A Vendin-le-Vieil, le musulman Flavien Moreau a déjà menacé les gardiens de prison à moult reprises : » de toute façcon je vais vous planter » ou encore » je suis Ganczarski », en référence au détenu allemand de ce nom qui avait attaqué au ciseau 3 surveillants de sa prison.
Condamné à sept ans de prison pour être parti en Syrie rejoindre des groupes terroristes et pour association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste, Flavien Moreau, incarcéré en 2013, se trouvait depuis le 24 septembre au quartier d’évaluation de la radicalisation (QER) de Vendin-le-Vieil, c’est là qu’on aurait trouvé le graffitis je suis Ganczarski sur les murs de sa cellule.
C’est aussi à la prison de Vendin-le-Vieil. que vient d’être incarcéré Redoine Faïd…
Je ne sais pas comment font les gardiens pour résister à une telle pression.
«Pour l’instant, il est au quartier disciplinaire: ce qui signifie qu’il se promène et prend ses douches seul et qu’il est menotté à chaque mouvement. Que se passera-t-il quand il en sortira? Son message a été très clair. Nous craignons un passage à l’acte», explique au Figaro un surveillant,
Oui, que se passera-t-il quand il sortira de ce quartier disciplinaire ? Comment les gardiens pourront-ils éviter de se faire planter ?
Et, s’ils y parviennent, que se passera-t-il quand il sera sorti de prison, en avril 2019 ?
La question qui est posée est simple : peut-on considérer un ancien djihadiste comme n’importe quel détenu de droit commun ayant payé sa dette à la société et le lâcher dans la nature ?
Que va nous répondre Belloubet ? Que, dans le meilleur des cas, il sera astreint à se présenter à la gendarmerie une fois par jour ? Ça laisse beaucoup de temps…
Et si on réussissait à empêcher le dangereux personnage de sortir de prison, nul doute qu’un recours auprès des collabos du Conseil d’Etat lui permettrait d’être libre comme l’air, comme ils l’ont fait pour un multirécidiviste :
http://resistancerepublicaine.com/2018/08/03/le-takfirisme-devant-le-conseil-detat-1-2/
http://resistancerepublicaine.com/2018/08/04/le-conseil-detat-face-aux-islamistes-la-trahison-2-2/
Nos députés et sénateurs votent à tour de bras des lois pour préserver le pouvoir politique de Macron, mais aucune pour préserver la vie des nôtres.
Aucune loi d’exception face à une situation d’exception ?
Pourtant…
Pourtant notre juriste Maxime nous a déjà expliqué à moult reprises que même la loi actuelle pourrait nous protéger, par exemple dans l’article ci-dessous publié en juin dernier :
Belloubet annonce la sortie de prison d’au moins 500 fous d’Allah officiels, ainsi que la presse nationale s’en est fait l’écho. https://www.valeursactuelles.com/societe/des-centaines-dislamistes-sortiront-de-prison-en-2019-reconnait-la-ministre-de-la-justice-96135
Pourtant, cette sortie de prison n’est pas inéluctable.
Il est interdit, en droit pénal, de poursuivre deux fois pour les mêmes faits.
Mais il n’est pas interdit de poursuivre un « radicalisé », selon la formule qu’ils emploient, pour intelligence avec l’ennemi en temps de guerre et d’accompagner ces poursuites d’une mise en détention provisoire pour éviter de lâcher ces individus dans la nature (voir les principes applicables à ce sujet : http://resistancerepublicaine.com/2018/05/23/le-droit-et-la-detention-de-materiel-de-propagande-djihadiste/).
On peut se demander, vraiment, pourquoi le ministre de la justice ne saisit pas l’occasion pour ordonner de telles poursuites. Cela entre pourtant dans ses pouvoirs.
D’après l’article 30 du Code de procédure pénale, en effet, « le ministre de la justice conduit la politique pénale déterminée par le Gouvernement. Il veille à la cohérence de son application sur le territoire de la République. / A cette fin, il adresse aux magistrats du ministère public des instructions générales. / Il ne peut leur adresser aucune instruction dans des affaires individuelles. / Chaque année, il publie un rapport sur l’application de la politique pénale déterminée par le Gouvernement, précisant les conditions de mise en œuvre de cette politique et des instructions générales adressées en application du deuxième alinéa. Ce rapport est transmis au Parlement. Il peut donner lieu à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat » (https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=C1280E8EAE88A2DC8D2740D3E292FBB0.tplgfr33s_3?idSectionTA=LEGISCTA000006152027&cidTexte=LEGITEXT000006071154&dateTexte=20180608).
