Je ne sais pas pourquoi un glandu avait tant besoin d’être marqué « présent » ( peur de voir les allocations sucrées, besoin d’un alibi pour un casse ? ) qu’il lui fallait menacer son prof d’un pistolet, à moins qu’il ne s’agisse d’un pari entre blédards haineux et hilares, mais là n’est pas mon propos.
Ce qu’il faut retenir et de l’affaire de ce professeur menacé, un pistolet sur la tête, par un élève de 16 ans pendant qu’un autre filme, et des réactions de l’exécutif ?
Il s’agit là de la métaphore de l’état de la France. Une France tenue en respect par des incultes et des barbares, soumise aux menaces et voies de fait d’une partie de la population vivant sur son sol. Une France dirigée par des zombis-dhimmis tremblants se contentant d’imprécations et de vaines menaces.
Ce malheureux prof, dont on devine, à l’attitude, qu’elle ne crie pas, qu’elle ne panique, pas, qu’elle est résignée, nous en dit beaucoup sur l’état de l’école, sur l’état de la France, sur nous.
Où est passée l’école sanctuarisée de l’école de papa, celle où n’entraient que les enseignants et les élèves, celle où il fallait montrer patte blanche pour entrer en sixième, celle d’où les a-scolaires et autres barbares étaient chassés à 14 ans afin de permettre aux autres de faire de vraies études et aux barbares d’apprendre un métier pour vivre ?
On y faisait d’une pierre deux coups. On laissait l’école être l’école, on n’y faisait pas intervenir la LDH ni la Licra pour endoctriner les nôtres, on pouvait se permettre d’exiger un bon niveau, l’école fabriquait nos élites. Les déviants qui n’avaient pas les produits de la drogue ni les prestations sociales pour vivre étaient obligés de se remuer le derrière, de se lever tôt… et de s’insérer dans la société. Système qui a permis à nombre de petits « voyous » en perdition de se rattraper aux branches, de rentrer dans le rang, d’aller à l’école du soir pour continuer des études, évoluer, changer de profession….
Hélas, cette école a disparu, corps et bien, avec la France d’avant. L’école est le miroir du pays, toujours.
Et ce professeur menacé ressemble à la France, est la métaphore de ce que nous vivons partout, et chaque jour.
Oui, ce professeur nous ressemble, et c’est terrifiant.
Oui, nous sommes dans le même état qu’elle, résignés ; ils ont réussi peu à peu à nous couper les ailes. Pour les beaux yeux du consumérisme et des jeux videos, nous oublions de penser, de dire non, de nous lever. Par le matraquage soi-disant anti-raciste et celui pour la société multi-culturelle, nous en arrivons à nous détester nous-mêmes, à nous oublier, à mépriser voire haïr ce que nous sommes. Comme ce prof qui réagit à peine, prête à être exécutée, nous montons sur l’échafaud en dansant à l’idée d’écouter Ruquier et d’acheter le dernier Iphone.
Oui, nous sommes dans le même état que ce professeur de Créteil, nous qui subissons chaque jour des menaces intolérables. Menaces d’égorgement des fous d’Allah, menaces de coups de poignard des « déséquillibrés » que nous nourrissons, menaces des caillassages, menaces des émeutes, menaces des tribunaux si on se défend, menaces des politiques avides de pourchasser la parole qui dénonce. Menaces de voir les nôtres oubliés, négligés, poussés à quitter notre pays pour faire de la place aux autres.
Mais le pire, dans l’affaire, ce n’est ni le professeur menacé, ni le Barbare et son faux pistolet, le pire ce sont nos dirigeants, castrés et soumis aux barbares faisant le contraire de ce qu’ils disent.
Leurs réactions à ce sordide fait-divers devraient les amener devant le peloton d’exécution.
(On notera en passant l’ignoble « la professeure » de l’ignoble Castaner… néologisme et faute de français dont se dispensent habilement Blanquer et Macron).
Ils commencent par inventer l’eau tiède. « C’est intolérable ». « C’est inacceptable ». « Je condamne ».
