Quand Askolovitch dégueule sur les « rabiques » Cassen-Tasin et prend Patrick Jardin pour un con…

Rabiques… Vous avez dit « rabiques », comme c’est étrange. C’est la première fois qu’Askolovitch use de cette épithète pour nous caractériser, pour une fois il n’a pas tort. Oui nous avons la rage et espérons que nous la communiquons à d’autres devant le travail de collabo des Askolovitch et devant l’assassinat des nôtres.

Asko touché au coeur. Oui, il vous le dit… il le dit à Patrick Jardin, qu’il a poursuivi téléphoniquement jusqu’au Portugal pour tenter de se justifier après son tweet malheureux :

http://resistancerepublicaine.com/2018/09/28/elise-vincent-et-lucie-soullier-le-monde-furax-patrick-jardin-nest-pas-alle-embrasser-abdeslam/

Ce tweet était « anodin, » puisqu’il le dit, qu’il le crie Asko. Mais Patrick Jardin est vraiment trop mal entouré, à moins que son cerveau ne fonctionne mal ? Les deux peut-être ? Franchement mal prendre d’être décrit comme un personnage « qui s’abandonne à la haine » et qui « devient un personnage d’extrême droite », c’est pas une preuve d’intelligence pour un Asko. Et il est traumatisé, Asko, imaginer qu’on puisse le prendre pour abject personnage, insensible à la douleur de Patrick Jardin, il n’en dort plus. Il ne s’est pas demandé quelles insomnies son tweet arrogant et culpabilisateur avait pu faire naître chez le père de Nathalie Jardin…Mais lui, c’est lui, avec sa culture, son entregent, ses certitudes.

Alors Asko de faire dans un très long texte ( comptez au moins un quart d’heure pour tout lire, si vous en avez le courage) un numéro de claquettes fort intéressant : caresser dans le sens du poil Patrick Jardin, « aveuglé  » ( ben voyons ) par sa douleur, tout en tapant soigneusement sur nous, les patriotes anti-islam.

http://www.slate.fr/story/168023/patrick-jardin-article-monde-fille-tuee-attentat-bataclan-twitter-extreme-droite-fascisme

Il explique donc que, à cause de nous, la guerre pourrait arriver. Quoi de pire que la guerre, même quand on comprend pourquoi les gens haïssent. ?

Un passage vaut son pesant de cacahuètes et résume en grande partie la logorrhée d’Askolovitch :

Je ne pense pas, malgré les apparences et ma culture, que la bienveillance seule soit la réponse à la mort. Nous n’avons pas toujours été ainsi. Nous avons su haïr, jadis. Je me souviens d’une chanson de la revanche, que l’on chantait en France après notre défaite de 1870. Elle racontait une fillette de Strasbourg, dont le père soldat avait été tué par les Prussiens. Elle refusait l’aumône d’un officier, et lui lançait de sa voix d’orpheline: «Gardez votre or, je garde ma puissance, Soldat prussien passez votre chemin. Vous avez eu l’Alsace et la Lorraine, Mais mon p’tit cœur vous ne l’aurez jamais, Mais mon p’tit cœur lui restera français». Cette idée nous guida vers une autre guerre. Annonçant à sa fille la mort de «petit père adoré», sa mère lui avait donné le viatique: «Oui mon enfant, ils ont tué ton père, pleurons ensemble car nous les haïssons». Il fallait la haine, pour se relever, il fallait la haine pour que Strasbourg nous revienne.

Il fait un parallèle entre la mort d’un père ayant suscité la haine, haine qui aurait mené à une autre guerre, juste pour « récupérer l’Alsace et la Lorraine ».

Il faudrait donc accepter la terreur, le Bataclan, Nice, Charlie Hebdo… pour éviter que ne naisse la guerre civile ?

Si je comprends bien, Asko, en 40, les Résistants, mus par la haine du nazisme et des occupants allemands, auraient dû les aimer, se soumettre, pour éviter que le sang ne coule à cause de leur Résistance ?

Asko est un collabo de première. Asko est une pourriture. Et en plus, il se permet, grâce à cette conception qui a mené Laval devant le peloton d’exécution, de tirer sur le pianiste, Patrick Jardin.

C’est un procédé typique du salopard Asko, qui, au passage, s’autocongratule  » malgré ma culture »… Et toc, Patrick Jardin n’a pas sa culture, Patrick Jardin ne sait pas, comme Leiris, que la haine tue, même quand elle est semble légitime, même quand certains, incultes ou haineux, peuvent la comprendre.

Tout au long de son article, Askolovitch fait passer Patrick Jardin pour un con, avalant tout ce qu’il lit sur facebook, tous les mensonges, tous les excès, tout ce qui vient de l’extrême-droite.

