Emmanuel Macron le Repentant connaît-il le nom de Palestro, en Algérie ?

L’Église de Palestro et son nid de cigogne, avant les « évènements »

 

Au nom de la France et des Français, s’humiliant finalement très chrétiennement, notre Saint-Président, d’un commun accord avec lui-même, s’est décidé à demander pardon à l’épouse de Maurice Audin, militant communiste pro-FLN vraisemblablement tué par les militaires français en 1957. La repentance, il connait : il a déjà expié pour le « crime contre l’humanité » de la colonisation française en Algérie et demandera peut-être aussi pardon auprès de Bouteflika, des anciens apparatchiks du FLN, des fellaghas et des franco-algériens de 2e, 3e ou 4e génération, moelleusement étendus dans les bras de l’éternel ancien ennemi (c’est écrit, dans l’hymne algérien).

Dans ce sens, il est encouragé par Mediapart à soutenir l’initiative mémorielle pour reconnaître les « milliers » de Maurice Audin, « enlevés, détenus clandestinement, torturés et parfois assassinés par l’armée française », coupables de s’être rangés « avec le parti communiste algérien, du côté de la lutte d’indépendance de ce pays, dans un moment où l’ensemble de la population autochtone d’Alger était la cible d’une terreur visant à la dissuader de faire ce choix et à la maintenir par force sous la domination coloniale. » 

https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/170918/alger-1957-des-maurice-audin-par-milliers

Évidemment, Mediapart n’aura aucun mot pour les milliers de morts Pieds-Noirs, harkis, opposants musulmans, femmes et enfants compris, torturés, égorgés, dépecés par la rébellion FLN.

Emmanuel Macron savait-il ce qu’il faisait en rouvrant les plaies de la guerre d’Algérie ? Ou bien mise-t-il tout sur le potentiel électoral des enfants du maquis algérien plutôt que celui des fermes de Palestro ? Mais sans doute ne connait-il pas ce lieu où sont morts, en mars 1956, des « gens qui ne sont rien ». Sans doute n’a t-il pas entendu parler de l’embuscade de mai où 19 appelés furent torturés et tués par les séides du FLN. Des épisodes sanglants parmi d’autres…

Mais qu’importe pour lui, ils n’étaient, déjà, que les « lépreux » de l’époque. 

 

Extraits de la Dépêche Quotidienne

« Après avoir eu connaissance de la tuerie, nous imaginions que les fermes se trouvaient en pleine montagne, éloignées du centre de Palestro. Quelle ne fut pas notre surprise quand on apprit que toutes ces propriétés se trouvaient entre 5 et 6 kilomètres de Palestro, en bordure de la route nationale, exception faite toutefois de la ferme Chatenay distante d’environ 2 kilomètres de la route, sur une piste qui grâce à un pont de bois suspendu traverse l’oued Isser.

Depuis samedi, une atmosphère lourde pesait sur la région. Les Français-Musulmans semblaient plus renfermés, plus sombres que de coutume. Mercredi matin, jour de marché, le village de Palestro n’avait pas connu l’affluence habituelle hebdomadaire. De plus ceux qui y étaient venus ne parlaient presque pas, semblaient gênés dès qu’on leur adressait la parole, surtout s’il s’agissait d’un Européen.

Le pays était en état d’alerte, l’armée envoyait dans les djebels, patrouille sur patrouille tant et si bien d’ailleurs qu’une patrouille en reconnaissance sur la rive droite de l’oued Isser aperçut de l’autre côté un groupe de quelques militaires qu’ils saluèrent de la main et qui répondirent  « ça va ».

Or ces militaires n’étaient autres que des fellagha en uniforme, habillés exactement comme nos militaires.

Comment voulez-vous dans ces conditions que de pauvres agriculteurs après une journée harassante de labeur ne commettent pas eux aussi  une tragique erreur de personnalité qui devait leur être fatale. »

Les fermes Servat et Bénéjean

… Nous pénétrons dans la maison et les traces de sang laissées lors du transfert des cadavres effectués la veille au soir en pleine nuit nous conduisent dans une pièce qui, quelques heures auparavant, n’était qu’un salon où vivait une famille heureuse.

