Sophie Mazas, avocat d’une famille de Lunel, exige le retour des enfants de djihadistes en France

 Sophie Mazas, avocat d’une famille de Lunel, demande le retour en France de Nihad et Salman, deux enfants musulmans âgés de 9 ans et 2 ans et demi, qui sont retenus depuis juin 2017, avec leur mère d’origine Lunelloise, dans un camp de rétention kurde au nord de la Syrie. Un camp où s’entassent les familles de djihadistes de Daech emprisonnés à proximité.

Lunel est une petite ville de province rongée par l’islamisme avec plusieurs réseaux terroristes démantelés ces dernières années et des dizaines de jeunes partis faire le djihad au Moyen-Orient. Lunel voit fleurir de nombreuses mosquées radicales en son sein et cette ville a fourni d’importantes recrues à l’Etat Islamique.

Au micro de France Bleu Hérault le 6 novembre dernier, Sophie Mazas a insisté sur les problèmes sanitaires et d’alimentation auxquels seraient confrontés les enfants de djihadistes. La mère de Nihad et Salman a volontairement quitté la France avec son premier enfant il y a trois ans pour rejoindre la Syrie. Elle a accouché de son deuxième enfant sur place. Mais au vu des conditions extrêmement dangereuses au Moyen-Orient et des risques en matière de sécurité, cette mère de famille souhaite que ces deux enfants reviennent à Lunel.

 Sophie Mazars insiste sur le fait que les enfants sont des êtres vulnérables qui sont en construction et qui doivent être protégés. Selon elle, les enfants ne sont pas responsables du choix de leurs parents et doivent être rapatriés en France par le Quai d’Orsay. Elle évoque aussi les traumatismes de guerre sur ces enfants qui doivent retrouver au plus vite un cadre de vie normal dans leur pays d’origine.

A l’écoute du plaidoyer de cette avocate, on constate que les parents partis faire le djihad sont à la fois excusés et déresponsabilisés de leur choix, à savoir celui de rejoindre une organisation terroriste en guerre avec la République française et qui a ensanglanté la France dans les attentats. Ces parents djihadistes ont volontairement soustrait leurs enfants du territoire français pour refaire leur vie familiale au sein des rangs de Daesh. « L’intelligence avec l’ennemi » est sévèrement punie par le Code Pénal français et ne prévoit pas le rapatriement des enfants enrôlés dans les factions du camp adverse.

Nous préférerions que tous ces ténors du Barreau prennent plutôt la défense des enfants des victimes des attentats islamiques perpétrés en France. Des enfants dont les parents sont morts dans ces attaques sanglantes et dont la vie est à jamais détruite du fait de la violence de l’islam.

 

Note de Christine Tasin

La question posée par l’avocat Mazas est intéressante, c’est un enjeu de civilisation majeure. Ils voudraient tous que nous devinssions comme les Anglo-saxons qui privilégient l’individu aux dépens de l’Etat, du pays, du bien commun… On le voit bien avec l’exemple typique du voile, revendiqué comme une liberté de l’individu, sans se soucier de ses conséquences sur l’Etat et les autres femmes.

Certes, ces enfants ne sont pas responsables des fautes de leurs parents, mais…

Mais ce qu’ils ont vu, entendu, vécu… notamment l’aîné, pendant toutes ces dernières années ne peut que les avoir marqués. Et l’attachement à la mère dont ils seraient séparés si ils revenaient en France aurait de très grandes chances de faire d’eux des djihadistes, des terroristes dans notre pays, très vite. Si vous mêlez dans un chaudron l’amour de la mère, l’empreinte du milieu djihadiste, ce qu’ils ont entendu et vu à propos de l’islam comme modèle de vie, l’envie de venger une mère emprisonnée… Il y a là un cocktail explosif.

Nous nous trouvons une fois de plus, avec l’islam – et les gauchistes qui les défendent – devant une opposition claire entre le bien commun, l’intérêt commun, et l’intérêt de l’individu.

L’intérêt des rejetons des djihadistes est qu’ils soient en France. L’intérêt des rejetons des Français et donc de la France est que les enfants de Djihadistes soient maintenus à l’étranger. 

