L’Europe a déjà l’ EuroGendFor .
A propos d’armées secrètes ou de troupes d’intervention policière secrètes. Elles existent depuis longtemps dans l’UE, mais peu de gens le savent.
La troupe policière de l’UE existe depuis longtemps – et elle dispose de larges pouvoirs ! Actuellement, c’est une « troupe d’intervention spéciale » forte de 3000 hommes ( !) sous le sigle difficile à prononcer « Eurogendfor » (European Gendarmerie Force/troupes de police européennes). Le commandement se trouve à Vincenza en Italie, loin du siège de l’UE !
Ce corps de police a été créé à l’initiative de l’ancien ministre de la Défense française Michèle Alliot-Marie, pour réprimer à l’avenir plus facilement les manifestations qui dégénèrent toujours à nouveau dans les villes françaises.
Le grand problème est le suivant : Eurogendfor va à l’avenir réduire au niveau européen le droit national et la souveraineté nationale des Etats-membres de l’UE ! Un « conseil de guerre », qui se compose des ministères de la Défense et de la Sécurité des pays de l’UE participant à l’Eurogendfor et du pays concerné, décidera de l’intervention dans un Etat-membre de l’UE – voilà comment est réglementée la nouvelle troupe policière de l’UE dans le « document constitutif » dénommé Accord de Velsen (NL).
Car, si une intervention à l’intérieur d’un pays « ami », membre de l’UE, est une fois décidée, tous les bâtiments et zones occupés par des unités d’Eurogendfor, jouissent de l’immunité et ne sont plus accessibles pour les autorités du pays concerné. En fait, il s’agit d’un droit d’occupation par l’UE. Mais il y a pire : l’Eurogendfor ne dispose pas seulement dans le cas particulier de compétences policières mais aussi de compétences qu’ont les services secrets et elle a le devoir de réinstaller l’ordre et le calme dans la zone d’intervention concernée en collaboration étroite avec l’armée !. En cas de besoin, les troupes doivent avoir à disposition toutes les autorisations et tous les moyens pour remplir leur mandat.
Eurogendfor résout divers problèmes pour les gouvernements européens. A l’avenir, ils pourront, lors de troubles sociaux ou de manifestations majeures de longue durée, utiliser des armes à feu contre leurs populations, mettre des zones entières sous quarantaine militaire et retirer les meneurs de la circulation sans avoir à engager leurs propres forces militaires ou policières qui pourraient éventuellement se solidariser avec les manifestants. L’Eurogendfor de son côté, ne pourra pas être poursuivi en justice grâce à ses autorisations exceptionnelles, civiles et militaires.
Notons que ce n’est que grâce au Traité de Lisbonne – qui n’est rien d’autre que l’ancienne « Constitution européenne » controversée sous un nouveau titre – qu’une telle situation incroyable à pu être instaurée. Grâce au jugement du Tribunal constitutionnel suprême, les politiques allemands, qui ont soutenu ce traité douteux à la quasi-unanimité au Bundestag, auront à l’avenir le droit d’être entendus. Un homme politique allemand, ramené à la réalité, déclare lors d’un entretien privé : « On s’amusera bien au sein de l’Eurogendfor quand à l’avenir l’état d’urgence sera imposé dans les centres chauds de Bottrop ou Neukölln en Allemagne fédérale. »
source : Vertraulicher Schweizer Brief du 23/1/10
Blog médiapart du 30 OCT. 2014
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meri pour cette très précieuse information qui complète la tribune initiale de Christine Tasin.
Le temps disponible de chacun étant limité, si vous n’avez pas eu le temps de cliquer sur ce lien inclus dans l’article de Mediapart cité ci-dessus …
…
La Force de gendarmerie européenne, une création récente et ambitieuse :
Une idée française, une réalisation européenne multinationale
http://www.european-security.com/n_index.php?id=5948
Et que de questions viennent à l’esprit quand on confronte cette réalité d’une autorité européenne opérationnelle déjà existante au service d’
» Une action conduite dans tout l’arc de la crise et un large spectre de missions. » ( à lire dans le texte ci-dessus ) »
avec par exemple le nombre de suicides de gendarmes, a priori totalement aberrant et absolument inexplicable, saur cas très spécifiques excluant toute raison liée au fonctionnement du service !…
Ce qu’il importe de comprendre, c’est que cette para-milice Eurogendfor a été constituée dans le but de réprimer une rébellion des Européens – et non les émeutes des immigrés !
D’ailleurs, l’Eurogendor a déjà agi – très discrètement – contre les citoyens grecs d’Aube Dorée au moment des troubles en Grèce.
Et je n’ai pas vu l’Eurogendfor pointer le bout de son nez quand des voitures brûlaient encore tout récemment, à la Toussaint…
Je veux ajouter que les hommes de l’eurogendfor ont expérimenté de nouveaux gaz contre la population grecque pendant des manifestations et ces gendarmes ont débarqué discrètement de nuit et d’après certains citoyens ceux ci ne comprenaient pas ce qu’ils disaient et croyez moi ce n’est pas le mouvement : »Aube doré » qui a morflé!!UNE HONTE CETTE EUROPE » Indignez vous comme disait l’autre!
Ils pourront compter sur les hordes de jeunes voyoux maghrébins et africains en cas de castagne contre les » locaux ».
C’est déjà le cas dans les banlieues où les Policiers et Gendarmes reculent devant les barbares à capuche.
Toute projection de parpaing, bouteille, cailloux etc. devrait être considéré comme tentative de meurtre mettant en danger la vie des forces de l’ordre et entraînant immédiatement la légitime défense.
Quel sort pour les politiques de défense franco-allemandes ?
:::: https://www.rassemblementnational.fr/communiques/quel-sort-pour-les-politiques-de-defense-franco-allemandes/
Communiqué de presse de Louis Aliot, Député des Pyrénées-Orientales
8 novembre 2018
Angela Merkel a annoncé que son quatrième mandat de chancelière serait le dernier, tout en renonçant à la présidence de la CDU pour les années à venir. Elle a aussi affirmé ne pas avoir l’ambition de commencer une carrière dans les institutions européennes à l’issue, en 2022. Cette nouvelle donne pourrait avoir quelques conséquences pour la France. Ainsi, les projets franco-allemands en matière de défense se heurtent à la question de l’exportabilité des matériels produits en commun. Plusieurs réunions récentes se seraient très mal passées, à tel point que Paris envisage de geler les projets. En outre, de l’autre côté du Rhin, les Verts et la SPD refuseraient d’aller plus loin avec la France, dont la politique d’exportation est jugée irresponsable. Le départ programmé de madame Merkel aura très certainement d’importantes conséquences sur les partenariats actuels et futurs entre la France et l’Allemagne en matière de défense. Pourtant, ni l’Elysée, ni Matignon, ni le ministère des Armées ne communiquent là dessus. Un silence qui en dit long ?