Où est donc le moderne Jean de Capistran qui fichera la pâtée aux Infidèles ?

St JEAN de Capistran
Il y a une très longue tradition catholique de combat contre l’islam.  Aujourd’hui je propose de suivre l’exemple de St Jean de Capistran, patron des aumôniers militaires.

« Après la conquête de Constantinople en 1453 par les Turcs, Mehmed II prépara l’invasion de la Hongrie, et arriva avec une armée pour envahir la Serbie en 1455. Le pape Calixte III prêcha la croisade à Francfort en 1454, afin de se défendre contre l’invasion des ottomans. Jean de Capistran y répondit et entreprit de recruter des chrétiens de Hongrie. Il réunit près de trente-cinq mille hommes, en majorité des paysans, artisans et étudiants. Il y eut aussi près de quinze mille mercenaires du commandant hongrois Jean Hunyadi. Les armées ottomanes et chrétiennes se rencontrèrent à Belgrade en juillet 1456, alors que la ville était en partie détruite par les canons turcs. Jean de Capistran exhorta à la délivrance de la ville avec un drapeau orné d’une croix et aux cris « Jésus, Jésus, Jésus ». « Ce père a plus d’autorité sur les soldats, que leurs chefs d’État ». Après la victoire sur les Turcs, Belgrade dut faire face à la peste, et Jean de Capistran mourut peu de mois après de cette terrible maladie, le 23 octobre 1456, à l’âge de 70 ans. »  (origine : Wikipédia)

 
Et voici des extraits de son action durant ce siège,  selon l’un de ses biographes :

 « A Peterwardein le cœur attristé à la vue de cette faible poignée de défenseurs,  il s’arrêta pour célébrer la messe.  Une flèche tomba du ciel sur l’autel ; elle portait ces mots écrits en lettre d’or : « Jean,  ne crains rien. Par la vertu de mon nom  tu remporteras la victoire ».

Le 2 juillet il entrait à Belgrade ; le 4,  les Infidèles, au nombre de prés de deux cent mille, investissaient la forteresse.  Les Turcs avaient amené des forces suffisantes pour occuper la Hongrie toute entière. Mehmed II avait juré par son faux prophète de dîner à Bude avant deux mois. En voyant Belgrade assiégée par cette multitude et défendue par un si petit nombre de braves,  Capistran se décida à aller chercher du secours au dehors.  Les pauvres répondaient généreusement à ses exhortations mais les riches et les nobles refusaient de quitter leur château. La peste et la famine sévissaient dans la cité.

Le Saint s’occupa de préparer une flottille pour rompre le blocus ;  en peu de jours il réunit plus de deux cent embarcations.   Il fait prévenir  les assiégés qu’ils se préparent à attaquer par derrière la flotte ottomane pendant que les Croisés l’attaqueraient de front.  Un étendard à la main le Saint excitait les combattants.  La flotte turque fut écrasée et le Danube redevint libre. Pendant les neuf jours qui suivirent,  plus de soixante mille Croisés accoururent.  Ils ne reconnaissant d’autre chef que Jean de Capistran. Il y avait des hommes du peuple, des paysans, des pauvres, des étudiants, des moines, des ermites.

Les Turcs après avoir  détruit les murailles se préparent à l’assaut final : Capistran choisit quatre mille Croisés des plus courageux et les exhorta au martyre. Il  priait  au milieu des guerriers et les ramenait sans cesse sur la brèche.

Vers minuit,  les Turcs s’emparent de la première enceinte,  mais Capistran amène de nouveaux soldats et lorsque les Infidèles veulent s’emparer de la seconde,  les Croisés leur opposent un obstacle infranchissable.

A la tête de ses croisés, Capistran  sort de la ville et s’avance intrépide jusqu’au camp des infidèles.  Les Turcs s’étaient rangés en bataille ;  ils attaquent les Croisés.  A la voix de Capistran qui les commande, les chrétiens se précipitent sur les musulmans ;  un effroyable choc se produit : le saint se jette  au plus fort du combat et répète mille fois ce cri « Victoire ! ».    Mehmed est blessé et son armée taillée en pièce. Elle s’enfuit en laissant sur le champ de bataille trois cents canons et vingt quatre mille morts. »

Hier,  l’Eglise désignait  l’islam comme ennemi et le combattait.   Aujourd’hui les prêtres et les chefs des prêtres  encouragent de fait  l’islamisation de l’Europe et ces sont des laïques qui ont repris le flambeau… Mais il y a toujours le même  peuple, athée ou croyant,  qui se sacrifie contre la nouvelle trahison des nouvelles « élites » .
 

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9 Commentaires

  1. Vive un de Capistan français ou européen pour reprendre le flambeau de la reconquête

  2. Le Peuple de France est devenu un peuple sans relief, terne et sans saveur, consumériste, égocentrique, manquant de moelle et de gnaque, lymphatique, avachi et abruti !…Vive Mitterrand !…Vive Chirac !…Vive Sarkozy !…Vive Hollande !…Vive Macron !
    Frontistes, patriotes, souverainistes, nationalistes, identitaires, recommandez ce blog à vos amis(ies) > http://wolf.over-blog.com

  3. Les musuls n’on jamais réussi à s’imposer en Europe par les armes, mais c’était mal les connaître, Ils nous envahissent sans les armes, par le mensonges, et la complicité de nos politiques et des abrutis bobos et idiots utiles qui ne voient pas le danger de cette merde verte. Sans les collabos jamais ils seraient venu.

    • Les hordes mahométanes ont quand même réussi à s’imposer par le fer et par le feu, par les massacres et par la terreur pendant 8 siècles dans la péninsule ibérique, plusieurs siècles en Italie du sud , en Grèce, en France.
      Maintenant, c’est par la takkya ,par la duplicité pseudo-idéologique des crétins, et par les pétrodollars.

  4. Je suis très touché par cette nouvelle. Le contenu de ce récit est flamboyant. Merci

  5. Mehmed II avait juré par son faux prophète de dîner à Bude
    loupé, mais il y laissera la peste
    d’ ou Buda peste ?

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