5,5 millions d’immigrés sont attendus en Espagne d’ici 2050 ; c’est le FMI qui le dit

5,5 millions d’immigrés sont attendus en Espagne d’ici 2050 ; c’est le FMI qui le dit.

Quand on dit 2050, on peut écourter la date car c’est leur stratégie. Combien de fois ont-ils annoncé des masses minimes d’immigration en France et en Europe, pour en l’espace d’un an ou de 10 et tout explose.

Et ça explose non parce que l’immigration est inéluctable ; l’Australie, l’Italie, la Hongrie, les pays de l’Est apportent la preuve que cette affirmation est fausse. Non ! si les flux migratoires sont incessants, c’est tout simplement parce que nous avons une politique qui veut cela.

Donc, on avec leurs annonces, la seule chose certaine est que l’Europe va être submergée et pas en 2050. Il y a l’avant garde qui arrive, le regroupement familial qui suit et la reproduction qui assène le coup de grâce.

Il y a une réelle volonté de déplacement de population, de remplacement de peuple. Pourquoi ? Quels sont les objectifs ? Que veulent exactement ceux qui planifie cette catastrophe ?

Les têtes organisatrices savent pertinemment ce qui se passe et où nous allons ; leur démarche est tout simplement criminelle.

Et nous les laissons faire.

Trois questions :

– « si nos zélites bienveillantes, tambourinent que la démographie est excessive dans le continent africain et que donc « l’excédent » de population dans cette partie du monde doit inévitablement se « déporter » en Europe ; pourquoi diantre n’est-ce pas sur des territoire beaucoup plus vastes dont la culture est commune ?

– Puisque la justification pour l’organisation de cette invasion est le faible taux de croissance démographique, estimé plutôt à nul, donc si c’est réellement le cas, pourquoi le choix de population arabes, africaines, musulmanes ? N’y-a-t-il pas d’autres populations dans le monde ayant un fort taux de reproduction, beaucoup plus tranquilles, respectueuses, sans danger pour le respect de notre société, notre histoire, notre culture, nos cultes, notre laïcité ? Pourquoi pas une politique nataliste incitant les nôtres à faire des enfants ? Ça coûterait plus cher que l’immigration…
Monsieur Alain Peyrefitte parlait du péril jaune, peut-être, mais franchement le péril vert est de loin certainement le plus à craindre.

– Qu’advienta-t-il de nous, de nos pays, de l’Europe après que le plein d’immigration arabe et africaine sur le sol européen sera fait selon les souhaits et calculs assassins de l’oligarchie mondiale ? Nos décideurs pensent-ils stériliser ces nouvelles populations ? Alors-là ! Comment pensent-elle s’y prendre, croit-elle dominer cette population qui a ses règles, les impose et ne plie pas ?

Ces décideurs dictateurs, abjects, cupides et criminels en ont conscience ; on ne mène pas la stratégie de politique mondiale qui est la leur contre des milliards d’individus, à l’épreuve du temps et contre la volonté des peuples depuis des décennies sans une intelligence au-delà de celle des plus beaux esprits de la planète. Ils sont donc élaboré leur stratégie politique mondiale en conséquence de causes ; ont posé les jalons de leur stratégie au fil du temps et savent pertinemment quelles seront les conséquences finales.

Quel est donc le but final ? Quelles sont les étapes futures ? Quel futur pour l’humanité l’oligarchie dessine-t-elle ? De quel droit ?

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12 Commentaires

  1. oui, @MSDO  » de quel droit ?  » surtout !

    on commence à en avoir assez de cette politique dictatoriale et autodestructrice, on en est arrivé au stade de l’ex-URSS, avec des fous aux commandes,
    il faut stopper l’invasion, par tous les moyens possibles

  2. Avec cette invasion on ne reviendra plus jamais en arrière …cela marquera a court terme 100 voir 200 ans la fin de la race blanche et le changement de peuple en Europe

  3. ARTICLE : L’enquête du procureur spécial Mueller cherche à impliquer WikiLeaks et Julian Assange dans « l’ingérence russe »
    URL : https://www.wsws.org/fr/articles/2018/08/16/jasa-a16.html
    AUTEUR : James Cogan
    DATE : 16/08/2018
    -(Article paru en anglais le 15 août 2018)-

    L’enquête menée par le procureur spécial et ancien directeur du FBI Robert Mueller sur la prétendue « collusion » entre la campagne de Trump et la Russie dans l’élection présidentielle de 2016 est entrée dans une nouvelle phase.

