Askolovitch, je vais te tutoyer pour plusieurs raisons. Tu es journaliste, ou du moins tu as une carte de presse, moi j’étais ouvrier du Livre, et même délégué du grand syndicat du Livre parisien CGT. On ne s’est jamais rencontrés au boulot, tu étais trop jeune pour avoir connu le plomb, et tu n’as jamais sévi dans les journaux pour lesquels je travaillais. C’est dommage, parce que je suis certain qu’on aurait pu sympathiser, à l’époque, un verre à la main, en train de chanter le « À la » (sans h à la fin, Asko), le chant des typographes, et qu’on aurait eu de longues discussions sur une passion commune, outre la politique, le sport, et principalement le football.
D’autre part, tu m’as fait l’honneur de me citer, dans cet article interminable publié par Slate. Tu crois m’y insulter en me qualifiant « d’islamophobe rabique » (j’avoue avoir éclaté de rire, merci à toi).
Enfin, je pense être visé, comme d’autres qui ont soutenu Patrick Jardin, en lisant le titre de ton article, et surtout ta conclusion : « Les fascistes se nourrissent de lui, qui veulent du sang, qui hâtent le pire, et je ne vois pas pourquoi nous devrions, par mépris, leur laisser aussi cette âme blessée ».
Tu t’intéresses donc, à présent, au cas de Patrick Jardin. Comme c’est bizarre, aurait dit l’immense Louis Jouvet. Comme l’immense majorité de tes confrères, tu n’as pas dit un mot, des mois durant, quand nous avons appris cette nouvelle révoltante mais hélas guère surprenante. Et pourtant, c’est toi qui tiens la revue de presse matinale de France Inter, mais tu prétends que tu n’avais jamais entendu parler de Patrick Jardin avant l’article du « Monde ». Comme c’est bizarre…
Un rappeur islamique allait tenir un concert au Bataclan, là où ses coreligionnaires avaient massacré 90 innocents à la kalachnikov, trois ans plus tôt, le 13 novembre 2015. Tu vois, nous autres, cela nous a choqués. Nous y avons vu un défi, une provocation, un immense bras d’honneur, une profanation, un crachat sur les familles des victimes, un deuxième assassinat et un test pour vérifier s’il restait un peu de fierté aux Français. Et nous aurions eu exactement la même réaction si les derniers néo-nazis qui demeurent en Europe de l’Ouest avaient eu l’idée saugrenue de tenir un concert à Oradour-sur-Glane.
Mais si une telle provocation avait été mise en place, je te fais confiance, tu aurais orchestré, et à juste titre, une virulente campagne pour faire interdire « la Bête immonde » sur un lieu sacré. Mais le Bataclan et Médine, tu t’en es complètement foutu. Et si ceux que tu oses appeler « les fascistes » – qu’ils s’appellent Renaud Camus, Karim Ouchikh, Christine Tasin, Pierre Cassen (rien que des gens qui ont milité à gauche une bonne partie de leur vie, avant que la gauche ne les trahisse) ou Richard Roudier –, si ceux-ci n’avaient pas été là pour soutenir Patrick Jardin qui, révolté, appelait les Français à se réunir devant le Bataclan, il ne se serait rien passé. Le concert aurait eu lieu, infligeant une nouvelle souffrance aux familles et un nouveau camouflet à la France. Et toi, tu te serais extasié devant ce spectacle, gobant la taqîya de Médine et de ses complices qui, tout en appelant à « pendre les laïcards comme à Golgotha », osent se réclamer de l’esprit de Charlie Hebdo.
Mais, comme toute la meute de tes confrères, une fois le concert annulé, tu as commencé à t’intéresser à Patrick Jardin. Pour le pire. Tu as relayé, avec toute la délicatesse dont tu es capable, l’article du Monde de tes consoeurs Élise Vincent et Lucie Soullier, pour reprocher à un homme révolté par la mort de sa fille de se battre pour sa mémoire, de virer vers ce que tu appelles « l’extrême droite » et d’avoir la haine. Un tweet aussi putassier que nombre d’autres que tu as commis dans ta carrière mais qui, apparemment, a laissé des traces puisque, selon tes propos, tu as « bien mangé ».
