Attention ! S’approcher d’un peu trop près de l’islam n’est pas sans danger, beaucoup y ont laissé leurs plumes en moins de temps pour le dire
C’est en lisant le portrait et l’histoire d’une convertie, devenue veuve Daesh, que certains souvenirs me sont revenus en mémoire.
Le récit de la radicalisation de cette jeune fille flamande m’a paru très familier car j’ai vécu moi-même une histoire similaire mais qui, heureusement pour moi, n’est restée qu’au stade de tentative d’embrigadement. Les ressorts qui ont été utilisés sur la jeune Belge pour la faire basculer dans l’islam des origines, sont les mêmes qui ont été pratiqués sur moi-même, je pense : des attentions démesurées, une solidarité sans faille, saupoudrées de touches d’islam pour amener au final la personne à apprécier cette religion et lui faire croire qu’il n’y a pas d’autres chemins à emprunter pour se sentir bien.
Le constat après coup que fait la mère de la Belge radicalisée va dans ce sens.
Ce passage est pour moi le nœud du problème, le peu de méfiance des non musulmans vis-à-vis des mahométans : A la question comment on en était arrivé là, la mère de Wielandt à répondu ” Je crains que mon mari et moi avons, sans nous en rendre compte, commis une faute en laissant partir Tatiana, dès ses 14 ans, quatre ans d’affilée, avec la famille marocaine de sa meilleure amie.”.
Eh oui, beaucoup d’adeptes islamiques, pour capter les non musulmans, agissent telles des araignées tissant leur toile autour de leurs proies. Ces dernières tombent dans le panneau quand elles n’ont pas assez pris garde du danger, celui là étant déguisé sous de belles apparences. Alors quelle est la différence entre cette jeune fille et moi-même ? Pourquoi elle et pas moi ?
La réponse à cette question : juste un détail de taille, j’ai eu droit, pour ma part, à un vaccin anti islam ultra puissant. Le chemin semé d’embûches, que j’ai dû emprunter, a laissé en moi des traces indélébiles et qui ont eu pour conséquence, pas de concession avec l’islam. Jamais ! Quelles que soient les situations, les personnes, jamais !
Je m’étais promis, à cet effet, dès mon plus jeune âge de ne pas relativiser les évènements en lien avec l’islam. Celui-ci m’avait fait trop de mal et m’avait poussée à devoir toujours me battre au lieu de profiter tranquillement de mon enfance. Quoi qu’en disent ceux qui me traitent de radicale, ce n’est pas rien !
De fait, mon esprit avait donc toujours été en alerte avec la doctrine mahométane, surtout ne pas se laisser abuser. Cela se traduit par une propension à toujours analyser les faits nouveaux en lien avec l’islam, pour rester maitre de ma vie. Pas question que cette idéologie me dicte ce que je dois faire, penser, respecter… Toute l’énergie, que j’ai dépensée pour me tenir loin de ces bêtises ne doit pas être vaine.
Mon histoire la voici, je vous la livre comme je l’ai vécue :
Lors de mes études, je faisais des petits boulots pour subvenir à mes besoins et c’est à cette occasion que j’avais rencontré une jeune fille musulmane, en apparence à l’air très sympathique et me semblant adhérer comme moi aux valeurs occidentales, un critère incontournable pour me lier d’amitié avec des gens issus du Maghreb. A l’époque, mon idéalisme, je dirais plutôt maintenant avec la maturité, mon « béni oui ouisme », m’aveuglait quelque peu car je croyais au début à la sincérité de cette personne. De plus, je pensais que le musulman modéré pouvait exister, qu’un adepte de mahomet pouvait accepter la liberté de penser de l’autre. Je l’avais cru sincèrement un temps car dans mon entourage kabyle, c’était le cas. Beaucoup savaient s’occuper de leurs oignons mais j’avais dû par la force des choses me rendre à l’évidence, pas pareil avec certains arabo-musulmans, leur identité cherchant souvent à se substituer à celle des autres.