Au milieu de la pièce, un tapis de laine grise attire irrésistiblement nos regards : un large cercle rouge le macule. C’est là qu’est tombé Mr Alphonse Servat (né le 28 août 1895 à Marengo) foudroyé à bout portant par une décharge de fusil de chasse. A gauche de la pièce, contre le mur, deux fauteuils, témoins muets de ce drame, paraissent tendre leurs bras vers les assassins. A hauteur de tête, la tapisserie ressemble à une mosaïque, tant les rafles de mitraillette se sont acharnées sur les deux malheureuses femmes qui occupaient ces deux sièges.

A cet endroit sont mortes Mme Alphonse Servat (née Claire Olivier le 6 janvier 1896 à Tefeschoun) et sa belle-fille (née Jeannine Sintès le 15 août 1923 à Rouïba)

Dans le fond de la pièce, à gauche, sur une cheminée, un enfant bouclé adresse un adorable sourire vers un petit divan qui se trouve en face, contre le mur. Sur ce dernier, le jeune Gérard Servat, âgé de 4 ans et demi, assista horrifié au massacre de sa mère et de ses grands-parents avant de s’évanouir lui-même sous les balles d’un tueur sans pitié. Il devait reprendre connaissance dans les bras du juge de paix de Palestro en criant ces mots entrecoupés de sanglots : « Ils ont tué maman ».

… les 3 tueurs s’acharnèrent sur le reste de la famille et, avant de s’en aller, mutilèrent affreusement les corps de Mr. Servat et de son fils et profanèrent celui de Mme Servat. Gérard restera le seul témoin de cette tuerie.

Le cœur lourd, nous repartions et 100 mètres plus loin, nous arrivions devant la ferme Bénéjean où, seul, un matelas à demi calciné devant le perron, laissait présager le drame qui s’était déroulé.

Au bruit de notre moteur, un musulman vêtu d’une vieille capote, emprunté dans ses gros godillots, s’approcha de nous avec des yeux encore exorbités. Et la conversation s’engagea en arabe :

« Je suis Lounici M’hamed (et pour prouver ses dires, il nous tendait sa carte d’identité), je suis le gardien. Mr Bénéjean c’était comme mon père, il y avait 15 ans que je travaillais chez lui.»

Nous pénétrons derrière lui dans la cour de la ferme. Là encore seuls signes de vie, deux chiens et quelques poules, tandis, que dans l’étable, quatre vaches et deux mulets tirent sur leurs chaînes. Un fil de fer est tendu entre deux murs de la cour. Deux mouchoirs y sèchent. Sous l’un d’eux, deux briques recouvrent une petite tache de sang marquant l’endroit où Mr André Bénéjean (né le 18 juin 1926 à Aïn-Taya) est tombé, le crâne fracassé par une balle en plein front. A trois mètres de là, une autre brique indique où est mort Mr Michel Bénéjean (né le 15 décembre 1889 à Chébli).

Sous un appentis, quelques sacs de ciment vides, rassemblés en un petit tas, forment l’oreiller sur lequel Mme Michel Bénéjean (née Claire-Marie Roque le 27 février 1901) rendit le dernier soupir dans les bras de son fils Emile (né le 25 février 1925 à Rouïba) et qui ne fut que blessé. En effet, les déclarations du gardien corroborent celles du rescapé de cette tragédie.

Laissons parler Mr Emile Bénéjean que tout le village appelle familièrement « Milou » et que nous avons retrouvé à l’hôpital de Ménerville où on le soignait pour une balle logée dans le haut de l’épaule, et qui, fort heureusement n’a pas traversé le poumon comme on le craignait avant-hier.

«… Ma mère, qui avait entendu les bruits de notre conversation, sortit sur les entrefaites. A cet instant, l’un des hommes armés s’avança et dit : « nous voulons de l’argent ». Mon père lui répondit : « vous savez en général nous n’avons pas beaucoup d’argent disponible, nous avons ici 10.000 francs, je vais vous les chercher si vous le voulez ». Le chef du groupe repoussa brutalement celui qui venait de parler et qui d’ailleurs me semble être un visage connu de la région et lui ordonna « retire toi » puis se tournant vers mon père : « nous ne voulons pas de votre argent, que veux-tu qu’on fasse avec 10.000 francs ? »

« Il me demanda ensuite de lui donner toutes nos armes, ce que je fis immédiatement, car j’avais toujours les mitraillettes braquées sur moi. Sentant peut-être le danger qui nous menaçait, mon père dit aux rebelles : « ne nous faites pas de mal, nous ne sommes que des ouvriers qui travaillons la terre pour vivre ».