Alors, pour te refaire une santé, tu as joint au téléphone Patrick Jardin et tu as établi un dialogue avec lui. Du haut de ton statut de grand journaliste parisien, toi qui n’en avais rien à foutre que Médine joue au Bataclan, malgré les protestations du père de Nathalie, tu as daigné t’abaisser à discuter avec un homme qui « tournait mal ». Mais avoue, tu t’en fous totalement de Patrick Jardin, la seule chose qui te dérange est qu’il se soit tourné vers nous, tout simplement parce que ta caste l’a méprisé. Toute ta démarche consiste à dire qu’il faut faire semblant de s’intéresser à lui, pour ne pas le laisser aux mains du seul « camp du Mal ». Rien d’autre qu’un minable calcul politicien.
Tu me permettras, toi qui oses me traiter de « fâââââsciste », de te faire savourer cette envolée de Jean Sobieski.
Claude Askolovitch, ce voyant « extra-glucides » qui a fini par découvrir les horreurs anglaises de Rotherham, Telford et autres lieux, des années après que nous les avions dénoncées, est en mission. Ses armes : le mensonge, la déformation des faits, la condescendance mielleuse-fielleuse (ou fausse pitié) pour les uns, le mépris violemment affiché pour les autres, la volonté de nier les évidences, de frapper les gêneurs sous la ceinture, d’abattre par n’importe quel moyen quiconque s’oppose aux ordres qu’il reçoit de ses créanciers. Par ces biais de reître sans honneur ni conscience, Claude Askolovitch confirme, s’il en était besoin, qu’il est, de la pointe des cheveux au bout des orteils, une créature clonée il y a maintenant près d’un siècle dans les épouvantables laboratoires de Joseph Staline.
http://www.rtl.fr/emission/on-refait-le-monde/ecouter/on-refait-le-monde-du-06-janv-2014-7768579929
C’est vrai que tu aurais été parfait en komsomol sous Staline, en garde rouge sous Mao ou en khmer sous Pol Pot. Tu incarnes, par ton œuvre et tes pratiques, les pires bassesses et la soumission au totalitarisme ambiant même si, en France, cela prend d’autres formes que dans les dictatures staliniennes, et si c’est mieux habillé. Tu es faible avec les forts et fort avec les faibles.
C’est curieux, quand j’ai lu tes échanges, que tu as tenu à rendre publics avec l’accord de Patrick, j’ai repensé à ton livre, « Voyage au bout de la France, le FN tel qu’il est », que tu as écrit il y a 20 ans. Il m’avait beaucoup marqué, à l’époque, et je l’ai relu récemment. Tu es dans le même rôle d’éternel donneur de leçons. Tu incarnes le journaliste parisien qui, du haut de son piédestal, vient discuter avec ces pauvres gens, égarés par la colère et la haine (déjà !), qui votent pour le FN et militent en son sein. Comme Patrick aujourd’hui, eux, il y a vingt ans, t’expliquaient les ravages de l’immigration et alertaient, pour quelques-uns, sur la réalité de l’islam. Tu te contentais de les mépriser, comme tu le fais aujourd’hui pour le père de Nathalie, sans jamais répondre sur le fond. Tu étais déjà dans une forme de négationnisme.
Pourtant, depuis vingt ans, les faits ont hélas donné raison à ceux qui, à l’époque, alertaient sur une immigration folle, majoritairement africaine, maghrébine et musulmane, donc radicalement différente des immigrations précédentes. Celles-ci, grâce au creuset républicain et à l’assimilation, ont permis à des millions de travailleurs (car, à l’époque, c‘était une immigration de travail et non de peuplement) de devenir français, avec des enfants fiers de vivre dans le pays qui avait accueilli leurs parents. Tout le contraire d’aujourd’hui. J’ai retrouvé la même morgue du journaliste parisien, qui daigne se pencher sur les gens du peuple et écouter leurs souffrances… pour, tous les jours, par ses écrits, les aggraver et faire baisser la tête à ceux qui subissent l’invasion. Je ne t’ai jamais rencontré dans une salle de rédaction mais je t’ai croisé une fois à une fête de l’Huma, peut-être en 2005. À l’époque, tu traquais Tariq Ramadan, coupable d’avoir établi une liste de journalistes au nom juif et de les avoir accusés d’écrire en fonction de leurs origines. Et tu nous encourageais, nous les laïques de gauche, à lui taper dessus allègrement.
