France : Gilets Jaunes contre la partition du pays
Un évènement aussi complexe que celui des Gilets Jaunes, renvoie à une multitude de causes. Nous essayons, dans chaque article, d’explorer l’une d’entre elles.
A la suite de la victoire de la France dans la coupe du monde de football en 1998, il s’est produit un phénomène extraordinaire.
Dans le discours de la plupart des dirigeants, de droite comme de gauche, la représentation qui a été faite du peuple français a changé. Le peuple français a été saisi à partir du triptyque « Black-Blanc-Beur. »
Comme si brutalement le « vieux peuple français de souche », celui que le général de Gaulle définissait comme étant de race blanche et de religion chrétienne, avait tout à coup disparu, coincé, noyé entre les « blacks » et les « beurs ».
Les partis politiques ont fait de l’idéologie du métissage le fait sociologique majeur de la société française. Le relativisme culturel, le multiculturalisme, le rejet des traditions chrétiennes, la place centrale accordée à la religion islamique…accompagnèrent cette immense mutation dont nous subissons aujourd’hui le contrecoup.
La partition idéologique a précédé la partition territoriale du pays.
Aux yeux de nos dirigeants, le pays a été fantasmatiquement divisé en deux :
D’un côté les « jeunes », donc l’avenir ;
De l’autre les « vieux cons », c’est-à-dire les Français de souche.
Le « Français de souche » n’était plus qu’un « Dupont Lajoie », un « franchouillard », une survivance folklorique teintée de racisme. Cette France présentée comme « moisie », vague survivance d’un monde en voie de disparition a été reléguée dans une sorte de basse-fosse idéologique estampillée « populiste, extrême-droite ». « Français » se mit ainsi à rimer avec « infâme », ringard, has been…
Les Partis politiques classiques firent de l’immigré musulman, le fameux « jeune » le noyau dur du « nouveau peuple français ». Parti communiste et parti socialiste devinrent les défenseurs inconditionnels des « banlieues » et de l’islam. L’immigré devint un« intouchable » et jusqu’au crime de sang, il bénéficie de l’impunité la plus totale. La droite traditionnelle, centriste et gaulliste réunies, (Giscard, Chirac et Sarkozy en tête de peloton) ont accompagné le mouvement d’humiliation du peuple français et fait de la promotion de l’islam et des immigrés leur cheval de bataille. (Cf. contrat signé en 1975 entre les dirigeants européens et les représentants de la Conférence Islamique : islamisation de la France et de l’Europe contre approvisionnement en pétrole. Ce point sera examiné dans un prochain article).
Toute remise en cause de cette doxa fut assimilée à du racisme et sévèrement condamnée. Les attentats terroristes meurtriers, tous imputables à des musulmans dits radicalisés, ne changèrent rien à cette approche. Il ne fallait pas faire « d’amalgame », traduisez : il ne faut pas « penser » ou « réfléchir » au phénomène du terrorisme islamiste, ni à celui de l’islamisation rampante du pays. Il faut le subir passivement et apprendre à vivre avec, sans manifester ni haine, ni colère. Kleenex et bougies.
Comment on créa deux France que l’on opposa l’une à l’autre.
Au terme de ce processus de mutation ultra rapide, la France oublia qu’elle était une République indivisible et laïque. L’islam fut promu au rang de nouvelle religion d’Etat et les musulmans considérés comme le nouveau peuple français.
Juifs et Chrétiens qui étaient les victimes collatérales de cette irruption brutale de l’islam politique (pléonasme), sont invités à souffrir en silence et à protéger leurs « frères musulmans ». Traduisez : à déménager, à leur laisser des pans entiers du territoire national.
Mais, tel est pris qui croyait prendre. La vaste manœuvre de division du peuple a échoué. La grenade est en train d’exploser dans les mains des dirigeants.
Cette idéologie mortifère a engendré une rupture radicale entre les dirigeants et le peuple. Les élections présidentielles de juin 2017, ont sonné le glas des partis politiques traditionnels.
Assuré de sa toute puissance, ivre de son incroyable victoire, drogué à l’idéologie « progressiste » « tiers-mondiste »…Emmanuel Macron a cru bon d’inscrire la représentation idéologique délirante « Black-Blanc-Beur », au cœur de la machine du pouvoir.
