Je propose un voyage initiatique aux neo-féministes qui défendent le voile

Le voile est en 2018, c’est une évidence, un phénomène qui focalise toutes les polémiques, toutes les contradictions, toutes les positions les plus contrastées. Pas un jour ne passe sans que nous ayons de débat sur le sujet, pour ou contre, voile insupportable instrument de soumission des femmes ou voile tenue vestimentaire devant relever de la liberté individuelle. Ainsi, il y a ceux qui sont radicalement, farouchement opposés à cet accoutrement et donc ne tergiversent pas, j’en fais partie, et ceux qui par bêtise, mauvaise foi, opportunisme, idéologie gauchisante, c’est au choix, le mettent dans la catégorie des libertés individuelles.

Je trouve cela risible, antinomique mais bien plus une hypocrisie sans nom quand on sait la signification première du voile et enfin ceux qui prônent cette liberté, des personnes qui vivent dans le confort occidental, dans un pays de droit où le risque n’est pas bien grand, dans un pays où porter le voile n’expose pas les personnes à une perte de leur dignité. Et pour nos dhimmis gauchisantes du genre de Madame de Haas, Autain, je dirais c’est encore pire, elles se prononcent sur des choses qu’elles ne connaissent pas, qu’elles ne maîtrisent pas et dont elles n’ont même pas idée.

Mais bon, soit le voile ou le hidjab, on va aller dans le sens de ces championnes de la liberté, n’est seulement en définitive et dans l’absolu qu’un bout de tissu  qui peut être « négligemment » posé sur les cheveux, qui peut simplement recouvrir le corps d’une femme. On est d’accord là-dessus, pas de problème. C’est ce que je vois moi aussi quand je rencontre une femme voilée, hidjabisée dans la rue. D’accord, c’est vrai, je ne peux pas dire le contraire.

Le voile, le hidjab donc au premier abord, si on n’est pas trop regardant, ça n’est que du tissu donc pas grand-chose ; et c’est ce que s’évertuent à nous faire croire les néo féministes notamment l’inqualifiable Diallo de son prénom Rokhaya.

Sauf que, sauf que, voilà le voile est tout sauf un bout de tissu comme un autre, est tout sauf une tenue comme une autre. Comparer à ce propos le voile à une jupe courte, à des talons, c’est d’une formidable hypocrisie, d’une mauvaise foi qui ne dit pas son nom. Dire comme ces féministes de pacotille que la jupe courte réduirait elle aussi à l’état d’objet la femme occidentale, c’est une sinistre farce ou c’est vraiment nous prendre pour des c… C’est au choix, selon votre humeur.

Alors à ces dames, j’aimerais dire sortons maintenant de la polémique stérile, voile imposé ou choisi, voile instrument de soumission ou tenue relevant de la liberté individuelle. Je ne vais pas palabrer pendant des heures pour vous convaincre, tout a été dit sur le sujet. Je vais juste vous proposer de m’accompagner dans un voyage initiatique de l’autre côté de la Méditerranée, en terre islamisée. Là bas, vous ne serez plus Caroline, Clémentine, enfin bref vous ne serez plus la femme occidentale, libre de choisir son destin mais une femme lambda vivant dans une famille musulmane classique, pas trop rétrograde, dans la moyenne. Pas de caricature, on va éviter.

Vous voilà donc vivant dans une grande ville du Maghreb, peu importe laquelle, il est 21 heures, vous avez envie d’aller boire un verre avec vos amis, hommes (aïe, ça craint là) et ou femmes (c’est plus consensuel) et là comme à votre habitude vous prenez votre sac et vous vous dirigez vers la porte. Mais là, paf sorti dont on ne sait où, un homme de votre famille qui vous choppe par le col et vous dit avec véhémence : « Ooooh !!!! Tu vas oùuuu là ! Tu te crois oùuuu, tu la veux celle là, allez demi tour, non mais ces femmes elles se croient tout permis. Heureusement que je suis là pour veiller à la bonne marche des choses dans cette famille sinon dieu seul sait où ça ira… ».

