Une journaliste de RMC en garde à vue pour financement du terrorisme

Mais il paraît que la lèpre, le danger, le nazisme, la désinformation… seraient du côté des sites de ré-information, du côté des patriotes….

Silence radio du côté de RMC. Imaginez si c’était un proche de Marine…

Jihad : Journaliste de RMC en garde à vue

Pour financement du terrorisme…

Jamais Radio Mosquée Coran n’ a autant mérité son nom.

« La journaliste est considérée depuis quelques années comme disposant de solides connaissances dans le milieu des femmes ayant rejoint l’Etat islamique. A l’occasion de plusieurs enquêtes pendant lesquelles elle a côtoyé des familles s’apprêtant à quitter la France pour faire le djihad, elle a cherché à connaître les raisons de leur départ, celles de leur retour et, moins évident, à savoir si les femmes qu’elle a rencontrées sont victimes ou responsables de leurs choix.

La DGSI a découvert des échanges réguliers avec la jeune femme. En lien avec l’entourage de plusieurs djihadistes dont certains sont morts, elle est soupçonnée d’avoir fait preuve d’un peu trop d’empathie ».

Tout indique qu’il s’agit de Céline Martelet :

Comme par hasard son avocat est William Bourdon défenseur des jihadistes.

( PS : c’est bizarre ni Rmc, ni Bfm n’en parlent, quand c’est le clampin moyen ils sont moins discrets).

https://reseaulibre.org/site/2018/09/13/journaliste-de-rmc-en-garde-a-vue/

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14 Commentaires

  1. Il y a fort longtemps que tous ces médias sont de près ou de loin adeptes de la désinformation, courtisants de l’Islam. Nos commentaires ne servent à rien car ils vont vers des personnes comme vous et moi qui sommes quelque peu au courant (et non au Coran) de la situation actuelle de la France et de la désinformation organisée méthodiquement par les médias.
    Donc pour tenter (encore que pour faire bouger les veaux il nous faudra du temps) d’alerter le bon peuple il existe le moyen de faire des copier-coller et d’adresser tous ces articles à nos correspondants et bien entendu BOYCOTTER toutes ces racailles.

  2. Démocratie, gouvernement des juges et recherche de l’équité
    :::: https://www.politiquemagazine.fr/politique/democratie-gouvernement-des-juges-et-recherche-de-lequite/
    AUTEUR : Philipe Pichot-Bravard – (maître de conférences en histoire du droit à l’Université de Brest, chargé de cours à l’I.C.E.S)

    IMG : https://www.politiquemagazine.fr/wp-content/uploads/2018/09/DOSSIER-9-800×360.jpg

    ***Philosophie. Derrière l’appareil juridictionnel et le développement idéologique, la rupture qu’on croit déceler entre démocratie et gouvernement, notamment quand il s’agit du gouvernement des juges, révèle en fait une fracture idéologique profonde. Le droit s’élabore de plus en plus en dehors de la réalité objective.***

    Régulièrement, la jurisprudence du Conseil constitutionnel suscite de légitimes interrogations sur le rôle de cette institution et sur l’existence, au sein de notre système représentatif, d’un « gouvernement des juges », obstacle jugé insupportable à la volonté nationale. Le Conseil constitutionnel est une innovation de la Constitution du 4 octobre 1958, confiant à un conseil de neuf personnalités le soin de veiller au respect de la Constitution. Initialement, le rôle du conseil était relativement restreint. Dans l’esprit du général de Gaulle et de Michel Debré, il s’agissait de parachever la rationalisation du parlementarisme en empêchant le Parlement de reconquérir au fil du temps les prérogatives dont il avait été dépouillé dans la Constitution.

    —–Contradiction du système en lui-même—–

    En 1971, le Conseil constitutionnel a, motu proprio, étendu considérablement le champ de son contrôle en affirmant vérifier la conformité de la loi au « bloc de constitutionnalité », c’est-à-dire non seulement à la Constitution mais aussi au préambule de la Constitution de 1946, à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et aux principes fondamentaux reconnus par les lois de la République, corpus aux contours incertains, exposé à des interprétations, et donc à des partis-pris idéologiques. En 2004, la charte de l’environnement a été intégrée au préambule de la Constitution. Ajoutons que depuis la réforme constitutionnelle de 2008, le Conseil constitutionnel peut être saisi, à l’occasion d’un procès, d’une question prioritaire de constitutionnalité par laquelle une partie dénonce une disposition législative portant atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit. C’est à l’occasion d’une question prioritaire de constitutionnalité que le Conseil constitutionnel a rendu, le 6 juillet dernier, au nom du principe de fraternité, une décision relative à l’aide humanitaire apportée aux « migrants » qui a suscité de vives réactions.