J’avoue m’être interrogé sur les raisons qui avaient pu faire de toi ce que nous appelons, dans notre jargon, un islamo-collabo de compétition. Haine de la France parce que, en tant que juif, tu penses, comme Chirac, Hollande ou Macron, que notre pays est responsable de la rafle du Vel d’Hiv ? Parce que tu es passé à la caisse et que, comme nombre de politiques, tu es payé par le Qatar ou l’Arabie saoudite ? Je n’en sais rien. Mais les faits sont là : tu défends l’immigration depuis toujours, qualifiant de fascistes et de racistes tous ceux qui s’y opposent et, depuis plus de dix ans, tu es devenu, comme ton camarade Plenel, le plus actif agent de l’islamisation de notre pays, salissant à tour de bras, et avec quelle haine (mais toi, tu as le droit), les lanceurs d’alerte qui tentent d’expliquer à nos compatriotes que l’islam, ce n’est pas tout à fait une religion d’amour, de tolérance et de paix, et que les musulmans sont loin d’être tous acquis à la France, à la République et à la laïcité.
C’est à toi que je pensais, à de nombreuses reprises, en lisant le livre « Les Bâtards de Sartre », de cet autre « islamophobe rabique », Benoît Rayski. Parlant des journalistes de gauche, qu’il qualifie de « lumpen-intellectuels », il écrit : « Dès leur réveil, ils hantent les matinales radiophoniques. À midi, ils investissent les grandes rédactions et, le soir, ils occupent les plateaux de télévision. Ils sont munis de sparadrap. Pour nous faire taire ». C’est tellement vrai.
Parce que c’est bien beau de donner des leçons, du haut de ta position médiatique dominante, c’est bien beau de nous insulter, mes amis et moi, mais tu ne vas pas avoir affaire à un Antoine Leiris ou à un catho repentant tendant l’autre joue. Voici ma réponse à tes injures…
Askolovitch, je t’accuse…
Toi et tes semblables, ceux qui ont qualifié de petits Blancs racistes, de fascistes et de nostalgiques d’Adolf Hitler tous les Français amoureux de leur pays qui dénonçaient, dans leur quotidien, les conséquences de l’immigration…
Toi qui as osé commettre un livre honteux, intitulé « Nos mal-aimés, ces musulmans dont la France ne veut pas », toi qui lèche les babouches de ceux qui, dans leurs textes sacrés, ont ordre de tuer tes coreligionnaires juifs et tous les mécréants…
Toi qui, en commettant ce livre de propagande, a inversé les rôles, victimisant les musulmans (15 % de la population, mais 80 % dans nos prisons, et responsables de la presque totalité des actes de violence en France) et salissant les Français, de la même façon que Marlène Schiappa et ses clips qui montrent, en mentant grossièrement, que les violeurs seraient nos compatriotes blancs et les victimes les « diversitaires »…
Toi qui insultes, matin, midi et soir, ceux qui, comme mes amis et moi, alertent nos compatriotes sur la réalité de l’islam, pire que le nazisme (dont il est proche par la haine des Juifs) avec un bilan, en nombre de morts depuis 14 siècles, d’un Oradour-sur-Glane par jour…
Toi qui promeus le voile islamique, qui pleures quand Mennel Ibtissem est virée de l’émission « The Voice », toi qui noies le poisson quand les islamistes assassinent les nôtres et qui détournes le tir sur l’islamophobie de ce que tu appelles l’extrême droite…
Toi qui désarmes quotidiennement la France face à la terrible agression qu’elle subit par l’invasion migratoire, majoritairement musulmane, toi qui castres quotidiennement nos compatriotes en les privant de toute défense, physique et idéologique, contre les nouveaux envahisseurs…
Toi qui veux même nous interdire de haïr ceux qui tuent les êtres que nous aimons…
Je t’accuse d’être responsable de la mort de la fille de Patrick Jardin. Tu as sur les mains le sang de toutes les victimes des soldats d’Allah en France, et pas seulement de celles qui ont succombé dans les attentats que tout le monde connaît (Merah, Charlie Hebdo, l’épicerie cacher, le Bataclan, Nice, les policiers de Magnanville, le père Hamel), je te parle des 1 000 agressions gratuites par jour, commises toujours par les mêmes contre les mêmes, de tous les agressés, parfois égorgés, souvent jeunes, qui tombent, de manière récurrente dans l’indifférence générale parce que toi et tes complices, vous cachez cela aux Français.