On attend à ce titre le rapport 2018 de Belloubet. Son prédécesseur Urvoas avait publié le sien en mai 2017 (http://www.justice.gouv.fr/art_pix/rapp_politique_penale_jju_parlement_20170510.pdf).
Le mot « ennemi » n’apparaît même pas une seule fois dans ce document. Qu’on se le tienne pour dit : la France n’a pas d’ennemi, fût-il intérieur. Donc pas de poursuite pour intelligence avec l’ennemi !
Quant au champ lexical de l’islam, on ne trouvera qu’une référence, celle de « l’Etat islamique », p. 21.
Certes, un délit de préparation individuelle d’entreprise terroriste a été introduit dans la loi en 2014. Cependant, il n’a pas empêché notre pays d’être ensanglanté par les fous d’Allah depuis. On voit bien que l’action pénale intervient trop tard. Il faut agir davantage en amont encore, au niveau des affinités idéologiques. C’est bien ce que permettait et permet encore l’article L.411-4 du Code pénal.
La création d’un nouveau délit en 2014 est d’ailleurs une mauvaise idée car le texte précédent, encore en vigueur mais non appliqué, prévoyait 30 ans de prison et 450.000 euros d’amende. Le nouveau, trois fois moins, comme si cela avait été calculé exprès… 10 ans et 150.000 euros.
Donc, dans des cas qui, autrefois, relevaient exclusivement de l’intelligence avec l’ennemi exclusivement, avec le cortège de peines lourdes qui accompagne cette qualification, les peines sont adoucies au lieu d’être renforcées. Le prévenu n’encourra plus que le tiers de ce qu’il encourait avant l’entrée en vigueur de la loi de 2014. La qualification la plus précise l’emportera en effet sur la plus vague et dès lors qu’un attentat aura commencé à être préparé, le régime pénal sera plus indulgent… Cherchez l’erreur!
La censure du Conseil constitutionnel, de plus, a trouvé à s’exercer. Pour l’éviter, il aurait fallu constitutionnaliser le crime d’intelligence avec l’ennemi en temps de guerre, lors de la réforme constitutionnelle projetée début 2016. Ainsi, le Conseil constitutionnel n’aurait pas trouvé son mot à dire car les lois constitutionnelles échappent à son contrôle.
Nous aurions alors eu un droit pénal adapté à la situation actuelle ; nous ne l’avons pas.
Alors pourquoi tant d’impéritie dans l’application de la loi ? Rappelons que c’est Marine le Pen qui avait la première mis en évidence l’existence de ce texte permettant de poursuivre les djihadistes de façon préventive et de leur faire subir à ce titre une détention provisoire avant un emprisonnement de 30 ans et une forte amende permettant de financer au moins en partie la prise en charge du détenu.
Ceci n’explique-t-il pas cela ? Ne peut-on penser que c’est par pur esprit de contradiction, par laxisme idéologique aussi que Belloubet, femme de gôche, a choisi de ne pas ordonner aux procureurs de poursuivre ces personnes sur le fondement de l’art. L. 411-4 du Code pénal ?
Les socialistes sont tellement à côté de la plaque de ce point de vue qu’ils n’ont pas voté les lois nécessaires à la prévention des attentats. Ils se sont en revanche intéressés à la récidive des terroristes, une fois que le mal est déjà fait !
Un fichier a été créé à cette fin comme l’expose le rapport Urvoas : « la loi du 24 juillet 2015 relative au renseignement, quant à elle, a institué le fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions terroristes (FIJAIT). Entré en vigueur le 1er juillet 2016, le FIJAIT est destiné à prévenir le renouvellement des infractions à caractère terroriste et à faciliter l’identification de leurs auteurs. Il impose à ces derniers, sur décision de l’autorité judiciaire, de justifier de leur adresse tous les trois mois et de signaler tout déplacement transfrontalier quinze jours au moins avant la date du départ. Le non-respect volontaire de l’une de ces obligations est sanctionné par une peine de deux années d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende ».