Dans les premiers mois de notre relation amicale, on se voyait donc de temps à autre et je n’avais rien remarqué d’anormal. Mademoiselle se tenait à carreau dans l’attente de m’amadouer pour pouvoir m’embarquer sur sa galère islamique. Elle avait pour moi de nombreuses attentions que je trouvais quand même à la longue un peu louche. Je lui avais demandé pourquoi tout ça. Sa réponse, bien sûr, un énorme mensonge que je compris par la suite :
« Samia, je t’apprécie beaucoup car tu es une personne fiable, cool… ». Pipeau, pipeau lalala pipeau, du pipeau, encore du pipeau. Ah ! Que ne ferait-on pas pour son prophète, n’est ce pas ? Mais à ce moment, j’étais encore sur mon petit nuage rose. Je l’appréciais beaucoup, c’était mon amie et je lui accordais ma confiance.
On sortait, on faisait les magasins ensemble, on s’invitait chez l’une ou l’autre, rien de bien exceptionnel, rien d’anormal. On devenait de plus en plus amies, on se voyait de plus en plus souvent, on partageait des moments très agréables où rien ne pouvait me faire douter d’elle. Mais un jour sans crier gare, elle me montra son vrai visage, celui du mahométan avant tout. Pourquoi ? Comment ?
Je pense que mademoiselle avait dû croire qu’elle m’avait dans ses filets dans la mesure où elle ne se doutait pas de la force de ma détestation de tout ce qui était islamique. Il était vrai qu’à cette époque, j’en parlais un peu mais pas trop. C’était plutôt une affaire qui m’était personnelle et intime. De plus, je la laissais dire ses compliments sur l’islam mais en lui demandant toutefois de changer de sujet. Je voulais que cela reste son espace privé.
Alors que nous étions en train de faire des courses, elle se mit à voler sous mes yeux sans aucune gêne. Je faillis tomber à la renverse d’un tel comportement. Je m’attendais à tout sauf à cela. J’étais choquée et en pétard car cette attitude était pour ma part intolérable. Bien sûr, je lui signifiai mon sentiment de colère sur cette conduite honteuse mais quel ne fut mon étonnement avec sa réponse : « T’inquiète Samia, ce n’est pas du vol quand il s’agit de prendre aux kouffars » !!!
C’en fut trop pour moi, ces mots étaient trop graves et en disaient long sur son état d’esprit. Je la plantai là, tellement son comportement me déstabilisa et m’horripila. Je ne voulais pas d’explication, les faits étaient là et parlaient d’eux-mêmes. Pour elle, pas question de lâcher le morceau si bien qu’elle n’hésita pas à me suivre pour me dire que c’était une blague de mauvais goût et qu’elle ne recommencerait plus. Elle comprit que son test n’avait pas marché et qu’il fallait faire machine arrière. A ce moment précis, le lien qui nous unissait se brisa. Je n’avais plus envie mais par loyauté, je suis comme ça en amitié, je continuais à la voir mais beaucoup moins souvent. Elle le sentit et fit donc tout pour faire oublier cet évènement. Je sentais toutefois son impatience sur certaines choses, des mots tendancieux lui échappaient. Au final, je me rendis à l’évidence, rien de réel nous rapprochait, au contraire tout nous séparait ; elle tenant à son islam plus que tout et moi le détestant par dessus tout.
Cela ne pouvait pas marcher. Elle s’était mis en tête qu’elle ferait de moi, une parfaite adepte de mahomet. Pas d’autres solutions, il fallait mettre un terme à cette relation. Je ne la voyais quasiment plus quand un jour elle m’appela pour me dire qu’elle avait quelque chose de très important à me dire et à me montrer. Je refusai mais elle insista en me disant que c’était très important pour elle, que je devais la voir absolument eu égard à notre amitié. Je finis par accepter. Qu’est ce que je risquais après tout ?
Quand j’arrivai au lieu de rendez-vous, je tombai de haut. Elle était voilée de pied en cap, seuls ses yeux et sa bouche étaient visibles, son front et son menton étaient recouverts de son voile. Une vision d’horreur pour moi, incompréhensible, je la croyais une femme chérissant sa liberté…
Et là le pire m’attendait, elle me parla de guerre contre les mécréants, les kouffars. Selon elle, tous voulaient du mal aux enfants de mahomet. Il fallait que j’en aie conscience, que je me réveille (comme si cela était mon problème !). Elle me montra un livre horrible où il était question de haine, de sang, de vengeance contre les ennemis de l’islam, les non musulmans. Elle voulait me l’offrir pour que je puisse méditer sur le combat que devaient mener tous les enfants de l’oumma, même ceux qui disaient l’avoir quittée !!! L’occident voulait abattre, toujours selon elle, la maison islamique. Il fallait donc se préparer à se battre. Aïe ! Aïe ! C’était quoi ce discours d’une rare violence, intolérance. Pas pour moi dans tous les cas.