J’exagère à peine. Cette situation, somme toute anodine, pas encore trop grave, sans que j’aie besoin d’en dire des tonnes, résume de façon simple la situation de la femme musulmane. Elle n’a aucune liberté, rien de rien, nada, zéro. Elle n’est rien mais alors rien du tout, pour le coup là elle ne vaut pas plus qu’un simple objet et là ce ne sont pas que des mots, c’est du réel. J’ai volontairement fait l’impasse sur les faits divers habituels, femme retrouvée morte après avoir « déshonoré » sa famille pour x raison. Non! Non! Je vous assure, c’est tous les jours dans la moindre situation de la vie courante que la femme mesure, comprend sa place qui est la sienne dans la société musulmane. On le lui rappelle à la moindre occasion, elle n’est pas prête de l’oublier, on ne lui en laisse pas le loisir. Elle se doit d’être obéissante, de respecter à la virgule près les consignes familiales, de laisser de côté ses aspirations pour se fondre dans un moule rigide à l’extrême, intransigeant, incontournable. Si elle ne respecte pas les obligations qu’on lui a serinées dès sa plus tendre enfance, c’est à ses risques et périls. C’est à elle de voir si elle tient à la vie. Bref, je ne vois en aucun cas dans tout cela de liberté mais si cela vous plait de faire croire le contraire… Allons-y gaiement !

Le voile pour ma part c’est la suite logique qui attend les femmes ayant abdiqué, ayant bien intériorisé leur place dans la société c’est-à-dire de n’être rien, de ne pas avoir d’existence propre, pas de féminité, rien, le néant. Et donc plus qu’un bout de tissu, c’est ce que je vois quand je croise une femme voilée dans la rue, LE NEANT, le RIEN ! Je vois simplement le résultat des siècles d’aberrations mahométanes, le résultat du statut d’infériorité dans lequel ont grandi toutes ces musulmanes. C’est pas plus compliqué !!!

Là mesdames, je vous ai volontairement envoyées au Maghreb mais est-ce bien différent du côté des territoires islamisés de France ? Hein pardon, je n’ai pas entendu votre réponse. En fait, on aurait pu éviter la traversée de la Méditerranée, il suffisait de traverser le périphérique parisien par exemple et on y était dans notre voyage initiatique. J’ai préféré jouer la carte de la clarté, pas de confusion possible avec le prétendu racisme subi en France comme explication bidon qui serait donnée au port du voile…

Mesdames quand vous vivrez dans de tels environnements hostiles et que vous aurez le courage de me dire sincèrement que vous êtes heureuses malgré tout, à ce moment on pourra reparler du voile et de la liberté de le porter. Là je vous écouterai sans problème, là j’acquiescerai sans souci, là je serai toute ouïe. Vous aurez toute mon attention mais pas avant je vous le confirme. Et encore vous avez de la chance, je ne suis pas allée volontairement dans une histoire sordide de violence, de crime d’honneur. Ce n’est de toute façon pas nécessaire, il n’y a pas besoin d’aller bien loin pour mesurer l’horreur que vivent les femmes sous la doctrine islamique.

Bien à vous mesdames les néo féministes, j’espère avoir bientôt de vos nouvelles et votre réponse pour ma proposition de voyage initiatique…

Je rajoute mesdames que je ne suis certes pas voilée et pourtant je suis une femme bien, pas aguicheuse pour un sou, pas non plus disponible pour les assauts impétueux des éventuels lubriques musulmans qui devraient aller du coup se camisoler en cas d’élans incontrôlables.

Et, et, car il y a encore un et, vous défendez des femmes qui n’ont pas une grande considération pour vous, femmes occidentales que vous êtes. Honnêtement, je me fiche éperdument du sort des femmes voilées, après tout c’est leur choix, elles nous le répètent bien assez, si ce n’est que leur choix scinde en deux la population féminine. Il y a donc d’un côté ces femmes hidjabisées, sanctuarisées qui se parent de toutes les vertus (mon œil) de par leur voile islamique et de l’autre côté toutes celles qui sont non voilées et qui sont par là-même des femmes de peu de morale, des femmes que l’on peut agresser à souhait, que l’on peut violenter en toute quiétude et en toute impunité. Voilà mesdames ce qui me dérange, voilà ce que je trouve grave pour nous toutes. Ces femmes en se barricadant nous livrent toutes à tous ces frustrés, tous ces malades du sexe féminin. Le signal donné c’est que nous méritons d’être agressées, d’être humiliées et surtout pas respectées dans notre intégrité physique.

