Selon Lilâ Le Bas de l'UNEF, les casseurs des universités françaises sont… les CRS

 

400 000 euros de dégâts pour deux mois d’occupation.

C’est l’estimation de Richard Laganier, l’administrateur provisoire de l’université de Toulouse Jean Jaurès (ex-Le Mirail), après l’évacuation matinale par les CRS de 60 à 80 « étudiants zadistes », en lutte contre la réforme universitaire.

http://www.lepoint.fr/societe/toulouse-l-universite-du-mirail-evacuee-par-les-crs-09-05-2018-2216900_23.php

Ce fut près de 800 000 euros à Tolbiac :

« En trois mois, l’université parisienne a dépensé l’équivalent de son budget annuel en vigiles. Une somme à laquelle il faudra évidemment ajouter les murs couverts de graffitis, les câbles de sonorisation des amphis arrachés, les écrans de vidéo projection lacérés, les portes et les serrures détériorées. » (RTL)

600 000 euros à Montpellier dont « 300.000 euros pour le sabotage de la salle des serveurs informatiques et les dégradations matérielles et 300.000 euros pour la nouvelle organisation des examens et le renfort en équipe de sécurité sur le campus Paul Valéry. »

Des destructions systématiques, des blocages, des examens mis en suspens, une paralysie administrative que l’on retrouve à Nanterre, Nantes ou Grenoble, dans un mouvement réunissant étudiants, zadistes, gauchistes et même des migrants. (FranceBleu)

Qui paiera la facture astronomique de ces dégradations ?

Pas les auteurs puisqu’ils ne seront pas identifiés. Pas les universités puisqu’elles ne sont pas assurées.

Mais l’État puisqu’il est propriétaire des facultés. Or, l’État est son propre assureur… avec l’argent du contribuable. (RTL)

Pourtant, pour l’UNEF et sa présidente Lilâ Le Bas (ci-dessus), il n’y a pas d’étudiants casseurs : les dégradations sont le fait des CRS.

« Il y a eu des dégradations qui sont dues notamment à l’intervention des forces de l’ordre. Des témoignages démontrent bien que des tables et des chaises ont été balancées pendant cette intervention […] Mais on parle de quelques tags qui ont été faits sur des murs, je ne pense pas que l’on puisse parler de dégradations massives des universités ». (BMFTV)

Pour Libération « CheckNews », les étudiants ne sont en effet pour rien dans les destructions : la vétusté des universités françaises était antérieure à leur occupation et, selon la « Commune libre de Tolbiac »,  « la majeure partie des dégradations ont été causés par l’assaut de 200 CRS armés de tronçonneuses, haches et de béliers. »

Des CRS casseurs ? Oui, et violents avec ça ! Encore une fois, les heures les plus sombres de l’histoire de France sont évoquées. Immédiatement vient à l’esprit l’image de l’évacuation du ghetto de Varsovie par Jürgen Stroop. Ou, au stade national de Santiago, les exactions de la junte chilienne sur les opposants politiques .

A Toulouse, « Il y a eu des coups de matraque, des coups de pied, des gens sont tombés à terre mais malgré ça, ils ont continué à marcher, à nous évacuer, des gens ont été piétinés » (Le Point)

« Les CRS ont cassé tout ce qu’ils pouvaient et ils ont mis des coups de pieds dans les tables et les chaises qui bloquaient, ils ont commencé à nous détacher un à un et à nous déplacer, ceux qui refusaient recevaient parfois des coups du bout de la matraque dans les côtes. » (Europe 1)

A Nanterre, selon un doctorant en philosophie présent lors de l’intervention, les participants ont « été gazés » […] « Certains élèves, encore choqués, ont témoigné face aux caméras de BFMTV. Certains n’ont pu retenir leurs larmes. » (Sud-Ouest)

Et l’impossibilité pour les étudiants non-grévistes de passer leurs examens, c’est aussi la faute des CRS ?

« Une trentaine d’étudiants manifestant contre la loi Orientation et réussite des étudiants (ORE) ont bloqué l’accès à l’université Grenoble Alpes à 580 étudiants venus passer leurs partiels. Devant la véhémence des « bloqueurs » à l’égard du service de sécurité interne à l’université, la direction a décidé d’envoyer les forces de l’ordre et un policier a été légèrement blessé. » (Le Figaro)

Mais pour les antifas de Toulouse, la fin justifie les moyens et soutiennent d’abord les « bloqueurs » face à d’hypothétiques nervis nostalgique du troisième (Frank)Reich :

« L’union antifasciste toulousaine veut tout d’abord apporter son soutien aux victimes des violences d’extrême droite et de la répression policière […] Nous apportons également notre soutien aux étudiants qui bloquent la fac du Mirail à Toulouse et nous tenons à leurs faire savoir que nous serons présents si jamais ils devaient subir quelconques agressions d’où qu’elles viennent. Nous resterons soudés face à l’oppression et au fascisme. »

Agressif, menteur, cynique et bien que porté par des « jeunes », le gauchisme, ce « produit 100% made in France, non exportable et non délocalisable » (Benoît Rayski) est bien la maladie sénile du communisme.