    Le rôle joué par le Conseil constitutionnel marque, à bien des égards, une rupture, partielle et inachevée, avec la tradition juridique révolutionnaire qui, depuis 1789, définit la loi comme « l’expression de la volonté générale » (art. 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen), interdisant de reconnaître l’existence de normes supérieures à la volonté exprimée par la nation et ses représentants, à commencer par le droit naturel. Comme l’a montré le Professeur François Saint-Bonnet, le Conseil constitutionnel renoue avec une tradition antérieure à la Révolution, celle des anciens Parlements vérifiant, avant l’enregistrement des lettres du Roi, que celles-ci étaient conformes à « la droite raison et à la justice », respectueuses des « lois de l’Estat et du royaume », selon l’expression employée par le premier président Achille de Harlay en 1586.

    Cependant, cette rupture n’est que partielle et inachevée. Selon la « théorie de l’aiguilleur » développée par la doctrine constitutionnaliste, le Conseil constitutionnel, en censurant les dispositions d’une loi, se contente de souligner l’incompétence, en l’espèce, du législateur, invitant le gouvernement, s’il souhaite persister dans cette voie, à procéder à une réforme de la Constitution, ce que fit en 1993 le gouvernement d’Edouard Balladur à propos du droit d’asile. En un mot, le Conseil constitutionnel fait appel de la volonté législative devant la volonté constituante. Sa mission demeure marquée par une conception positiviste du droit qui définit le droit comme l’expression d’une volonté, et non comme le moyen de rechercher l’équité. D’ailleurs, dans la décision rendue le 17 mai 2013 à propos de la loi Taubira, le Conseil constitutionnel a refusé d’examiner le moyen selon lequel cette loi est contraire au droit naturel qui définit le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme. Même les protestations qui surgissent régulièrement contre la jurisprudence du Conseil constitutionnel n’échappent pas à ce positivisme : elles dénoncent la volonté des juges au nom de la volonté prêtée au peuple, ou du moins de la volonté de ses représentants.

    —–C’est une question de philosophie même du Droit—–

    En réalité, le conflit entre « démocratie » et « gouvernement des juges » est beaucoup plus profond qu’on ne le croit habituellement. La difficulté mise en valeur par les contempteurs du Conseil constitutionnel réside moins dans la puissance que se seraient arrogée les juges que dans le contenu du bloc de constitutionnalité dont ils assurent la garde. Ce bloc de constitutionnalité constitue la philosophie du régime républicain. Ce sont les valeurs contenus dans le préambule qui nourrissent la jurisprudence du Conseil constitutionnel. Individualisme, primat de l’autonomie de la volonté, égalitarisme, laïcisme, définition de la patrie comme contrat idéologique…, ces valeurs sont la traduction de la conception de la société décrite par Jean-Jacques Rousseau dans Le Contrat social et inscrite dans notre droit par la Révolution française. Si le Conseil constitutionnel est un obstacle à la défense de la souveraineté française face aux organisations supranationales, à la protection de la famille et du mariage face aux revendications de groupes de pression aussi minoritaires que subversifs, et puissamment subventionnés, c’est dans le préambule de la Constitution qu’il faut en chercher la cause principale. La jurisprudence du Conseil constitutionnel, et les réactions qu’elle suscite, révèlent moins l’existence d’un conflit entre un « gouvernement des juges » et une « démocratie » qui n’a jamais été qu’un trompe-l’œil, que la différence et l’opposition fondamentales entre la France, corps social naturel enraciné dans l’histoire et la géographie, et la République, construction artificielle élaborée avec des idées abstraites qui, non seulement sont coupées de la réalité sociale, mais entendent détruire celle-ci pour s’y substituer.

    La crise de légitimité et de confiance qui mine en profondeur nos institutions publiques exigerait de changer de paradigme en plaçant la recherche de l’équité au cœur de notre système juridique, c’est-à-dire en définissant la loi non plus en fonction de son origine, comme c’est le cas depuis 1789, mais en fonction de sa finalité. Placer l’équité au cœur de notre système juridique exigerait de réécrire le préambule de la Constitution afin de fonder nos institutions sur les réalités de la vie sociale et non sur des idées abstraites, ce qu’a fait récemment la Hongrie ; d’y rappeler la richesse et l’ancienneté de l’histoire de la France, d’y insister sur le primat de la recherche de la justice dans la société, d’y affirmer l’autorité du droit naturel, et donc de reconnaître que l’homme a une nature, qu’il est un être social, rationnel et spirituel, définition sans laquelle toute idée de droits de l’homme est vaine, exposée aux interprétations et aux manipulations que les féodalités financières estimeront nécessaires à leurs intérêts mercantiles, à commencer par celles exigées par le projet transhumaniste, qui pourrait bien être le totalitarisme du XXIe siècle.