Votre attitude face au voile est une vraie bombe à retardement, votre attitude qui consiste à les défendre n’est ni plus ni moins pour ma part une attitude suicidaire, un crime commis contre les femmes. Voilà c’est dit, ça me gratouillait depuis un moment déjà.

La féministe, que je suis, vous dit aussi rappelez vous ce qu’est le féminisme. Comme nos aînées l’ont fait pour nous, c’est défendre le droit des femmes et non pas les femmes à tout prix même dans leurs pires conneries. Femmes nous restons faillible comme tout le monde mais défendre le droit des individus, c’est autre chose, c’est un bien pour le progrès humain qui ne nous appartient pas et que nous léguerons à notre tour aux générations futures.

    PS : Saviez-vous qu’en Algérie, une femme dite majeure (ah !ah ! je ris, je ris) pour se marier doit se présenter avec son tuteur (appelé wali) exactement de la même manière que la fille mineure ? Cherchez l’erreur, elle est majeure ou mineure ? A vous de choisir. Je vous mets ci-dessous l’extrait de la farce (charia) euh du code algérien de la famille. Encore une liberté des femmes en islam, on ne les compte plus les libertés…

Art. 11. (Modifié)

– La femme majeureconclut son contrat de mariage en présence de son «wali»qui est son père ou un proche parent ou toute autre personne de son choix.

Sans préjudice des dispositions de l’article 7 de la présente loi, le mariage du mineurest contracté par le biais de son «wali», qui est le père, puis l’un des proches parents. Le juge est le tuteur de la personne qui en est dépourvue.

Aussi, je vous ajoute, cette fois-ci c’est le dernier, un extrait de la tribune qu’a écrite Kamel Daoud, journaliste et écrivain algérien, à propos des viols commis à Cologne et qui illustre vraiment bien la situation de la femme dans la société musulmane :

Le corps de la femme est le lieu public de la culture : il appartient à tous, pas à elle. Ecrit il y a quelques années à propos de la femme dans le monde dit arabe : « A qui appartient le corps d’une femme ? A sa nation, sa famille, son mari, son frère aîné, son quartier, les enfants de son quartier, son père et à l’Etat, la rue, ses ancêtres, sa culture nationale, ses interdits. A tous et à tout le monde, sauf à elle-même. Le corps de la femme est le lieu où elle perd sa possession et son identité. Dans son corps, la femme erre en invitée, soumise à la loi qui la possède et la dépossède d’elle-même, gardienne des valeurs des autres que les autres ne veulent pas endosserpar [pour]leurs corps à eux. Le corps de la femme est son fardeau qu’elle porte sur son dos. Elle doit y défendreles frontières de tous, sauf les siennes. Elle joue l’honneur de tous, sauf le sien qui n’est pas à elle. Elle l’emporte donc comme un vêtement de tous, qui lui interdit d’être nue parce que cela suppose la mise à nu de l’autre et de son regard. »

Une femme est femme pour tous, sauf pour elle-même. Son corps est un bien vacant pour tous et sa « malvie » à elle seule. Elle erre comme dans un bien d’autrui, un mal à elle seule. Elle ne peut pas y touchersans se dévoiler, ni l’aimer sans passerpar tous les autres de son monde, ni le partagersans l’émietter entre dix mille lois. Quand elle le dénude, elle expose le reste du monde et se retrouve attaquée parce qu’elle a mis à nu le monde et pas sa poitrine. Elle est enjeu, mais sans elle ; sacralité, mais sans respect de sa personne ; honneur pour tous, sauf le sien ; désir de tous, mais sans désir à elle. Le lieu où tous se rencontrent, mais en l’excluant elle. Passage de la vie qui lui interdit sa vie à elle.