D’une certaine façon, c’est « logique », dans le monde kafkaïen des socialo-marchistes : puisque les terroristes sont amenés à sortir plus vite de prison, qu’ils n’oublient pas de laisser une adresse quand même pour qu’on garde un souvenir d’eux… Voilà ce qui s’appelle mettre la charrue avant les bœufs.
Rappelons quand même à Urvoas et Belloubet que le respect de l’Etat de droit, dont se vantait le premier dans le rapport précité, passe par l’obligation pour l’exécutif de faire appliquer les lois votées par la représentation nationale, fût-ce il y a bien longtemps… C’est en effet une obligation constitutionnelle qui pèse sur le gouvernement à cet égard.
L’article L. 411-4 du Code pénal existait déjà avant la « compilation » réalisée par le nouveau Code pénal de 1994. Il n’a été modifié qu’en 2000 pour convertir les peines en euros. Mais il reste lettre morte. D’ailleurs, la nouvelle infraction votée en 2014 n’a donné lieu à ce jour qu’à une seule condamnation… c’est dire l’efficacité de la mesure !
Quant aux services du renseignement, sur qui tout repose désormais, sait-on si au moins, aucun fou d’Allah n’est infiltré chez eux ? L’ampleur donnée au principe de non-discrimination crée de tels tabous que rien n’est à exclure…
C’est sur eux que tout repose désormais, compte tenu du refus de mener une politique pénale d’enfermement. La gôche a horreur de l’enfermement pénitentiaire. Elle raffole de bracelets électroniques, transactions pénales, libérations conditionnelles, peines semi-privatives, peines altruistes… Elle a donc le sang de chaque attentat islamiste sur les mains.
De véritables dangers publics sont actuellement placés sous simple assignation à résidence alors que ces ordures devraient croupir en prison. On le voit encore dans une décision rendue à Paris mardi dernier (Cour administrative d’appel de Paris, 5 juin 2018).
[…]
Ce sont de tels individus qui, par centaines, par milliers, traînent et traîneront encore dans les villes et les campagnes françaises à cause de l’impéritie de Belloubet.
Quand on veut, on peut. Encore faut-il vouloir…
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Quant à Belloubet, elle compte les mouches.
Complètement lobotomisée par l’idéologie gauchiste (rappelons que c’est une socialiste). Sous des dehors doucereux, une fanatique obstinée et dangereuse.
Elle a tout à fait le profil d’une visiteuse de prison, celles qui tombent amoureuses de « leur » détenu et lui viennent en aide par amour, lui fournissant arme, outils et argent pour s’évader. Elle a une infinie compassion pour les criminels, les délinquants et les djihadistes, dobnt elle se croit la maman, et un total désintérêt pour le reste de la population, les honnêtes gens ordinaires, les victimes…
On va finir par regretter Taubira.
Notre Droit est effectivement inadapté au problème posé par le terrorisme islamiste, et même pour l’islam en général.
Quand on voit qu’on autorise des groupements terroristes comme le CCIF à mener le djihad judiciaire pour intimider et persécuter les adversaires de l’islamisation…
On commet l’erreur stratégique de vouloir traiter les djihadistes selon les principes du Droit commun, de la criminalité ordinaire. Or il ne s’agit pas de simple délinquance, « d’incivilités ».
Le criminel ordinaire satisfait ses pulsions ou ses envies, ou cherche à résoudre ses problèmes personnels en transgressant les règles de la société, il ne cherche pas à la changer, encore moins à l’attaquer et la détruire comme les musulmans et les gauchistes.
Là il s’agit d’une guerre de basse intensité visant tout simplement notre destruction.
De la même manière que l’on maintient en détention les individus ultra-dangereux (comme ceux détenus à Cadillac, le genre Hannibal Lecter) même après qu’ils aient purgé leur peine, parce que justement ils représentent un danger extrême, il faut faire de même avec les djihadistes, au moindre doute. On ne prend pas le risque de dizaines de morts pour le petit confort d’un fanatique violent et dangereux et irrécupérable.
Les « Droits de l’Homme »? Tant pis pour eux, ils n’avaient qu’à pas s’engager dans cette voie. C’est leur choix. Les vrais DDH ne sont pas contradictoires avec la protection de la société – à condition de ne pas les prendre par le petit bout de la lorgnette en voyant uniquement le bien-être du salopard.