Pour lui, cela est très clair, la France ce sont avant tout les Français issus de l’immigration.
C’est avec eux qu’il s’affiche lorsqu’il va à la rencontre des Français ou lorsqu’il leurs ouvre la porte de l’Elysée.
Pour Macron, comme pour les « bobos » et les technocrates de Bruxelles, les Français de souche appartiennent au passé. Il suffit d’attendre qu’ils meurent, et pour cela, les endormir, les anesthésier avec la pseudo-solidarité nationale fondée sur la charité sociale. Le programme gouvernemental est simple : il faut que tous ces vieux franchouillards crèvent seuls dans leur coin. Comme ils ne bougent pas, on peut les charger, les taxer toujours plus. C’est eux qui vont supporter le coût des obsèques de la France. C’est eux qui vont financer la machine migratoire destinée à les détruire. Taxons-les à mort.
Comment l’idéologie pro-immigration, pro-islam est en train d’exploser.
Acte 1- L’expulsion par le peuple du voyou du Palais.
L’Affaire Benalla résonna en plein été comme un coup de tonnerre, ébranlant cette représentation délirante qui avait acquis rang de vérité officielle depuis 1998. Symboliquement : sacralisé par l’onction présidentielle, le voyou de banlieue donne des ordres aux préfets de la République. Insoutenable spectacle. Renversement des valeurs. Destruction des hiérarchies. Retour à l’arbitraire féodal.
Acte 2- Expulsion par le peuple des usurpateurs officiels.
Le mouvement des Gilets Jaunes n’est que le deuxième acte de cette pièce qui se joue sous nos yeux. La révolte des Français est en train de faire exploser cette construction fantasmatique d’une France Blacks-Blancs-Beurs opposée à la France des « tradits ».
Le peuple français est massivement descendu dans la rue. Il a administré la preuve qu’il n’était pas encore mort, qu’il existait toujours, qu’il entendait vivre et transmettre à ses enfants l’héritage reçu.
Ce qui frappe dans ce mouvement, c’est la jonction des vieux et des jeunes. La diabolisation-exclusion des vieux a échoué. Les Français sont réconciliés avec eux-mêmes. Le jeune rejoint le vieux. Le retraité défile avec son fils, son petit-fils. L’unité du peuple de France est restaurée. Le pouvoir a perdu la partie. Sa machine de division est enrayée. Les jeunes issus de l’immigration qui se sentent français, qui sont parfaitement intégrés, rejoignent le mouvement.
Le peuple français fait tout à coup irruption sur la scène de l’histoire en renouant spontanément avec les traditions, avec lui-même. Ses divisions sont surmontées. On chante la Marseillaise dans les rangs des Gilets Jaunes ; on évoque volontiers 1789 ; on agite des drapeaux bleu-blanc-rouge. La joie est sur les visages, car tous ces gens sont sortis de leurs isolement, ont établi entre eux une vraie solidarité, se parlent, communiquent.
La classe politique tétanisée observe le phénomène sans savoir que dire, que faire. Le Parlement n’est même pas réuni en session extraordinaire. Comme si la représentation nationale avouait qu’elle n’existait pas, ne servait à rien.
Elle sait que lors des prochaines élections elle sera balayée. Car c’est son œuvre mortifère que les Gilets Jaunes sont en train de détruire.
Les élus réalisent que cette France des Gilets Jaunes ne se reconnaît plus en eux ; que ces élus dans leur ensemble sont les porte-paroles d’une France fantasmée qui n’existe que dans la tête des idéologues de sciences-po et consorts.
Le peuple français en tant que réalité historique, sociologique, culturel, avait disparu de l’horizon des « élites ».
Pour l’idéologie dominante, l’affaire était « pliée » : la France avait changé de peuple.
Cette croyance est en train de voler en éclats.
Le pouvoir est confronté à un drame. Il doit choisir son « peuple ». Il doit revenir à la réalité. Respecter les principes républicains qu’il bafouait et bafoue sans cesse.
L’ex-président Hollande craignait la « partition », le partage du pays. Cette partition est devenue réalité avec l’extension continue des zones de non-droit, c’est-à-dire des territoires entiers livrés à la canaille islamiste. Elle avait été préalablement réalisée dans le champ de la représentation, du discours politique.