Les rebelles nous ordonnèrent à cet instant (20 minutes au moins s’étaient écoulées depuis leur intrusion dans la cour) de nous mettre en ligne. Mon frère se trouvait près du perron, dans la cour, ayant mon père à 3 mètres de lui, la main dans celle de ma mère. Moi-même je me trouvais près de l’appentis. Et soudain sans autre explication, les trois hommes tirèrent, deux avec des mitraillettes, le troisième avec un fusil de chasse (dont la balle devait atteindre André Bénéjean en plein front). Dès les coups de feu je me jetais à terre. Avant de se retirer, l’un d’entre eux s’avança vers moi qui ne bougeais toujours pas et tira le coup de grâce. Bien que blessé, je restais immobile.»

Les fermes Mary et Chatenay

Comme les deux autres, celle de M. Mary n’était qu’à une centaine de mètres à peine de la route nationale qui mène à Constantine. Heureusement pour lui, M. Mary s’était absenté de sa ferme pour acheter des cigarettes au village de Palestro. Fous de rage, les fellagha tuèrent toutes les bêtes de l’étable et même le chien, Ritou, qui était attaché à une chaîne dans la cour.

A la ferme Pons

Poursuivant notre triste tournée, nous reprenions la route nationale en direction de Thiers et après quelques kilomètres (9 exactement après Palestro) dans un cul de sac, à la sortie d’un virage apparaissait la ferme de Mr Raymond Pons, entourée de fils de fer barbelés : le seul moyen de défense possible, car sa position du point de vue militaire était strictement indéfendable. Nous y avons retrouvé Mr et Mme Pons encore sous le coup de l’émotion et qui s’apprêtaient à quitter définitivement cette ferme où après 12 ans d’efforts, Mr Pons avait réussi à mettre en valeur des terres en friches auparavant.

Voici comment il nous raconta lui-même l’attaque dont il fut l’objet :

« Il était 18h40 (toujours la même heure à quelques minutes près). Ma femme préparait le dîner dans la cuisine et moi-même faisais dans mon petit bureau, face à la porte d’entrée de la cour, les comptes de la journée. J’entendis le portail grincer tandis que mon chien aboyait. Je sortis sur le pas de la porte et me trouvai en présence d’un militaire armé d’une mitraillette, qui se précipitant à mon devant, me cria : « Haut les mains ».

Dans un brusque reflex je sautai en arrière et repoussai violemment la porte. A cet instant, la rafale partait et ouvrait de nouveau la porte mal fermée. J’avais déjà mon revolver à la main (un petit 6.35 à barillet) et lorsque l’individu se présenta face au couloir, nous tirâmes en même temps […] Je crois bien l’avoir touché, car je le vis tituber […] Je me rendis compte alors qu’il y avait deux autres rebelles qui accompagnaient le premier et qui tout comme lui  prenaient la fuite vers la montagne proche. »

«… J’aurais d’ailleurs dû  me tenir mieux sur mes gardes […] un de mes amis musulmans m’avait engagé, vendredi soir, à quitter ma ferme. Je le fis samedi car j’accompagnais en même temps ma fille à son pensionnat à Alger et confiant, malgré tout, je rentrai lundi soir. Mon ami musulman que je rencontrai me dit alors : « Tu es revenu Raymond, tu as eu tort, la nuit dernière, des fellagha m’ont imposé pour 50.000 francs et j’ai payé car c’était l’argent ou la gorge. J’ai même dû emprunter 15.000 francs pour compléter la somme. Ces prédilections devaient malheureusement se révéler exactes. Aussi, aujourd’hui, comme vous le constatez, je pars… »

http://perso.netopi.fr/lkeller/palestro/souvenirs/ville_martyre/ladepeche.htm

La ville de Palestro, devenue Lakhdaria (60 000 hab.) est peuplée « d’une population d’origine kabyle, aujourd’hui majoritairement arabisée » (Wikipedia) et s’est couverte de mosquées (l’église semble avoir disparu).