Tu te dois d’assumer les conséquences de tes paroles et de tes actes, même si tu n’es pas, loin s’en faut, le seul responsable. Tu as, par ton influence médiatique, une responsabilité supérieure à celle de la moyenne des autres coupables. Oui, tu as sur les mains le sang de toutes les victimes des soldats d’Allah, oui, tu as sur la conscience le traumatisme des blessés des attentats et des milliers de victimes quotidiennes d’agressions verbales ou physiques.
C’est à cause de gens comme toi qu’aujourd’hui il y a onze millions de musulmans (chiffres donnés par le président du CFCM) en France. C’est à cause de gens comme toi que les territoires perdus de la République se multiplient et que nous sommes dans une situation où l’avenir de notre civilisation est en train de se jouer. Même Michel Onfray, que tu vas sans doute qualifier, lui aussi, de « fasciste », affirmait sur un plateau de télévision que, si les choses continuaient ainsi, dans cinquante ans la France serait un pays musulman. Et cela ne t’a même pas ému, ni toi ni aucun de tes confrères et pas davantage les hommes politiques qui dirigent notre pays. Silence radio. Faut-il que tu nous haïsses, que tu haïsses la France, pour militer quotidiennement, comme tu le fais depuis des années, pour tuer notre pays.
C’est à cause de gens comme toi que je tremble tous les jours à l’idée qu’il arrive à ma fille, qui vit à Paris, le même sort qu’à Nathalie Jardin, ou les terribles violences subies par ces jeunes femmes agressées sexuellement par des barbares parce que blanches et françaises, comme le décrit le livre de Laurent Obertone (que tu n’as jamais invité, bien sûr) « France Orange Mécanique ».
C’est à cause de gens comme toi qu’il y a un an, une collaboratrice de Riposte Laïque qui, en plein ramadan, ne supportait plus le tapage nocturne, s’est fait casser la tête parce qu’elle a eu le courage de sortir et de demander aux « jeunes » d’arrêter de faire du bruit. C’est à cause de gens comme toi qu’hier soir, dans la banlieue parisienne, une autre collaboratrice de notre journal a été physiquement agressée par un jeune et grand Noir qui l’a traînée par terre pour lui dérober tous ses papiers et les biens qu’elle avait sur elle.
C’est à cause de gens comme toi que je suis hanté par l’avenir de mon pays et terrorisé par celui de mes enfants et petits-enfants, à qui nous laissons le choix entre devenir des Résistants ou des dhimmis.
Je voulais terminer cette lettre en faisant une dernière mise au point avec toi. Tu t’es comporté comme un salaud en 2014 sur le plateau de RTL. Tu as osé mentir grossièrement en mettant en cause la femme que j’aime, Christine Tasin.
Voici ton propos (de 17:07 à 17:52), et je laisse les lecteurs t’écouter en direct.
