Les "Palestiniens" de Gaza sont les continuateurs d'envahisseurs d'il y a plus de 3000 ans

Sur les origines de Gaza et les « Philistins », nom biblique des « Palestiniens », je recommande l’article très documenté de Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Philistins :c’étaient très probablement des peuples indo-européens (comme les Perses !) venus des terres dans et autour de la mer Égée. Les textes égyptiens anciens les présentent clairement comme des envahisseurs.

Et sur la conquête de Jérusalem par les Arabes musulmans en 638, un excellent rappel historique du Figaro :
 

L’AN PROCHAIN A JÉRUSALEM 8/17 – Après un siège de six mois, Jérusalem est conquise par les musulmans menés par le calife Omar, deuxième successeur de Mahomet, surnommé le «commandeur des croyants». Le patriarche Sophronios tient à lui donner les clés de la ville en main propre.

Ses mains tremblent un peu tandis que le patriarche Sophronios relit les Lamentationsqu’il avait rédigées au monastère de Saint-Théodose après la prise de la Ville sainte par les troupes du souverain perse Chosroès II en l’an 614: «Le Mède perfide s’est avancé de la Perse funeste, guerroyant contre les villes, les bourgades…»
Tout a été saccagé dans la cité de Dieu et la Vraie Croix, découverte par l’impératrice Hélène, emportée par le général Romizanès. En ce temps-là, Byzance n’était pas aussi affaiblie qu’aujourd’hui, et en 628, Héraclius a ramené l’Etendard du Salut dans la basilique de la Résurrection.
Mais un autre «démon» a surgi du fin fond des déserts d’Arabie. Nul ne l’avait vu venir jusqu’à ce que les armées du calife Abou Bakr aient envahi l’Empire sassanide, s’attaquant aussitôt après à celui de

Seuls sont épargnés les habitants qui se rendent et acceptent de payer un tribut

Constantinople. Son successeur, Omar, qui a pris le titre de commandeur des croyants, a défait Héraclius lors de la bataille du Yarmouk.
L’empereur ne viendra pas briser l’étau qui enserre Jérusalem. La petite garnison byzantine ne pourra contenir la marée des nouveaux barbares. Bien des cités, bien des villages, comme en 614, ont déjà été dévastés. Seuls sont épargnés les habitants qui se rendent et acceptent de payer un tribut. Les Sarrasins l’appellent la jizya. En échange, les chrétiens obtiennent le statut de dhimmi, les protégés.
Le patriarche soupire. Après six mois de siège, il s’est déterminé à sauver Jérusalem d’une nouvelle destruction, mais il ne remettra les clés de la ville qu’au calife en personne. Les généraux arabes ont bien essayé de le tromper. Le prélat a tenu bon. Quand le commandeur des croyants est arrivé en Palestine, il a signé le pacte qui garantit aux chrétiens la liberté de culte, la sûreté de leur vie ainsi que de leurs biens. À présent, il va faire son entrée dans Jérusalem que les Arabes appellent toujours Iliya, d’après son nom romain d’Aelia. Sophronios se doit de l’accueillir.
Omar, le deuxième successeur du Prophète Mahomet, dont il fut, comme Abou Bakr, le compagnon et le beau-père, est un homme de haute taille. Son teint est bistre. Ses yeux sombres. Surnommé «le Sagace», il consent à visiter le Saint-Sépulcre avant de demander au patriarche de le conduire jusqu’au mont Moriah.
Pour les croyants de la nouvelle foi, explique-t-il, c’est un lieu sacré car le Prophète y a été transporté, de nuit, par l’archange Gabriel. Chevauchant Bouraq, le cheval ailé, Mahomet est ensuite monté jusqu’au trône de Dieu. Il est dit dans une sourate du Prophète que le mont où Abraham avait, par soumission, accepté de sacrifier son fils, est celui de la mosquée lointaine. Omar veut s’y prosterner.

Omar reste à Jérusalem pendant dix jours. Il désigne deux gouverneurs pour la région conquise et leur recommande de faire venir des Bédouins nomades afin d’arabiser la nouvelle province.

Le mont du Temple est un éboulis de pierres recouvertes par des plaques de mousse. Expulsés de la ville par Hadrien (135) et brièvement revenus dans les bagages des Perses (614), les Juifs en ont été à nouveau chassés, en 629, par l’empereur Héraclius. Nul n’entretient donc plus l’esplanade. Le calife la fait nettoyer. Lorsqu’elle est purifiée, il demande à Bilal, un Ethiopien qui a servi le Prophète, de lancer l’appel à la prière. Puis il ordonne qu’une mosquée soit construite autour du rocher primordial.
Omar reste à Jérusalem pendant dix jours. Il désigne deux gouverneurs pour la région conquise et leur recommande de faire venir des Bédouins nomades afin d’arabiser la nouvelle province. Progressivement. Pour mieux la soumettre.
Lorsque les Sarrasins quittent enfin la cité, le patriarche Sophronios regarde du haut des remparts s’éloigner les guerriers sur leurs chevaux trapus. Ils sont armés d’arcs, de lances et de larges épées. Une partie des cavaliers accompagne le calife qui retourne à Médine. L’autre, conduite par Abou Oubayda et Khaled ibn Walid, surnommé «l’épée de l’islam», se dirige vers le nord.
Sophronios est né à Damas il y a soixante-dix-huit ans. Il sait qu’il lui reste peu d’années à vivre. Trop peu pour voir les Sarrasins chassés des Lieux saints. Lentement, le patriarche retourne vers le Saint-Sépulcre. Dans le jardin entre la chapelle et la basilique, le vieil homme s’est assis sur un banc.
Les Arabes sont allés porter le fer devant Antioche et Césarée. Qui les arrêtera? Et quand Dieu permettra-t-il que Jérusalem soit délivrée de ses nouveaux tyrans?