On avait tué sa fille, et ensuite, il s’était pris pour ne pas mourir dans ces prophéties d’apocalypses que d’autres véhiculent, paranoïaques idélogiques ou simples manipulateurs, et leurs contes sont repris par des hommes et des femmes qui ont des raisons d’avoir peur, ou même sans raison. Jardin reprenait sur Facebook les publications des extrêmes droites les plus bornées, s’indignait avec le fasciste breton Boris Le Lay d’une accolade donnée par Emmanuel Macron à un jeune Antillais, grimait Alexandre Benalla en «Y’a bon Benalla», ou justifiait le racisme, si celui-ci consistait à protéger «sa culture ou sa région». Je ne l’en tenais pas vraiment responsable. Il véhiculait les miasmes d’un milieu idéologique que la détresse lui avait amené.

«Je suis soutenu sur les réseaux sociaux, parce que je suis le seul à m’opposer à l’islamisme», me disait Patrick Jardin. Sa fille morte, il voulait stopper la dérive. Il me disait que, Jean-Claude Gaudin quittant la mairie de Marseille, «il y a de bonnes chance qu’un imam prenne sa place, comme à Londres, où le maire est un musulman radical». Il me disait d’aller voir, sur internet, comment à Barcelone, en 1973, les pays européens avaient vendu l’Europe à l’islam, ouvrant nos territoires aux immigrés et à leurs mœurs (c’est l’interprétation, à l’extrême droite, du dialogue euro-arabe ouvert sous Pompidou). Je protestais, en essayant de ne pas incarner l’arrogance de ceux qui savent, de réfuter le propos sans le blesser, lui. Un imam maire à Marseille, cela n’existait pas. Je cherchais les liens pour trouver la source de cette affaire de Barcelone. Je l’écoutais. Je l’interrompis un instant.

Que Patrick Jardin ait confondu Barcelone et Eurabia, Askolovitch le sait pertinemment. Mais il se garde bien de le dire. C’est qu’il est autrement difficile de réfuter et ridiculiser une Bat Ye’or dont les études, la culture encyclopédique et les dizaines d’années passées à enquêter, chercher les sources, les textes signés par l’UE pour vendre l’Europe aux pays musulmans sont une véritable claque sur les fesses du galopin inculte Askolovitch qui prend ses convictions politiques pour vérité historique.

Et ce pourri de mentir, éhontément :

– Moi, je n’ai insulté personne. Mais j’ai été traité de facho…

– Je ne vous ai pas traité de facho. Mais vous, Patrick, vous m’avez traité de collabo!

– Pour moi, ceux qui ne s’opposent pas à l’islamisme sont des collabos. Je ne vous connais pas, mais je me suis renseigné, je vous ai lu. Vous faites bien partie des gens qui pensent que l’islam doit s’installer dans le pays? Moi, je veux m’opposer à l’islamisme qui va nous dominer.

– Je pense qu’il faut calmer le jeu, parce qu’on va à la catastrophe et à la guerre civile…

Le collabo Asko a pris cher, il l’avoue. On sent que le petit Asko a fait un retour dans le monde de l’enfance, quand il avait peur de ne pas être aimé. Il a très mal vécu les insultes méritées et il cite longuement les tweets et autres commentaires qu’il a reçu. Il est vrai que d’aucuns sont savoureux et ne tournent pas autour du pot. Je vous renvoie à l’article pour en avoir une idée.

La tempête se lève alors. Elle me surprend dans un premier temps par sa violence, puis par sa permanence. Ensuite, je la comprendrai. Elle souffle encore au moment où j’écris, donc mardi matin, 2 octobre. Ce qui, pour un shitstorm, est appréciable. Je prends cher.

Et hop il étale sa science, ou ce qu’il croit être la science, un anglicisme inconnu de tous. Ou comment noyer le poisson et croire en mettre plein les yeux aux sans-dents…plus élégant que « merdier », « tempête de merde » ? Sans doute, puisqu’incompréhensible. La posture, toujours, plutôt que l’être. C’est Asko le pauvre type.

Asko finit même par déprimer… Alors là bravo à toute la réinfosphère qui a fait passer de sales moments à ce sale con. Pardon Asko je ne sais pas comment on dit « sale con » en anglais…

L’absurde de la situation finit par me déprimer. Ni Le Monde, ni moi, n’avons insulté Patrick Jardin, mais au contraire souligné son humanité blessée. Ni Le Monde, ni moi, ne lui avons prêté quelque acte ou quelque pensée qu’il n’exprime, volontiers, dans ses interventions. Ni Le Monde, ni moi, n’avons chargé sa barque, tant ses posts Facebook sont ceux d’un authentique extrémiste. Ni Le Monde, ni moi, n’avons inventé le soutien des extrêmes droites à cet homme endeuillé: le soutien se prouve et s’exprime dans l’avalanche de tweets contre les «merdias», coupables d’avoir rendu compte d’une vérité que nul pourtant ne masque.