La grave crise actuelle des Gilets Jaunes n’est que la traduction dans la sphère du politique de la partition territoriale du pays. Le pays est bien coupé en deux et territorialement et culturellement et maintenant politiquement.
Acte 3- Violence ou élection ?
De qui le président Macron est-il l’élu ? Telle est la question qu’il doit se poser.
Est-il le représentant du peuple français, donc des Gilets Jaunes dès lors que ces derniers ont le soutien massif des Français (plus de 80% selon les sondages).
Tenter de salir le mouvement, par la violence policière ou idéologique (faire croire qu’il ressemble aux émeutes fascistes de 1934) est une fuite en avant aussi dérisoire que méprisable et qui se retourne contre ses instigateurs. La violence prouve que l’Etat est impuissant à garantir la sécurité des Français, à garantir leur droit à manifester.
Si Macron est l’élu du peuple français, alors il doit redonner la parole au peuple et pour cela, dissoudre l’Assemblée Nationale.
Il n’y a pas d’autre sortie de crise possible.
Acte 4- Les élections européennes.
Soit le gouvernement prend acte de la bévue de toute la classe politique depuis une quarantaine d’années, et accepte de s’en remettre au peuple en provoquant des élections; soit il persiste dans ses errements et s’enferme dans un processus de pourrissement-répression sans fin.
S’il opte pour cette dernière solution, (il n’est pas certain que les forces de police le suivent longtemps sur cette pente car les policiers sont d’une part épuisés et d’autre part ont des parents-gilets jaunes), si le gouvernement choisit la violence contre le peuple, alors la rupture élus-peuple sera irréversible.
Car dans les périodes de crise, la prise de conscience va très vite. N’est-on pas passé en quelques jours, d’un mouvement ciblé contre les taxes sur l’énergie à une mise en cause du pouvoir dans sa globalité ?
Encore quelques coups de matraques, et les Français pointeront du doigt les vrais responsables : les technocrates européens. C’est l’Europe qui sera rejetée massivement.
La grande question que se posent tous les observateurs est : que vont faire les Français lors des prochaines élections européennes ? Si Macron n’éteint pas le feu, alors la France va rejoindre le camp de l’Italie, et celui du groupe dit de Visegrad.
Les Français vont-ils reprendre les destinées de l’Europe en main ? Les peuples européens vont-ils enfin se saisir du pouvoir qu’ils avaient bien imprudemment délégué aux « fossoyeurs des nations » ?
Macron et les siens ont oublié le sens du mot « patrie », du mot « nation » ; enfermés dans leur tour d’ivoire, coupés des réalités du peuple, ils ont perdu le goût…cette saveur particulière que tous les Gilets Jaunes ont au bord des lèvres et que décrit Jean Jaurès :
«A l’intérieur d’un même groupement […] il y a forcément chez les individus, même des classes les plus opposées ou des castes les plus distantes, un fonds indivisible d’impressions, d’images, de souvenirs, d’émotions. L’âme individuelle soupçonne à peine tout ce qui entre en elle de vie sociale, par les oreilles et par les yeux, par les habitudes collectives, par la communauté du langage, du travail et des fêtes, par les tours de pensée et ces passions communs à tous les individus d’un même groupe que les influences multiples de la nature et de l’histoire, du climat, de la religion, de la guerre et de l’art ont façonnés. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
https://www.dreuz.info/2018/12/03/france-gilets-jaunes-contre-la-partition-du-pays/
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Bravo pour cet article!!! Excellent.
Je crois hélas qu’il en faudra plus pour réellement changer les choses. Les « élites mondialistes » ont plusieurs tours dans leur sac. Ca fait plus de 40 ans que la pieuvre étend ses tentacules et resserre son emprise, colonisant les esprit et déformant même le langage. Les gilets jaunes ont gagné un point, mais ils ne doivent pas lâcher l’affaire.
