Il y a quelques jours, j’essayais d’inciter les lecteur de RR à lire des livres plutôt que de regarder la télé.
Parmi les livres récents que je citais, il y avait celui de Benoît Rayski : » les bâtards de Sartre « .
Aux antifascistes de pacotille, aux antiracistes de circonstance, aux anticolonialistes autoproclamés comme tels pour mieux nous coloniser, Benoît Rayski donne une ascendance.
Je laisse Benoît Rayski expliquer son propos :
1 – une interview
Atlantico : Vous venez de publier « Les bâtards de Sartre ». Quel titre singulier !
Benoit Rayski : Ça vient d’un livre que j’ai retrouvé dans ma bibliothèque. Il a été publié en 1961. A l’époque de la décolonisation, quand tout semblait permis contre la décolonisation. Je l’ai parcouru. Dans sa préface, Sartre écrit que l’Européen mort est un Européen libre : ce n’est pas autre chose qu’un appel au meurtre. Dans le livre, Frantz Fanon, un psychiatre antillais, rempli de ressentiment et par ailleurs très talentueux, écrit que le rêve du colonisé, c’est de prendre la maison du colon et de dormir dans le lit du colon, de préférence avec sa femme.
Cela s’appelle un appel au viol. L’outrance des propos de Sartre et de Fanon pouvait, à l’extrême limite, se justifier par l’époque car la colonisation, notre colonisation, n’a pas été tendre. Hélas, depuis, ils ont fait des petits.
Et qui sont ces petits ?
Il y a les bâtards de Sartre. Et les bâtards de Fanon. Ces derniers sont confits dans la haine du pays dans lequel ils vivent. Les Indigènes de la République, le CRAN, les associations prétendument antiracistes, les Rokhaya Diallo, les Tariq Ramadan (heureusement démonétisé de nos jours), Pascal Boniface qui fait couple avec le rappeur Médine… Pour eux le Français, le Blanc, est éternellement condamné à être haï et maudit. Pour eux l’islam est une religion préférable à toute autre. Nous avons été colonisateurs un jour. Nous sommes colonisateurs pour toujours.
Et les « bâtards » de Sartre ?
Ils sont légion. Dans les universités. Dans les médias. Dans l’édition. Dans l’enseignement. Sartre aimait Fanon. Eux, aiment ceux qui haïssent la France. Vous voulez des noms ? Ils sont dans mon livre : Edwy Plenel, Libération, Régis Jauffret, Télérama, Virginie Despentes, L’Obs et tant d’autres… Ils pensent que plus de 60 ans après, nous devons sans cesse expier pour la colonisation.
Vous êtes en guerre contre eux ?
Non. Le mépris me suffit. Ils disparaîtront et mourront de leur belle mort. La réalité aura raison d’eux. La violence affreuse qui trône dans les cités, les horreurs de l’islamisme, les kalachnikovs, le trafic de drogue, les prêches haineux de certains imams… leur fin est proche. Ce livre a pour objectif de la hâter.
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2 – un extrait du livre
» Les lumpen-intellectuels, les écrivassiers, écrivassières, journalistes pensants bien et complaisants, doctorants et doctorantes, intermittents de toutes sortes, prirent le pouvoir dans les années 80. Elles furent fertiles. Et la courbe des naissances des petits marquis de la pensée explosa alors. Ils furent désignés sous le nom de « gauche caviar ».
Ce qui était très exagéré et bien trop généreux. La plupart d’entre eux, la piétaille, n’en faisait pas partie.
Mais tous aspiraient à en être. Là-haut, chez les importants, on les traitait gentiment bien qu’avec un peu de condescendance : ils étaient utiles car ils faisaient nombre. Mais de là à les laisser rentrer dans les salons ou le caviar était roi… Ils mangeaient donc du hachis-parmentier à l’office avec le personnel domestique.
Ces années-là furent appelées les années Mitterrand. Il eût été plus juste de dire les années United Colours of Benetton. Une série d’affiches réalisées par Toscani en fut le symbole. On y voyait une main noire et une main blanche reliées par des menottes.