Vraiment ? Alors pourquoi le tolèrent-ils ? Pourquoi l’encouragent-ils ? Pourquoi vont-ils encore aggraver la situation par leur politique de discrimination positive, de préférence étrangère, de coercition des profs et des Français ?
« Nos policiers enquêtent ». « Garde à vue ». Comme ils doivent se marrer, les auteurs de l’agression. Ils connaissent la loi. Ils sont mineurs, donc intouchables, et deux fois plus que les nôtres parce qu’étrangers ayant, en tant que musulmans, tous les droits.
« Sanctions disciplinaires« . Ah ! Ah ! Ah ! La pire des sanctions à l’école, et elle est très peu usitée est le Conseil de Discipline… qui va décider au mieux un rappel au règlement, peut-être une mise à pied de 2 jours ( chic, deux jours de vacances ) et au pire une exclusion de l’établissement. Le dit chef d’établissement devra transpirer pendant un certain temps pour démarcher ses collègues et obtenir une place dans un autre établissement… chèrement payée par la promesse d’accueillir à son tour le prochain barbare exclu du nouvel établissement du mineur au pistolet…
« Ces faits doivent être définitivement proscrits de nos écoles ». Macron le Tartuffe a encore parlé pour ne rien dire. Et il le sait parfaitement. Ils sont déjà proscrits, crétin de Macron. Proscrit veut dire exiler mais aussi interdire. Je soupçonne Macron de jouer sur les deux sens du mot. Il sait parfaitement qu’avec sa politique laxiste, avec une école dégénérescente, avec une justice laxiste, il y aura encore des faits de ce genre et pire encore dans nos écoles. Il est incapable de les chasser de l’école parce qu’il ne le veut pas. Parce que le modèle de société qu’il veut nous imposer ( comme ses devanciers ) est incompatible avec une école où règnent respect, discipline et travail. Nécessitant, forcément, sélection. Parce que le modèle de société qu’il veut nous imposer ( comme ses devanciers ) est incompatible avec une France où l’on entre comme dans un moulin, une France où la préférence étrangère impose barbarie, désordre, violence et inculture généralisée.
Mais il faut croire que les Français n’en ont pas encore assez bavé.
Il faut croire qu’ils n’ont pas encore compris qu’ils arrivent au bout, qu’ils ne pourront plus contourner le problème en se réfugiant à la campagne, en habitant les beaux quartiers, en mettant leurs enfants dans le privé… Macron-Castaner vont accélérer le Grand Remplacement partout et amener les « Aliens » partout. C’est déjà bien commencé, bien avancé. Il n’y aura bientôt plus un seul quartier, plus une seul village de France, plus une seule école, privée ou pas, à l’abri.
Et alors là… ça pourrait bien péter.
Mais on aura payé le prix fort et la reconquête sera et douloureuse, et longue et sanglante. Parce que, en face, ils ont de vraies kalaschs. Le faux pistolet de Créteil n’était qu’une répétition de théâtre avant le grand soir.
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Beaucoup de bruits pour rien ce genre de faits divers ce passe tous les jours et dans toutes les écoles. Les médias en parlent par obligation à cause de la vidéo sur les réseaux et la tapette qui menace la prof n’aura aucune sanction. L’école n’a d’ecole que le nom ou la majorité des élèves sont hyper islamises et refusent toute obéissance à un impur avec le consentement bienveillant des élus du pouvoir des syndicats.
Quand je vois ça j’ai presque envie de donner raison à Zemmour sur l’hyper féminisation de la société qui n’aurait parait-il que des vertus !
Aujourd’hui en pleine vacance de la Toussaint nous essayons vainement d’appeler un service hospitalier composé essentiellement de femmes ; Pourquoi? La moitié du personnel est en vacance avec les enfants. Et les arrêts maladies pleuvent !Vacances scolaires obligent!