Asko le menteur…qui soutient la lamentable politique de Macron, dont Collomb en personne a dit qu’elle menait à la guerre civile et qu’elle était ô combien inefficace. Ce n’est pas bien d’essayer de prendre ses interlocuteurs pour des cons qui ne verraient pas, qui ne comprendraient pas.

«Le pays a changé, c’est évident, lui disais-je. Mais ce qui est arrivé à votre fille n’en découle pas mathématiquement. Nous combattons le terrorisme, nous faisons la guerre, nos services secrets travaillent…»

Asko le simulateur envoie une claque magistrale à Patrick qui, non content de faire erreur, serait plus fragile ou moins heureux que la voilée Latifa Ibn Ziaten ? Et réagirait par la haine au « mépris » des Asko, des Bourdin, des Aphatie… Il écrit ça, toute honte bue à un père qui ne dort plus depuis 3 ans, qui a effectivement perdu le sens du bonheur et Asko le lui reproche… Patrick, pourquoi donc ne parcourez-vous pas la France avec la voilée pour expliquer que l’islam n’a rien à voir avec la mort de Nathalie ? C’est cela que vous reproche Asko. C’est pour cela qu’il ne vous invite pas à ses colloques, que vous n’êtes pas invité à la télé. Pas parce que vous dites la haine, parce que vous dites la vérité et que cette vérité est insoutenable pour le collabo Askolovitch et ses pareils.

 

A-t-il tort, Patrick Jardin, et ont-ils complètement tort, ceux qui haïssent en son nom et son prétexte, et ont enragé que le Monde, puis moi, évoquions sa haine? Ils nous devinent, les lycaons idéologiques, ils nous spéculent comme un groupe hostile et indifférent, étranger à leurs colères. Le terrorisme, le deuil, la peine de Patrick Jardin, ne sont qu’une déclinaison du drame du mépris. Ils savent que nous préférons, dans nos colloques et sur nos plateaux, inviter et admirer des personnages de bonne volontés, édifiants d’amour ou de pardon, qui construisent un avenir soutenable. Face au djihadisme, nous réaffirmons les terrasses et le bonheur. Le Bataclan, nous l’exorcisons par Antoine Leiris. Aux tueries de Mohammed Merah, nous opposons Latifa Ibn Ziaten, mère courage du soldat Imad, qui porte dans nos quartiers le discours de la fraternité. Ils sont, par leur présence, un pari sur l’avenir. Peut-on les prendre pour un déni? Et que représentent-ils, ces êtres résilients pour d’autres, plus fragiles ou moins heureux, qui ont besoin de crier pour survivre?
Mais il faut quand même aussi que l’Asko l’humilié règle ses comptes et crache sur ses ennemis de toujours :

Il s’était opposé au concert que devait donner au Bataclan le rappeur Médine (havrais, social et radical, musulman, barbu et pourfendeur de la laïcité). Il avait même été l’étendard de ce refus, comme père de victime du terrorisme. Il avait gagné, Médine ayant renoncé au concert. Patrick Jardin, dans son combat, était au coude-à-coude avec des personnages moins émouvants que lui: les islamophobes rabiques Christine Tasin et Pierre Cassen, de Riposte laïque, l’écrivain Renaud Camus, mage du «grand remplacement». «Si vous vous promenez avec Tasin et Camus, franchement, ça fait vraiment facho, je suis désolé», dirai-je (amusé, moqueur) à Jardin à la fin de notre conversation. Mais pendant cette guerre, il s’était fait peur.

Extrême droite, facho, rabique… Le pauvre Asko, on ne lui a jamais fait de cadeau dans les colonnes de Riposte ou de Résistance, alors on comprend qu’il ait la haine.

Sauf que lui, il a le droit. Môssieur Asko prétend détenir la vérité face aux islamophobes et aux cons qui ne pensent pas comme lui.

Môssieur Asko ne connaît pas le sens de « liberté d’expression », « divergences d’opinion », il faut qu’il désigne à la vindicte publique ceux qui osent penser autrement que lui.

Il se trouve que si j’en veux à des Askolovitch c’est justement parce que, à cause de lui et de ses pareils nous risquons une guerre atroce. Guerre rendue obligatoire par le déni et l’omerta qu’ils veulent imposer à tous ceux qui tirent la sonnette d’alarme. Si les Asko et les autres, les politiques, avaient réagi comme un Orban, un Salvini… nous ne serions pas à la veille d’une guerre, et Nathalie Jardin n’aurait pas été assassinée avec 130 autres personnes le 13 novembre 2015.