Là mon sang ne fit qu’un tour. Je lui demandai de m’oublier à jamais, de ne plus chercher à me contacter, que je ne me déplacerais plus. Elle continua à vouloir me retourner le cerveau mais là je lui dis tout de go : « Arrête ! Ca ne sert rien, tu gaspilles ta salive pour rien avec moi. Je suis une kouffar invétérée. Ce n’est pas ton bouquin de bas étage qui va me faire changer d’avis. Passe ton chemin.»
On se salua une dernière fois ce jour-là. Je ne la revis plus jamais depuis.
J’ai quand même appris qu’elle s’était mariée avec un frère musulman pour son plus grand bonheur ! Bien lui en fasse. Je lui laisse son enchantement quant aux valeurs musulmanes…
Mon vaccin, encore une fois, avait bien joué son rôle, ouf !
Un seul leitmotiv pour ma part à ne jamais oublier : La doctrine musulmaniste est sans pitié avec les femmes, elle leur a taillé un statut de mineure méprisée à vie, quasi impossible à réformer quelque soit le lieu où se trouvent les mahométans.
Dans mes jeunes années, c’était le reproche principal que j’avais à opposer à cette religion bien avant l’avènement de l’horreur meurtrière des combattants d’allah. Ma haine venait de là, ou je dirais plutôt, avait commencé par ce biais. En ce temps là, les actes terroristes, les problèmes avec les adeptes de l’islam n’étaient pas encore au niveau de ce que nous connaissons aujourd’hui.
Dans la fin des années 90, nombre d’entre nous ne réalisaient pas vraiment encore le phénomène de l’islamisation de la France. Pour ma part, je n’avais pas plus échappé à cet aveuglement quant à l’apparition de la bête immonde sur notre territoire. C’était surement le démarrage de la descente aux enfers islamiques.
Loin de moi l’idée, à ce moment là, d’être la cible de ce genre d’embrigadement, je pensais naïvement que mon apostasie serait une évidence pour les musulmans que je rencontrerais et qu’ils n’auraient rien à redire dans la mesure où moi je ne me mêlerais pas de leurs croyances. Je m’étais bien fourrée le doigt dans l’œil car la mésaventure, que j’aie vécue avec cette fille, m’a montré toute autre chose. Malgré la blessure ressentie d’avoir été abusée, cette expérience m’a permis au final de comprendre encore plus la réalité toute crue et entière de l’islam.
Bienvenue Samia dans le monde réel !!!
La toxicité de cette idéologie ne se résume pas seulement au statut catastrophique des femmes. Par la suite, ce constat n’a fait que se confirmer avec mes différentes rencontres avec un certain nombre de musulmans ce qui a fini par me faire dire : L’islam est à l’image de l’acide sulfurique, une seule goutte suffit à tout ravager sur son passage.
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Loin de la foire de l’antiracisme la France, bonne fille, est prête à accueillir tous ceux qui sont Français de coeur, qui aime notre pays comme Samia et qui sont souvent meilleurs patriotes que beaucoup d’autochtones islamo-collabos. Je salue la courageuse Samia notre concitoyenne.
Quel message ! Il me réjouit, merci Guy Philippe, vous ne croyez pas si bien dire. Hier encore, j’ai dû me battre avec ma hiérarchie parce qu’on nous demande de baisser notre froc devant les adeptes de l’islam. L’overdose n’est pas loin mais il faut tenir, on n’a pas le choix.
L’Islam est une bête immonde. Cette religion est corrosive et doit être rejetée sans états d’âmes
Bonsoir Samia, je suis admirative devant la force de caractère qui est la vôtre ! Combien se laisse séduire par cette secte ? Sur mon lieu de travail, une personne a tenté de me convertir aussi à l’islam !! Et, j’ai la quarantaine… Merci pour votre témoignagne qui nous rappelle que le danger est partout.
La dynamique sectaire des « modérés » est la plus redoutable, ceux qui sont « sympas » sont les plus à craindre, ce sont ceux qui passent , grâce à la taqiya, au kitman etc…sous les radars.
L’infiltration fait partie de l’art de la guerre, l’islam a ses Markus Wolf et ses Günther Guillaume lui aussi.