    Mueller cherche à justifier les arguments qu’il a avancés le mois dernier dans le cadre de l’inculpation de 12 officiers de renseignement russes, selon lesquels un membre de la campagne de Trump, Roger Stone, et le rédacteur en chef de WikiLeaks Julian Assange, faisaient partie d’un complot pour pirater et publier des courriels envoyés par le Comité national démocrate (DNC) et le président de la campagne de Hillary Clinton, John Podesta.

    Au moins huit « associés » présumés de Roger Stone ont été interrogés ou assignés à comparaître par Mueller. L’un d’eux, Kristin Davis, a donné un entretien volontaire le mois dernier et a reçu l’ordre de témoigner à nouveau devant un grand jury vendredi dernier. Un autre, Andrew Miller, a refusé de comparaître le même jour et a été condamné pour outrage au tribunal. Jeudi dernier, Mueller a également assigné le commentateur de radio et partisan de WikiLeaks, Randy Credico, à comparaître le 7 septembre.

    L’avocat de Credico a déclaré vendredi dernier que l’enquête de Mueller « veut probablement lui parler au sujet de Roger Stone et de Julian Assange. » Kristin Davis a déclaré à CNN lundi que le jury d’accusation l’avait interrogée pour savoir « si oui ou non une collusion était passée avec la Russie. »

    Les prétendues preuves de liens entre les services de renseignement russes, la campagne Trump et WikiLeaks sont creuses au point d’être ridicules.

    Julian Assange a révélé publiquement dans une interview que WikiLeaks avait des informations sur la campagne démocrate en juin 2016. Le site a publié les fuites du DNC le 22 juillet 2016.

    Roger Stone prétendit qu’il avait « communiqué » avec Assange le 8 août. Mais ses supposés premiers messages à Randy Credico, demandant à l’animateur radio s’il pouvait utiliser sa connexion avec Assange pour savoir si WikiLeaks avait du matériel supplémentaire, ne furent pas envoyés avant septembre.

    De même, les tweets du pirate informatique présumé « Guccifer 2 » qui, selon le renseignement américain était une couverture pour des agences russes, ont été envoyés après que WikiLeaks fut en possession des courriels fuités et avait déjà publié les fichiers du DNC.

    Alors que WikiLeaks ne peut pas révéler ses sources et ne le fait pas, une affirmation crédible a été faite par l’un de ses partisans britanniques, le lanceur d’alertes Craig Murray : que les fuites avaient été organisées par des initiés du DNC, et non pas par des pirates

    Pour ce qui est des courriels du DNC et d’autres du Parti démocrate, la source est sans importance de toute façon. Selon toutes les normes du journalisme, elles étaient dignes d’intérêt. Elles ont révélé la véritable conspiration qui avait eu lieu dans le cadre de l’élection présidentielle: une campagne délibérée par un DNC ostensiblement impartial pour saper la campagne de Bernie Sanders et pour qu’Hillary Clinton remporte la nomination.

    WikiLeaks a publié les courriels du DNC à la veille de la convention nationale du Parti démocrate. Les révélations provoquèrent la fureur chez beaucoup des 13 millions d’Américains ayant voté pour Sanders aux primaires démocrates, en grande partie parce qu’elles soutenaient ses attaques de la « classe des milliardaires » et ses promesses populistes de se battre pour une plus grande égalité sociale.

    La présidente de la DNC, Debbie Wasserman Schultz, a dû démissionner dans la honte avant le congrès. Après la convention, la PDG du DNC, Amy Dacey, le directeur financier Brad Marshall et le directeur des communications, Luis Miranda, ont également démissionné.