http://www.lefigaro.fr/culture/2016/01/26/03004-20160126ARTFIG00142-jerusalem-sous-le-sabre-du-prophete.php

Les « Palestiniens » de Gaza sont donc les continuateurs d’envahisseurs d’il y a plus de 3000 ans, apparentés aux Grecs d’aujourd’hui, mêlés aux autochtones sémites de Canaan, puis arabisés et islamisés depuis 1400 ans par les conquérants musulmans.
Mais illettrés, ils n’ont laissé aucun écrit propre…

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10 Commentaires

  1. Pourquoi ces palestiniens se laissent manipuler par leurs ancêtres au lieu d’évoluer comme l’a fait le monde occidental ! Ils ne se rendent pas compte qu’ils se cantonnent dans l’histoire et que celle-ci vieillira de siècle en siècle sans leur apporter le bonheur sur terre et que le ciel n’existe plus. C’est vrai que leurs enseignants leur font encore croire que la terre est plate, sans vérifier, ils en sont convaincus ces fous de dieu…

  2. Quand ces palestiniens comprendront-ils qu’ils sont les manipulés, les petits qui recevront toujours au pied des forteresses l’huile chaude des grands manipulateurs tel l’arabie saoudite et comparses… pour leurs propres intérêts financiers !
    Tant qu’ils n’auront pas compris, ils resterons les comptables de ces grands financiers et les reclus du monde.

  3. De toute façon, le palestinien, comme tout bon musulman qui se respecte, n’est sur terre que pour convoiter le « bien » des autres et se l’accaparer .
    Ils ne pensent qu’ à la guerre contre les juifs, comme jadis leur prophète adoré.

  4. exactement comme les Francs !! ripuaires ou saliens, peu importe
    les Gaulois furent leurs Cananéens 😆
    au lait et au miel, tu as oublié l’ huile d’ olive et le Garum(cherche pas, c’est une boisson dite aussi startupe )
    Jocelyn…….tiens! va donc relire le voyage en orient de ton inventeur Lamartine….
    t’ es un vrai poème … Jocelyn

    • le garum, c’est romain, ça ressemble au nyoc mam,
      les philistins, peuple de la mer ont fondé Marseille, il y a fort longtemps

  5. Je prends le contrepied. Il n’y a aucune continuité entre les arabes de Gaza et les Philistins de l’Epoque. Aucun rapport.
    Voir d’abort ceci :
    https://youtu.be/kANLcDZM-u0
    Les arabes sont venus en Israël par diverses invasions. Au temps de Jésus, les seuls étrangers résidents (par opposition aux Romains) sont les Samaritains, c’est un nom générique pour désigner un peuple importé par les Babyloniens et que les Juifs ostracisent. Les Philistins n’existent déjà plus. Effectivement, les Philistins sont des « envahisseurs » : Polshims, la même racine que Falasha qui eux sont les Juifs « envahisseurs » en Ethiopie. En hébreu moderne, une invasion se dit Plisha. Mais les philistins venaient de la méditerranée, rien à voir avec les arabes Palestiniens.
    L’utilisation du mot Palestinien pour désigner les arabes d’Israël est récente. Golda Méir s’étonnait de l’emploi de ce nouveau mot, alors qu’avant disait-elle, on parlait toujours de Juifs et d’Arabes.
    La langue des « Palestiniens », faut-il, le rappeler est l’arabe.

    • La source centrale d’informations pour préciser le contexte de l’époque est la Michna puis son commentaire le Talmud, au début de l’ère chrétienne. Les Samaritains y apparaissent à diverses occasions, par exemple à l’occasion des mariages interdits (les Samaritains n’étant pas Juifs) ou encore pour le calendrier des jours de fêtes.
      Pourtant, les philistins n’apparaissent pas dans les écrits de cette époque. Ils ne sont déjà plus contemporains. La Palestine comme contrée s’étendant sur tout Israël et non plus seulement le littoral sud d’Askalon est une appellation romaine débutant en 135. Un peu comme si on appelait Normandie (eux aussi un peuple d’envahisseurs venus par la mer), l’ensemble de la France, jusqu’à Strasbourg et Marseille.

  6. ces « flishtim » dits « peuples de la mer » emmerd…. les Hébreux, les juifs, les Israéliens a partir de Gaza depuis plus de trois millénaires….
    a ma connaissance, les Rois de Juda ont cantonné autour d’ eux la belliqueuse tribu de Siméon, qui les contint des siècles….
    les descendants diasporiques de cette tribu sont connus sous les noms de Shimone ou encore de Shemouni, Chemouny…..en Tunisie, ils étaient nombreux du coté de Gafsa, sud du Pays
    rarissimes juifs , sous l’ islam, montant a cheval et porteurs d’ armes!!
    incroyable!
    ils étaient connus sous le sobriquet de « juifs de guerre » ou encore de « juifs des arabes »
    des récits de mes arrières grand parents parlent de ces « braves » que les communautés juives du sud, louaient pour servir d’ escorte aux pélerins juifs qui allaient dévotionner a El Hamma (tombe du santon juif Rabbi Yossef el Maaravi »
    ou encore a la Ghriba (syna millénaire de Djerba)
    si vous rencontrez des « Chemouny » posez leur la question….il y en a Paris et région des dizaines… 😆
    lire Jean Lafitte et son immense érudition sont un honneur et un bonheur…Merci Monsieur !

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