Oui, tout ceci est bien triste, mais plutôt que de penser à ce qu’il pourrait advenir de la France et des Français ne serait-il pas mieux d’être prévoyant en envisageant une stratégie avec nos faibles moyens. Par exemple en développant un thème (les gauchos collabos l’on bien fait) par exemple en évoquant partout que les principaux responsables répertoriés de toutes ces souffrances seront jugés et condamnés le moment venu sans qu’aucun d’eux ne soit épargné. j’espère bien que se sera au programme, il ne sera pas question de lambiner et de tergiverser là dessus, nous y comptons bien. Je pense, a moins que vous soyez d’un avis contraire au mien que rien que cette information répétée et sans cesse renouvelée partout pourrait les paniquer et les ramener lentement a de meilleurs sentiments dans la perspective de sauver leur peau. J’aimerais savoir ce que vous en pensez, et si certains d’entre-nous puissent avoir une meilleure idée. En tout cas, moi s’est ce que je proclame partout : « Les traites payeront d’autorité le moment venu »
Merci pour cet article très vrai , on ressent chez vous une grand passion pour le peuple Français.
J’espère que macron se fera éjecter mais je me pose de plus en plus la question de la pertinence d’organiser des élections dans un pays qui comporte de plus en plus de zones de non droit. Quid des bureaux de vote à proximité de lieux tenus par des dealers et des islamistes? Et de plus dans des communes communistes!!!
Il ne faut pas être naïf ! Est-ce que l’on ne va pas être obligé de faire venir des observateurs étrangers pour controler la régularité des votes? Ce serait une honte pour un pays qui donnait des leçons de démocratie à la terre entière mais qui a force d’immigration imposée nous transforme en république bananière!
Exactement, ceux qui espèrent que des élections vont tout changer sont un peu simplet car il ne faut pas oublier que le macaron et toute sa troupe ont bien été élus, et qu’ils seront réélus une seconde fois. Car les mous, les traîtres et les non français sont toujours là et voteront…
Et voter pour qui ? même le RN ne pourra pas redresser complètement la barre.
Vous avez raison.
Je me suis d’ailleurs toujours posé la question sur la possibilté de manipulation dans les petits bureaux de vote où les personnes présentes, bien que de couleur politique différente, ont comme dénominateur commun le « barrage » au FN…
Alors dans les banlieues-casbahs n’en parlons pas !!!…..
A la citation de Jaurès reprise par Dreuz dans son excellent billet, je préfère la suivante qui me semble bien traduire notre communion d’esprit avec nos gilets jaunes et qui décrit bien le lien fraternel qui est en train d’être détruit sous nos yeux : « A celui qui n’a rien, la patrie est son seul bien « …
Très curieusement, cette citation a été supprimée de pratiquement tous les sites recensant les citations de ce grand humaniste#.
Sans doute trop « France moisie » …
#Je préfère ce terme à celui de socialiste !
La manipulation, s’il y a eu, a plutôt eu lieu dans les grandes agglomérations, pas dans les petits bureaux de vote. Pour preuve, dans ma commune, j’ai tenu le bureau de vote une bonne partie d’après-midi, je suis allé au dépouillement le soir et les bulletins étaient là, pour macaron.
Mais à mon avis, la vraie manipulation a eu lieu avant, avec le concours de la simplicité ou faiblesse d’esprit des gens qui ont « bien » voté comme le dirait manu valls(euses)…
Il suffit de regarder, quelles communes ont les pires salop*ries ? Les grandes villes, toutes. Les gens y sont majoritairement mous, sans volonté, sans patriotisme, dévoyés, ne pensant qu’à la pinte de bière qu’ils boiront en terrasse le soir… Y’a pas de raison qu’ils ne votent pas pareil pour un président que pour un maire.
Bonjour,
Les médias bobos avaient préparé de longue date la candidature de Macron.
Je me souviens de reportages élogieux sur Macron dans le « Nouvel Obs » bien avant qu’il ne joue un quelconque rôle politique étant, alors, seulement fonctionnaire au Trésor …
Je vous rejoins complètement, ce sont les médias qui font les élections, comme ce sont les médias qui rendent la justice. Un accusé devient coupable avant même son jugement à partir du moment où les médias le présentent comme tel. Idem pour les élections.
Je ne m’en souviens pas, en même temps je ne lis pas beaucoup ces journaux, mais je n’ai aucun mal à le croire.
sauf que cette analyse ne prend pas en compte les 75% d’abstentionnisme qui pourrait fausser ka donne si les gilets jaunes après un peu de réflexion devient un parti.