 

 

La nouvelle « mosquée-cathédrale »

 

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19 Commentaires

  1. Quatre vaches et deux mulets, ce n’est pas ce qu’on peut appeler la fortune !

    Ces bougn…du FLN ont tué et chassé ceux qui suaient sang et eau pour mettre cette terre en valeur et en tirer qq chose, et qu’en est-il advenu ????
    une terre à l’abandon car la richesse ne venait pas de la terre , mais de ceux qui savaient s’en occuper

    Ils se sont dépêché de venir chez leur  » colonisateur », profiter des produits de leur sueur, car ça ne les a pas empêché de voir combien les français étaient capables de produire de la richesse à la sueur de leur front,

    Alors, les formules gauchiasses du genre  » faire suer le burnous », faut les oublier, et regarder la réalité des évènements,
    s’ils suaient si bien, qu’ils retournent donc suer sur la terre qu’ils ont volée par la TERREUR et la barbarie, sur la terre retournée au désert depuis qu’ils en ont sont responsables

  2. Trump a réussi ce que personne n’osait espérer pour les Corée du Nord et du Sud ,c’est que les peuples de ces deux pays qui n’en sont qu’un puissent enfin se retrouver et rien que pour ça je dis merci Monsieur Trump et chapeau bas !

  3. Macron apprend l’histoire de France contemporaine avec Médiapart, la fosse d’aisance de la désinformation de l’immonde plenel. Ce merdia devrait ouvrir un bureau permanent en Chine et à Cuba, il ferait un tabac. Par contre, il vont devoir fermer leur maison mère en Corée du Nord en passe de rallier la Corée du Sud, donc les USA. À qui se fier…

  4. Merci pour resituer le contexte des hostilités déclenchées par l’ALN et le FLN, de rapporter toutes les ignominies et atrocités par ceux-là même que Audin et ses amis staliniens ont aidés, et qu’aujourd’hui Macron vénère! Ce dernier ose évoquer tortures qu’aurait subies un traître à la France qui, comme le disait Zemmour, aurait dû avoir droit à 12 balles ! Merci pour cet article qui vient compléter les précédents ici-même et le mien sur BV (lien http://www.bvoltaire.fr/guerre-dalgerie-lhemiplegie-demmanuel-macron/?mc_cid=efdd5c35e8&mc_eid=b303cbb8e2 ) dans lequel je rappelle que sont aussi auteurs de lâchetés innommables, criminelles d’autres Français, dont le comble, des officiers français, le Gal Katz interdisant qu’on portât secours aux quelques 3000 Oranais enlevés et massacrés, le colonel tortionnaire Debrosse sur des femmes et hommes patriotes, sur les barbouzes constitués de malfrats et anciens de la gestapo, la sinistre « Mission C » et des ordres infâmes comme ceux des ministres Joxe vis-à-vis des harkis leur interdisant de venir en métropole, ou les obligeant à retourner à l’abattoir algérien ! Ça ne faisait qu’obéir aux injonctions intransigeantes du « grand Charles » les traitant de « magma dont il faut se débarrasser » et le socialiste Defferre lui prêtant main forte incitant à jeter les rapatriés à la mer! Ce que les dockers CGT firent avec les containers de ces mêmes patriotes abandonnés ! Imaginez que cela soit dit ou fait avec les intrus qui nous arrivent ! C’est scandale et procès illico !!

  5. Médiapart et son maitre à penser Plenel n’ont pas évolué d’un yota depuis la guerre d’Algérie sur cette question et cela fait partie des raisons pour lesquelles, moi qui était mesuré, j’ai révisé ma position sur le sujet quand j’ai constaté ,de l’intérieur, dans la gauche, que des gens jugeait une situation par des considérations idéologiques et doctrinaires sans aucun ancrage dans la réalité.
    J’ai la faiblesse d’appuyer mes convictions sur les témoignages de gens qui ont vécus dans leur chair les évènements avec tout le recul nécessaire pour ne pas tomber dans le pathos .
    Les pieds noirs autour de moi malgré l’extrême désarroi dans lequel ils se sont retrouvé après avoir tout perdu étaient eux beaucoup plus dignes que ces pro Algérie répétant leur litanie idéologique dénuée de toute humanité.
    Le héros de l’indépendance érigés en icône comme l’avaient été ceux de l’URSS en plein culte de la personnalité.
    C’est cela qu’était venu recherché le trotskystes Plenel en Algérie post coloniale se rassurer et conforter que ses propres choix étaient les bons en dehors de toute réalité mais avec les armes de la propagande en cours surtout en 1965 dans l’Algérie de Boumedienne.
    Quelles crédibilité et quelle objectivité peut avoir un tel personnage pour juger de ce qui est la vérité.
    Et quelle valeur peut avoir un Président qui se base sur cette seule vision d’une guerre qui a touché plusieurs couches d’une population.
    Si il est le président des Français ne devrait-il pas avoir plutôt de l’empathie pour ceux qui étaient attachés à la France que ceux qui dans leurs propre hymne démontrent toute leurs haine pour notre pays sans avoir une minute essayé d’en changer les paroles?
    Ou alors fait il par calcul électoral le choix du plus grand nombre, les chiffres qu’il aurait en main indiquant que les maghrébins seraient avec les naissances plus nombreux aujourd’hui que les descendants rapatriés .
    C’est ce qui rend un Plenel et d’autres de son espèce un peu ridicules car ce qu’il pense être une victoire des exploités sur les colons n’a été en réalité que l’expulsion d’un million de Français et leurs amis de leur pays l’Algérie par 12 millions d’Arabes et Kabyles qui avaient fait le choix de se passer d’une partie de leur composante par les armes si il le fallait !!
    Peut-on nous rappeler comment sont appelés les Français qui veulent faire la même chose en France pour les immigrés Arabes par une gauche décidément incurable ???
    I