Le mercredi vous aurez aussi beaucoup de mal pour obtenir des gens disponibles dans certains services de l’administration;
Je veux dire par cela que cette femme qui me parait subir avec résignation son sort est symptomatique de cette société qui ne sait plus dire non et établir des règles simples qui admet habituellement des pratiques qui flirtent avec l’illégalité
Tout cela fait partie des sujets tabous que l’on a même pas le droit d’aborder:
La désorganisation des services administratifs ou du service public lors des vacances scolaires et les mercredi en est un .
Le mot d’ordre d’une certaine jeunesse est : »faut pas se gêner ! »
Le mieux serait que toute cette belle jeunesse « étudie » derrière son ordinateur et que le rôle de l’EN soit uniquement de distribuer des diplômes à qui les demande …
Décadence et absence de décence sont nos lots quotidiens…
Ces enfainéants ne sont-ils pas les héritiers de ceux qui chantaient « il est interdit d’interdire »?
Et maintenant, ils viennent se plaindre de ce qu’ils ont créé.
Je les comprends
Ces gens là nous détestent
Dans notre France dirigée par des donneurs de leçons
Comme Ruquier, fogiel , Muriel Robin etc
Avec un président dont je pose des questions sur sa vrai personnalité
Oui,on passe dans le monde pour des soumis y compris les insoumis qui se la pete
Quant aux profs la !!!!
Professeur bientôt à la retraite, je peux témoigner
Faux pistolet avec de vraies billes qui peuvent occasionner de graves blessures et laisser d’irrémédiables séquelles, détail vraiment pas chanté par la presse dans son vertueuse indignation.
À cette distance, imaginez les billes traversant l’oreille droite, son oeil droit, se logeant sous le cuir chevelu, traversant la joue droite et se logeant dans la bouche de la prof, … si ce dégénéré avait mis sa menace à exécution.
Pas si insignifiant que cela ledit pistolet factice !
Quant aux suites policières, laissez-moi rire (jaune).
Déjà que l’état ne fait rien, ou si peu, quand il y a des morts. Alors vous pensez, un jeune qui joue aux billes, c’est pas grave.
Un article pertinent qui illustre parfaitement le duo Dalida/Delon de la chanson présentée en vidéo « Paroles, Paroles » en complément du présent billet À lire jusqu’au bout. Bonne lecture : https://insolentiae.com/pourquoi-macron-et-la-france-sont-condamnes-a-echouer-ledito-de-charles-sannat/
« enseignant » et « gauchiste », c’est un pléonasme.
Les enseignants ont voulu leurs immigrés. Qu’ils les bouffent, maintenant.
Et dire que je fus enseignant !
:-))
C’est exactement ce que j’ai dit dans un autre commentaire d’un autre article ! Ils ont trahi la France, ont misé sur les mauvais chevaux, laissons-les perdre et se faire anéantir dans la plus grande indifférence.
La situation représente bien micron l’avaleur et castrer le fourbe. Ils font intervenir le ministre de l’intérieur et le ministre de l’éducation nationale au cas par cas pour une racaille de cité ? Ben ils ont du boulot les gars…
C’est pas évident pour eux de s’en rendre compte puisque pour eux, il n’y a ni quartiers sensibles, ni racailles, ni races, ni vrai/faux français, tout le monde est pareil et il s’agit de cas isolés…
A lire (plutôt à « essayer » de lire):
https://www.liberation.fr/debats/2018/10/22/stop-aux-controles-de-police-lors-des-sorties-scolaires_1686999
Article de libé concernant un témoignage d’un prof. Victimisation incroyable et débilité sans fond.
c’est vrai ce que vous dites , je ne comprends pas pourquoi des jeunes sont dans la rue, alors que l’école est obligatoire ! il y avait , il y a , la volonté de laisser « végéter » une certaine population , et nous recevons cela comme un boomerang , nos politiques alors , très courageux , ( et les associations ) préférant jeter la responsabilité sur les autochtones en parlant d’ apartheid !!!