  3. Elle est actuellement en GAV (comme aiment à dire les camélidés!), et j’espère qu’ils vont lui ouvrir les entrailles à cette gourde!!!

  4. A tondre et à envoyer en Syrie. Rmc est la radio des collabos!
    Bourdon, le roi du sensationnalisme! On l’entends pas la dessus ce pauvre con!

  5. Bonjour à tous ,
    je veux bien ouvrir le bal .
    RMC ? je la connais un peu , trop même car j’ écoute un peu ( si peu ) les GG de temps en temps mais plus pour longtemps moins pour cette ladite émission bien éculée qui ne vaut rien à que pour certaines intervenants . je pense à Zohar Bitang , Gilles -William Godnadel ou le regretté Frank Tanguy parti enfin vers de meilleurs cieux . je n ‘oublie pas Brigitte Lahaye , fine et intelligente aussi …

    Venant au reste …

    La plupart des intervenant(e)s ou journalistes sont islamophiles comme de bien entendu , bien à gauche , la caricature même du journaliste parisien politiquement correct sur une radio qui essaye en vain de se donner un vernis populaire , franchouillard qu ‘elle n’ a absolument pas : tri suspect de l’information , ( silence radio sur la lettre de Michel Onfray par ex ou des tentatives de meurtres hebdomadaires au couteau par les migrants en UE , l’islamisation des corps de l’ Etat ) , engagements très libéraux et pourris sur le plan social défendus par Eric Brunet en invitant ce qu’il y a de plus désastreux comme spécialistes ( ex Bouzou) .
    une quasi ligne éditoriale de rien dont l’une d’ entre elles est de minorer l’islamisation( bien comprise par leur staff dont les noms ne méritent pas d’ être nommer . )
    radio poubelle , à vomir et à fuir résolument , qui a fait outrancièrement une campagne pour nous imposer Macron .
    C’est bien sur cette radio que j’ai entendu Jacques Attali en 2016 ou 2017 , l’escroc et grand bandit( avec son frère que l’on sait ) , nous prédire que le prochain président serait inconnu des français et très jeune . C’est qu’ Attali , Minc ou Mosco et leurs sbires Dupont la joie de la Godmansachs ou de Rothschild avaient déjà fait leurs choix …et on voit le résultat !
    comme quoi , les médias , soit -disant libres depuis 1981 ,ne sont pas libres , baillonnent la liberté sensée pourtant d’être défendue et restreignent notre liberté de conscience , nos choix et notre vie au travail : voyez les call-centers( l’enfer ) , la Ratp , l’enseignement public , les administrations ., le BTP etc etc
    Enfin et culturellement , RMC , est égale à zéro et ne vaut rien de plus qu’un plot en béton .

    Cordialement à tous

    post-scriptum : les Juifs de France ne sont pas derrière BHL , Moscovivi , Lang , Minc , les frères Attali , Benbassa ou l’innénarable Askolovitch ….. courtisans et ou aimant plus le fric et les distinctions que leur  » pays  »

    Chlomo

    • Merci de le dire! Tous les juifs ne sont pas des cons d’humanistes avec ceux qui veulent les amener à l’abattoir!! Bonne année à tous!
      David.

    • On pense pareil. Il faut également signaler que RMC et BFMerde TV appartiennent au même groupe. Et, que les journaleux juifs qui y bossent (à BFMerde Tv), sont des islamos-félateurs de première (« Première sur la nympho. », c’est leur slogan!).
      David, une brebis égarée de confession juive!
      Afin, que l’on ne vienne pas me taxer de ce que je ne suis absolument pas; un antisémite!

      • Heureusement, il existe des juifs lucides sur l’islam (Zemmour, Lévy, Finkelkraut… et ici, sur RR). Malheureusement, ils sont moins nombreux dans nos médias ou on leur donne moins souvent la parole.

    • ???
      Chlomo cela fait plaisir de vous lire .
      Les gens écoeurants qui participent à l’islamisation désastreuse sont des assassins de la démocratie et de la République .
      Et Radio Mosquée Coran que je ne supportais plus pour leur flagornerie et leur servilité avec Hollande et maintenant avec le Gvt EM , c’est assassin des Français et des libertés .
      Toujours les mêmes invités et la même propagande au service de la même idéologie .
      Le cas de la journaliste fait partie de leur islamocollaboration .

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