  6. Notre petit communicant voit son plan marketing partir en sucette et ne sait plus que faire pour rafistoler son image écornée. Cette misérable manœuvre de repêchage chez les communistes, après celle opérée chez les « insoumis », est du même tonneau que celle visant les musulmans pendant la campagne présidentielle avec la mise en accusation de la France en Algérie pour « crimes contre l’humanité ». Palestro ? Non, ça ne lui dit rien à notre ignare en chef, tant en histoire qu’en géographie. Pas plus que Guy Monnerot, instituteur français assassiné le 1er novembre 1954 par une bande de fellagahs entre Batna et Kenchela dans les Aurès. Ce fut la première victime de la guerre d’Algérie : un civil venu mettre ses compétences au service des populations analphabètes ; comment le repentant Ben Macron qualifierait-il cet acte abominable ? Et la mémoire de cet instituteur, il s’en fout ; pas assez rentable électoralement parlant ? Pauvre guignol.

  7. Dans le texte de Médiatart, remplacez « armée française » par « migration arabe » et « parti communiste algérien » par « parti populiste français, supprimez Alger, et placer « étrangère » à la place de « coloniale » et vous verrez que Médiapart est très actuel !

  8. Il y avait lieu d’avoir honte de JC. Maintenant EM enfonce le clou dans cette plaie qui ne se refermera jamais. Macron démission !

  9. Combien de ces tueurs du FLN ne sont-ils pas venu se réfugier chez nous et y sont encore pour y profiter de toute les aides que nos dirigeants leur accordent ?
    Pauvre de nous !

  10. Macron est un inculte crasse, il ne connait peut être ni Clovis, ni Charlemagne. Il a lui même nié que la France ait une histoire, quelle pauvre tâche ce type, comment voulez vous qu’il connaisse quoi que ce soit a la guerre d’Algérie, même si ça fait partie de l’histoire de France. Et ce minus n’est même pas foutu de se documenter un tant soit peu avant d’aller étaler sa « repentance » nauséabonde devant la veuve d’un traitre. Tout ce que fait ce petit con n’est motivé que par son désir de servir sa minable petite personne

  11. Tin! on a cru que tu avais disparu noyé dans le bou reg reg

    et nourrissant les aloses

  12. Bonsoir à toutes et tous,

    De toutes les façons ce communiste aurait fini… selon le coran:

    Le repentir (At-Tawbah)
    Révélé après l’Hégire. Il y a 129 versets

    1. Désaveu de la part d’Allah et de son messager à l’égard des associateurs avec qui vous avez conclu un pacte.
    4.A l’exception des associateurs avec lesquels vous avez conclu un pacte, puis ils ne vous ont manqué en rien, et n’ont soutenu personne [à lutter] contre vous: respectez pleinement le pacte conclu avec eux jusqu’au terme convenu. Allah aime les pieux.
    17.Il n’appartient pas aux associateurs de peupler les mosquées d’Allah, vu qu’ils témoignent contre eux-mêmes de leur mécréance. Voilà ceux dont les œuvres sont vaines; et dans le Feu ils demeureront éternellement.

    Et voici ce qui attend (ait) le communiste de la part de ses amis du fln qui est d’essence musulman d’ailleurs l’article 2 de la constitution anegérienne dit l’islam est religion d’État !

    29.Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humilies.
    111. Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis. Ils combattent dans le sentier d’Allah: ils tuent, et ils se font tuer. C’est une promesse authentique qu’Il a prise sur Lui-même dans la Thora, l’Évangile et le Coran. Et qui est plus fidèle qu’Allah à son engagement ?Réjouissez-vous donc de l’échange que vous avez fait: Et c’est là le très grand succès.