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35 Commentaires

  1. Vous ne croyez pas si bien dire « Flupke » il n’y a pas que le voile , il y a le hallal dont on entendait peu parler jusque dans les années 90 correspondant avec l’Islamisation du Maghreb .avec la guerre sanglante en Algérie entre le FLN et le FIS. dont certains membres ont certainement trouvé refuge en France…

  2. Le foulard islamique n’est-il pas une simple mode ? Il y a 40-50 elles n’en portaient pas dans nos pays. Et maintenant elles le portent quasi toutes.
    Plus on en parle, plus elles le mettent, comme pour nous narguer.

  3. Formidable réquisitoire contre le statut fait aux femmes par la religion Musulmane! Il y a juste un petit bémol à tout ce dont vous témoigner dans votre récit c’est que la liberté de la femme est de moins en moins incarnée par la femme occidentale et ne peut donc servir d’exemple aux femmes issues de la culture musulmane éprises de libertés .
    Pour une Christine tasin se retrouvant régulièrement au tribunal pour ce qui relève de la liberté d’opinion sur la religion de L’Islam et donc par là défendant la cause féminine face à une procureur femme ou une juge femme, combien de Clémentines et de Carolines comme vous le dites si bien se faisant les complices d’une tyrannie masculine musulmane et un carcan parfois vestimentaire à l’encontre de la gente féminine issue des pays majoritairement musulmans.
    Je pense que le féminisme est à réinventer de l’intérieur par ces femmes qui ne pourront compter que sur leur propre force de conviction et celles de leurs congénères restées aux pays ainsi que quelques hommes qui se battent déjà très courageusement et admirablement contre ce qui est une véritable oppression masculine réalisée à travers la religion musulmane qui est la règle absolue dans nombre de pays comme vous l’avez très bien démontré.

  4. « Le dernier encart, en bleu, est celui qui m’interpelle le plus, extrait de la tribune de Kamel Daoud, une monstruosité qui devrait faire bondir n’importe quelle féministe, si elle consentait à lire et essayer de comprendre ce qui est écrit, mais peut-être est-ce trop leur demander ? »

    Oui c’est incompréhensible de se dire qu’elles défendent cela et ne cherchent même pas à essayer de comprendre.

    J’ai une petite – éventuelle – explication : j’ai constaté (expériences vécues) que certains, notamment beaucoup à gauche, aiment exclusivement le « combat ». « Etre contre » (n’importe quoi parfois) est ce qui compte le plus au détriment de la réflexion donc de la « nature » même du combat. Au-delà, cela ne les intéresse pas.

    J’ai connu ainsi de près des socialistes qui se battaient depuis des lustres pour obtenir une élection municipale, et une fois élus, sont restés démunis car ils n’avaient même pas imaginé gagner l’élection.

    Au bout du compte, ils fonctionnaient durant tout leur mandat comme dans une association oubliant le côté « symbolique » d’une institution publique telle une mairie et donc qu’ils venaient « représenter » quelque chose au niveau collectif, dont notamment TOUS les citoyens.

    Pour exemple, lorsque des anciens combattants américains (âgés du coup) qui avaient libéré la France en 39-45 sont venus dans la commune, aussi incroyable que cela puisse paraître, certains élus (de gauche donc) volant intellectuellement bas il faut le reconnaître, ont refusé de venir à la cérémonie organisée tout simplement parce qu’il s’agissait « d’américains »….. Faisant donc fi de leur rôle et de leur devoir de représentation.

    Désolée de le dire, mais c’est souvent le cas et cela explique, ajouté à ceux qui sont eux des obsédés du Pouvoir (avec un grand « P »), les décisions iniques qui sont prises ignorant l’intérêt général et le fait qu’il s’agit de l’argent des Français qu’ils dépensent pour se satisfaire et non du leur (idem dans beaucoup d’associations aussi).

    C’est surprenant d’ailleurs, j’ai remarqué que dans notre Société actuellement, on ignore le côté « symbolique » des choses, accès qui n’est pas donné à tout le monde il est vrai.

    Je pourrais en donner un exemple qui me frappe : ce refus de la transmission du patrimoine, « dada » de la gauche, qui oublie qu’un objet (donc un patrimoine, un lieu, etc…) est investi d’une valeur affective et n’est pas qu’un objet…. et donc que « transmettre » est une valeur symbolique très importante voire essentielle pour l’humain.