Cela s’appelle la res publica, cela s’appelle la tradition française, venue tout droit de la République romaine.

Que l’on se rappelle Titus Manlius Torquatus, consul romain qui a condamné à mort son propre fils pour avoir privilégié son intérêt, sa propre gloire, aux dépens de la sécurité de son pays.  Rome est en guerre, il a été décidé de rétablir et appliquer les vieilles lois de la guerre et la discipline militaire, toute désobéissance est donc passible de la peine de mort. Il est notamment interdit aux soldats d’attaquer l’ennemi en-dehors des rangs. Or, le fils du consul, cherchant la gloire, attaque un ennemi et le vainc. Mais il a désobéi aux ordres, si chaque soldat en fait autant c’est tout Rome qui risque d’être battu, envahi…. On ne prend  pas le moindre risque au nom de l’individu… Seul compte l’intérêt commun.

Dura lex, sed lex.

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12 Commentaires

  1. Ces gamins sont les futurs ennemis de la France. Qu’ils restent là où ils sont ! Il y en a déjà assez en France comme ça!

  2. elle et conne ou quoi ? il vont faire quoi c merde un peut plus âgés ? qu’ils reste la ou ils sont et surtout interdiction de mette une babouche sur le territoire francais a vie !!!!

  3. La Sophie Mazas, je lui souhaite une rencontre, le soir, au coin des bois,
    toutes ces salopes vendues à l’islam, s’il y en avait moins, on aurait moins de problèmes

  4. « Famille luneloise »… Quand on a un peu marché dans les rues de Lunel on devine aisément de quel genre de faune il s’agit.. Elle a choisi le camp de ceux qui détestent la France et maintenant qu’elle est dans la merde elle vient pleurer pour que la France recueille ses chiures de merde; rejetons qui peut être iront égorger un ou deux kouffars plus tard histoire de bien montrer où est leur préférence nationale.. Non mais on rêve là, qu’ils restent chez leurs chers jihadistes et qu’ils crèvent elle et ses marmots

  5. C’est curieux !
    J’ai lu ou entendu quelque part que l’Etat français avait décidé, tout récemment, de « rapatrier » ces enfants de djihadistes …
    Ce terme me paraît inconvenant.
    Sauf erreur, le verbe « rapatrier » contient bien le substantif « patrie »?
    Ces enfants issus de parents ennemis de la France et de notre civilisation ne bénéficient d’aucun droit à être ramenés dans un pays qui n’est plus leur patrie !
    Néanmoins, les assoces auraient déjà réussi à en ramener en France plus de 70 ??!!…
    Mais combien cela peut-il coûter aux CONtribuables ??!!!….
    Is n’ont qu’à se faire rapatrier dans les orphelinats d’Irak, de Syrie, ou de l’EI et consacrons plutôt nos impôts à venir en aide aux nôtres dont la vie a été brisée par d’odieux attentats de ces abrutis de dieu.
    Le reste…Je m’en tape !

  6. Ces enfants sont aussi dangereux que leurs parents , celui de 2ans 1/2 peut à la limite être sauvé, mais ne séparons pas les enfants des parents ! Ce serait un crime !

  7. Pas de cette denrée là chez nous.
    La pouffiasse islamisee qui nous voulait du mal à choisi d’ouvrir ses cuisses à un taré……. Ce n’est certes pas au peuple de  » kouffars » et d’infideles de payer pour nourrir et éduquer ses chiards.
     » on ira vous conquérir avec le ventre de nos femmes……. Et les vôtres avec  »
    Houari Boumedienne 💣💥

  8. Moi j’exige qu’elle les prenne intégralement à sa charge jusqu’à leur majorité.
    Là, ça me va.

  9. Je n’aurai aucune pitié pour ces racailles terroristes ils ont faits leurs choix en quittant ce pays pour adhérer à daech , pour nous qui avons perdu des proches et amis dans les attentat il n’y aura jamais de pardons..et si leurs enfants succombent en Syrie et en Irak t’en mieux , ils ne deviendront pas des terroristes potentiels comme leur parents.

  10. qu’on les laisse crever!
    la bonne question serait: si c’était des blancs européens qui soient dans ces camps et des djihadistes qui en auraient les clefs que se passerait il?

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