La dissolution de l’AN n’est pas une solution car toutes les voix des mondialistes et des migrants soutiendront Macron. De plus, la bourgicaillerie voyant ses intérêts menacés par la Révolution en route, cherchera à maintenir en place le gouvernement actuel. Donc, s’il y a dissolution, il y a de grandes chances d’arriver, comme en mai 1968, à un raz-de-marée LREM dans le but de « maintenir l’ordre ». De plus le gouvernement envisage d’utiliser l’armée ce qui selon un général ouvrira la porte à un bain de sang. https://www.europe-israel.org/2018/12/manifestation-gilets-jaunes-du-8-decembre-lancien-general-desportes-met-en-garde-contre-un-recours-a-larmee-qui-serait-un-risque-certain-de-sang-verse/
Enfin, les islamistes des banlieues sont déjà hyperarmés et prêts à prendre le pouvoir, sinon d’obtenir dans un premier temps la partition. Il n’y a donc aucune solution politique au problème. Pour avoir eu l’expérience de la guerre révolutionnaire à Oran en 1961-62 (Macron n’était pas né) entre le Peuple face aux les forces gouvernementales oppressives et aux arabes, je pense que c’est ce qu’il risque de se passer à Paris. Samedi dernier, face à l’ampleur du mouvement, 70.000 policiers et gendarmes ne suffisaient pas, et le gouvernement ne pouvait pas faire plus. Alors si des millions se soulèvent, ce sera plié, à fortiori si on distribue fusils d’assaut et lances-roquettes à des gens qui n’ont plus rien à perdre d’autre que leur petite peau, et tout le monde aura compris le film. De plus, si Macron s’en va, il y aura une guerre pour le pouvoir entre nationalistes et islamistes. La révolte des GJ est tellement forte qu’elle démarre à l’entrée de l’hiver sans même avoir attendu les beaux jours, c’est que l’affaire est sérieuse. Observons l’évolution de ce mouvement sur le mois à venir, et il y a de grandes chances que l’hiver sera « mouvementé » car les gens ne sont plus dupes des politicaillons qui les ont arnaqués. Analysez les forces en présence et vous verrez ce qu’il pourra arriver.
l’armée au contraire éviterait le bain de sang qui va se produire si les gauchistes et racailles continuent de fausser le mouvement et s’il faut se battre contre les racailles il faut le faire avant qu’elles soient trop nombreuses grâce à Marrakech
TOTALEMENT d’ACCORD AVEC VOUS !
Certains, dont Emmanuel Todd, craignent le coups d’Etat qui s’annonce.
Coup d’Etat ou non, je ne vois pas revenir l’ordre et la stabilité sans la présence de l’armée au gouvernement.
Les seules craintes que l’on peut avoir c’est que l’armée ne prennent pas en charge, provisoirement, le gouvernement de la France ; ensuite, dans le cas où en effet l’armée viendrait aux affaires de notre pays pourrons-nous compter que l’Etat Major soit réellement au service de la France et des Français, pour la souveraineté de notre pays ? Que ce ne soit pas un coup communiste….
Notre armée a-t-elle les moyens matériels et humains pour mener à bien ce salut de la France ? Si ce pouvait-être vrai ; on lui devrait beaucoup et les générations futures aussi.
Dans le remaniement il est impératif de revoir à la hausse le budget de l’armée, de la recherche et de l’industrie ; réindustrialiser la France et refaire une santé florissante à notre agriculture ; les premières urgences vitales.
Autre question, la fiabilité des troupes composées de beaucoup de français récents extra européens ???
@Marcher sur des Oeufs
« Autre question, la fiabilité des troupes composées de beaucoup de français récents extra européens ??? »
Vous concluez par une question avec 3 points d’interrogation, la question clée du problème: qui est majoritaire dans l’armée? Les nationalistes où les mondialistes avec les islamistes?
Maintenant il n’est pas certain que le gouvernement actuel se retirera car il est en position de force sur le plan politique, tient l’appareil d’état, et peut compter sur les mondialistes et les islamistes pour mener la guerre civile.
