Le chercheur Stéphane Mottin, mis à pied par le CNRS pour s’être engagé auprès des Gilets Jaunes !

Vous dites démocratie, pas démocrature ?

.Dans un précédent article, je titrais  Rendez nous la démocratie que vous avez confisquée !

Ce jour sur LCI (29/12), un Gilet Jaune, jardinier de son métier* déplorait que nous ne soyons plus en démocratie.  Il était repris par ce prétendu historien qui confond le drapeau de la Picardie avec un drapeau monarchiste lui rétorquant que si c’était le cas, il serait en prison !
* : au demeurant intelligent, sentant les choses, mais sans la culture et la pratique politique pour renvoyer le minus en question dans les cordes !

Depuis pas mal de temps, j’ai pris l’habitude de dire que nous sommes en DEMOCRATURE*, un canada dry de démocratie, l’apparence pour sa confiscation par une élite européo-mondialiste, aidé en cela par une propagande effrénée des média, une masse abusée et aux intérêts immédiats divergents dans tout ce que cela recouvre…
* : je n’en suis pas à l’origine, j’utilise aussi « totalitarisme soft »… 

Ce mouvement des gilets jaunes révèle de ce dont je ne suis pas un adepte, mais dont le constat est reconnu par certains, la cristallisation d’une lutte de classes… Les classes ne sont peut-être plus aussi évidentes que par le passé surtout avec la réduction des classes ouvrière et agricole. En gros nous dirons, les bobos et ceux aux mains propres face aux aux travailleurs pauvres et ceux aux mains sales ! Dans cette dernière classe sont à prendre en compte les petits retraités et les agriculteurs, voire de petits commerçants et artisans…
Un exemple d’analyse qui implique le système politique en place

Bien sûr, le maintien des apparences reste une nécessité pour la démocrature… Son inquiétude, la responsabilité directe dans la mort d’un manifestant tout en contrôlant fermement les manifestations !
Cependant une violence particulière contre les gilets jaunes est exposée, ici  sur BV

Moins visible mais bien plus efficace, sans pitié, la répression idéologique contre les dissidents caractéristique des gauchismes possesseurs de la seule et unique vérité.
Cela n’est pas nouveau, nous avons l’expérience du classement de RR et de RL, c’est l’anathème assuré ! Et il n’y a pas que RR et RL…
Toujours devant mon poste TV sur LCI, un autre GJ moins bien habile que le premier, y est totalement mis sous cloche, pour ne pas dire ridiculisé, sous la menace de l’amalgame avec l’ED ! Il n’est pas en mesure de leur renvoyer dans la figure leur identité dans la vision politique des médias, conforme avec celle des politiques de « bonne teinte » de l’oligarchie, leur amalgame à l’antisémitisme comme si les 11 derniers crimes antisémites étaient le fait de leur désignée ED, leur silence, à la rigueur leurs timides protestations, face aux menaces reçues par Zineb El-Rhazoui…

Cette répression s’est illustrée par la mise à pied d’un chercheur du CNRS engagé auprès des Gilets Jaunes.
Et il n’est pas le premier, ce ne sera pas le dernier !
Prêt à faire la liste de tous les cas que vous avez relevés ou que vous relèverez…

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5 Commentaires

  1. Encore un secteur bouffé par le syndicalisme gauchiste destructeur comme la déséducation nationale ou la justice politique. car tout licenciement passant par les syndicats si le chercheur n’a pas bénéficié d’un soutien des organisations c’est qu’il n’entrait pas dans les critères.
    c’est comme cela que l’on sait que la gauche ne soutient pas le mouvement des GJ et non pas par les déclarations médiatiques d’un Mélenchon ou d’une Besancenot

  2. je dois alors avoir le 1er cas , dans ma ville, car il y a dix ans un chercheur avait été licencié car il avait dit des choses à la presse , qu’il n’avait pas le droit de dire , oui oui , il me faut retrouver l’article car cela avait fait un tollé ,( un petit tollé ) , car il n’était pas du tout bien pensant ! mais c’est vrai que cela avait surpris dans ma campagne ( 130000 h ) !

  3. Il n’est pas mis à pied. Il est convoqué à un entretien. Comme l’indique la lettre qu’il a lui même publié.

  4. Quant on voit le nombre de « chercheuses » universitaires payées exclusivement pour les fumeuses « études de genre », et qui ont réussi à imposer l’écriture inclusive dans les universités ! Des universitaires qui détruisent la langue française, et tous les autres profs de fac, tous les recteurs d’université les laissent faire, les approuvent, ils sont lamentables !!!

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