    Le 7 octobre 2016, WikiLeaks a publié une collection de courriels envoyés par John Podesta, le président de la campagne de Clinton. Comme pour les fuites du DNC, les informations étaient très intéressantes. Les e-mails comprenaient les transcriptions des discours d’Hillary Clinton à diverses forums de banques et de grandes entreprises où elle se vantait de son soutien à Wall Street et de son engagement pour les intérêts de l’oligarchie financière.

    Les révélations de WikiLeaks n’ont fait que souligner ce que des millions de travailleurs et de jeunes américains avaient déjà décidé. Face au choix entre Trump et Clinton: on ne pouvait soutenir aucun des candidats du grand patronat. Trump a gagné le Collège électoral et la présidence parce que, sur fond de baisse globale de la participation électorale, Clinton n’a pas gagné suffisamment de soutien dans un petit nombre d’États clés, malgré qu’elle ait remporté le vote populaire global par un écart de plus de trois millions de voix. « L’ingérence russe », même si elle existait vraiment, n’a joué aucun rôle important dans ce résultat.

    Toute la théorie du complot de « l’interférence russe » pourrait être rejetée comme absurde si elle n’était pas poursuivie sans relâche par des sections puissantes de l’establishment américain, et n’avait pas eu des répercussions aussi immenses tant sur les droits démocratiques aux États-Unis que sur les relations politiques mondiales.

    La campagne a servi des objectifs profondément réactionnaires. D’abord, elle a été utilisée pour exiger une vaste censure des vues d’opposition, principalement de gauche, sur les moteurs de recherche d’Internet, Facebook et autres réseaux sociaux, sous prétexte de les purger des « fausses nouvelles. »

    En même temps, elle a joué un rôle important dans l’aggravation de la persécution de Julian Assange même. L’éditeur de WikiLeaks a été calomnié comme larbin russe, même lorsque ses communications avec le monde extérieur étaient coupées et que des préparatifs étaient en route pour le forcer à quitter l’ambassade équatorienne de Londres, où on lui avait accordé l’asile politique en 2012. Assange risque d’être détenu en Angleterre alors que les autorités américaines demandent son extradition aux USA pour y être jugé sur de fausses accusations d’espionnage.

    Deuxièmement, on s’est servi de l’hystérie sur « l’ingérence » pour faire pression sur la Maison blanche afin qu’elle maintienne une politique étrangère belliqueuse envers la Russie, ce qui risque de déclencher des conflits au Moyen-Orient et en Europe.

    Enfin, l’accusation de collusion est considérée comme un moyen éventuel de forcer Trump à abandonner la présidence ou de le destituer, mettant fin à sa présidence erratique par une révolution de palais et de le remplacer par son vice-président, le chrétien intégriste droitier Mike Pence.

    Les accusations contre Roger Stone sont au centre de cet agenda. L’insinuation tacite est que Trump, à travers ses relations avec Stone, était en quelque sorte au courant, et a consenti à un complot visant à influencer le résultat de l’élection.

    Le 27 septembre 2017, Stone a résisté à un interrogatoire hostile de la part de la Commission de la Chambre sur le renseignement. Il a nié spécifiquement « l’accusation qu’[il avait] connaissance à l’avance du moment, du contenu et de la source des informations de WikiLeaks provenant du DNC». Il a déclaré que ses seules communications avec WikiLeaks avaient eu lieu à travers un « journaliste » ayant servi d’ «intermédiaire ». Plus tard, il a nommé Randy Credico.

    Credico a fait savoir qu’il contredirait Stone devant l’enquête Mueller, dans la mesure où il niait que d’avoir échangé des messages faisait de lui un « intermédiaire » pour cet opérateur politique de droite avec WikiLeaks. Il a toutefois également indiqué qu’il dirait en témoignage qu’il n’avait aucune connaissance d’une relation directe entre Stone et Assange.

    WikiLeaks a tweeté à plusieurs reprises qu’il n’avait pas discuté des détails ou du calendrier de ses publications avec Stone.