    De toute façons nous n’avons jamais rien attendu des différents gouvernements de la France.

    Vive la France, vive nous.

  13. « La ville de Palestro, devenue Lakhdaria

    hahahahaha! le D est vraiment de trop

    Lakharia suffit largement……joke destiné a ceux entendant un petit peu l’ arabe

    non, Yann, içi plus personne ne connait, sinon les derniers survivants de ces cette époque de crimes abominables, ou les vieux!
    ni Ben Bella, ni le Boum Boum et dienne, ni chadli, ni le mort vivant boutef, personne n’ a demandé pardon pour ces horreurs

    et mieux, je me permets de rappeler a nos (vrais) concitoyens , harkis entre autres,l’ hymne national algérien pétri d’ insolence et d’ arrogance méprisante envers la France
    France qui, soit dit en passant, a empêché des millions d’ entre eux de crever de faim en les accueillant aprés leur cocasse « indépendance »
    juste un extrait

    «  »Yâ firansâ qad madhâ waqt ul-ʿitâb
    Ô France ! le temps des palabres est révolu
    Wa tawaynâhu kamâ yutwa l-kitâb
    Nous l’avons clos comme on ferme un livre
    Yâ firansâ inna dhâ yawm ul-hisâb
    Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
    fa-staʿiddî wa khudhî minnâ l-jawâb
    Prépare toi ! voici notre réponse
    Inna fî thawratinâ fasl al-khitâb
    Le verdict, Notre révolution le rendra
    Wa ʿaqadnâ l-ʿazma ʾan tahya l-jazâʾir.
    Car nous avons décidé que l’Algérie vivra
    Fa-šhadû ! Fa-šhadû ! Fa-šhadû !
    Témoignez ! Témoignez ! Témoignez !

    En savoir plus sur https://www.lacoccinelle.net/263540-hymne-national-qassaman-hymne-national-algerien.html#xl22G99zWtcSxseL.99

    • Mince alors, j’ai fait un article à la mémoire de fantômes et qui n’intéressera personne… 🙁

      •  » qui n’intéressera personne… ? »
        Détrompez-vous mais que dire devant de telles horreurs que vous avez fort légitimement rappelées, en raison de la folie criminelle de l’abjecte trahison de Macron et alors que nous sommes aujourd’hui même en France métropolitaine, sous la menace d’un immense malheur, dans le déshonneur le plus total, avec la programmation toujours actuelle de Medine au Bataclan !…

        • Voilà, vous avez raison de faire le lien entre Medine et cet article :

          « Médine, de son nom complet Médine Zaouiche, né le 24 février 1983 au Havre, en Seine-Maritime, est un rappeur français

          Son père, né en Algérie, est arrivé en France à l’âge de 4 ans. Sa mère, également d’origine algérienne est née en France. »
          https://fr.wikipedia.org/wiki/Médine_(rappeur)

          Et le type va peut-être chanter qu’il faut crucifier les « laïcards »,«si j’applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante», «Marianne est une femen tatouée « Fuck God » sur les mamelles», «J’mets des fatwas sur la tête des cons», le tout en arborant « Jihad » orné d’un glaive, sur le lieu de l’attentat islamiste le plus sanglant qu’ait connu la France…

          Entre le jihad du FLN, le jihad de Daesh et celui de cette énième génération de Franco-algériens réislamisés, je ne vois pas la différence. Sauf que cela se passe désormais sur notre territoire.

    • Incroyable !
      Quand on sait que l’ Algérie est une invention française , et que , sans la France , les fellaghas continueraient de sodomiser leurs chèvres dans les Aurès …

  14. Malheureusement nos politiques et les branleurs de notre pays ne liront pas ces récits chargés d’horreurs , la douleur après passé 65 ans est toujours là dans les familles de nos amis pieds noirs et je les comprends . Les auteurs , sans honte ,ont eu pour la plupart ,dès la signature d’arrêt de cette guerre , la bonne idée d’aller se faire nourrir en France chez le méchant colonisateur .Voila un peuple creux sans fièreté sans honneur et sans amour propre , la preuve ça continue de venir et ils referont chez nous ce qu’ils ont fait dans leur pays détruire et tuer .Malheureusement la myopie de notre classe politique ne nous protègera pas au contraire ils les préfèrent au notre .

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