    Le plus grand paradoxe c’est finalement celui-là : ce sont ceux qui sont les plus préoccupés d’humanisme qui ignorent le plus le fonctionnement humain. En fait, ce sont des gens qui ne s’occupent que d’eux-mêmes.

    Voilà pourquoi en partie à mon sens que des « féministes » peuvent « se battre » pour le contraire de ce qu’elles professent.

    • Effectivement, la gauche est actuellement « contre tout » : la France, les Français, le patrimoine, l’histoire etc. Elle adore désormais « déconstruire ». Comme un enfant content de casser l’ouvrage patiemment construit par son petit camarade…

      • Je rajoute que je pense que dans son fondement elle est comme cela. C’est le « changement » parait-il, qui voudrait dire « évolution » (cf 1968, la Révolution , où il fallait tout détruire »)..

        Ces deux mots ne sont pourtant pas synonymes, tout changement n’étant pas évolution.

        J’irais même plus loin : le changement pourrait aussi vouloir dire se retourner parfois vers des choses du passé qui, éprouvées, marchaient et étaient intéressantes, l’expérience étant le meilleur des repères.

        C’est peut-être un peu pour cela que les « anciens » et ce qu’ils peuvent transmettre sont mis à l’écart dans notre société…

    • D’accord avec vous deux, la gauche immature qui bave encore sur ses bavoirs, qui fait sa crise des 6 ans d’âge, âge auquel on dit non à tout, on casse ses jouets pour s’opposer aux « grands » , comme les blackblocs,

      Le pire, c’est que ces gens-là pensent être entrés dans l’âge adulte, et s’arrogent le droit de faire de la politique et de se mêler de tout, et surtout de choses auxquelles ils ne comprennent absolument rien,

      Je rejoins votre analyse dans la transmission du patrimoine qui est forcément symbolique et affectif, car il nous ramène à notre enfance, nos grands parents et notre filiation, donc nos racines,
      les racines étant une notion dont la gauche a horreur, car les humains sont des pièces interchangeables dans les régimes communistes

      • « car les humains sont des pièces interchangeables dans les régimes communistes »

        Oui c’est ce qui s’appelle réduire l’autre à l’état de pur objet….

  5. Le dernier encart, en bleu, est celui qui m’interpelle le plus, extrait de la tribune de Kamel Daoud, une monstruosité qui devrait faire bondir n’importe quelle féministe, si elle consentait à lire et essayer de comprendre ce qui est écrit, mais peut-être est-ce trop leur demander ?

    Et le code algérien, art 11, concernant le WALI, il ne précise même pas que le wali doit être un HOMME, cela va tellement de soi que tout citoyen ne peut être qu’un homme, la femme n’a pas droit à la citoyenneté,
    de même quand il dit les enfants, il ne dit pas les garçons, car dans ce code, seuls comptent les individus de sexe masculin,

    Quelle horreur ! mais quelle horreur !
    merci de nous apporter toutes ces informations@Samia,
    au fil des lectures, on comprend de mieux en mieux ce que cette « fausse religion » vous a fait subir

    • Et pourtant si vrai…Quand je l’ai lu la première fois, sur certaines choses je me suis tellement reconnue dans ses propos que je n’arrivais pas à le croire. Cet extrait je l’utilise pour réconforter des jeunes filles, jeunes femmes qui ont à subir les affres de la violence islamique. Verbaliser son mal c’est la première étape pour se sortir de ce terrible joug.

  6. Très belle explication !

    Dire que la littérature française vous a sauvée et vous a permis de tenir le coup, et d’évoluer malgré le mal que votre religion vous faisait subir, me fait chaud au cœur,

    Que tous ces grands écrivains des siècles passés, puissent venir en aide à une gamine musulmane cloitrée et humiliée, de la fin du 20ème siècle, quelle belle reconnaissance !

    Ce lien qui s’établit dans le temps grâce à notre belle langue si variée, si riche, qu’elle permet d’ajouter des nuances sur tout et d’élargir la conscience, ces hommes de lettres qui ont si bien su la manier et en tirer des trésors de littérature,
    c’est un témoignage fort et inattendu !

  7. Merci beaucoup Samia pour votre témoignage qui est précieux. Je me joins aux compliments que d’autres commentateurs vous ont fait, vous au moins, vous savez de quoi vous parlez et donc avez le droit d’en parler.