    La principale conséquence de la convocation à comparaître de Credico faite par Mueller, et la poursuite continue de Stone sur les liens présumés avec WikiLeaks est qu’elle garantit que «l’ingérence russe » restera au premier plan dans les médias américains dans la période précédant l’élection de novembre au Congrès.

    Les forces qui se cachent derrière cette hystérie semblent calculer que les accusations constantes que la campagne de Trump est coupable de collusion ou même de « trahison », aideront à assurer au Parti démocrate une majorité à la Chambre des représentants. Cela fournirait une nouvelle base de pouvoir pour mener des enquêtes et faire pression sur l’administration ; et permettrait de soulever la possibilité d’une destitution.

    • j’ai vu les discours enflammés et haineux des démocrates, accusant sans preuve, et excitant la population,
      ils s’acharnent à affirmer une collusion avec la Russie, espérant ainsi retourner quelques électeurs défenseurs patriotes,

      alors que la guerre froide est loin derrière, et que l’avenir consisterait justement à se rapprocher de la Russie, ils ne lâchent pas le morceau,
      bon Dieu, mais qu’est-ce qu’ils sont cons !

  4. ARTICLE : Avec Aretha Franklin disparaît la dernière star des « Blues Brothers »
    :::: https://www.ouest-france.fr/culture/musiques/avec-aretha-franklin-disparait-la-derniere-star-des-blues-brothers-5924920
    Ouest-France avec AFP
    17/08/2018 à 00h53

    Décédée ce jeudi à l’âge de 76 ans, Aretha Franklin avait interprété son tube « Think » au cinéma, en 1980, dans la comédie culte « The Blues Brothers ».

    Avec Aretha Franklin disparaît la dernière grande vedette de la comédie musicale « The Blues Brothers », film culte sorti en 1980. La reine de la soul est décédée, jeudi 16 août, des suites d’un cancer du pancréas.

    Le long-métrage raconte l’histoire fictive des Blues Brothers, un groupe américain de blues et de soul fondé par les comédiens Dan Aykroyd et John Belushi pour la célèbre émission de NBC « Saturday Night Live », à la fin des années 70.

    « The Blues Brothers », comédie culte, est devenu l’un des films musicaux les plus célèbres de l’histoire, avec au casting une ribambelle de stars de la musique accompagnant les aventures rocambolesques du duo infernal formé de Jake et Elwood Blues, sillonnant Chicago et ses alentours.

    L’une des scènes marquantes montre Aretha Franklin, interprétant la propriétaire du « Soul Food Café », qui transforme son établissement en piste de danse et fait swinguer les Blues Brothers, en costume et cravate noire, au son de son tube « Think ».

    Mais d’autres légendes de la musique américaine, disparues depuis, ont également joué dans ce film mythique.
    James Brown

    James Brown, « le parrain » de la soul, joue le révérend Cleophus James.La star de la funk, interprète du célèbre « Sex Machine », s’est éteint à 73 ans, le jour de Noël 2006, après une carrière mouvementée, enchaînant disques au succès planétaire, cures de désintoxication et séjours en prison.
    Ray Charles

    L’immense Ray Charles interprète le vendeur d’instruments de musique dans le film. Au piano, le génie de la soul fait danser les deux frères Blues qui ne quittent pas leurs chapeaux noirs et lunettes de soleil.

    Compositeur, chanteur, pianiste, Ray Charles s’est éteint en 2004, à 73 ans, d’une maladie du foie.

    Devenu non-voyant pendant son enfance, Ray Charles Robinson était né le 23 septembre 1930 dans une famille pauvre en Géorgie, dans un Sud ségrégé.
    Cab Calloway

    Le chanteur de jazz américain Cab Calloway, mort à 86 ans en 1994, joue le rôle de Curtis, le gardien de l’orphelinat où ont grandi les Blues Brothers mais aussi leur mentor, celui qui les a initié au blues.

    L’artiste, réputé pour avoir lancé le célèbre « Hi de Ho », était à la tête de l’un des plus grands groupes de l’ère du swing et jouait au mythique Cotton Club d’Harlem.
    John Lee Hooker

    Autre légende jouant dans le film, le guitariste John Lee Hooker, qui interprète son titre « Boom Boom » devant le Soul Food Café.