Bla bla bla il a accompli sa peine bla bla bla il faut lui donner une chance de se réinsérer bla bla bla il faut respecter les Droits de l’Homme et du criminel bla bla bla au nom des Grands Principes, il faut être prêt à payer le prix, quelques morts potentiels sont un bien petit désagrément comparé au préjudice terrible que l’on ferait subir à ce brave djihadiste bla bla bla
C’est comme le lion, après dix années en cage, on peut le relâcher sans risque au milieu des gazelles, d’ailleurs c’est la directrice de L214 qui l’a dit.
La connerie de la pensée-gauchiste en action. (pour les béotiens, allusion à la « pensée-Mao » chère aux maoïstes soixante-huitards adeptes du petit Livre Rouge et de son prêt-à-penser)
IL FAUT PENSER APRÈS MACRON, maintenant.
D’accord, Belloubet est coupable ! Serait-ce que nous aurions oublié Taubira? La « matrice galvanique » de l’anti-justice ? La sombre brosse à reluire de la goche.?.Portons attention au remaniement ministériel qui s’affûte. « Le pire est toujours possible ».
> Que fait Belloubet ?
> Que va nous répondre Belloubet ?
Le plus simple, c’est de lui poser directement la question !
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Voilà, poser à « Belle-ou-Bête » LA question qu’il est interdit de lui poser, ça ne coûte qu’un timbre !
Ca y est j’a to copri.
Pierre se fait attaquer sur des fausses bases, Christine aussi pour le mot « comprendre ». Donc Cavreul va remettre à la justice ce djihadiste puisque lui, comme Médine, utilise des menaces percutantes !
Non ?
Ah j’a pa to copri !
Alors, puisque les mots de Molière n’ont plus de sens, Pierre et Christine déclarés-vous aussi artistes puisque vous ON vous traîne en justice sur suspicion
En effet, des « artistes » peuvent utiliser des mots clairs et incisifs sans soucis, avec le soutien d’un 1er ministre.
J’allais vous proposer de changer le nom de Résistance Républicaine par « Crépuscule du savoir », ce qui est en train d’arriver au pays mais ce serait faire honte au vôtre et à votre courage de pratiquer encore la langue de Molière et les faits historiques méthode B Lugan, Zemmour ou Onfray.
En cette période de commérations de la première guerre, Un documentaire montrait, hier soir, « les traces cachées », à savoir la vie sous terre des combattants; dans les creutes (carrières de l’Aisne) ou celles de Arras (20 kms de galeries) ainsi que les corps récemment retrouvés . Des anthropologues de Marseilles ont analysés les squelettes et identifiés les causes de leur mort. Pour info, 670 000 corps (estimation) restent disparus.
Conclusion de ce reportage selon un des intervenants; A quoi cette guerre était-elle due ?
Au NATIONALISME !
Bon il n’a pas précisé sa « nationalité » mais je rapporte que ce problème serait résolu par l’islam puisque « c’est une nation (!!!) supranationale » (mots de D.Boubakeur).
Evidemment la stratégie de l’ISESCO (détaillée par A Wagner) nous impose d’accepter l’immigration à condition que ces migrants gardent leurs coutumes, les mêmes droits que nous (droit de vote, droits sociaux, politiques etc )
Ce n’est pas du nationalisme ça ?
C’est pourtant simple. A l’isolement sans fenêtre pour qu’il puisse faire ses vocalises sans témoins et le laisser crever de faim
Quand le cerveau est atteint ce n’est pas récupérable.
Nous, on a des textes de loi, des kilomètres de textes de loi, et des branleurs de chef……..des policiers paralysés, des gendarmes aux ordres de crétins de politicards.
Eux ils ont des BMW X6, volés pour la plupart ou payés par les trafics. Des armes » blanches » ( sekin) en arabe. des armes à feu, et la haine de tout ce qui n’est pas musulman.
A force d’encaisser, la boîte à impatiences déborde.
Mohamed Macron, tu te bouges (***) ou c’est le peuple de France qui te donnera la » fessée «
👍👍👍 bravo
Ils vont lui faire caresser des hamsters , lui lire Jacques Prévert et Saint Exupéry , des massages relaxants et pour finaliser cette déradicalisation macron va venir poser pour une photo en lui faisant promettre de pas recommencer , ça devrait le faire non ?