Le métissage et le mélange s’imposèrent alors comme le code obligé d’un savoir-vivre nécessairement coloré, foncé, ou basané. En ces années-là, la fête battait son plein. Alcool et coke cohabitaient sous le regard amusé et un peu méprisant de François Mitterrand.
Les princes de l’époque se conformaient à ce qui était mode et in. D’autant plus facilement que c’est eux qui disaient ce qui devait être mode et in. Ils avaient fait leur la devise suivante : « un homme qui ne sort pas avec une fille noire ou arabe est un raté ».
Et c’est le pubard qui devint le personnage central de ce grouillement avide de fringues, de reconnaissance et de notoriété. Vaniteux, car couvert de filles et d’argent, il plastronnait, couvé amoureusement par des regards respectueux et envieux.
N’était-il pas à sa façon un intellectuel ? Il écrivait !
Des slogans certes. Mais ils étaient à la portée, car courts, de leurs admirateurs.
En plus, ils faisaient vendre et rapportaient de l’argent.
Et dans ce milieu, le fric était roi. On aimait la musique, la danse et la frime. On était bien sapé.
Et ce n’est pas par hasard si SOS Racisme créé pour contrer le Front National et pour servir de pouponnière au Parti socialiste se fit d’abord connaître par des concerts.
On aimait l’autre, l’ex-colonisé, béatifié par la souffrance de ses ascendants. Et on méprisait les siens. Un Européen mort… comme écrivait Sartre. Le Français était un beauf, campé pour l’éternité dans sa laideur par Cabu. «
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Le Français, le Blanc, est éternellement condamné à être haï et maudit !
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On nous fait croire que la HAINE est toujours du même coté. Le blanc « hait », (c’est un raciste-né), le non-blanc est forcément « hai » (c’est une « victime-née »). Sauf que les rôles peuvent s’inverser. Vu que « blanc » ou « non-blanc », c’est le même esprit ! Si tous ces cons veulent expier pour leurs supposés crimes, ils peuvent porter un silice ou se flageller s’ils veulent. Mais qu’on n’oblige pas nos enfants à se sentir coupables ! Ils n’étaient pas nés, merde ! On a des devoirs envers eux.
Je trouve l’humour de Rayski très rafraichissant, un livre à lire …..
J’aimerais qu’on me dise alors pourquoi ceux qui pleurnichent sur la colonisation ne le font que lorsque ça touche l’Afrique, alors que les « vilains Blancs » ont aussi colonisés l’Asie ? Bizarrement, pas de demande de réparation, ni de cri au racisme de la part des Asiatiques qui, pourtant, ont aussi bien souffert. Il est vrai qu’ils reconnaissent aussi s’être fait la guerre entre même « race » (Les Japonais n’ont pas été très sympa avec les Chinois et les Coréens)
Bref, EUX sont intelligents.
« Le Français, le Blanc, est éternellement condamné à être haï et maudit !
hihihi! et par des « espèces » qui paieraient en années de vie l’ indicible bonheur de pouvoir etre BLANCS eux aussi a leur tour
ce , ces BLANCS ,ils le savent trop bien, etant ce qu ils aimeraient tant devenir…et qu ils savent n’ être , pour eux que du domaine de l’ inatteignable!
exactement comme l’ hostile univers araboorientalo-musulman face au JUIF!
ils savent que Israel (les Juifs, pour résumer) ce n’ est que 5% de Géographie et 95% d’ idées, de découvertes,de savoir, d’ intelligence
ce qu ils ne seront Jamais, malgré leurs 98% de géographie, fracassés par leurs 2% d’ intelligence, de savoir, de découvertes…..quand aux idées… 😆
Machinchose ce que vous dites est oh ! Combien vrai.
Ils sont aussi dans la Justice les bâtards de Sartre..
Et c’est les BLANCS qui payent ? Qu’est-ce qu’ils peuvent être STUPIDES si ce n’est C…
Parce que certains blancs trouvent toujours des excuses pour ce genre de merde qui eructent contre eux.Si Zemmour avait été l auteur de cette chanson en replaçant blanc par noir le pauvre serait dans la tourmente et en prison ou assassiné.