 
État des lieux à Toulouse :

« Photomaton et distributeurs saccagés, ordinateurs volés » – La Dépêche

NDA : « universités précaires » mais refaite à neuve en 2016-2017 à Toulouse


 
Montpellier


 
Tolbiac


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14 Commentaires

  1. C’est con à dire mais avant 68, du temps de De Gaulle, ils auraient pris une raclée dont même leurs petits-enfants se souviendraient.
    Mais bon, les temps changent, la fessée est interdite maintenant.

  2. Les mêmes causes produisent les mêmes effets : les pouilleux fainéants de Notre Dame des Landes ont transformé la campagne en dépôt d’ordures, ceux de l’unef ont produit le même effet sur les fac : saccage, destruction, souillure. Si la sélection existait à l’entrée de la fac, toutes ces merdes n’y seraient jamais entrées d’où leur protestations.

  3. Ne vous inquiétez pas pour elle cette fluteuse va bientôt se retrouver bien au chaud dans un parti de «  »gauche » .
    Quelle horreur ces gens vont être les décideurs de demain .La mauvaise foi et les cynisme érigés en mode de fonctionnement, elle fera une excellente Hollande au féminin On est mal barré !

    • Bonjour,
      Oui, on fait de l’agitation dans les lycées, les facs et on se retrouve apparatchik du PS, député PS, voire sénateur PS (Meluche) …
      Mais cette jolie carrière semble beaucoup plus difficile de nos jours vu l’état du PS :=(

      • Sans compter que devenue apparatchik de la gauche, cette dame demandera la protection de ces mêmes policiers…

  4. Si ces nullités sont dans l’enseignement supérieur, c’est probablement parce que le bac est actuellement attribué à des glandeurs incapables de travailler correctement. Ils ont envie de gêner les étudiants sérieux.

  5. Et encore des escrocs imposteurs qui travaillent pour le système.
    La théorie du chaos écrit sur l’un des murs, c’est le ordo ab chaos de l’Empire, est un message qui s’adresse aux peuples du monde à sa destruction.
    Comme les autres escrocs imposteurs, ils cherchent la provocation entre les différentes communautés en France, en Europe et dans le reste du monde.

  6. Les CRS font un métier pourri !!ils sont dirigés « vers le mur » par un sinistre de l’intérieur et ses sous fifres qui les prends pour des boucs émissaires tout juste bons à recevoir les injures,les coups et les anathèmes comme d’ailleurs les fonctionnaires de police »souffre douleurs  » des juges rouges aux ordres de la garde des sots!!!ce système est dangereusement pourri par des années de corruption et de reculades devant le vrai danger il va se casser la gueule

  7. Oui même que des étudiants ont été pendu, d’autre ont subi la torture comme la question et la roue aussi. (j’ironise)
    Quelle arrête de dire des conneries madame lilâ le bas, ceux qu’elle protège sont des petits cons au QI de chèvres, toujours prêt à foutre la merde et elle croit quoi, qu’on va gober son flan. Connasse dégage. Moi je trouve au contraire que les CRS ont été trop gentil avec ces petits fumiers glandeurs.

  8.  » VOIS QUELLES SONORITES NOS ELEMENTS LIMPIDES TIRENT DE LA CLARTE »
    la colonne Dorique
    ………
    c’est trop beau, quand le lis  » ils ont continué à marcher, à nous évacuer, des gens ont été piétinés »………..je pense qu ils auraient pu être « chenillés » ….dans la foulée…
    « ceux qui refusaient recevaient parfois des coups du bout de la matraque dans les côtes. »…..il est des pays ou ce sont des pieux qu on reçoit dans les cotelettes
    «  » les participants ont « été gazés » […] !!!!!!!!! merde alors! et pas « enfournés » ? quel gaspillage ! quel barbecue raté!!
    le comble de l’ horreur :
    «  » » » » »Certains n’ont pu retenir leurs larmes. »
    terrible! malgré leur anathème « vous n’ aurez pas mes larmes !!  »
    moralité: petits(tes) Trous du fion, dons la parents devraient payer les dégâts occasionnés, ectoplasmes qui ont oublié qu une faculté c’est fait pour apprendre et pas pour casser les joujoux que le pays offre a ces petites pourritures
    qui, jalouses de ce qui s’ est passé en Mai 68, tentent de nous jouer leur version a un demi-siècle d’ écart
    ………..du haut de ces Amphis, 50 ans vous contemplent …….
    crétins gâtés, a expédier place Tien An Men
    quand a la Lilâââââ….ça sort d’ ou ça ? l’ accent circonflexe ne la sauvera pas
    faudrait demander a son vice-président du même syndicat ‎Abdoulaye Diarra
    tu vois, perso quand je lis « syndicats d’ étudiants » ça me file une furieuse envie de botter tous ces culs de « mômes » de 25 ans qui jouent aux adultes frondeurs-casseurs-menteurs et a qui, un pays riche permet de faire des études….
    les petiots de la crèche prés de chez moi envisagent de s’ ériger en  » comité de défense du premier âge », pour protester contre les abus des puéricultrices chargées de les éduquer!!

  9. Aux étudiants de créer une milice interne. Quand ils voient des casseurs,
    un bon coup de batte sur la tronche et voilà.
    Quand ces cloportes de gauche seront à l’hosto en réa, il sera facile
    d’avoir leur blaze.
    Le contribuable en plus que marre de toutes ces fiottes.

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