En Autriche, la justice ne considère plus Génération Identitaire comme une « organisation criminelle »

Voici la photo de militants de Génération Identitaire en Autriche. Étudiants, artisans, ils étaient jugés à Graz, pour « appartenance à une organisation criminelle » et « discours de haine ». Pourtant, il n’avaient tué personne à la kalashnikov, ni écrasé des innocents avec un camion, ni égorgé de malheureuses passantes. Ils voulaient juste se battre contre l’invasion migratoire.

Leur crime : avoir participé, aux côtés des militants français de Génération Identitaire, à l’action symbolique menée au Col de l’Échelle en avril 2018.

Le responsable autrichien du mouvement, Martin Sellner, était dans le collimateur du parquet de Graz qui ouvrait une enquête préliminaire pour « constitution d’un groupe criminel ».

« Au total, six domiciles ainsi que quatre locaux liés à ce groupe ont été perquisitionnés, notamment à Graz. Martin Sellner a déploré sur son compte twitter la saisie de « documents » et de « données » lors de ces perquisitions » (RTL)

Défendre son pays et l’Europe contre l’invasion migratoire deviendrait-il un délit tandis que les clandestins bénéficieraient d’une sorte de « droit à la fraternité » ?

Heureusement, jeudi matin, le verdict est tombé : les accusés ont été innocentés

En aurait-il été de même en France ?

Merci à Marcher sur des oeufs qui nous a signalé cette  belle victoire des militants de Génération identitaire  :

http://www.fdesouche.com/1048767-autriche-des-militants-de-generation-identitaire-poursuivis-pour-appartenance-a-une-organisation-criminelle-ont-ete-innocentes-par-la-justice#

Pour rappel : le gouvernement Kurz dirige l’Autriche depuis décembre 2017.  Le nouveau chancelier fédéral conservateur Sebastian Kurz (31 ans !) est à l’origine de l’adoption de plusieurs mesures jugées « islamophobes » : interdiction de la burqa, fermeture de la route migratoire des Balkans, expulsion d’imams turcs et réduction de l’islam politique… (Wikipedia)

 

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8 Commentaires

  1. Que justice soit rendue aux identitaires, tant mieux et encore heureux que la raison ait repris le dessus sur la haine gauchiasse,

    Néanmoins, un tel procès n’aurait jamais dû se produire, c’est un procès en sorcellerie, qui rappelle les heures sombres de l’inquisition

  2. « Discours de haine » est une accusation qui permet de condamner n’importe quoi et n’importe qui pour n’importe quel propos, attitude ou comportement.

    En outre c’est parfaitement subjectif et soumis à l’arbitraire du juge, et à ses convictions et opinions personnelles.

    D’ailleurs il suffit de voir le double standard qui prévaut lors des procès sous ce motif : la « haine » est toujours à sens unique, seuls les Blancs sont haineux, et ils ne peuvent par principe en être victimes (tout cela est fort bien « théorisé » par des discours de sophistes gauchos : le « dominant » ne peut être une victime, car même s’il l’est factuellement, c’est légitime, le « dominé » est autorisé à faire preuve de haine et de violence concrète en réponse à la « haine » et à la terrifiante « violence symbolique » qu’il « subit » Cf tous les délires sur les « racisés » et « l’intersectionnalité »)

    Tout cela ressort clairement de ce que Le Peletier de Saint-Fargeau appelait les « crimes imaginaires » (ceux pourchassés par l’Inquisition), et Orwell les « crimepensées ».

    Avant la Révolution, il y avait les « crimes » de lèse-majesté, de sorcellerie, ou les crimes religieux, blasphémateur, apostat, relapse, schismatique, hérétique, etc., l’inventivité en ce domaine n’a pas de limites

    Dans les riants paradis communistes, c’était contre-révolutionnaire, koulak, bourgeois, ennemi du peuple, etc.

    Aujourd’hui, c’est « raciste, antisémite islamophobe, nazi, fasciste, lepéniste, sexiste, homophobe », et le petit dernier, « grossophobe »

    Chez les « antiracistes », c’est Blanc.

    Dans l’islam, c’est koufar, takfir, associateur, mécréant, blasphémateur, apostat…

    Quand une société en est là, à condamner les pensées et sur le simple soupçon de mal penser (le soupçon valant preuve pour le fanatique, convaincu de la justesse infaillible de sa pensée), la Terreur n’est plus très loin.

    La Terreur… un rêve de gauchiste, qui rêve de s’ériger en procureur exalté de tribunal révolutionnaire tel Saint-Just ou Vichynsky afin de condamner et exécuter les « traîtres » et les « ennemis du peuple » dans de flamboyants et exemplaires procès où ils pourront s’enivrer de leurs propres discours… Le rêve de Mélenchon (qui avoue sa fascination pour Robespierre et Saint-Just sur son blog, ça fait peur) , Corbières etc.

    La persécution (judiciaire, économique) et le lynchage médiatique sont déjà à l’œuvre. Mais cela ne suffira pas aux fanatiques.

    Car tout cela relève, on l’oublie par peur de l’accusation de se faire mal voir, de paraître intolérant et agressif, du délire et de la pathologie mentale. Ces gens sont simplement des cinglés, des malades mentaux. Ce sont des psychopathes et des paranoïaques.

    L’Histoire prouve malheureusement que cycliquement, ces cinglés parviennent à entraîner les foules et les peuples dans leurs délires. Momentanément, jusqu’à ce que la raison revienne, mais entretemps les victimes se comptent par millions. On l’a vu pour l’islam fanatique en Algérie, en Afghanistan, au Soudan, avec Daech (sans que pour autant cela ouvre les yeux des islamophiles idiots).

    Relire à ce sujet le chef-d’œuvre d’Anatole France, « les Dieux ont soif » (en plus superbement écrit)

    • Merci pour votre commentaire et ses références historiques. Le toute-puissance des magistrats… n’est-ce pas ce « gouvernement des juges » que dénonce Zemmour ?

      Je me pose toutefois une question : les gens dont vous parlez sont-ils vraiment « cinglés », des « malades mentaux », des « psychopathes » et des « paranoïaques » ? Ou des personnes assoiffées de pouvoir ou de revanche personnelle ?

      Autre chose : je ne suis pas sûr que la raison ait existé, un jour, en Afghanistan ou au Soudan. Du moins, par rapport à nos critères occidentaux.

      • « Autre chose : je ne suis pas sûr que la raison ait existé, un jour, en Afghanistan ou au Soudan. Du moins, par rapport à nos critères occidentaux. »
        ah ! criant de vérité ! @Yann

        Nous avons  » je pense, donc je suis »
        Et eux ils ont « allah est grand et mohamed est son prophète »

        Voilà une différence fondamentale, ces gens n’ont jamais eu l’occasion d’exercer leur  » raison »,

        En Occident, et ce, même depuis l’antiquité, l’homme a sans cesse exercé sa raison, les Grecs, les Romains, et même les moines catholiques, n’ont cessé de penser, de réfléchir, de postuler, d’expérimenter, de concevoir, de raisonner , de tester, de tenter de comprendre, de percer les mystères de la nature et de la vie,
        en islam, rien de tout ça, ce serait blasphématoire et anti-religieux

          • Et aussi : l’imam (le savant) pense pour moi, il me dit ce qui est juste et bon. Je n’ai donc pas besoin de penser par moi-même.

  3. Hallucinant que de vouloir faire en sorte que la loi soit respecté soit assimilé à un crime.

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