôlables (google ,facebook et ….) qui vont mener le monde à leur avantage .
Un bac + 11 qui gagne 3000 euros mois dans ce domaine de la recherche en France,est engagé à plusieurs dizaines de milliers d’euros aux USA .
La France est seulement la championne du monde des Droits ….du resquilleur en tout genre c’est ça notre piètre rayonnement mondial ,avec pour commencer toujours la même porte d’entrée :un dossier où une fois inscrit son nom ,avec deux trois renseignements bidons ,c’est parti mon kiki pour la manne républicaine celeste !.
Qu’est- ce qu’ils doivent se marrer le soir sous la tente !
Combien d’entre eux demanderons la nationalité française, et une fois français combien d’entre eux feront de la politique, je trouve que depuis quelques années il y a de plus en plus de musulmans dans les parties, et il en a énormément autour de macron.
De toute façon, la majorité, études réussies ou pas, restent en France…
Je connais bien des africains, majoritairement bien sympas, qui se sont implantés en France dans le secteur de la distraction et animation par défaut dirons-nous*… Une filière d’immigration « artistique » en somme…
* : avec un j’avais abordé le problème de la démographie africaine en même temps que celui de l’enseignement !
J’avais discuté avec un autre sur les raisons de sa venue en France : faire médecine… Échec, mais il est resté en France… Certes, il n’est pas de ceux qui vont agresser… il est même occidentalisé si je puis dire, voire assimilé !
Et c’est ainsi qu’une Obono devint française puis députée…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dani%C3%A8le_Obono
Il manque le mot « naturalisation » dans cette tribune…
J’ai connu ça il y a trente sept ans quand je me suis inscris en médecine. Le taux de réussite du concours de fin de 1ère année était d’environs 20% par rapport au nombre d’inscrits à cause du numerus clausus.
Mais le premier jour de cours le prof nous a expliqué qu’il ne fallait pas se fier aux chiffres, que ceux-ci étaient établis en fonction du nombre d’inscrits parce que c’est avec ça qu’était calculé la subvention de la fac, mais qu’en fait une bonne partie des inscrits étaient des étrangers qui voulaient une carte d’étudiant pour pouvoir venir en France et qui ne venaient ni aux cours ni au concours et que le taux de réussite réelle était d’un peu plus de 40 %
C’était en 1981, Miteux venait d’être élu et le politiquement correct n’existait qu’aux USA.