je dois dire que ce fait divers me fait bien rire ! je ne comprends pas qu’il y ai un tel tapage médiatique et politique pour cette affaire alors que, en effet, d’autres corps de métier, et la population autochtone, le citoyen lambda subissent pire que cela ! Bien sûr que l’Ecole est un sanctuaire , devrait l’être , mais qui a amené cela , en dehors de tout ce que dis Christine ( les politiques etc ) ! l’Education Nationale n’est pas adulte : j’ai vu il y a vingt ans, dans un lycée, alors que j’y travaillais, un prof se faire malmener ! il y a vingt ans ! un élève’ a fait tomber un prof près de la retraite ! naivement je croyais que l’élève serait mis à pied, que la police serait venue histoire de marquer le coup, car c’est une agression et devant les autres élèves ! ben non ! il ne fallait pas l’ébruiter et d’autres profs étaient attérrés de ne voir aucune sanction venir. Alors oui Castaner a souligné le fait que les établissements devaient se manifester et non pas cacher la chose pour des raisons de « réputation » , orgueil mal placé, qui a conduit à cet état de fait aujourd’hui ! ils ont une grande responsabilité
Bonjour,
Oui, c’est exactement cela : on ne comprend pas du tout pourquoi cette vidéo est montée en épingle.
Peut-être pour nous faire avaler que ce fait est totalement isolé ?
Alors que des violences semblables, il y en a des dizaines, chaque jour, dans les collèges et lycées de la « diversité » …
Pour rajouter, hier soir Blanquer a sorti le sempiternel « lycée tranquille » !
Comme toujours la négation de la réalité…
Et pour rappel, dans mes débuts de professorat, à 14 ans les élèves étaient « sélectionnés ». Certains partaient soit en apprentissage, soit en CET/LEP pour passer un CAP… Ils n’étaient pas laissés à la rue !
J’affirme qu’à cette époque (années 70), nombre de mes élèves de 1ère CAP mécanique écrivaient mieux que mes élèves de seconde générale en 2009 à mon départ à la retraite !
Le tordant aujourd’hui, on nous fait tout un pataquès au sujet de jeunes qui passent un CAP … après le BAC ! Désormais les ouvriers sont des intellos ! Ils seraient 10 000 chaque année !
Evidemment, nombre de CAP ont disparu.
Par exemple celui dit d’employé de collectivité. En réalité un CAP formant à l’entretien de la maison, à l’hygiène, à la cuisine, à la couture… etc. Ce CAP était parfait pour les aides à domicile… d’aujourd’hui ! Pour rigoler, maintenant, celui qui ne sait pas coudre un ourlet, il va voir une petite main et c’est tout de suite 10€ !
Entre le CAP d’hier à 14 ans et celui d’aujourd’hui à 25 ans, c’est 11 ans de cotisations en moins pour les caisses. Mais il parait que ce sont les vieux qui bouffent le système.
« La professeureuh ». Voir aussi le journal Ouest-France, qui, outre les fautes d’orthographe, contient maintenant des articles torchés à l’écriture inclusive !!! « Inclusive » comme les piscines rennais es « inclusives » de burkinis !
Bonjour,
Cette histoire est une escroquerie médiatique de plus.
Les médias exhibent cette horreur comme si c’était un fait singulier, isolé.
Alors que c’est le lot quotidien de milliers de professeurs depuis plusieurs dizaines d’années.
Le film de l’ignoble Bégaudeau, « Entre les murs », donne tout autant envie de hurler.
Pourtant les bobos des médias, les politiques sont entrés en pamoison et on lui a donné tous les prix.
C’est comme ces livres qui sortent où les auteurs de « Gôche » « découvrent » l’ampleur de l’islamisation ….
Un jour prochain, le pistolet ne sera pas un faux. Et ils continueront à condamner fermement pendant qu’il y aura une marche et des bougies.
Quand nos écoles deviendront comme celles des US avec un massacre par semaine, ils condamneront fermement.
Il y a quelque temps, le politiquement correct voulait nous faire prendre des vessies pour des lanternes, aujourd’hui il nous tue.
Faux pistolet si on veut car a cette distance il peut emporter un œil , bien sûr cela n’a aucune mesure avec les armes que nous allons affronter dans un futur proche .