Panique chez un grand nombre de patrons britanniques: privés, depuis le Brexit, d’une partie de la main-d’oeuvre étrangère bon marché, ils sont tenus… d’augmenter les salaires pour se fournir en exécutants.
L’afflux de travailleurs venus de l’Union européenne s’est fortement tari depuis le vote du Brexit en 2016, entraînant une forte baisse du nombre de candidatures pour les postes à pourvoir.
Les flux de travailleurs européens vers le Royaume-Uni ont fortement diminué depuis le vote du Brexit en juin 2016. Cette immigration a atteint en 2017 son taux le plus faible depuis 2013, selon l’Institut agréé du personnel et du développement (Chartered Institute of Personnel and Development, CIPD en anglais).
Pris de court par la conjoncture actuelle du Royaume-Uni, les employeurs mettent en place des alternatives pour relancer l’emploi. La moitié des entreprises concernées ont choisi d’augmenter les salaires et d’améliorer les avantages sociaux des employés. «Dans ce paysage où les candidats sont peu nombreux, les employeurs doivent non seulement offrir un salaire attractif, mais aussi des avantages supplémentaires», explique Alex Fleming, recruteur au sein de groupe Adecco qui a contribué à l’étude du CIPD.
Bizarre, on croirait retrouver le phénomène observable en France, en Europe, dans tous les autres pays et continents: les chefs d’entreprises et les dirigeants profitent de l' »apport culturel » pour contenir le degré de rémunération de leurs larbins.
Bien sûr, les élites mondialisées ne sont pas du tout d’accord avec la nouvelle donne. Elles tentent, par tous les moyens à leur disposition (c’est bien plus important que les quartiers vivant sous la charia) d’attirer les petits bras solides qui feront tourner leur économie.
Le gouvernement britannique met les bouchées doubles pour attirer les travailleurs étrangers. «Les citoyens européens sont indispensables à notre économie. Il est clair que depuis que la décision de sortir de l’Union européenne a été prise, nous voulons que ces citoyens et leurs familles soient en mesure de rester. Nous continuerons à être un pays ouvert qui accueillera toujours les gens prêts à travailler dur pour notre pays», a déclaré un porte-parole.
Traduisez: nous continuerons à inonder le pays d’étrangers pour garder les salaires bas et nous garantir des maçons, des livreurs de pizza et des femmes de ménage. Nous ne sommes pas inquiets: nous savons que les chances-for-United Kingdom se confineront dans les quartiers pauvres, où ils n’emmerderont que les beaufs alcooliques drogués au football et aux jeux en ligne. Dans notre système, c’est jackpot à chaque coup!
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Pété de rire ! Voici la preuve irréfutable que ce sont bien les patrons (les grands) qui tirent les salaires vers le bas en exigeant toujours plus d’immigration.
Et ça ne vient pas des « fachos français ».
POUR CEUX QUI VEULENT QUE L’EUROPE SOIT SAUVÉE, IL FAUT QUE LES TECHNOCRATES DE BRUXELLES SOIENT ÉLUS, TOUT SIMPLEMENT ÉLUS…ET PEUT-ÊTRE ???……..
LES EUROPÉENS VEULENT QUE LEUR FUTUR BOURREAU N’EST PLUS DE MASQUE…..
OUPS « N’AI »
Il y a quelque chose de pourri à « l’Intérieur » en Grande Bretagne
ARTICLE : Facebook demande aux banques de lui transmettre les données sur les habitudes de dépenses des clients
URL : https://exoportail.com/facebook-demande-aux-banques-de-lui-transmettre-les-donnees-sur-les-habitudes-de-depenses-des-clients/
AUTEUR : Jonathan ExoPortail –
DATE : 13/08/2018
SOURCE : https://futurism.com/facebook-banks-financial-data/
TRAUCTION : ExoPortail
Facebook demande aux banques de lui transmettre les données sur les habitudes de dépenses des clients. Facebook ne se contente pas de savoir «juste» qui vous êtes, ce que vous faites, où vous allez et à qui vous parlez. Il veut aussi savoir comment vous dépensez votre argent.
Lundi, le Wall Street Journal a rapporté que Facebook demande aux banques – y compris JP Morgan Chase, Wells Fargo et Citigroup – de fournir des données financières sur leurs clients. Le géant des médias sociaux s’intéresserait à tout, des soldes de comptes des clients à leurs transactions par carte de crédit, ont déclaré des gens bien informés au Wallstreetjournal.
