Excellentes analyses de Patrice Quarteron, qui remet les choses à leur place.
Mais il peut le dire parce qu’il est noir…
Le schisme entre Français d’origine et « racisés » est proche, les soumis et autres Indigènes de la République ont le briquet en mains, pour allumer la mèche.
Patrice Quarteron : “Aujourd’hui si je veux être aimé, il suffit que j’insulte les juifs, que je dise que c’est la faute des blancs, que je dise que la police elle nous fait chier… Je deviens populaire”
Patrice Quarteron, ici , tacle sérieusement Thuram qui joue à fond la victimisation… Ceux qui se font lyncher à 22h, ce sont les Blancs…
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Sur ce site NOUS comprenons et approuvons ces sages paroles mais pour un dhimmi bobo gaucho ordinaire, Monsieur Quarteron est au mieux un aliéné mental, au pire un traître à son peuple et à tous les opprimés colorés.
Ces gens là tueraient père et mère pour ne pas entendre la vérité.
Respects monsieur quarteron
Si les prénoms maghrébiens ou subsahariens sont dicriminés, c’est surtout dû au comportement de la grande majorité de cette population.
Qui voudrait embauché au sein de son équipe des gens avec le comportement que l’on sait, certes tous ne sont pas des racailles, mais les gens bien de cette populations sont discriminé grâce aux voyous
Marrant ça, on dit la même chose mais lui n’est pas traité de facho. Les bien-pensants et médias seraient-ils racistes anti-blancs ? Nooooon !
Ce gars a tout simplement les yeux en face des trous
ce type est l’exemple parfait de ce que le haut niveau sportif ( et le courage, la détermination qu’il nécessite) peut donner de hauteur de vue de grandeur d’âme et de lucidité.Parce qu’il n’ a jamais été dans la plainte perpétuelle dans la gégniardise communautariste, il est resté ouvert à la réalité. Il s’est battu pour sortir de la pauvreté , mais avec honneur et il a vu que notre société offre une vraie chance à ceux qui veulent bien se battre et travailler honnêtement pour en sortir.La propagande misérabiliste bobo gauchiste présente tous les noirs comme des victimes, c’est faux et ridicule bien sûr et nous connaissons tous des amis, des copains noirs qui vient bien en France, et qui sont heureux et respectés pour leur engagement citoyen ( pompiers, infirmiers, profs, artisans etc, etc). La lâcheté d’une classe politique obsédée par la démagogie envers les minorités, pousse les médias et ces politicards à faire le jeu du communautarisme victimaire, Patrice avec un merveilleux bon sens et une objectivité sans faille rappelle ce que beaucoup d’entre nous savent pour l’avoir vu ou vécu, il y a des zones en France ou les victimes du racisme sauvage sont des petits blancs qui n’ont pas l’argent (ou les relations) pour être protégés par une police débordée! Par ailleurs il a voyagé et il a vu que dans presque tous les pays ( d’Afrique surtout) la condition des noirs est bien pire que celle des pleurnichards qui bénéficient de toutes les protections sociales de France . J’ai travaillé 11 ans dans le social et je peut dire que aucun pays n’est aussi généreux avec des profiteurs « migrants » que l’état Français.
Bien d’accord avec vous. Au lycée ou dans ma vie professionnelle, j’ai eu des copains ou des collègues antillais ou d’origine africaine avec qui je m’entendais très bien. J’ai entendu les premières réflexions anti-françaises et anti-blancs à Paris, à la fin des années 90…
caiusbonus, je ne peux pas dire mieux. Merci
Lui peut le dire. Nous, les Blancs, ne pouvons que nous taire et subir.
Merci pour son patriotisme.
Intellectuellement honnête!!!
En fait une immense majorité n’en a rien à faire de la couleur de peau et s’en tamponne totalement. L’important c’est être ou pas un Homme de bien (ce qui inclus les femmes!). Le reste c’est de la littérature pour névrosés façon Thuram.
Tout à fait d’accord avec vous
Les deux à mon avis.
La vérité sort de la bouche de ce Monsieur. Et curieusement nous qui sommes parait-il ici des racistes sommes de tout cœur avec ce Monsieur qui remet les choses dans l’ordre. Comme quoi ce n’est pas la différence de nature qui nous emmerde mais la différence de culture (ou souvent de néant culturel)