Clermont-Ferrand : l’Algérien qui a violé la jeune étudiante de 22 ans aurait contracté un mariage blanc

Illustration : Association Centre Culturel et Cultuel Islamique de Clermont-Ferrand

Clermont outragée ! Clermont brisée, mais Clermont loin d’être libérée…

Quelle surprise ! Nous apprenons donc que c’est un Algérien qui a violé cette jeune étudiante de 22 ans à Clermont-Ferrand dans la nuit du 21 au 22 septembre. L’homme inconnu des services de police aurait contracté un mariage blanc, se baladait tranquillement dans cette bonne ville Arverne où la mairie socialiste s’est efforcée de prolonger la ligne de tramway jusqu’aux quartiers nord (elle n’a, en revanche, pas jugé nécessaire de pousser les rams jusqu’à la gare…).

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/10/17/01016-20181017ARTFIG00320-clermont-ferrand-une-victime-de-viol-reconnait-son-agresseur-dans-le-tramway.php

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/puy-de-dome/clermont-ferrand/viol-plein-centre-ville-clermont-ferrand-agresseur-presume-nie-faits-1560486.html

Jadis, la cité Michelin souffrait d’une réputation sombre et grisâtre liée à son industrialisation. Que ce temps peut paraître doux dorénavant. Même dans cette ville moyenne, une faune de migrants squatte le centre-ville à tel point qu’il est devenu dangereux de sortir la nuit.

Bastion de gauche, les élus ont encore de beaux jours devant eux avec un électorat issu de l’immigration qui ne cesse de grandir. Le maire jongle savamment entre une politique culturelle « bobo » avec ses étendards comme le festival du court-métrage, la promotion de l’art contemporain et un islamo-gauchisme assumé par de doux messages à l’égard des musulmans (exposition sur la beauté des voiles du monde au musée d’archéologie en 2017…).

Comme à Paris ou dans les plus grandes métropoles, des quartiers se ferment. On y reconnaît tous les signes vestimentaires de l’islam. On se nourrit islam. On parle arabe.

Clermont, Aïd…

L’homme qui a violé cette jeune femme était de cette communauté. Il ne devait pas avoir le sentiment de pêcher. Violer une femme qui ne respecte par les codes de la charia n’est pas contraire au texte sacré. Et puis, peut-être avait-il, comme beaucoup, quelques ressentiments à l’égard du pays colonisateur. Peut-être même fredonnait-il l’hymne de son pays, l’Algérie, lorsqu’il commettait son crime :

Ô France ! le temps des palabres est révolu
Nous l’avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre révolution le rendra
Car nous avons décidé que l’Algérie vivra
Témoignez ! Témoignez ! Témoignez !

Ce chant sera d’ailleurs peut-être repris dans quelques décennies (ou années) à l’unisson lorsque la soumission et la charia seront instituées. Il résonnera dans un stade Marcel Michelin rebaptisé Mohammed Ben Abbes, là où jadis, une des meilleures équipes d’Europe enthousiasmait un public ouvrier, fier de sa région, de son travail et de ses joueurs qui mouillaient leur maillot jaune et bleu. Sur ce maillot, il ne figurera plus de Bibendum, mais un croissant vert.

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