Des applications comme PayPal et Venmo ont dominé le marché en pleine expansion du commerce mobile, et les banques veulent une plus grande part du gâteau. Un partenariat avec Facebook pourrait les aider à le faire.
En échange de données financières, Facebook offre aux banques une présence sur son application Messenger, ont déclaré des sources au Wallstreetjournal. Cette application compte actuellement 1,3 milliard d’utilisateurs et sert de centre de commerce de l’entreprise.
Les utilisateurs de Messenger peuvent déjà envoyer et recevoir de l’argent via l’application. Pour l’instant au moins, les utilisateurs doivent choisir de le lier à leur compte bancaire – un partenariat avec les banques pourrait lier les utilisateurs directement à leur banque (aucun mot sur la question de savoir si les utilisateurs de Messenger devraient accepter le service). Ils peuvent également l’utiliser pour contacter directement les représentants du service à la clientèle des partenaires de cartes de crédit de Facebook. Peut-être que Messenger pourrait également servir de canal de communication pour les banques. Facebook a également suggéré qu’il pourrait peut-être intégrer les alertes de fraude des banques ou les soldes de comptes dans l’application.
C’est ainsi que ce partenariat pourrait profiter aux banques. Pendant ce temps, Facebook demande aux banques de faire équipe pour que les utilisateurs veulent passer le plus de temps sur Messenger (parce qu’un trop grand nombre d’entre eux partent pour aller vérifier le solde de leur compte sur les sites bancaires ?) Oh, et il promet de ne pas utiliser les données financières des clients pour améliorer son ciblage publicitaire…
«Nous n’utilisons pas les données d’achat des banques ou des sociétés émettrices de cartes de crédit pour les publicités», a déclaré la porte-parole Elisabeth Diana au WSJ. «Nous n’avons pas non plus de relations spéciales, de partenariats ou de contrats avec des banques ou des sociétés émettrices de cartes de crédit pour utiliser les données d’achat de leurs clients pour les annonces.»
Jusqu’à présent, des banques ont décliné l’offre de partenariat de Facebook. Au moins l’une d’entre elles a fait état de préoccupations au sujet de la protection de la vie privée des clients.
Et ces banques devraient s’inquiéter. Facebook a prouvé à maintes reprises qu’il joue avec les données des utilisateurs, et même s’il n’est pas normal pour une tierce partie de savoir que vous mangez quelque part deux fois par semaine, il est bien moins normal qu’ils sachent exactement combien d’argent vous avez, surtout si l’on considère que Facebook aurait probablement besoin de connecter Messenger aux serveurs des banques pour fournir cette information en temps réel.
Voulons-nous vraiment donner aux pirates informatiques un autre moyen d’accéder à nos fonds ?
ILS SAVENT DÉJA COMMENT NOUS VOLER, IL NÉGOCIE LEUR PIRATAGE, CES SALES CONS.
ET PAS DE JUSTICE POUR CES VOYOUX….C’EST VRAI QU’ENTRE VOYOU…QUITTER LES RÉSEAUX SOCIAUX QUI NE SONT PAS OPEN SOURCE…VOUS ÊTES MAZOS ????????????????????
Bonsoir.
Pour une meilleure lisibilité, et pour nos lecteurs, pourriez-vous écrire vos commentaires en minuscules ?
D’avance, merci !
Ha oui et désolé pour ce h.
MAIS SI LA JUSTICE S’EN MÊLE LA BULLE PÈTE….ET CE SONT DES MILLIARDS DE MILLIARDS…..PÉNARD.
Pourtant, ce ne sont pas les allogènes qui manquent en Grande-Bretagne; ils n’ont peut-être pas envie de se remuer, surtout :aides sociales et deal de drogue c’est autrement lucratif que livreurs de pizza ou maçons.
Bien sûr le principe de l’Europe est une très bonne chose, sauf que toute cette bande de salopards en ont fait une Europe de marchands et trafiquants de main d’œuvre humaine. L’Europe n’es pas faite pour les peuples mais pour les multinationales et gros salopards qui s’enrichissent sur le dos du peuple en créant de la pauvreté! Bref cette europe est une vraie merde.