    Pas ces soit-disant féministes qui défendent le voile. Ce sont des illuminées, je pense qu’elles ne savent même pas de quoi elles parlent, elles ne savent pas quelles ignominies par leur position elles approuvent.

    Oh oui, emmenez-les en « vacances » dans ces pays….

    Je rajouterai que leur position est une offense faite aux femmes qui souffrent de devoir le porter.

    • Merci en premier lieu pour vos compliments. Tout à fait comme le dit si bien l’écrivaine iranienne Chahdortt Djavann dans son livre « Bas les voiles », c’est un véritable scandale pour les femmes qui souffrent d’être obligées de porter cette infamie sous peine de violence voire de privation de liberté la plus élémentaire.

  8. les femmes voilées c’est comme les mistrals gagnants, ils faut en prendre plusieurs pour pouvoir gagner aux déballage. et encore, ces pas sûr de gagner, à mon avis le mot boudin doit être un mot arabe.

  9. Attention aux femmes musulmanes portant le voile qui ont accumulé de la frustration et la projettent sur une cible plus facile que leurs oppresseurs musulmans.

    Dans https://gellerreport.com/2018/09/muslima-assaults-canadians-marrisa-shen.html/ il y a une vidéo dans le deuxième courriel d’une musulmane voilée qui lance du café sur une « infidèle » participant à une manifestation de canadiens qui dénoncent l’immigration de masse sans filtre de milliers de musulmans incluant un syrien qui 4 mois après sont arrivée aurait assassiné une adolescente canadienne asiatique âgée de 13 ans.

  10. Vous pointez une idée intéressante qui doit être creusée.

    En se voilant, ces femmes, tout en se « protégeant » (de quoi? de la lubricité du mâle blanc? ou bien plutôt du danger du musulman en rut?), désignent donc, si j’ai bien compris, celles qui ne se voilent pas comme des cibles et des proies pour les musulmans. Elles créent donc de l’insécurité pour les autres…

    Par ailleurs, ce voile n’est pas un simple vêtement, mais un costume, ici l’uniforme d’une armée d’invasion décidée à occuper le terrain. Car ce voile identifie et assigne à un groupe revendicatif, et dans le cas présent hostile aux autres.

    Quand je croise des gens dans la rue, je n’ai aucune idée de leur religion, de leurs croyances, de leurs opinions sauf ceux qui s’identifient par un signe, un vêtement. Or agir ainsi est toujours une revendication, ce n’est pas neutre. Ce n’est pas un simple VÊTEMENT, pour se vêtir et se couvrir pour se protéger des intempéries, mais un COSTUME (étymologie identique à coutume, voir les différents sens dont celui de loi https://fr.wiktionary.org/wiki/coutume#Nom_commun ) pour s’identifier et signifier son appartenance, soit à une fonction (policier, pompier etc.) soit à une idéologie

    Ceux qui ont étudié les agissements des organisations islamistes savent qu’ils commencent par là, par le port du costume, afin de faire pression sur tous par le nombre et le quadrillage du terrain. C’est ainsi qu’ils ont procédé en Algérie, débouchant sur la guerre civile (300.000 morts, et ce n’est pas fini)

  11. Moi, sur la photo, j’aime les trois et je ne sais pas laquelle choisir pour me marier!
    Pouvez-vous m’aider?

        • Finalement, j’ai consulté un imam qui m’a dit: « prends les trois, la religion musulmane te le permets! ». Ce à quoi je lui ai répondu: « je ne peux pas, çà doit exiger une grosse organisation! ».
          Il me répond que je n’ai absolument rien compris à la vie. Que trois était un bon chiffre. Une à la cuisine, une qui s’occupe à plein temps des mioches et pendant ce temps tu t’éclates au pieux avec la troisième!
          Pragmatique cette bande de camélidés du désert!!!

          • Il sait de quoi il parle, son pote mahoumerde faisait pareil et a donné l’exemple à tous ses adeptes et cela pour bien longtemps.

  12. Samia, vous êtes une perle. Merci de nous aider à mener ce combat pour informer les gens sur la vérité de l’islam réel.