« Troisièmement, je pense qu’on ne souffre pas en France d’un défaut de liberté d’expression, mais d’un trop-plein de liberté d’expression. Je vous donne… (échange confus entre les participants). Il y a presque un an, au mois de mars, une dame qui s’appelle Mme Christine TASIN, qui fait partie des croisés de l’anti-islam, qui anime des sites qui s’appellent Résistance républicaine, Riposte laïque, expliquait sur le site du journaliste Robert Ménard qui s’appelle Boulevard Voltaire, que dans une France idéale, il faudrait interdire l’islam, et que, si les musulmans n’étaient pas contents, l’armée devrait, je cite Mme TASIN, tirer dans le tas. Elle invitait donc l’armée française à tirer sur les musulmans. À ma connaissance, aucun tribunal à l’heure actuelle n’a encore jugé Mme Christine TASIN… »
http://www.rtl.fr/emission/on-refait-le-monde/ecouter/on-refait-le-monde-du-06-janv-2014-7768579929
http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/que-faire-des-musulmans-une-fois-le-coran-interdit,13185
Rassure-toi, Askolovitch, grâce à toi et à tes copains du Nouvel Observateur, les plaintes ont été déposées contre Christine qui est passée une nouvelle fois devant un tribunal. Pas de chance, il demeure des juges intègres et elle a été relaxée, même si cela nous a coûté encore des sous. Rassure-toi quand même, quand notre avocat, maître Scipilliti, a déposé plainte contre toi pour diffamation, suite à tes propos mensongers, celle-ci a été classée sans suite par un procureur de la République sans doute proche du « Mur des Cons ».
Oui, tu t’es comporté comme un « salaud », toi qui ose nous qualifier de « fascistes ». Tu as déformé grossièrement, sur une antenne grand public et sans qu’elle puisse se défendre, les propos de Christine. Tu as menti délibérément pour demander encore davantage de répression contre nous et la fermeture de nos sites. Tu as menti délibérément et tu as livré Christine non seulement à la vindicte des juges mais surtout à celle de tous les islamistes qui ont pris comme idoles les Merah, Coulibaly, Kouachi et autres assassins et qui multiplient les menaces à son encontre. Tu ne peux pas ignorer que les musulmans ont toujours besoin d’un alibi pour agresser un mécréant : mauvais regard supposé, cigarette refusée, blasphème, etc. Tu le leur as livré sur un plateau. Je t’informe que tes petits camarades musulmans de « Forsane Alizza », avant d’être arrêtés, avaient fait des repérages sur les lieux d’habitation des organisateurs des « Assises internationales contre l’islamisation de la France », dont Christine et moi faisions partie. En mentant grossièrement sur le plateau de RTL, tu ne pouvais pas ne pas savoir que tu mettais délibérément en danger la femme dont je partage la vie. On dit parfois que la méchanceté des êtres, leur noirceur se lisent sur leur visage. Pour ce qui te concerne, je le confirme.
Je te promets que s’il arrive quelque chose à Christine, je vais davantage ressembler à Patrick Jardin qu’à Antoine Leiris. Pour finir, je voulais revenir sur tes échanges avec le père de Nathalie.
– Patrick, des milliers de gens sont en train de m’insulter à cause de vous, que fait-on de ça ?
– Moi, je n’ai insulté personne. Mais j’ai été traité de facho…
– Je ne vous ai pas traité de facho. Mais vous, Patrick, vous m’avez traité de collabo !
– Pour moi, ceux qui ne s’opposent pas à l’islamisme sont des collabos. Je ne vous connais pas, mais je me suis renseigné, je vous ai lu. Vous faites bien partie des gens qui pensent que l’islam doit s’installer dans le pays ? Moi, je veux m’opposer à l’islamisme qui va nous dominer.
– Je pense qu’il faut calmer le jeu, parce qu’on va à la catastrophe et à la guerre civile…
Au-delà de ton incroyable culot, toi qui oses reprocher à Patrick d’être responsable des milliers d’insultes que tu reçois et qui gémis parce qu’il t’a qualifié de « collabo », c’est la dernière phrase qui interroge.
« Il faut calmer le jeu, parce qu’on va à la catastrophe et à la guerre civile ».
