Et la France y gagnerait : selon le journal, Donald Trump a alors expliqué à Emmanuel Macron qu’il lui proposerait, si c’était le cas, un bien meilleur accord bilatéral sur le commerce que celui entre l’Union européenne et les Etats-Unis.
On en rêve, du retour aux bons vieux accords entre deux ou plusieurs Etats, qui fait naître tant de fleurons des pays européens…
Il est clair que la mondialisation a vécu…..
Trump à Macron : « Pourquoi ne quittez-vous pas l’Union européenne? »
Selon le Washington Post, Donald Trump a demandé en avril à Emmanuel Macron pourquoi la « France ne quittait pas l’Union européenne ».
C’est le Washington Post qui le raconte dans son édition de vendredi. Selon le journal américain, Donald Trump a livré une réflexion étonnante sur la France et l’Union européenne au cours d’une discussion avec Emmanuel Macron à Washington en avril dernier. « Pourquoi ne quittez-vous pas l’Union européenne? », s’est interrogé le président américain. Selon le journal, Donald Trump a alors expliqué à Emmanuel Macron qu’il lui proposerait, si c’était le cas, un bien meilleur accord bilatéral sur le commerce que celui entre l’Union européenne et les Etats-Unis. Le journaliste indique que deux sources européennes lui ont rapporté cette info. La Maison-Blanche n’a pas démenti.
Cette anecdote démontre encore une fois la méfiance de Donald Trump envers les institutions de ses alliés européens comme l’UE ou l’Otan. Les relations transatlantiques battent de l’aile depuis l’élection de Donald Trump en raison de mésententes sur de nombreux sujets, comme l’accord de Paris sur le climat, le déménagement de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem ou encore l’accord sur le nucléaire iranien. L’administration Trump a également infligé le 1er juin des taxes douanières sur l’acier et l’aluminium européens, amenant Bruxelles à mettre en place des droits de douane additionnels sur une série de produits typiquement américains en guise de rétorsion.
L’inquiétude des dirigeants européens
« Au début de la présidence Trump, nous avions beaucoup de questions. Depuis lors, nous avons eu beaucoup de réponses, et pas mal de réponses négatives », analysait ces derniers jours un haut responsable européen, cité par l’AFP. « Ce ne sont pas simplement des incidents, ça commence sérieusement à ressembler à une tendance, un schéma très préoccupant pour les Européens d’une nouvelle doctrine américaine où il n’y a pas d’amis, pas d’ennemis, où le système international fondé sur les règles n’est plus la valeur première », a-t-il reconnu. « Pour l’UE et l’Europe, c’est un schéma assez dangereux », a conclu ce haut responsable.
Avant le sommet européen à Bruxelles, le président du Conseil avait appelé l’UE à se préparer aux scénarios les plus pessimistes avec les Etats-Unis de Donald Trump. « Je crois que, tout en espérant le meilleur, nous devons être prêts à préparer notre Union aux pires scénarios avec Washington […] Malgré nos efforts inlassables pour préserver l’unité de l’Occident, les relations transatlantiques sont soumises à d’immenses pressions en raison de la politique du président Trump. Malheureusement, les divisions vont au-delà du commerce », explique-t-il.
Le président américain est allé jusqu’à apporter il y a deux semaines son soutien à ceux qui combattent Angela Merkel dans son pays, affirmant sur Twitter qu’à cause d’elle, « le peuple d’Allemagne se détourne de ses dirigeants ». Du jamais vu en termes d’ingérence dans les affaires intérieures d’un pays en principe allié des Etats-Unis.
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Après s’être fait ostensiblement épousseté le revers du col de sa veste, un peu comme on mouche un gamin morveux, le voilà tenu en laisse sur le perron de la Maison Blanche par le taulier des lieux – notre président s’est fait avoir comme une bleusaille par un président américain dont on nous dit qu’il serait un peu dérangé – pas la lumière partout quoi ! Il est hilare sur la photo : « allez, viens petit garçon, suis moi » – Et l’autre est fait aux pattes, cuit ! Sacré roublard ce Donald.
Je crains fort que Trump ne s’adresse à un homme dont le cerveau n’a pas le raisonnement d’un gamin de 7 ans tellement son arrogance et son narcissisme n’obscurcissent le peu d’intelligence que lui a donnée à sa naissance la meilleure des fées.
Quoi que l’on en dise dans les media, chez les « intellectuels », y compris de droite, Macron n’articule que parce d’éminences grises le lui permettent et posséder un esprit opportuniste n’est pas synonyme d’intelligence, si l’on en croit les âneries insultantes fréquentes qu’il profère à chaque fois qu’il ouvre sa bouche. Tant qu’il servira les intérêts de certains, « on » le laissera dire, faire et dépenser outrageusement. Le cas échéant, « on » le sauvera s’il a bien servi.
Désormais, l’objectif premier du Pentagone est de «garantir une force meurtrière» au pays
:::: https://fr.sputniknews.com/international/201807011037025291-usa-pentagone-force-meurtriere/
Le ministère américain de la Défense a modifié sur son site officiel l’article concernant ses objectifs pour annoncer que sa tâche principale consiste désormais à «garantir une force interarmées meurtrière» et «maintenir l’influence américaine à l’étranger», a annoncé le site Task & Purpose.
Le Pentagone { https://fr.sputniknews.com/tags/organization_Pentagone/ } a changé la formulation de ses objectifs et de ses tâches sur son site officiel, a constaté le site Task & Purpose.
Jusqu’ici il définissait sa mission comme celle de fournir «des forces armées pour la dissuasion et la sécurité du pays».
Désormais, sa tâche première est de «garantir une force interarmées meurtrière pour défendre la sécurité du pays et maintenir l’influence américaine à l’étranger».
Ces corrections, qui modifient radicalement la doctrine militaire { https://fr.sputniknews.com/tags/keyword_doctrine_militaire/ } des États-Unis, ont été apportées en secret, sans quelque annonce que ce soit. Toutefois, le texte concernant la stratégie de la défense nationale pour 2018 est resté inchangé.
Le ministère n’a fourni aucun commentaire.
Des médias ont appris mardi dernier que Donald Trump ne prêtait plus l’oreille aux conseils du chef du Pentagone, James Mattis { https://fr.sputniknews.com/tags/person_James_Mattis/ }. Selon NBC News, le Président américain compte de moins en moins sur les conseils du ministre, estime que ce dernier le considère d’un air hautain et freine exprès la concrétisation de ses initiatives dans le domaine de la politique étrangère.
Le 18 juin dernier, le Président américain a ordonné au Pentagone de créer une Force spatiale en tant que nouvelle branche indépendante des Forces armées des États-Unis.
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Légende abstraite : « viens petit, viens ! »