Un vendeur de drogue du département des Hauts-de-Seine vient d’être condamné à huit ans de prison par le tribunal de Nanterre, après trois jours de procès.
Le prévenu était un cas fort intéressant.
Agé de 33 ans, Adnane, de son petit prénom, était le chef d’un rassemblement de crétins qui vendaient du cannabis au pied de la tour du 555, rue Gabriel-Péri à Colombes. Jusque là, rien de bien anormal.
Mais l’entrepreneur audacieux avait visiblement une longueur d’avance sur les prétendants à sa succession : déjà condamné à de la prison ferme au moment de son procès, il gérait depuis des années son business à Colombes, tout en restant derrière les barreaux de la prison de Fresnes.
Un peu comme le « Professeur » du film de Tornatore, « Le Maître de la Camorra ». L’envergure en moins, puisqu’il ne s’agit ici que d’un vulgaire délinquant de banlieue, comme les territoires islamisés en produisent chaque jour des palanquées.
Le quartier, lui, continuera à connaître les plus belles heures de son histoire.
« C’est devenu une zone de non-droit, on tire à vue, les gens ne peuvent plus rentrer chez eux sans être fouillés », a précisé la présidente du tribunal.
Par ailleurs, il semblerait que ces jeunes-là soient un peu plus enclins que les autres chances-pour-la-France à négocier avec les forces de l’ordre.
Si le frère du patron du « plan stups » a nié avoir tenté d’acheter les policiers pour 1 000 euros par semaine chacun, lors d’une intervention du 15 août 2016, un autre membre du réseau a avoué une tentative de corruption. Moyabi, 23 ans, a reconnu avoir, cinq jours plus tard, proposé 3 000 euros par jour aux policiers municipaux pour ne plus les voir dans la cité. Pour lui, les fonctionnaires constituaient une « nuisance » pour les affaires. Moyabi a déclaré pour sa défense au tribunal qu’il avait « beaucoup bu » ce jour-là et qu’il « ne pensait pas qu’ils allaient le prendre au sérieux ».
Trois mille euros par jour pour simplement se taire, voilà qui donne une idée du chiffre d’affaire généré par le point de vente.
Bref tout ce petit monde avait dernièrement rendez-vous à la barre, et, si l’on peut toujours discuter des « peines » infligées en France, il faut admettre que les juges ont tout de même voulu marquer le coup.
Abdelkrim, désigné comme son bras droit, a écopé de six ans de prison. Alaa-Eddine, le frère d’Adnane, son relais dans la cité Total, a été condamné à quatre ans de prison dont un an avec sursis. Les dix condamnés ont tous été interdits de fréquenter le secteur, soit le quartier Gabriel-Péri soit le département des Hauts-de-Seine selon les profils, pendant cinq ans. Tous disposent de dix jours pour faire appel.
Avant la délibération, Adnane a tenu à le promettre : « Le 555, c’est fini pour moi. »
On peut le croire, dans la mesure où il n’a visiblement pas besoin d’être présent pour s’assurer des fins de mois juteuses.
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cette immigration subie ne nous a apporté que des problèmes et ce n’est que le début ,elle détruit petit a petit tous les pans de notre civilisation et mine notre société inexorablement et cela finira dans un bain de sang!
Faut les éliminer pour qu ils ne trafiquant plus ces racailles, de veaus rats.
le cannabis est une arme de destruction massive pour détruire l’occident , de plus elle fournit les fonds nécessaires a nous faire la guerre et nombreux sont les idiots a tomber dans le panneau de la fumette contribuant ainsi a nuire a notre civilisation .
…Pourtant dans le petit livre vert de l’Ayatollah KHOMEINY ( 30 pages que l’on peut consulter sur internet ) au chapitre le pur et l’impur en Islam on trouve aussi la drogue ‘( qui est pure bien entendu ??? )
Décidément ils savent pas très bien ou ils en sont ces musulmans. Ils ont trop fumé.
même situation en Iran
tracicants et ripoux sont invités dans les deux semaines a contempler Téheran de la flèche finale d’ un camion grue a 10 mètres de haut , mains liées derrière le dos!
je ne répèterais jamais assez qu il n ‘ y a pas que du mauvais chez les Mizilmons
Le fric, le fric, toujours le fric.
Comment résister ? Jusqu’au jour où un de leurs enfants sera retrouvé égorgé
Des traîtres, mais comme vous le dites si bien un jour le revers de la médaille.