    Votre aide est précieuse, car vous parlez de l’intérieur, de votre vécu en tant que personne élevée à son corps défendant dans l’islam, dans et par la communauté musulmane et qui donc le connaît parfaitement, dans toute sa perversion. Vous parlez en tant que témoin et victime, aussi en personne parfaitement informée, ce qui vous rend impossible à disqualifier par la rhétorique hystérique des islamophiles et des islamistes.

    On ne peut vous reprocher de ne rien connaître au « véritable islam », d’avoir des préjugés « islamophobes », de parler de ce que vous ne connaissez pas et que de l’extérieur (ce qui est en fait le cas des défenseurs des musulmans)

    On ne peut non plus vous reprocher d’être « raciste » et vous disqualifier paresseusement selon la pratique de ces gauchistes au bulbe atrophié qui s’autoproclament « justiciers » antiracistes et n’ont d’autres arguments que leurs accusations creuses, leurs diatribes haineuses, leurs anathèmes et leurs excommunications débiles.

    Et cerise sur le gâteau, vous vous exprimez parfaitement, français impeccable, argumentaire construit et posé, texte charpenté, et surtout idées claires, réflexion approfondie. Comme disait Boileau, « ce qui se conçoit bien etc. » . C’est primordial pour expliquer, faire comprendre et convaincre.

    Il nous en faudrait beaucoup d’autres comme vous.

    Encore merci.

    • Un grand merci pour votre message qui me touche énormément. La langue française, ne riez pas, est l’une de mes plus grandes amies, elle m’a accompagné tout au long de ces années dans les moments les plus durs de ma vie notamment par mes lectures diverses et variées. Tout y passait mais surtout les écrivains classiques. Je dévorais littéralement tous les livres à ma disposition mais mon plus grand plaisir fut toute la saga des Rougon-Macquart d’Emile Zola. Grâce à l’incroyable richesse de la langue française, j’ai pu exprimer mes blessures et donc les panser. Ce n’est pas du pipeau, c’est réel. A chaque fois que je subissais une injustice dûe à mon statut de femme, je lisais d’une traite un livre. Toute cette lecture m’a permis d’ouvrir mon esprit, de m’évader du monde étriqué de l’islam. L’amour que je ressens pour la langue française, pour la France en définitive est à la mesure de la liberté qu’elle m’a apportée.

      • Samia lire vos textes sont un véritable régale , d habitude je décroche au bout de la 3 lignes mais vous vous savez captiver les lecteurs .Je suis toujours très impatiente de vous lire .Merci à notre Samia .

  13. Beau réquisitoire à charge. Merci de ce regard éclairé. On est bien loin de nos principes républicains ce que semblent oublier tous les « biens pensants ». C’est terrifiant.
    Ne peuvent elles pas se révolter car elles seraient soutenues (peut être, mais faut pas rêver) par le monde occidental.
    Il doit néanmoins être difficile d’échapper à un conditionnement qui dure depuis des siècles.

    • Voilà c’est dit, j’aurais espéré moi aussi que le monde occidental au lieu de cautionner cette foutue charia, ce foutu islam de paix et d’amour, dénonce les aberrations, les atrocités issues de la peste verte bubonique. Mais non…

    • Même pas……
      J’ai passé 10 ans de ma vie en Arabie S. Émirats Bahreïn et Qatar; les femmes voilées, bâchées se promènent en petits groupes et très souvent elles laissent ouverte leur
       » bâche » et les plus jeunes ne se cachent plus le visage. Très souvent, ce sont des femmes magnifiques.
      Visiblement ce sont des femmes qui meurent d’envie de se débarrasser de cette saloperie qui leur gâche la vie, elle regardent les femmes étrangères avec envie.
      Leur problèmes….. Ce sont les hommes, les porteurs de couilles débiles et leur secte casi préhistorique

      • Bonjour,

        Ca me rappelle une sombre histoire.

        Dans la boîte de mon père, il y avait eu un ingénieur, expatrié en Arabie, qui avait « fauté » avec une Saoudienne.

        Il était promis à la décapitation.

        Je ne sais plus comment ils ont fait, mais ils ont réussi à l’exfiltrer et à le rapatrier en France …

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