« des attentions démesurées, une solidarité sans faille, saupoudrées de touches d’islam pour amener au final la personne à apprécier cette religion et lui faire croire qu’il n’y a pas d’autres chemins à emprunter pour se sentir bien. »
Bizarre, tout à fait la dynamique des sectes pour embrigader des adhérents….
Merci Samia, vos témoignages sont très parlants et précieux car c’est du vécu.
Il est vrai que cela fait penser aux ressorts qu’utilisent les sectes pour embrigader leurs adeptes. Mais avec l’islam, ce qui est le plus terrible, le plus dangereux c’est qu’il n’est pas considéré comme secte mais religion et ça change tout. De fait, il a bonne presse, il a ses entrées de partout et pour couronner le tout, il est paré de toutes les vertus quant pour les sectes, elles, ce n’est pas le cas, bien au contraire. Beaucoup d’entre elles sont interdites ou suspectes de fait, pas l’islam.
En réalité, c’est la secte qui a le mieux réussi dans la mesure où elle n’est pas désignée comme telle.
Où avais je la tête? 2 coquilles
quand pour les sectes…
Secte qui a le mieux réussi
Lu sur le blog de Marwan Muhammad du CCIF :
« Qu’ils l’aiment la France avec ses musulmans, ou qu’ils la quittent! » !!!
merci Samia , les musulmans subissent un lavage de cerveau depuis le berceau , pas étonnant qu’ il soit comme sa fanatisé au point de se faire explosé a cause du coran ils sont incultes et le resteront malheureusement , c est une maladie haineuse comme le fascisme , le communisme , le nazisme , ils sont aveuglés par leur idéologie , il faudrait un fameux vaccin pour les guérir
Bravo Samia pour votre sincérité. Il faudrait que toutes les femmes nées outre Méditerranée aient votre force de caractère, votre clairvoyance, votre lucidité. Et le témoignage d’une « apostate » de l’islam n’a que plus de valeur !
Merci Olivia Blanche. Je suis née en France comme mon ancienne amie, son cerveau et son cœur sont allés du côté de l’univers islamique, moi les miens ils se sont bien implantés dans le terreau français.
« son cerveau et son coeur » il faudrait plutôt dire et sa rancoeur, je doute fort qu’elle en ait un de coeur pour adhérer à cette secte qu’est l’islam, non?
En éspérant que votre apostasie fasse tâche d’huile!
Tout à fait, leur cœur est sec ou a été asséché par leur daube de coran. Dans tous les cas, c’est kif kif bourricot.
Vive la liberté ! Vive l’apostasie !
Bonjour,
Merci, chère Samia, vous lire est un enchantement.
J’avais déjà pris votre image de l’acide, dans un article de RR, pour décrire l’islamisation de notre culture :=) :
http://resistancerepublicaine.com/2014/02/13/apres-le-passage-de-lacide-coranique-il-ne-reste-rien-de-notre-culture-par-antiislam/
Merci à vous Antiislam.
J’ai lu votre article où vous utilisez vous aussi cette image de l’acide on ne peut plus en adéquation avec l’idéologie mortifère nommée islam.
Chapeau bas !
L’Islam c’est Alien, son sang même est de l’acide.
Les musulmans prosélytes me font penser au Gremlins, doux comme des peluches au stade 0 , terrifiantes créatures à la moindre éclaboussure.
Le cinéma, notamment de SF, nous offre d’excellentes métaphores de cette aliénation qu’est l’islam.
Notre curiosité au départ n’est pas malsaine, mais c’est comme dans Alien dès qu’on s’approche d’un peu trop près.
Voir la définition d’une SECTE,…….
1,5 milliards d’adeptes que RIEN ne fera réfléchir ou revenir à une ouverture d’esprit moderne. Ils sont coincés pour l’éternité.
Merci, Samia, de t’être, si je puis dire en jouant avec les mots, dévoilée à nos yeux. Ton parcours, par le biais de cette anecdote, nous est précieux. Leur idéologie satanique et sataniste pourrira par l’intérieur. Des roses telles que toi et je suis sur qu’elles sont nombreuses, ont pu pousser sur ce tas de fumier !
Merci cher Paco, tes compliments me vont droit au cœur. Je ne sais par quel miracle j’ai pu me sortir de ce guêpier. Cela a été tellement douloureux de ne jamais lâcher, jamais se laisser aller comme tous les jeunes de mon âge. Je n’ai pas le melon mais j’en suis fière.