On croirait Hollande, découvrant la possible partition de la France, ou Collomb, révélant au moment de son départ ce qu’il tait depuis qu’il est à Beauvau. Ce n’est pas une guerre civile quotidienne que nous subissons, c’est une guerre de conquête, parfaitement planifiée (lis les reportages effrayants du journaliste israélien Zvi Yehezkeli, infiltré dans des réseaux islamiques) que mènent les islamistes qui ont fait de la France leur principale cible européenne.
Cela ne va pas t’étonner, j’ai une grande admiration pour Éric Zemmour qui est juste tout le contraire de toi. Lui, effectivement, il juge comme moi inévitable cette guerre qui arrive, que des gens comme toi ont provoquée. Mais lui ne cherche pas à désarmer les Français, il leur dit simplement la vérité, avec les mots réels, ce qui lui vaut la haine de la caste à laquelle tu appartiens qui veut l’interdire d’antenne. Et j’ai beaucoup appris, en le lisant et en l’écoutant, sur la période de l’Occupation et de la Collaboration.
Dans une vidéo célèbre, il explique que beaucoup de pacifistes de gauche étaient devenus collabos sous le régime de Vichy dont, notamment, Déat et Laval. Je ne peux m’empêcher, quand je l’écoute, de penser à ceux qui, comme toi, 80 ans plus tard, nous encouragent à la soumission pour éviter la guerre. L’islam a simplement remplacé le nazisme.
Finalement, tu es le Philippe Henriot des temps modernes, tu incarnes « Radio Paris ment, Radio Paris est musulman ».
J’ignore ce que tu feras le jour où ce que tu appelles à tort la guerre civile va éclater. Auras-tu déjà préparé ta fuite, pour te mettre à l’abri avec ta famille dans un autre pays ? Ou bien, tel le journaliste Clément Dio dans « Le camp des Saints » de Jean Raspail, voudras-tu assister à l’aboutissement de ton œuvre, la destruction de la France, quitte à y laisser ta vie ? Je penche plutôt pour la première hypothèse.
Une dernière chose, des fois que tu aies envie de me causer pour répéter la même partition du mec sympa que tu as jouée à Patrick Jardin et aller raconter ensuite à la France entière le fruit de tes échanges avec « l’islamophobe fasciste enragé »….
… Ne perds pas ton temps, j’ai ton téléphone mais je ne décrocherai pas, je n’ai rien à te dire et pas de temps à perdre à discuter avec toi.
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ame luciférienne , il n’y aura pas de pardon a nuremberg II
La photo est très parlante, ce mec pue la haine. On croirait taubira en mâle blanc. Un pur descendant de Goebbels comme les plenel et autres nostalgiques du ministère du Reich à l’Éducation du peuple et à la Propagande.
Merci Pierre
Merci d’être notre porte paroles à nous les sans tribune
Bravo, tout est dit, une belle réponse envoyée à ce collabo de première.
Espérons que le vent tourne plus vite, ce sont des Askolovitch qui nous entraînent vers la guerre civile, bien au contraire, et non les lanceurs d’alerte qui ont comme Pierre Cassen et Christine Tasin, remarquables et d’autres avant eu vu le danger, mortel, venir.
Bravo Pierre pour ces Vérités qui le flingue , en plein dans le mille .Une belle ordure ce asko ,sa tête se retrouvera au bout d’une pique c’est le sort qu’il lui est réservé !
Askalovitch : Nos mal aimés musulman
?!!! Là il se fou de nous
qu’il aille pleurnicher avec ces chers pleurnicheurs de services
s’ils sont si malheureux que cela ici que font ils en Europes à nous faire chier ?
comédies que toute ces larmes
ils ne sont pas victimes du tout
voilà bien un livres stupide qui peut rester là où il est
acheter et lire une ânerie pareil il faut vraiment cons !
Belle lettre, rien à redire, tout est dit,
asko pue la mort, asko pue le traitre, asko pue la manipulation visqueuse et sordide,
asko pue la merde, la merde qui s’échappe de sa bouche en forme de cul de poule défoncé
Asko traître a la patrie aurait été un bon kapo dans un camps d extermination nazi. Il a mal a son pipi ce triste sir.
Il ne sait plus ou il a mal.
C est une grande gueule qui ne pisse pas loin.