Askolovitch ? Assassin !

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11 Comments

  1. la crotte de l’asko, s’il m’arrivait la même chose, je vous donne dès à présent le très bon conseil de ..FERMER votre GUEULE, surtout en face de moi, parce que, de par mon caractère, je ne serais surement pas aussi « patient » que
    Patrick JARDIN !!!

  2. Trop crade, mon commentaire sur la balayette à chiottes ???
    disparu au fond du robot ?

  3. Cela fait longtemps qu’il a pété un neurone. Mais là il se surpasse. Ses vomissures sur ceux qui ne lui plaisent pas et sur cet homme malheureux qui a bien le droit de demander justice. Ce pro-muzz mériterait d’être poursuivi pour incitation à la haine et entente avec le terrorisme. On ne lit nul part sa détestation des assassins pour les horreurs qu’ils commettent mais on est submergé par sa haine envers ceux qui les dénoncent.

  4. pour ceux qui ne connaissent pas l’ Alcolofils, un rapide coup de projecteur

    «  » » Claude Askolovitch prend la défense de Meklat sur twitter en ces termes: « Un gamin qui tweetait des blagues Nazes pour tester sa provo est moins immonde que ceux qui utilisent ses conneries passées » 19 ; puis écrit un long texte sur Slate, L’impossible vérité de Mehdi Meklat20, où il s’interroge sur la double identité de Meklat et les hypocrisies de cette polémique. Claude Askolovitch est attaqué par Martine Gozlan dans Marianne : « On croit rêver, c’est à crever. La haine crève l’écran et ils ne veulent pas la voir19. » et par l’ancien directeur de France Inter Philippe Val, qui lui reproche de défendre « l’indéfendable » » » »

    voilà a qui on a affaire………….une balayette a merdes

  5. Je crois que ce type a largement dépassé le stade de la collaboration, c’est un converti.

  6. Le site « Slate » indiquait 21 minutes de lecture indicatives… j’ai lu l’article en 1 minute tant le contenue était vide et plat.
    Cela ne se prend pas pour de la merde ! comme si on avait 21 minutes à lui consacrer…
    Vous êtes d’une patience folle Christine de lui avoir répondu, mais comment faire autrement quand on est directement mis en cause ?
    Cet article lui mériterait un bon procès.
    Mais la Cour de cassation interdit lamentablement par exemple à une certaine Marine (tiens donc) de défendre son honneur quand elle est traitée de facho.
    Le souci est que je ne suis pas sûr que la Cour serait aussi indulgente dans le sens inverse où ce serait Asko qui serait traité de facho.
    On l’a vu avec l’affaire Sopo aussi où celui-ci a pu cracher sur Marine le Pen sans émouvoir la Cour de cassation qui trouve toujours de bonnes excuses à ce genre de personne.
    https://www.legifrance.gouv.fr /affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000034140871&fastReqId=632285343&fastPos=2&oldAction=rechJuriJudi
    « à la suite de la diffusion sur la chaîne  » i télé « , le 5 mars 2011, de propos de M. Jean-Luc Z… qui, réagissant à la publication d’un sondage plaçant Mme Marine X…en tête en cas d’élection présidentielle, avait dit « … tout ça est une guignolisation de la politique. Pourquoi voulez-vous que le peuple français soit le seul peuple qui ait envie d’avoir un fasciste à sa tête… « , celle-ci a déposé une plainte et s’est constituée partie civile, en faisant valoir qu’elle était injuriée par l’utilisation du mot  » fasciste  » à son égard ; que, mis en examen et renvoyés devant le tribunal correctionnel des chefs respectivement d’injure publique et complicité, M. Y…, directeur de la publication, et M. Z… ont été relaxés ; que la partie civile a relevé appel ;
    (…) dès lors que les propos poursuivis, outrageants à l’égard de la partie civile, mais exprimant l’opinion de leur auteur, dans le contexte d’un débat politique, au sujet des idées prêtées au responsable d’un parti politique, ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression au sens de l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme, la cour d’appel a justifié sa décision ».
    C’est à cause de telles jurisprudences que ce genre d’individu se permet de traiter de facho à tour de bras, là où dans le camp adverse le moindre mot de travers entraîne des amendes astronomiques voire de la prison pour incitation à la haine contre les musulmans.

    • Ou comment transformer une insulte, en liberté d’expression,
      c’est même pire qu’une insulte, c’est de la diffamation,

      mais pas pour les rouges, les rouges ne sont choqués que par les vérités, c’est contre cela qu’ils luttent férocement ,

      il est vrai que dans un monde virtuel, le monde de l’idéologie, les mots n’ont que le sens qu’on leur donne

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