    Décédé en 2001, le chanteur, patriarche du blues américain, aura influencé quantité de musiciens rock par ses accords de guitare et sa voix rauque.
    Matt ‘Guitar’ Murphy

    Matt Murphy, l’un des membres originaux du groupe des Blues Brothers, est décédé à 88 ans en juin dernier.Dans le film, le guitariste de blues joue son propre rôle, se disputant avec sa femme, la propriétaire du Soul Food Café, interprétée par Aretha Franklin.

    Dix-huit ans plus tard, il revient dans la suite du film, « Blues Brothers 2000 », où il partage une nouvelle scène avec la Reine de la Soul.
    Les autres acteurs

    D’autres grands noms du cinéma ayant joué dans « The Blues Brothers » ont passé l’arme à gauche depuis la sortie du film de John Landis, comme Carrie Fisher, John Candy, Charles Napier et John Belushi, l’un des deux frères Blues.

  5. LA FRANCE, PAYS DE DÉCHETS SOUS TOUTES SES FORMES………… SOUS CHIRAC, C’ETAIT LA FRACTURE SOCIALE ET CELA VOULAIT DIRE QUE LES FDS PASSAIENT SOUS LA BARRE DES 50%. (47%) C’ÉTAIT EN 2002…FAITES VOS COMPTES EN 16 ANS AVEC PRÈS D’1 MILLION PAR AN, RAPATRIEMENT FAMILIALE COMPRIS…… FACE À L’ÉVIDENCE QUE FAIRE LORSQUE LE MAL EST FAIT. ??? L’AMPLIFIER, BIEN SUR, POUR NE PAS RECONNAITRE SES TORS…. EN 2022, DÉMOCRATIQUEMENT LE VOTE SERA OBLIGATOIRE SOUS PEINE D’AMENDE, AINSI PRENDRONT-ILS LE POUVOIR: LE NOMBRE.

    • Les Français ont PEUR de voter à droite et encore plus peur de voter pour l’extrême droite.
      Ce peuple de pleutres s’est laissé embobiner depuis fin 1945 par les gauches, les bien pensants, les bateleurs de foire et saltimbanques de tous poils , sans oublier les syndicats.
      On voit où ces crétins , nos élites nous ont menés.

    • Bonjour @Alain ;

      5,5millions pour l’ESPAGNE seulement, qu’ils disent !

      Au passage, s’ils sont capables d’évaluer le nombre de migrants c’est bien que cette immigration massive est organisée et qu’il n’y a aucune intention de l’arrêter ; bien au contraire ; d’ailleurs on le constate au quotidien avec les mesures qui sont prises pour obliger les nations à faire le plein de son lot.

      Et ce sont pour le coup, pour la majorité bien des sans papiers ; sans identité, sans âge, sans carnet sanitaire, sans famille.

      Curieux cet incognito :

      – Sans famille, et ans quelques temps ils figureront pourtant parmi ceux qui réclameront leur droit au regroupement familial.

      – Sans carnet sanitaire ; qui l’eut cru quelques années en arrière où il fallait répondre de son état de santé et ne pas être porteur d’une maladie infectieuse. A ce propos, il y a une recrudescence de sida. Oui ! très curieux cette permissivité de l’incognito sur le plan sanitaire qui fragilise la sécurité sanitaire. Et devinez qui sera soigné en premier. En ce moment paraît-il que les centres hospitaliers sont débordés et que la majorité des patients ne sont pas forcément des gaulois. En plus on connaît la patience des familles, proches, amis de ces non gaulois malades qui ébranlent les respect des règles établies pour l’accueil des patients.

      Personnellement je pense que nous avons matière à légalement porter plainte contre nos politiciens nationaux et européens, dans ce domaine mais aussi pour exposer les populations autochtones au terrorisme, la délinquance, à la précarité. Je ne comprends pas pourquoi rien ne se met en place pour défendre cette cause légalement, au-delà même des partis politiques et des moyens politiques qui nous sont chichement donnés.

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