Par contre je conviens que l’ordre et la stabilité ne viendront pas par la voie politique mais par un totalitarisme, mais je rappelle qu’en 1962 à Oran les couvre-feux, Loi martiale et autres applications de l’article 16 de la Constitution, n’ont arrêté en rien la guerre civile. Quand les gens sont au bout du rouleau et n’ont rien à perdre d’autre que leur petite peau, même l’armée ne les arrête pas, et le sang continue à couler car ils tuent les militaires. De plus actuellement, aucun parti politique n’a de solution réaliste, même si certains journalistes voient arriver le RN au pouvoir. L’Armée au gouvernement serait obligée de prendre des positions politiques dans tous les domaines, du côté nationaliste ou du côté des mondialistes et des islamistes, en supposant qu’elle ne se scinde pas en deux parties, mais dans tous les cas, elle n’arrêtera pas la guerre civile qui est en route. D’un côté elle se discréditerait en tirant sur les FDS qui crèvent de la misère, de l’autre elle devrait faire face aux islamistes hyperarmés prêts à la confronter pour prendre le pouvoir. L’hiver risque d’être rude. Je maintiens qu’il faut observer l’évolution sur le mois de décembre pour voir se préciser les positions respectives, et les rapports de forces.
Bonsoir @Asher Cohen ;
Merci pour ces précisions. Vous avez répondu aux questions que je me pose, ou que je ne me pose qu’à demi, car il y a bien longtemps que je pense qu’en effet ce que vous décrivez sera malheureusement l’issue.
Mais en fin de compte, quand tout se terminera et que les choses rentreront en ordre ; les gens auront-ils compris la leçon ? En auront-ils tiré des enseignements? Ou allons-nous rebâtir sur des mensonges pour asseoir des politiques totalitaires, faussement qualifiées de « démocratiques » ? L’histoire est écrite par les vainqueurs ; cette réalité a beaucoup servi ceux qui ont gouverné la France depuis la seconde guerre mondiale et l’ont menée à sa perte, celle d’aujourd’hui.
Pauvre France ! qui ne connaît pas encore le début de son martyr à venir.
A vous lire on pourrait penser, que rien ne sera gagné jusqu’au dernier jour de cette guerre civile qui durera malheureusement. Et comme vous le soulignez, malheureusement aussi, les musulmans sont armés, très armés même, d’armes en tous genres et d’un nouveau genre, type, acide, ballon inflammable, …. et malheureusement pour nous, mais grâce à ceux qui nous ont gouvernés ces dernières décennies ils sont très, très, très nombreux et extrêmement motivés avec en plus le goût de la mort.
Alors ? Demain ; quand même musulmane la France ? Si nous devons perdre que ce soit en combattant !
Nos zélites ont préparé un bel avenir pour nos enfants et les générations futures. Bravo à ces donneurs de leçons, ces moralisateurs, ces Torquemada ; bravo à ces collabos !
Ils n’ont pas oublié ce que veulent dire « nation » et « patrie », bien au contraire, vu tout le mal qu’ils se donnent pour essayer de les détruire.
Il ne reste plus qu’au peuple de remettre les choses en place si ce n’est déjà pas trop tard ! L’islam est bien encré dans le pays et infiltré à tout les niveaux. Le pays dépense à tort et à travers. Il n’y a aucun contrôle des dépenses, le gouvernement est là uniquement pour augmenter les taxes et les impôts, le pays est tout simplement à l’abandon ! Et maintenant, le président, au lieu de s’occuper de son pays, il se prépare à signer un accord sur l’immigration illimité chez ceux qui nous envahissent. C’est la signature de notre disparition !
La rupture «élites» auto proclamées de science pute ou autre ENA est consommée depuis longtemps.
Le Grand Charles (Karl der gross, dit Charlemagne, en France, pas le récent) avait créé l’Ecole Palatine avec des jeunes des banlieues pour instruire des Ben Halla et autres joueurs de poker de Manosque ou des Guérini (parent du Mémé, le pote à Gaston Deffère?) pour lutter contre l’influence de la noblesse d’épée qui défendait l’Empire contre …. les sarrasins.
Il ne manquait plus que le mur des cons pour afficher la morgue des «chevaliers es lois». Les successeurs de Nogaret viennent de finir de trucider les derniers Templiers.
Magnifique article, merci.